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Chlamydia trachomatis : causes, symptômes, complications, traitement

Les statistiques de l’OMS indiquent qu’environ 6 à 8 % de la population adulte mondiale souffre de chlamydiose. De plus, plus de 100 millions de cas de chlamydia sont détectés chaque année. Cependant, en réalité, selon les experts, ce chiffre est au moins deux fois plus élevé. Cela s’explique par le fait que, très souvent, la maladie ne provoque pas de symptômes cliniques graves.

La chlamydiose peut toucher aussi bien les hommes que les femmes. Si on ne la traite pas à temps, elle peut entraîner de graves complications. Il est donc important de se renseigner sur cette infection afin de savoir quand consulter.

Chlamydia trachomatis : définition

La chlamydia, encore appelée « infection à chlamydia » ou « chlamydiose » est une maladie sexuellement transmissible (MST) très courante. L’agent pathogène identifié dans cette infection est la « Chlamydia trachomatis », une bactérie qui vit exclusivement dans le cytoplasme. Elle se transmet généralement lors de rapports sexuels non protégés par voie vaginale, anale ou orale. Toutefois, il est possible qu’elle se contracte aussi par voie materno-fœtale (de la mère à l’enfant).

En effet, la Chlamydia trachomatis est un micro-organisme qui dont la véritable nature (bactérie ou virus) a fait des polémiques. Elle occupe une position intermédiaire et est probablement un parasite qui choisit le système génito-urinaire humain comme milieu de vie. Au total, on connaît environ 15 espèces de chlamydias, dont trois sont considérées comme pathogènes pour l’homme. Il s’agit notamment de la Chlamydia trachomatis, la Chlamydia psittaci et la Chlamydia pneumoniae.

Infections associées

Dans environ 50 % des cas d’infections à Chlamydia trachomatis, on détecte une mixte, dans laquelle la chlamydiose est présente. Dans le même temps, d’autres infections sexuellement transmissibles sont détectables. Entre autres, on peut citer la gonorrhée, la trichomonase, etc. Par ailleurs, l’infection à chlamydia trachomatis peut devenir chronique et s’accompagner de diverses complications. Celles-ci conduisent parfois à l’infertilité et à l’échec de la grossesse.

Prévalence et fréquence

D’une part, il faut noter que cette IST est l’une des plus courantes, car les plus grandes instances signalent des millions de cas tous les ans. De plus, on a pu noter que la plupart des cas sont asymptomatiques, ce qui signifie qu’il n’y a aucun signe ou symptôme d’infection. Par conséquent, de nombreux cas demeurent non signalés.

Chlamydia trachomatis : causes et transmission

La chlamydia trachomatis est une maladie très contagieuse qui peut affecter aussi bien les hommes que les femmes, principalement ceux sexuellement actifs. En réalité, la bactérie peut résider dans les sécrétions vaginales ou le sperme. Elle peut donc se transmettre par trois principales voies à savoir :

  • Voie sexuelle ;
  • Voie orale ;
  • Voie materno-fœtale.

Transmission par voie sexuelle

C’est l’une des voies de transmission de chlamydiose les plus courantes. En effet, si cette infection est présente chez un partenaire, l’infection du second partenaire est inévitable en l’absence de contraceptifs de barrières. L’incidence la plus élevée concerne les personnes de moins de 25 ans.

Par ailleurs, il convient de noter que l’infection peut être transmise chaque fois qu’il y a un échange direct ou indirect de fluides sexuels. Tout rapport sexuel, qu’il soit vaginal, oral ou anal, doit ainsi être considéré comme risqué. Même l’échange de jouets sexuels, s’il a lieu dans un laps de temps très court, peut entraîner une infection.

Transmission par voie orale

La chlamydia trachomatis contractée lors de rapports sexuels oraux est appelée chlamydia orale ou chlamydia de la gorge. Elle survient lors d’une stimulation orale de la zone génitale ou anale (fellation, anulingus ou rimming et cunnilingus). La propagation de la chlamydia est beaucoup plus facile, car elle ne provoque aucun symptôme significatif. Par conséquent, même des personnes asymptomatiques et apparemment en bonne santé peuvent transmettre l’infection. Il est donc important de prendre des précautions avant le sexe oral avec un nouveau partenaire.

Transmission materno-fœtale

La chlamydia peut se transmettre de la mère au fœtus, c’est-à-dire par transmission directe de la mère infectée à l’enfant. Principalement, cela survient lorsque le nouveau-né passe par le canal de naissance.

Plus rarement, l’infection peut survenir pendant la grossesse ou dans la période post-partum, l’infection augmente le risque de fausse couche et d’accouchement prématuré. Chez les enfants, la chlamydia provoque alors une conjonctivite sévère et/ou une arthrite septique.

Autres facteurs de risque

Outre ces voies, le risque de chlamydia peut augmenter en présence de plusieurs facteurs, essentiellement démographiques. Par exemple, on peut citer :

  • L’âge ;
  • La race ;
  • Le sexe.

L’âge

L’âge est un facteur de risque non négligeable, car le constat est que la chlamydia affecte les plus jeunes que les personnes âgées. Ainsi, les jeunes ou adolescents de 15 à 24 ans sont plus à risque de développer cette infection.

La race

La race serait également impliquée la fréquence de l’infection à chlamydia trachomatis. En réalité, de nombreuses études ont montré qu’elle affecte beaucoup plus les personnes de race noire non hispaniques.

Le sexe

Les femmes non transgenres de la tranche d’âge de 15 à 24 ans sont plus susceptibles d’avoir des tests de dépistage positifs à la chlamydia trachomatis. En outre, les hommes qui ont des rapports sexuels avec des personnes du même sexe (homosexuels) sont plus à risque de développer une chlamydia.

Par ailleurs, la transmission de l’infection parmi certains groupes de personnes n’est pas souvent associée aux habitudes sexuelles. En revanche, on lui attribue plutôt une ignorance ou un manque d’accès à toutes les ressources qui permettent de prévenir les MST ou IST. La belle preuve est que cette infection se propage plus dans les populations qui n’ont pas un accès facile à l’éducation sexuelle. Aussi, celles-ci sont peu informées en ce qui concerne l’utilisation des méthodes de préventions telles que les digues dentaires ou les préservatifs

Chlamydia trachomatis : autres organes affectés

Chlamydia trachomatis

En plus de la chlamydia de la gorge mentionnée ci-dessus, cette infection peut toucher d’autres organes.

Infections à chlamydia du bas appareil urinaire (chlamydia urogénitale)

Les infections à chlamydia du bas appareil urinaire regroupent :

  • L’urétrite qui est une inflammation de l’urètre ;
  • La cervicite qui est une inflammation du col de l’utérus ;
  • La cystite (inflammation de la vessie).

Aussi, on distingue la vulvovaginite qui est une inflammation des organes génitaux externes et du vagin.

Infections à Chlamydia des organes pelviens et autres organes urinaires

Ces infections comprennent l’orchite (inflammation du testicule) l’épididymite (inflammation de l’épididyme) et la prostatite (inflammation de la prostate associée à une urétrite). Outre celles-là, on peut noter la salpingo-oophorite qui est une inflammation des trompes de Fallope et des ovaires. L’endométrite (inflammation de la muqueuse de l’utérus) est également une infection à chlamydia.

En dehors de ces organes, la chlamydia peut également affecter l’anus ou le rectum et les yeux. On parle dans les premiers cas de l’infection ano-rectale à Chlamydia trachomatis et dans le dernier, de chlamydia oculaire.

Chlamydia trachomatis : symptômes

Les symptômes de la chlamydia dépendent de l’organe affecté et du sexe du patient. Dans certains cas, il n’y a pas de symptômes si la maladie a une évolution latente (cachée). Lorsque les troubles apparaissent, tous les symptômes de l’infection peuvent être divisés en deux groupes :

  • Symptômes associés à des lésions du système génito-urinaire ;
  • Symptômes associés à des dommages à d’autres organes.

Symptômes associés à des lésions du système génito-urinaire

Les symptômes associés aux lésions du système génito-urinaire se manifestent selon le sexe.

Symptômes chez les femmes

Les principales plaintes des femmes qui souffrent d’une chlamydia de l’appareil génito-urinaire sont multiples. Il peut s’agir de douleurs constantes dans le bas-ventre ou le dos, de pertes vaginales ou urétrales ou de saignements intermenstruels. Elles ressentent également des douleurs et des crampes lorsqu’elles urinent et ont des mictions fréquentes.

En outre, les démangeaisons ou les malaises dans la région vaginale et les douleurs pendant les rapports sexuels sont très fréquents. Toutefois, on peut diagnostiquer la chlamydia sur la base de plaintes de dysfonctionnement de la reproduction : infertilité, fausses couches récurrentes ou antécédents de fausses couches.

Symptômes chez les hommes

Les symptômes de la chlamydia chez les hommes sont généralement moins prononcés et se limitent à une gêne pendant qu’ils urinent. Ils peuvent également avoir des mictions fréquentes et des écoulements de l’urètre. Au fur et à mesure que la maladie évolue, des mictions douloureuses peuvent s’ajouter.

En cas de chlamydia ano-rectale, l’évolution de la maladie est souvent asymptomatique. Il peut y avoir des plaintes de démangeaisons, de brûlures dans la région ano-rectale, de légers écoulements jaunâtres ou rougeâtres du rectum. Les hommes atteints peuvent aussi présenter des douleurs pendant la défécation, des écoulements muco-purulents du rectum, souvent mélangés à du sang. La constipation peut être rare, néanmoins, certaines victimes peuvent en souffrir.

Symptômes associés à des dommages d’autres organes

Voici les symptômes observés lorsque la chlamydia trachomatis affecte les organes tels que la gorge et les yeux.

Chlamydia de la gorge

Dans le cas d’une pharyngite à chlamydia ou chlamydia de la gorge, les patients peuvent se plaindre d’une gêne. Aussi, ils peuvent présenter une sécheresse de la gorge et une douleur qui s’aggrave lorsqu’ils avalent des aliments ou substances.

Lorsqu’elle affecte le pharynx et/ou la muqueuse périamygdalienne, la chlamydia trachomatis se manifeste principalement par des maux de gorge et une dysphagie. Elle peut aussi se caractériser par des œdèmes et les exsudats muco-purulents, bien que ceux-ci soient rares.

Chlamydia oculaire

La conjonctivite à chlamydia, qui affecte l’œil, se caractérise par une légère douleur dans l’œil affecté, une sécheresse et une rougeur. Dans certains cas, les personnes atteintes peuvent avoir une photophobie et un léger écoulement muco-purulent des coins de l’œil. La chlamydia peut également provoquer le trachome, une infection oculaire grave qui affecte la conjonctive et la cornée.

Par ailleurs, il est important de noter que dans certains de ces cas, l’infection à chlamydia peut entraîner des lésions articulaires. Celles-ci se présentent dans la plupart des cas sous la forme d’une monoarthrite où l’inflammation se développe dans une seule articulation :

  • Le genou ;
  • La cheville ;
  • La hanche ;
  • L’épaule ;
  • Le coude.

Dans le cas d’une infection à chlamydia, on peut associer la monoarthrite à une urétrite et à une conjonctivite.

Chlamydia trachomatis : nécessité de consultation

Chlamydia trachomatis

Dans la grande majorité des cas, la chlamydia est asymptomatique ou produit des symptômes vagues et indistincts. On ne peut donc facilement distinguer le type d’infection en cause. Chez les femmes, les pertes vaginales (leucorrhées) ou une irritation des parties intimes peuvent indiquer une infection à chlamydia.

Chez l’homme, cependant, l’infection à Chlamydia trachomatis peut affecter l’épididyme (conduit relié au testicule), provoquant des douleurs testiculaires ou de la fièvre. Des écoulements du pénis et des démangeaisons surviennent aussi. Par ailleurs, la façon dont la chlamydia se manifeste chez les hommes dépend de la façon dont la maladie se développe.

Dans la forme aiguë, les premiers symptômes apparaissent dans les deux mois qui suivent l’infection. La forme chronique de la maladie dure longtemps et ses signes apparaissent périodiquement sous forme d’exacerbations. La maladie demeurant silencieuse, au moindre soupçon d’une infection sexuellement transmissible, il est recommandé de consulter un médecin.

Chlamydia trachomatis : complications

En l’absence d’une prise en charge rapide de l’infection à chlamydia, elle peut provoquer des symptômes très graves (complications). Il faut noter que ceux-ci varient selon le sexe.

Complications de la chlamydia chez les femmes

La chlamydia peut avoir un impact sérieux sur la fertilité féminine. Chez la femme, en l’absence de traitement, l’infection peut se propager dans le col de l’utérus et l’utérus lui-même. Elle peut aussi atteindre les trompes de Fallope et les ovaires, provoquant une inflammation locale (cervicite, endométrite, salpingite et ovarite). Celle-ci peut prédisposer à une maladie inflammatoire pelvienne (MIP). I

Il s’agit de la conséquence la plus grave et la plus redoutée de la chlamydia. La MIP se présente sous la forme d’une fièvre accompagnée de douleurs abdominales et pelviennes chroniques. De plus, elle constitue l’une des principales causes d’infertilité due à l’obstruction des trompes.

Complications de la chlamydia chez l’homme

Si on la néglige et surtout lorsqu’on procède à un traitement non adapté, l’infection peut s’étendre à la prostate, aux vésicules séminales et à l’épididyme. Ces derniers sont de petits conduits qui comprennent de nombreuses circonvolutions dans le scrotum. Les spermatozoïdes y mûrissent et y sont stockés avant l’éjaculation. Les conséquences de la chlamydia sont donc l’épididymite, la vésiculite et la prostatite. Ces maladies peuvent se compliquer et conduire à l’infertilité.

Chlamydia trachomatis : diagnostic

Le test le plus courant pour détecter la chlamydia est le test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN). Le médecin prélève un échantillon de liquide à l’aide d’un écouvillon. Il envoie ensuite le prélèvement dans un laboratoire pour tester la présence de la bactérie chlamydia trachomatis.

Il peut toutefois effectuer le test en cabinet ou demander à la victime de faire un test de chlamydia trachomatis à domicile. Celle-ci doit alors suivre attentivement ses instructions pour s’assurer que les résultats du test sont exacts.

Par ailleurs, le diagnostic de chlamydia trachomatis est établi sur la base de la détection du matériel génétique de la bactérie (ADN de chlamydia trachomatis) par PCR dans le matériel clinique étudié. On obtient ce dernier grâce à la localisation du processus inflammatoire.

Dans le cas du diagnostic d’une infection à chlamydia non compliquée de localisation génitale, on prélève un échantillon dans l’urètre chez l’homme et dans l’urètre et le canal cervical chez la femme.

Chlamydia trachomatis : prévention

En raison de la difficulté à reconnaître les symptômes de la chlamydia trachomatis, les experts ont une recommandation importante pour toutes les femmes sexuellement actives. En effet, elles doivent effectuer un contrôle annuel chez un gynécologue. De plus, pour réduire le risque de contracter la chlamydia trachomatis, il est conseillé de limiter le nombre de partenaires ou au moins d’utiliser les contraceptifs barrières nécessaires. En général, la méthode la plus efficace pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles consiste à utiliser un préservatif avant les rapports sexuels.

L’utilisation correcte des préservatifs permet non seulement d’éviter la transmission d’infections par les fluides corporels, mais aussi de réduire le risque de contracter des maladies. Quand bien même ces dernières se transmettent par simple contact génital à génital. Dans ce dernier cas, la protection offerte est partielle, car l’infection peut se produire par contact avec des zones non couvertes par un préservatif.

Les médecins recommandent aux femmes sexuellement actives et qui présentent un risque élevé de chlamydia de se faire tester régulièrement. En réalité, les femmes, plus que les hommes, subissent les complications les plus graves de la chlamydia trachomatis.

Les hommes transgenres et les personnes non binaires qui ont un vagin doivent également faire l’objet d’un dépistage régulier. Cela s’explique simplement par le fait qu’ils peuvent connaître les mêmes complications.

Chlamydia trachomatis : traitement

Chlamydia trachomatis

En raison de la nature bactérienne de l’infection, le traitement de la chlamydia trachomatis repose sur des antibiotiques administrés seuls ou en association. Aussi, il se base sur les résultats d’un antibiogramme réalisé lors d’une analyse microbiologique. Ce test évalue la sensibilité des bactéries à différents types d’antibiotiques, afin d’identifier le médicament le plus efficace.

Le plus souvent, les praticiens peuvent prescrire une dose unique d’azithromycine ou de doxycycline pendant une semaine pour le traitement de la chlamydia trachomatis. Cependant, ils peuvent également prescrire d’autres principes actifs, comme l’amoxicilline, l’érythromycine, la tétracycline et l’ofloxacine.

Par ailleurs, voici certains aspects considérables qu’il faut prendre en compte pour bien traiter cette infection à chlamydia trachomatis.

Traitement des partenaires sexuels

Le traitement doit toujours être étendu à tous les partenaires sexuels qui ont eu des rapports sexuels jusqu’à 60 jours auparavant. Cela est valable même s’ils ne présentent aucun symptôme.

Cette précaution permet d’éviter de contracter de nouveau la maladie. En effet, cela empêche une nouvelle infection et limite également la possibilité de transmettre la chlamydia trachomatis à d’autres personnes. On doit aussi effectuer le traitement et le mener à terme même en présence de symptômes légers ou en l’absence totale de ceux-ci.

Abstinence tout au long du traitement

En outre, il est important que le patient s’abstienne de tout rapport sexuel jusqu’à ce qu’il soit complètement guéri. De même, il doit suivre cette recommandation même s’il termine le traitement, en évitant de l’interrompre après les premières améliorations.

Cette précaution peut également être nécessaire pendant un certain temps après la fin du traitement antibiotique. Ainsi, le médecin peut demander un second test après quelques semaines pour s’assurer que l’infection par Chlamydia trachomatis a bien été éradiquée.

Éviter l’automédication

Le traitement de la chlamydia trachomatis par des antibiotiques doit être effectué sous la supervision d’un médecin. L’autotraitement est totalement exclu, car il ne peut qu’aggraver la situation et rendre le parasite résistant aux antibactériens. Par conséquent, cela ne fera que compliquer le traitement ou l’infection elle-même. Les antiseptiques locaux ne sont pas utilisés pour la chlamydia, car ils sont inefficaces.

Adopter une bonne habitude alimentaire

Adopter une bonne habitude alimentaire pourrait permettre d’assurer l’apport de nutriments utiles au bon fonctionnement du système immunitaire. En outre, certains exercent également un effet antioxydant et aident à prévenir le stress des radicaux libres en améliorant l’état clinique. Par conséquent voici quelques nutriments à privilégier :

  • La vitamine C: elle est principalement contenue dans les fruits acides et les crudités. On peut citer : poivrons, laitue, citron, orange, mandarine, pamplemousse, persil, pomme, kiwi, brocoli, etc.
  • Le zinc contenu dans le foie, le lait, la viande, certains mollusques comme les huîtres.
  • La vitamine D: on la retrouve dans le poisson et le jaune d’œuf.
  • Le fer contenu dans les produits de pêche, la viande et le jaune d’œuf.
  • Le magnésium: on le retrouve dans les graines oléagineuses, les légumes, le cacao et les fruits.

Par ailleurs, les antioxydants polyphénoliques (contenus dans les fruits et légumes frais, le vin rouge, le thé, etc.) et les acides aminés (viande, fromages, soja) sont aussi très importants. D’autre part, il faut privilégier les probiotiques principalement contenus dans les aliments fermentés (yaourt, tofu, le lait de baratte, etc.) et les omégas 3 (algues, poissons gras, huiles d’oléagineuses).

En revanche, il faudra éviter les régimes : végétalien, carnivore, sans légumes ou à base d’aliments conservés et cuits uniquement.

 

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