HomeSantéLes péricardites : causes, symptômes, diagnostic et traitement

Les péricardites : causes, symptômes, diagnostic et traitement

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Le cœur est un muscle de la taille d’un poing, en forme de cône. Il est recou­vert de plu­sieurs couches, dont le péri­carde (la couche la plus externe). Tout évé­ne­ment trau­ma­tique, toute situa­tion stres­sante ou encore anxieuse peut pro­vo­quer la contrac­tion de cette couche. L’une des affec­tions qui la touchent est la péri­car­dite. Quelles sont ses causes ? Com­ment est-elle liée aux émo­tions ? Com­ment la recon­naitre ? Quelles sont les com­pli­ca­tions de cette mala­die et com­ment la trai­ter pour pou­voir vivre plei­ne­ment ? Voi­ci les réponses à ces diverses préoccupations !

Les péricardites : définition

La péri­car­dite est une inflam­ma­tion du péri­carde, une fine mem­brane fibreuse en forme de sac qui entoure le cœur et y est atta­chée. Elle se com­pose de deux couches, entre les­quelles se trouve une petite quan­ti­té de fluides lubrifiants.

Le péri­carde rem­plit plu­sieurs fonc­tions. En effet, il sert à fixer le cœur et à l’empêcher de trop bou­ger lors des chan­ge­ments de pos­ture. Par ailleurs, il aide à réduire les frot­te­ments entre le cœur et les organes envi­ron­nants. Cette mem­brane pro­tège ce muscle des infec­tions ou d’autres pro­blèmes pou­vant sur­ve­nir dans les organes et tis­sus voi­sins. D’autre part, elle a éga­le­ment une fonc­tion méca­nique, limi­tant la dis­ten­sion ou la dila­ta­tion car­diaque dans cer­taines circonstances.

Lorsque les deux couches qui consti­tuent le péri­carde sont irri­tées et enflam­mées, elles peuvent frot­ter l’une contre l’autre et pro­vo­quer des dou­leurs. Ces der­nières consti­tuent un symp­tôme cou­rant de la péricardite.

Cette affec­tion s’améliore géné­ra­le­ment sans néces­si­ter de trai­te­ment spé­ci­fique. Elle peut entraî­ner un épan­che­ment péri­car­dique. Cette mala­die peut aus­si entraî­ner un épais­sis­se­ment, une rétrac­tion et une cal­ci­fi­ca­tion du péricarde.

Les péricardites : lien avec les émotions

Le péri­carde est étroi­te­ment lié à la sphère émo­tion­nelle. Son blo­cage peut sur­ve­nir à la suite d’une situa­tion de stress. Il s’agit de toute forme de menace, de dan­ger, de peur, d’anxiété ou de choc. Elles font réagir l’organisme en le rétré­cis­sant et en le rétractant.

C’est ce que l’on appelle com­mu­né­ment « tenir le cœur dans un poing ». En bref, il se contracte pour pro­té­ger l’organisme sans limi­ter ses mou­ve­ments. Le corps réagit ain­si en se fer­mant pour se pro­té­ger et sur­vivre à la situa­tion dra­ma­tique qui peut être trop dure et trop insupportable.

De cette façon, il est plus facile de faire face à la situa­tion et de ne pas trop souf­frir. Il est vrai que cha­cun réagit dif­fé­rem­ment à ce type de pro­blème. Cepen­dant, la réac­tion orga­nique est la même. La seule dif­fé­rence est le pro­ces­sus que cha­cun met en œuvre pour accep­ter et trai­ter l’impact émo­tion­nel. C’est-à-dire la capa­ci­té à com­prendre et à résoudre la situa­tion. Si l’épisode est ponc­tuel et que le péri­carde revient à sa posi­tion ini­tiale, le corps est com­plè­te­ment dila­té et fonc­tionne nor­ma­le­ment sans douleur.

Néan­moins, il peut arri­ver qu’on ne gère pas cor­rec­te­ment cette émo­tion ou qu’elle se pro­longe trop long­temps. Dans ces cas, le péri­carde reste contrac­té. Cela peut pro­vo­quer des dom­mages ou des consé­quences à long terme dans l’organisme. Il s’agit de la dou­leur ou du dys­fonc­tion­ne­ment d’organes, de muscles et d’articulations. Ils peuvent être phy­si­que­ment sains, mais font souf­frir sans rai­son apparente.

Sur le plan émo­tion­nel, ces situa­tions pro­voquent des maux de tête, de la fatigue, des insom­nies ou des sen­ti­ments de perte. On peut aus­si res­sen­tir des malaises, de la tris­tesse et de l’irritabilité.

Les péricardites : causes

Dans la plu­part des cas, la péri­car­dite est géné­ra­le­ment idio­pa­thique, c’est-à-dire que sa cause est incon­nue. Par­mi les fac­teurs connus pou­vant expli­quer sa sur­ve­nue, les plus cou­rants sont :

  • Infec­tion virale,
  • Crise car­diaque,
  • Cer­taines maladies,
  • Médi­ca­ments,
  • Une crise car­diaque grave ou dans le cadre d’un syn­drome post-infarc­tus du myocarde,
  • Opé­ra­tion du cœur,
  • Radio­thé­ra­pie,
  • Can­cer (leu­cé­mie, can­cer du sein ou du poumon),
  • Toxines.

À ces causes s’ajoutent d’autres caté­go­ries de fac­teurs qui peuvent influen­cer les péricardites.

Infection virale

La péri­car­dite peut être pré­cé­dée d’un rhume, d’une pha­ryn­gite ou de tout autre type d’infection, comme le VIH. Elle peut éga­le­ment faire suite à des infec­tions bac­té­riennes, fon­giques ou para­si­taires, bien que celles-ci soient moins fré­quentes que les infec­tions virales.

Autres maladies

Plu­sieurs affec­tions peuvent pro­vo­quer des péri­car­dites. Il s’agit, par exemple, de l’insuffisance rénale, l’hypothyroïdie, les mala­dies auto-immunes (poly­ar­thrite rhu­ma­toïde, lupus, etc.). On note aus­si par­fois les mala­dies inflam­ma­toires (par exemple, les mala­dies inflam­ma­toires de l’intestin).

Traumatisme thoracique

Il s’agit des bles­sures au cœur ou à la poi­trine, qui peuvent sur­ve­nir lors d’un acci­dent de la route ou d’un autre acci­dent. Par exemple, l’insertion d’un sti­mu­la­teur cardiaque.

Les péricardites : symptômes courants

Selon le type de péri­car­dite, sa gra­vi­té et sa vitesse d’apparition, cer­tains ou tous les signes et symp­tômes sui­vants peuvent survenir :

  • Tachy­car­die,
  • Tachy­pnée et sou­vent ano­ma­lies de l’électrocardiogramme,
  • Fièvre ou fièvre légère,
  • Sen­ti­ment géné­ral de faiblesse,
  • Toux sèche,
  • Dou­leur en avalant,
  • Fatigue ou essouf­fle­ment prin­ci­pa­le­ment en posi­tion couchée,
  • Gon­fle­ment de l’abdomen ou des jambes.

En plus de ces signes, d’autres symp­tômes peuvent sur­ve­nir en fonc­tion de l’évolution de la maladie.

Douleur thoracique

Le patient res­sent une dou­leur vive et intense au centre ou sur le côté gauche de la poi­trine. Comme men­tion­né plus haut, elle peut irra­dier vers l’épaule et le cou gauches. Elle s’accentue par la toux, l’inspiration pro­fonde, la déglu­ti­tion ou la posi­tion cou­chée sur le dos ou sur le côté. Au lieu de cela, elle peut dimi­nuer lorsque le patient reste assis ou pen­ché en avant. Cette dou­leur est le symp­tôme le plus cou­rant de la péri­car­dite.

Frottement péricardique

C’est un bruit carac­té­ris­tique, rugueux, aigu et super­fi­ciel. Ces carac­té­ris­tiques peuvent être variables au sein d’un même cycle car­diaque ou dans l’évolution de la maladie.

Ce frot­te­ment est détec­té lors de l’auscultation du cœur. Bien qu’il n’apparaisse pas tou­jours, lorsqu’il est pré­sent, il peut à lui seul indi­quer le diag­nos­tic de péri­car­dite.

Les péricardites : différentes formes

Il existe plu­sieurs types de péricardites :

  • Péri­car­dite aiguë,
  • Péri­car­dite constrictive,
  • Péri­car­dite récurrente.

Péricardite aiguë

La péri­car­dite aiguë se carac­té­rise par des symp­tômes dus à l’inflammation du péri­carde. Les patients res­sentent géné­ra­le­ment une dou­leur tho­ra­cique aiguë cen­trale qui peut irra­dier vers le dos, le cou, les bras et l’épaule gauche. 

Ce symp­tôme peut éga­le­ment se res­sen­tir par­fois vers le bras droit ou les deux. La dou­leur est plus forte lorsque le patient est allon­gé sur le dos et moins forte quand il est assis et pen­ché en avant.

Elle est par ailleurs accen­tuée par une res­pi­ra­tion pro­fonde, ce qui rend la res­pi­ra­tion dif­fi­cile. Cer­tains patients pré­sentent une gêne fixe au niveau du ster­num qui res­semble à la dou­leur de l’infarctus aigu du myocarde.

Les symp­tômes les plus courants :

  • Dou­leur tho­ra­cique centrale.
  • Fièvre.
  • Tachy­car­die.
  • Toux.
  • Dou­leur en avalant.

La dou­leur peut s’accompagner de fièvre, de tachy­car­die, de toux et de dou­leurs à la déglu­ti­tion et dure géné­ra­le­ment plu­sieurs jours. Lorsqu’il y a un épan­che­ment péri­car­dique, d’autres symp­tômes appa­raissent, sur­tout s’il est impor­tant et de courte durée.

Il peut y avoir des dif­fi­cul­tés res­pi­ra­toires, des étour­dis­se­ments, etc. Contrai­re­ment à la dou­leur de l’angine de poi­trine, la dou­leur de la péri­car­dite n’est pas liée à l’effort physique.

Péricardite constrictive

Elle consiste en une aug­men­ta­tion de l’épaisseur et de la rigi­di­té du péri­carde, qui cesse d’être une mem­brane élas­tique pour deve­nir rigide. C’est un pro­ces­sus typi­que­ment chro­nique avec quelques variantes.

On estime qu’environ 2 % des patients qui ont souf­fert de péri­car­dite aiguë déve­loppent une péri­car­dite constric­tive avec le temps. La cause la moins fré­quente est idio­pa­thique ou virale et les causes les plus fré­quentes sont tuber­cu­leuses et puru­lentes. Les symp­tômes les plus fré­quents sont :

  • la réten­tion d’eau (qui com­mence à se mani­fes­ter par des che­villes enflées) et
  • une fatigue exces­sive lors de l’exercice physique.

Les symp­tômes de la péri­car­dite constric­tive sont géné­ra­le­ment per­ma­nents et pro­gres­sifs jusqu’à ce que le patient soit trai­té. Le trai­te­ment chi­rur­gi­cal avec abla­tion du péri­carde ou péri­car­dec­to­mie est le plus idéal. La constric­tion peut être tran­si­toire et réver­sible chez une mino­ri­té de patients. Ils peuvent donc attendre 2–3 mois avec un trai­te­ment conser­va­teur avant de subir une inter­ven­tion chirurgicale.

Péricardite récurrente

Envi­ron 15 à 30 % des patients atteints de péri­car­dite aiguë pré­sentent des réci­dives. Il s’agit d’un nou­vel épi­sode du même type après un cer­tain temps où la per­sis­tance de l’épisode ini­tial, sou­vent accom­pa­gné d’un épan­che­ment péricardique.

Ce risque est moindre dans la péri­car­dite idio­pa­thique et lorsque la col­chi­cine est admi­nis­trée d’emblée. La péri­car­dite récur­rente se mani­feste par la récur­rence des symp­tômes de la péri­car­dite aiguë.

Cepen­dant, le symp­tôme pré­do­mi­nant est sou­vent une dou­leur tho­ra­cique, sans autres mani­fes­ta­tions cli­niques. Le terme péri­car­dite récur­rente fait réfé­rence au syn­drome dans lequel la péri­car­dite aiguë réap­pa­raît. Sur­tout quand l’agent qui a cau­sé l’épisode ini­tial a dis­pa­ru ou n’est plus actif.

La récur­rence des symp­tômes peut sur­ve­nir à n’importe quel stade après la réso­lu­tion des symp­tômes de la péri­car­dite ini­tiale. Elle sur­vient géné­ra­le­ment six semaines après l’épisode ini­tial. Lorsque les signes du pre­mier épi­sode sont per­sis­tants ou inces­sants durant les six pre­mières semaines d’évolution, on parle de « péri­car­dite inces­sante », plu­tôt que récurrente.

Les péricardites : complications

Les péri­car­dites

En cas d’absence de trai­te­ments ou de mau­vais diag­nos­tic, de nom­breuses com­pli­ca­tions peuvent sur­ve­nir dans les péricardites.

Épanchement péricardique

C’est l’accumulation de liquide dans le péri­carde, entre la mem­brane atta­chée au cœur et celle atta­chée aux pou­mons. Cela aug­mente la pres­sion entre les deux couches et empêche le cœur de pom­per cor­rec­te­ment le sang.

Il peut éga­le­ment pro­vo­quer un épais­sis­se­ment du péri­carde. Sa taille dépend autant de la quan­ti­té de liquide accu­mu­lée que de la rapi­di­té avec laquelle il s’est accu­mu­lé, entre autres facteurs.

Tamponnade cardiaque

Cette com­pli­ca­tion sur­vient à la suite d’une com­pres­sion du cœur entraî­nant un épan­che­ment péri­car­dique qui peut être aiguë ou chro­nique. La pres­sion exer­cée sur le cœur l’empêche de se rem­plir cor­rec­te­ment, ce qui entraîne une dimi­nu­tion du flux san­guin vers le cœur.

Il peut en résul­ter une affec­tion bénigne ou très grave, notam­ment une chute spec­ta­cu­laire de la pres­sion arté­rielle. Cette der­nière peut mettre la vie du patient en dan­ger si elle n’est pas trai­tée immé­dia­te­ment. Les symp­tômes les plus cou­rants sont des pro­blèmes res­pi­ra­toires et, occa­sion­nel­le­ment, des dou­leurs thoraciques.

Péricardite avec atteinte du myocarde (myopéricardite)

C’est l’inflammation arti­cu­laire du myo­carde, le tis­su mus­cu­laire du cœur épi­car­dique (désigne la par­tie externe). Cette inflam­ma­tion affecte aus­si la mem­brane qui l’entoure, le péri­carde. Étant enflam­mée, elle condi­tionne éga­le­ment une irri­ta­tion dans cette zone.

Les péricardites : diagnostic

Le méde­cin se sert de trois cri­tères diag­nos­tiques dans la péri­car­dite, qui ne sont pas néces­sai­re­ment pré­sents en même temps. Il s’agit des anté­cé­dents cli­niques de dou­leurs typiques (sou­vent accom­pa­gnées de fièvre), de l’auscultation car­diaque et des ano­ma­lies de l’électrocardiogramme.

Il y a un qua­trième cri­tère qui sur­vient moins fré­quem­ment et c’est l’augmentation de liquide entre les deux couches du péri­carde. C’est ce qu’on appelle un épan­che­ment péri­car­dique et peut être vu en fai­sant un échocardiogramme.

Il suf­fit géné­ra­le­ment que deux de ces trois cri­tères soient pré­sents dans l’évolution de la mala­die pour que le diag­nos­tic soit éta­bli. Un échan­tillon de liquide du péri­carde peut être pré­le­vé à l’aide d’une aiguille. Cette pro­cé­dure est appe­lée péricardiocentèse.

L’échantillon de liquide extrait est ana­ly­sé afin de détec­ter la pré­sence d’une infec­tion ou d’autres mala­dies. Cepen­dant, dans la plu­part des cas de péri­car­dite, la péri­car­dio­cen­tèse n’est pas néces­saire pour le diag­nos­tic. En effet, il s’agit géné­ra­le­ment de troubles bénins qui tendent à se mani­fes­ter en peu de temps.

Les péricardites : traitements

La péri­car­dite est le plus sou­vent idio­pa­thique (cause incon­nue). Il n’est pas jugé néces­saire d’effectuer des études pour déter­mi­ner la cause. En effet, la plu­part du temps l’évolution cli­nique est bénigne et les patients s’améliorent avec des mesures non spé­ci­fiques. Il peut être utile de leur sug­gé­rer un repos tant que la dure douleur.

Le méde­cin peut éga­le­ment pres­crire des anti-inflam­ma­toires non sté­roï­diens (ibu­pro­fène ou aspi­rine) à fortes doses pen­dant 2 à 3 semaines. En cas de réponse insuf­fi­sante de ces médi­ca­ments, le méde­cin peut pres­crire aux patients la col­chi­cine. Elle peut être admi­nis­trée pour réduire le risque de récidive.

Si cela ne fonc­tionne pas non plus, les cor­ti­co­sté­roïdes sont sou­vent uti­li­sés, bien que leur uti­li­sa­tion soit asso­ciée à un risque accru de réci­dive. Dans de rares cas, lorsque des com­pli­ca­tions sur­viennent, une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale ou un drai­nage péri­car­dique sont nécessaires. 

L’objectif du trai­te­ment est double. En pre­mier lieu, il per­met de sou­la­ger la dou­leur et réduire l’inflammation du péri­carde. Si la péri­car­dite est secon­daire à une autre mala­die, la mala­die cau­sale doit être trai­tée en même temps. Chez ceux qui pro­duisent un épan­che­ment péri­car­dique impor­tant, une ponc­tion péri­car­dique peut être néces­saire pour reti­rer l’épanchement.

Thérapie

Le but de cette pra­tique est que le patient com­prenne ce que son corps lui dit. Il doit apprendre à l’écouter et à mettre les éti­quettes émo­tion­nelles de ce qui lui arrive dans le domaine phy­sique. Le corps est obser­vé depuis sa glo­ba­li­té pour trou­ver l’origine du problème.

Il peut être émo­tion­nel ou phy­sique, et les outils néces­saires sont four­nis pour acti­ver le pro­ces­sus d’autoguérison. Ce trai­te­ment du péri­carde consiste à se connec­ter à la vibra­tion de chaque struc­ture et à l’aider à se libé­rer. Il s’effectue au contact phy­sique du patient par des mou­ve­ments et des pressions.

Technique bioénergétique

La tech­nique bio­éner­gé­tique agit sur toutes les struc­tures du corps. En effet, une dif­fu­sion dans l’organisme, aus­si petite soit-elle, peut affec­ter une autre par­tie du corps. Lorsque le péri­carde est libé­ré, la per­sonne a la sen­sa­tion de se détendre, de res­pi­rer et d’ouvrir beau­coup mieux la poi­trine. À la fin de la séance, le sen­ti­ment géné­ral est celui d’une relaxa­tion complète.

La péri­car­dite est une affec­tion com­plexe qui néces­site une prise en charge ain­si qu’une connais­sance appro­fon­die des mesures et options de trai­te­ment disponibles.

 

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