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Traitement et surveillance d’une forme grave de paludisme à plasmodium falciparum

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La forme grave du palu­disme à fal­ci­pa­rum est une mala­die qui fait assez de ravage dans les pays tro­pi­caux. A cet effet, un trai­te­ment et une sur­veillance des patients atteints de la forme grave du palu­disme doivent être envi­sa­gés. Qu’est-ce que le palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum ? Quels sont les signes cli­niques de la forme grave du palu­disme ? Quels sont les dif­fé­rents types de trai­te­ments de la forme grave du palu­disme.  Pour­quoi et quels sont les dif­fé­rents types de sur­veillance envi­sa­gés pour trai­ter le palu­disme à son stade grave ?

Paludisme à plasmodium falciparum : qu’est-ce que c’est ?

Le palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum est une forme avan­cée de la mala­ria. Pour avoir une idée claire sur ce cas de palu­disme, il urge de connaître le palu­disme à son état simple.

Le palu­disme, en effet, est une mala­die mor­telle cau­sée par le plas­mo­dium. Ce der­nier, trans­mis par la piqûre d’un mous­tique ano­phèle femelle, est un para­site infec­té. C’est le vec­teur du palu­disme. Comme la plu­part des mala­dies, celle-ci est évi­table et guérissable.

L’ignorance ou le retard de trai­te­ment du palu­disme est la consé­quence évi­dente du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum. Forme grave du palu­disme, cette mala­die est recon­nue suite à des exa­mens cli­niques ou bio­lo­giques, témoi­gnant d’un dys­fonc­tion­ne­ment des organes vitaux. Tous les cas de décès liés à la mala­ria sont géné­ra­le­ment dus à P. falciparum.

Paludisme à plasmodium falciparum : quels symptômes ?

Les mani­fes­ta­tions de la forme grave du palu­disme sont diverses. D’abord, toutes les formes de la mala­ria ont un stade ini­tial au cours duquel, les per­sonnes infec­tées par le mous­tique souffrent de fièvre et res­sentent des fris­sons. Elles sentent aus­si des maux de tête ain­si que des cour­ba­tures. L’anémie et les splé­no­mé­ga­lies sont les autres signes du palu­disme simple.

Les symptômes du paludisme grave chez l’enfant

La forme grave du palu­disme se mani­feste de plu­sieurs manières chez les enfants :

P. plasmodium falciparum

Le P. plas­mo­dium fal­ci­pa­rum entraîne chez les enfants, un coma fébrile. Celui-ci sur­vient avec une triade accom­pa­gnée de coma, fièvre et convul­sions. Les enfants en pleine san­té phy­si­que­ment, sont les plus tou­chés généralement.

Malaria sévère

L’enfant atteint de mala­ria sévère est sou­vent atteint d’une ané­mie qua­si-constante. Cette ané­mie en lien étroit avec le déve­lop­pe­ment intra éry­thro­cy­taire du para­site, s’aggrave par une ané­mie caren­tielle précédente.

Symptomatologie

La fré­quence d’une hypo­gly­cé­mie liée à une symp­to­ma­to­lo­gie est aus­si obser­vée chez les enfants atteints. La symp­to­ma­to­lo­gie est sus­cep­tible de se super­po­ser avec le neuropaludisme.

Il y a éga­le­ment les états de chocs et les insuf­fi­sances rénales sévères, qui consti­tuent des symp­tômes cli­niques du mal obser­vé chez les enfants. Au niveau des voies res­pi­ra­toires, on peut obser­ver un stress res­pi­ra­toire régu­lier, sur­tout chez l’enfant atteint de la forme grave du palu­disme. Par ailleurs, la plu­part de ces symp­tômes peuvent s’accompagner de vomissements.

Il faut noter que la pré­sence d’un seul de ces symp­tômes chez les enfants est syno­nyme de contrac­tion de la forme grave du palu­disme. Sans oublier que les signes de vomis­se­ments seuls ne sont pas des signes dangereux.

Les symptômes du paludisme grave chez les adultes

Chez les adultes, la forme grave du palu­disme s’installe peti­te­ment. Elle suit donc des étapes dont :

La phase d’installation

Cette étape est la pre­mière sur­ve­nant après une pre­mière inva­sion de 5 à 10 jours accom­pa­gnée d’hyperthermie, de cépha­lées, de dou­leurs abdo­mi­nales et de myal­gies. Au cas où un trai­te­ment n’est pas envi­sa­gé, cette phase peut se déve­lop­per et conduire à des troubles de com­por­te­ment.  L’état de pros­tra­tion et d’autres signes de fatigue conduisent car­ré­ment à une hos­pi­ta­li­sa­tion du patient.

La phase d’état

Celle-ci se mani­feste chez l’enfant comme un coma fébrile. Par contre, chez les adultes, les signes cli­niques sont un syn­drome de défaillance poly­vis­cé­rale. Ce syn­drome conduit à une hyper­ther­mie et des troubles de conscience chez les parents. Enfin, l’ictère consti­tuant un véri­table choc pour les per­sonnes âgées.

Les symptômes de paludisme grave chez la femme en état

Lorsque la femme enceinte est atteinte du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum, la gros­sesse est plus mena­cée. Cette der­nière entraîne en effet une dimi­nu­tion des acti­vi­tés du sys­tème immu­ni­taire. On assiste ain­si à une aug­men­ta­tion et à la gra­vi­té des accès palustres.

Le risque de la forme grave du palu­disme est très éle­vé chez les pri­mi­gestes. Les périodes au cours des­quels, ces der­niers sont plus atta­qués par le mal sont le troi­sième tri­mestre.  Le temps de tra­vail ain­si que les suites de couches sont aus­si des moments durs pour elles.

Tous les symp­tômes de palu­disme peuvent appa­raître chez les femmes en état. Cepen­dant, il faut noter que deux sont très dan­ge­reuses pour leur san­té dont l’hypoglycémie et l’œdème pul­mo­naire. Ce der­nier sur­git en post-par­tum. Quant à l’hypoglycémie, elle se mani­feste le second et le troi­sième tri­mestre de gros­sesse, sur­tout sous qui­nine. Les risques majeurs de ces symp­tômes sont les avor­te­ments et les accou­che­ments prématurés.

Forme grave de paludisme à plasmodium falciparum : traitement

Toute per­sonne atteinte du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum ou pré­sen­tant un cri­tère de gra­vi­té du mal, doit béné­fi­cier sys­té­ma­ti­que­ment d’une hos­pi­ta­li­sa­tion. Si pos­sible, elle doit être conduite dans un centre de réani­ma­tion ou de soins inten­sifs. Tou­te­fois, il n’est pas conseillé de retar­der le début du trai­te­ment dès l’apparition des symptômes

Quels sont les différents types de traitement de la forme grave du paludisme ?

Il existe plu­sieurs types de trai­te­ment pour la forme grave de palu­disme, notamment :

Les antipaludiques artémisinines-combinaisons thérapies (ACT)

Ce type de trai­te­ment du palu­disme est le plus effi­cace pour trai­ter les formes de palu­disme graves. En effet, les ACT com­binent une arté­mi­si­nine ou un déri­vé de cette molé­cule à un autre anti­pa­lu­dique avec un effet sur de longue durée.

Les traitements à base d’hydroxychloroquine

C’est un type de soin aus­si effi­cace et géné­ra­liste. En effet, il traite aus­si bien le palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum de même que le plas­mo­dium vivax.

Les traitements à base d’artémisinines

Il existe éga­le­ment un trai­te­ment à base d’artémisinines. Mais ce type de trai­te­ment est recom­man­dé dans le cas des palu­dismes grave ne répon­dant pas aux ACT.

A tous ces trai­te­ments, il faut ajou­ter celui à base de qui­nine qui aus­si fait ses preuves. En effet, il s’agit d’un trai­te­ment très effi­cace pour lut­ter contre le palu­disme cau­sé par Plas­mo­dium falciparum.

Comment se traite la forme grave du paludisme dans un milieu hospitalier ?

D’après plu­sieurs enquêtes, deux types de trai­te­ment de la forme grave de la mala­ria s’imposent pour les soins hospitaliers :

Traitement étiologique

Ce type de soins a pour but d’atténuer plus rapi­de­ment l’effet des para­sites pré­sents dans le sang du patient. Il se fait avec la qui­nine injec­table. Ce der­nier est l’antipaludique schi­zon­ti­cide de réfé­rence. Dans ce cas de trai­te­ment, une dose de charge per­fu­sée en 4 heures ain­si qu’une dose d’entretien est recommandée.

Traitement symptomatique

Ce trai­te­ment inclut ici la recherche d’une hypo­gly­cé­mie. Il com­prend éga­le­ment une oxy­gé­na­tion au masque de même qu’une intu­ba­tion pré­ma­tu­rée par voie orale tra­chéale. Les convul­sions consta­tées lors du trai­te­ment res­tent sous le contrôle des dia­zé­pines par voie intra­vei­neuse pour la plu­part du temps. Pour lut­ter effi­ca­ce­ment contre la constance de l’hypovolémie, un rem­plis­sage vas­cu­laire est exi­gé. Ce der­nier peut être un sérum salé isotonique.

Lors du trai­te­ment symp­to­ma­tique, des chocs peuvent sur­gir. Face à une situa­tion pareille, il est recom­man­dé de faire la recherche d’une co-infec­tion bac­té­rienne sur le patient. L’instauration d’une anti­bio­thé­ra­pie s’avère aus­si néces­saire.  Par ailleurs, les insuf­fi­sances rénales néces­sitent la mise en place d’une épu­ra­tion rénale efficace.

Comment se traite la forme grave du paludisme dans un centre de santé ?

À défaut de conduire le patient en milieu hos­pi­ta­lier, il doit être conduit dans un centre de san­té com­mu­nau­taire ou au dis­pen­saire. Une fois sur place, la mis­sion des infir­miers ou méde­cins com­mence par la recherche des symp­tômes de gravité.

Il urge de noter que quel que soit le type de trai­te­ment, la sur­veillance médi­cale est de mise. Il en est de même pour le milieu dans lequel les soins sont admi­nis­trés. Ceci per­met d’éviter les effets secon­daires graves. Il est éga­le­ment impor­tant de bien se ras­su­rer du type de plas­mo­dium res­pon­sable de l’infec­tion avant de don­ner n’importe quel soin.

Forme grave de paludisme à plasmodium falciparum : surveillance

La forme grave du palu­disme doit être sur­veillée après un trai­te­ment. Ce der­nier n’est pas suf­fi­sant pour garan­tir en effet une san­té par­faite du malade.

Pourquoi surveiller la forme grave de paludisme à falciparum ?

La sur­veillance de la forme grave du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum n’est pas une étape dont on peut s’en pas­ser. Nom­breuses sont les rai­sons pour les­quelles la sur­veillance est importante :

La détection des signes de complications sévères

La forme grave du palu­disme mor­telle étant une mala­die poten­tiel­le­ment mor­telle, elle peut cau­ser des com­pli­ca­tions graves. Ces der­nières sont l’insuffisance rénale, la défaillance mul­ti­vis­cé­rale, l’insuffisance hépa­tique, le coma. C’est ce type de sur­veillance qui faci­lite la détec­tion de ces symp­tômes pour une prise en charge du palu­disme rapide et efficace.

L’évaluation de l’efficacité des soins

La sur­veillance du taux de para­si­té­mie per­met de véri­fier le résul­tat posi­tif du trai­te­ment en cours. Elle per­met éga­le­ment une détec­tion pré­coce des cas de résis­tance aux médicaments.

Autres avantages de la surveillance

  • La sur­veillance per­met d’adapter le trai­te­ment en fonc­tion du stade de la mala­die et des résul­tats des examens ;
  • La sur­veillance de temps en temps per­met aus­si de détec­ter les rechutes de la mala­die pou­vant sur­ve­nir après les soins.

Donc, la sur­veillance de la forme grave du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum est d’une néces­si­té incon­tour­nable. Elle per­met d’assurer un sui­vi effi­cace ain­si qu’une prise en charge adé­quate des patients. La sur­veillance aide aus­si à pré­ve­nir les dif­fé­rentes com­pli­ca­tions graves et mor­ta­li­té liées à la forme grave du paludisme.

Quels sont les différents types de surveillance de la forme grave de paludisme à falciparum ?

Il existe plu­sieurs types de sur­veillance du P. fal­ci­pa­rum qu’il urge de connaître :

La surveillance clinique

Cette sur­veillance per­met de sur­veiller régu­liè­re­ment les signes vitaux dont la tem­pé­ra­ture, la fré­quence car­diaque. Pour sur­veiller aus­si la pres­sion arté­rielle chez le malade, cette forme de sur­veillance est plus convenable.

La surveillance hématologique

Se dérou­lant géné­ra­le­ment dans un milieu hos­pi­ta­lier, ce type de sur­veillance per­met le contrôle des taux d’hémoglobines, de glo­bules rouges, de leu­co­cytes ou encore de pla­quettes. Ceci per­met en véri­té de détec­ter les ané­mies sévères, les troubles de la coa­gu­la­tion et les thrombocytopénies.

La surveillance biochimique

Il s’agit d’une sur­veillance envi­sa­gée dans les cas de contrôle de potas­sium, de magné­sium, de créa­ti­nine, de trans­ami­nases, de glu­coses et de bili­ru­bine. Ceci per­met la détec­tion des troubles rénaux, méta­bo­liques et hépatiques.

La surveillance parasitologique

Cette sur­veillance per­met de véri­fier les taux de para­si­té­mie afin d’évaluer ensuite l’efficacité du trai­te­ment. Et par la suite, détec­ter les cas de résis­tance aux pro­duits. Après celle-ci, les méde­cins trai­tants peuvent réaf­fu­ter leurs soins.

La surveillance de l’oxygénation

Comme son nom l’indique, c’est un type de sur­veillance très cru­cial dans le sui­vi du taux d’oxygène dans le sang du patient. Il per­met de détec­ter en véri­té les cas de troubles res­pi­ra­toires graves.

Notez qu’en cas de com­pli­ca­tions graves, le patient doit être réfé­ré sys­té­ma­ti­que­ment vers un centre de san­té dis­po­sant des agents com­pé­tents. Car des soins non appro­priés peuvent cau­ser d’autres dom­mages sur la san­té du malade.

Comment prévenir le paludisme grave ?

Contrai­re­ment à ce que pense nombre de per­sonnes, la forme grave du palu­disme est une mala­die conta­gieuse. Mais, il existe des mesures pré­ven­tives pour limi­ter les risques de conta­mi­na­tions dû au p falciparum :

Assainissement du cadre de vie

L’une des pre­mières mesures indis­pen­sables, c’est l’assainissement du cadre de vie. Sur­tout lorsque vous vivez dans une zone humide, vous devez évi­ter les ordures aux alen­tours des conces­sions. Ain­si, vous éloi­gnez les mous­tiques de vos appar­te­ments. Il faut aus­si faire recours aux insec­ti­cides afin de lut­ter contre les mous­tiques. Des filets fins sont aus­si recom­man­dés pour pro­té­ger les habi­ta­tions au niveau des fenêtres et limi­ter le paludisme ;

Des mesures personnelles

Il est en effet recom­man­dé d’utiliser des habits cou­vrant tout le corps. L’usage des répul­sifs anti-mous­tiques pour évi­ter les piqûres des ano­phèles femelles. Plus pré­ci­sé­ment, au niveau des lits, il est conseillé de faire usage des mous­ti­quaires impré­gnées d’insecticide ;

Prophylaxie de médicaments

Cette mesure concerne les per­sonnes sou­hai­tant par­tir pas­ser un séjour dans des zones d’endé­mie. Il s’agit d’un cer­tain nombre de molé­cules pour les­quelles vous pou­vez opter afin de pré­ve­nir le palu­disme. Vous pou­vez uti­li­ser par exemple la chlo­ro­quine, la qui­nine ou mieux la méfloquine.

Cepen­dant, il est impor­tant de prendre conseil auprès d’un méde­cin dans le but de savoir lequel de ces médi­ca­ments serait le plus conve­nable. Le pro­fes­sion­nel se base­ra en effet sur vos anté­cé­dents, votre âge. Ce der­nier conseille aus­si un médi­ca­ment aux voya­geurs après avoir ana­ly­sé la tolé­rance de leur orga­nisme aux antipaludiques.

Tou­te­fois, il faut rete­nir que ces molé­cules n’assurent pas une pro­tec­tion com­plète contre le bacillaire ;

  • Chez les femmes enceintes, la pré­ven­tion du palu­disme se fait à base de sul­fa­doxine et de pyri­mé­tha­mine. Ces médi­ca­ments doivent être admi­nis­trés pen­dant les périodes de consul­ta­tions prénatales ;
  • Chez les enfants, la pré­ven­tion de la forme grave du palu­disme est sai­son­nière. Elle s’applique aux enfants ayant au moins 3 mois et au plus 5 ans.

Il faut sim­ple­ment rete­nir qu’aucune méthode de pré­ven­tion, à elle seule, ne per­met de se pro­té­ger contre le palu­disme. C’est bien la rai­son pour laquelle, les pro­tec­teurs comme les mous­ti­quaires et les insec­ti­cides doivent être pris en compte.

Enfin, la forme grave du palu­disme à plas­mo­dium fal­ci­pa­rum est cau­sée par une urgence de palu­disme simple igno­rée par le patient. Heu­reu­se­ment, elle se soigne quand les symp­tômes sont bien recon­nus chez le malade. Dif­fé­rents types de trai­te­ments et de sur­veillance existent à cet effet pour sau­ver les patients lorsqu’un diag­nos­tic est vite établit.

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