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Ménopause : causes, symptômes, complications, traitement

La ménopause n’est pas une maladie, mais une étape naturelle de la vie d’une femme. Elle survient généralement vers l’âge de 50 à 51 ans, bien qu’elle puisse apparaitre avant ou après. Pendant cette étape de leur vie, les femmes présentent plusieurs symptômes qui constituent très souvent une gêne.

Heureusement aujourd’hui, grâce aux avancées scientifiques les femmes qui vivent cette période difficile de leur existence disposent de plusieurs options de traitement. Ainsi, celles-ci pourront les aider à vivre mieux cette étape. Qu’est-ce que la ménopause ? Quelles sont les différentes approches pour réduire et prévenir les symptômes de cet état ?

Ménopause : généralités

La ménopause est un moment physiologique et complexe de la vie d’une femme qui marque la fin de l’âge fécond et donc de la fertilité. Étymologiquement, le terme « ménopause » vient du grec « men » qui signifie « mois » et de « pausis » qui signifie « fin ou cessation ». Il fait donc référence à la dernière menstruation de la femme.

Généralement, une femme peut entrer en ménopause entre 45, 48 et 52 ans, avec un âge moyen de 50 à 51 ans. Bien qu’elle ne puisse être considérée comme une maladie, la ménopause se caractérise par l’apparition de nombreux troubles, variables d’une femme à l’autre. Elle implique en effet tout le corps aussi bien dans son fonctionnement que dans son apparence.

Pendant cette phase physiologique, l’organisme des femmes tente de retrouver un nouvel équilibre après un certain changement dans leurs fonctions physio-psychologiques. Ce bouleversement n’est le plus souvent pas souhaité et surtout pas planifié. Il est soudain et peut représenter un calvaire pour les femmes.

Les ovaires, qui ont commencé leur activité dès les premières menstrues, cessent celle-ci. Par conséquent, on note la baisse des taux des hormones produites par les ovaires (œstrogènes) dans le sang.

Il convient de mentionner que la ménopause fait partie des différentes phases du phénomène appelé « climatère ». C’est une période de transition qui marque le passage de la femme, de sa phase de reproduction à celui du vieillissement. Elle comprend les moments suivants :

  • Préménopause ;
  • Ménopause ;
  • Postménopause.

Préménopause

Encore appelée périménopause, cette période varie d’une femme à l’autre et dure en moyenne 3 à 5 ans avant la ménopause. Elle se caractérise par des menstruations irrégulières dues à des taux fluctuants d’œstrogènes et de progestérone. Ceux-ci commencent à baisser. Outre cela, les signes courants sont : prise de poids, bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, irritabilité, insomnie et anxiété.

Ménopause

Elle commence environ 12 mois après les dernières règles. La ménopause peut durer entre huit à dix ans. Toutefois, chez les femmes prématurément entrées dans cette période et chez les fumeuses, elle peut durer plus longtemps. Dans cette phase, les bouffées de chaleur, l’insomnie et la sécheresse vaginale deviennent plus récurrentes et intenses.

Postménopause

C’est la période qui suit la ménopause et dure le reste de la vie d’une femme. À mesure que l’espérance de vie augmente, la postménopause peut affecter environ le tiers de la vie de celle-ci. Dans cette période, le taux hormonal chute complètement et les symptômes de ménopause disparaissent. Cependant, le risque que les victimes développent les maladies cardiovasculaires et l’ostéoporose augmente.

Ménopause : formes courantes

Ménopause

Chez certaines femmes, la ménopause peut être prématurée (ménopause précoce) ou tardive (ménopause tardive). Ces deux formes sont des anomalies et sont provoquées par plusieurs facteurs.

La ménopause précoce

Dans ce cas, l’arrêt des menstruations survient entre 40, 45 et 47 ans et même avant 40 ans. La ménopause précoce affecte environ 1 % des femmes et se manifeste en raison des facteurs génétiques, notamment de l’altération chromosomique. Néanmoins, selon certains chercheurs, on pourrait associer cela à de mauvaises habitudes telles que l’alcoolisme, le tabagisme, la mauvaise alimentation, etc.

Par ailleurs, certaines femmes vivent une ménopause précoce en raison de maladies auto-immunes (maladie d’Addison), la thyroïdite et les maladies métaboliques (diabète). Les affections virales et tumorales, une insuffisance ovarienne (incapacité des ovaires à produire des taux normaux d’hormones de reproduction) peut également favoriser cela. Tout de même, il convient de noter que dans certains cas, on ne parvient pas à reconnaitre la cause de cette anomalie.

La ménopause tardive

Les menstrues disparaissent entre l’âge de 52 et 55 ans. Cela pourrait avoir comme facteurs une prédisposition génétique, un nombre élevé de grossesses, une hypertension ou un surpoids. En effet, dans ce dernier cas, le tissu adipeux produit des œstrogènes, ainsi ces dernières pourraient continuer à stimuler l’activité des ovaires.

Ménopause : causes et facteurs de risques

La ménopause se produit en raison d’un phénomène naturel qui n’est que l’interruption de la production d’œstrogènes et de progestérone par les ovaires. En fait, en raison du vieillissement physiologique de la femme, les ovaires deviennent moins sensibles à l’hormone folliculo-stimulant (FSH) et à l’hormone lutéinisante (LH). C’est l’hypophyse qui produit ces deux dernières hormones.

Par ailleurs, l’action de la progestérone et des œstrogènes comment à baisser au cours des années qui précèdent la ménopause. Alors, les menstrues et l’ovulation deviennent moins fréquentes et irrégulières puis finissent par s’arrêter définitivement.

Les ovaires n’ont plus d’œufs potentiels, ils épuisent donc leur fonction et s’atrophient. La réserve ovarienne d’une femme, en effet, s’épuise aussi au fil des années, car le nombre d’ovules est défini dès la naissance.

En revanche, d’autres facteurs peuvent déclencher une ménopause dite « artificielle ». Ceux-ci comprennent la chirurgie et les médicaments. Dans le premier cas, on peut citer l’ovariectomie (retrait des ovaires). Dans le second, il s’agit principalement des médicaments utilisés pour le blocage ou la réduction de l’activité des ovaires. Les médicaments de chimiothérapie ou la radiothérapie peuvent aussi y jouer un rôle non négligeable.

Ménopause : symptômes

En général, la fluctuation puis la suspension de la production d’œstrogènes et de progestérone donnent lieu à une série de symptômes. Dans certains cas, ces derniers conduisent à une réduction de la qualité de vie. Toutefois, les manifestations varient d’une femme à l’autre.

Symptômes physiques

Les symptômes physiques, c’est-à-dire apparents, regroupent :

  • Les bouffées de chaleur: les signes les plus courants qui peuvent s’accompagner d’étourdissement, de palpitations, de l’accélération du rythme cardiaque. Dans la plupart des cas, les bouffées de chaleur surviennent pendant quelques années puis disparaissent.
  • La transpiration excessive principalement nocturne : les femmes présentent des sueurs nocturnes.
  • La perte de cheveux : on peut observer une perte importante ainsi que l’apparition cheveux blancs.
  • La prise de poids: la carence en œstrogène, associée à l’âge et au ralentissement du métabolisme, provoque une augmentation de l’appétit et donc du poids corporel. La graisse corporelle se répartit également dans la région abdominale et provoque un risque cardiovasculaire élevé.
  • Le changement de peau: elle devient plus fine, moins élastique, ridée, moins hydratée avec un teint irrégulier du fait de la diminution de l’activité cellulaire conjonctive.

Les troubles du sommeil, le vertige, l’hypertension, la tachycardie, les démangeaisons génitales et sécheresse vaginale sont aussi des symptômes très courants. En outre, les victimes souffrent d’une incontinence urinaire qui se traduit par un besoin fréquent et urgent d’uriner. Une perte involontaire d’urine peut survenir en conjonction avec des éternuements, rires bruyants ou de la toux.

Outre cela, les femmes en ménopause sont plus exposées à l’ostéoporose, car les œstrogènes jouent un rôle important dans le maintien de la structure osseuse. Si la densité diminue en raison de la baisse du taux de ces hormones, cela peut conduire à l’ostéoporose. L’os devient alors moins dense et plus fragile, ce qui augmente le risque de fractures.

Symptômes liés à la psychoaffectivité

La ménopause est une période très délicate pour la femme, qui pourrait lier cette étape de sa vie à son vieillissement. Par conséquent, elle finit par se sentir inutile. De plus, les experts associent de faibles taux d’œstrogènes à de faibles concentrations de sérotonine qui régule l’humeur et les émotions. Alors comme signes psychoaffectifs on peut citer : irritabilité, humeur instable, anxiété, fatigue, dépression, dépression, troubles de la mémoire et de la concentration. Les patientes sont aussi démotivées et présentent une perte de la libido.

Ménopause : complications

La baisse des concentrations d’œstrogènes liée à la ménopause peut, au fur et à mesure que la femme vieillit, entrainer des complications. Par exemple, celle-ci peut développer une cardiopathie ou être plus exposée à la maladie d’Alzheimer ou aux rides. Ses intestins et sa vessie ne fonctionneront plus comme ils le doivent. La vision s’affaiblit progressivement et elle peut souffrir de la dégénérescence maculaire ou de la cataracte.

De plus, les femmes en ménopause ont un faible tonus et une faible puissance musculaire. La perte de libido entraine une difficulté à atteindre l’orgasme et un dégout pour le sexe.

Ménopause : traitement

Ménopause

De nombreuses femmes n’ont généralement pas besoin de traitement pour gérer les manifestations de leur état. Parfois, ces dernières disparaissent d’elles-mêmes. Il peut néanmoins arriver qu’elles constituent une véritable gêne ou une source d’inconfort.

Dans ce dernier cas, on recommande de discuter avec un professionnel de santé pour le soulagement. Ensemble, la patiente et celui-ci qui la traite pourront trouver le plan de traitement adéquat. On distingue des options de traitements médicamenteux et non médicamenteux.

Traitement médicamenteux

Le traitement médicamenteux repose essentiellement sur le traitement hormonal substitutif encore appelé THS. De nombreuses études ont permis de prouver ses bénéfices ainsi que ses risques. Outre le THS, on peut combiner l’hormonothérapie à l’administration de testostérone et de progestatifs. D’autres médicaments non hormonaux interviennent également pour réduire principalement les symptômes psychoaffectifs.

Hormonothérapie

L’hormonothérapie est indispensable chez les femmes qui ont encore un utérus, afin qu’elles réduisent le risque de cancer. On recommande celle à base d’œstrogènes aux femmes qui ont subi une ablation de l’utérus. Par ailleurs, l’hormonothérapie comprend :

  • Le THS ;
  • L’hormonothérapie combinée ;
  • La testostérone.
Traitement hormonal substitutif (THS)

Le THS est l’une des options les plus sûres et efficaces pour la plupart des femmes qui traversent durement leur périménopause et ménopause. Il consiste en l’administration d’œstrogènes en substitution des concentrations déjà présentes au cours de la ménopause. Ces hormones peuvent se présenter sous forme de gel, de spray à passer sur la peau.

Elles peuvent toutefois prendre la forme de patchs à poser sur la peau, de comprimés ou d’implants sous-cutanés. Il convient de préciser que la patiente doit respecter la dose thérapeutique que lui a indiquée son professionnel de santé. Les symptômes s’amélioreront ainsi avec le temps.

Par ailleurs, pour les femmes qui ont encore un utérus, il peut être utile de prendre des doses de progestérone pour la protection de la muqueuse. Les spécialistes parlent alors de THS combiné.

Si vous avez un utérus (utérus), vous devez également prendre de la progestérone pour protéger votre muqueuse utérine des effets des œstrogènes. La prise d’œstrogène et de progestérone est appelée THS combiné. La victime reçoit ses doses grâce à des comprimés, un système hormonal intra-utérin et des patchs.

Bénéfices du THS

Le principal bénéfice du THS est qu’il permet de soulager plusieurs symptômes de la ménopause et de la périménopause. Par exemple, on peut citer les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, les douleurs articulaires et les sautes d’humeur. La première manifestation se résorbe très vite, mais les autres peuvent prendre un peu de temps.

En outre, recevoir des œstrogènes en remplacement à celles que l’on perd peut aider dans la réduction des risques de complications. Entre autres, on a les maladies cardiovasculaires et l’ostéoporose. Le THS peut également aussi aider à réduire le risque d’athérosclérose. En fait, l’hormone diminue le mauvais cholestérol LDL et augmente plutôt le bon cholestérol HDL. Risques

Risques

Bien que les risques de l’hormonothérapie substitutive soient peu nombreux comparativement aux bénéfices, il est important d’informer la patiente. En réalité, le THS augmente le risque de développer un cancer de l’endomètre et un cancer du sein.

De plus, cela peut aussi augmenter le risque de thrombose veineuse profonde dans les jambes et d’embolie pulmonaire, de maladie coronarienne, de maladie du foie et de calculs biliaires.

Hormonothérapie combinée

L’hormonothérapie combinée avec des œstrogènes et progestérone peut aider à soulager les bouffées de chaleur, à réduire le risque d’ostéoporose et de cancer. De plus, cette combinaison réduit considérablement le risque de cancer de l’endomètre chez les femmes qui ont l’utérus. Toutefois, elle peut augmenter les taux de cholestérol LDL et augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire.

Par ailleurs, pour lutter contre la sécheresse vaginale pendant la périménopause et de ménopause, le médecin peut prescrire des œstrogènes. On peut les insérer dans le vagin sous forme de crème, de comprimés ou d’anneau. En plus de soulager l’inconfort de la sécheresse, cela favorise une rétention convenable de l’urine. Ces hormones ne pénètrent pas dans votre circulation sanguine et ne fonctionnent que sur la partie du corps où on les place.

Administration de testostérone

C’est la principale hormone masculine. On peut parfois l’administrer en association avec des œstrogènes, car elle améliore la densité osseuse et l’humeur. Elle augmente aussi l’énergie et la libido, bien qu’elle puisse avoir des effets qui masculinisent comme l’hypertrichose. Aussi, les patientes qui optent pour ce traitement peuvent présenter des acnés.

La testostérone est disponible sous forme de crème ou de gel. On rappelle que les ovaires produisent également cette hormone dont les concentrations baissent avec l’âge.

Phytothérapie aux œstrogènes

Ces thérapies sont moins efficaces, cependant on peut les employer en complément aux autres options de traitement. Elles comprennent des phytoestrogènes, c’est-à-dire des molécules stéroïdes d’origine végétale ou de type œstrogène actives sur le métabolisme osseux. Ce sont aussi des stéroïdes synthétiques. Il semblerait qu’elles puissent réduire l’ostéoporose, prévenir le cancer du sein et de l’endomètre. Pour finir, ces thérapies peuvent soulager la sécheresse vaginale et les bouffées de chaleur.

Traitement médicamenteux non hormonal

Les traitements médicamenteux d’origine non hormonale peuvent aider dans la réduction des symptômes qui constituent une gêne. Par exemple, pour les sueurs nocturnes ou les bouffées de chaleur, le professionnel de santé peut prescrire la clonidine ou la gabapentine.

Il doit également informer sa patiente des effets secondaires possibles de ces deux médicaments. En outre, il peut être utile de prendre des antidépresseurs pour réduire les symptômes d’anxiété, d’humeur ou de dépression. Aussi, la victime peut prendre des somnifères pour l’insomnie.

Traitement non médicamenteux

Les options de traitement non médicamenteuses reposent sur :

  • Des thérapies de comportement,
  • L’utilisation de lubrifiants ou de lasers vaginaux,
  • Les alternatives homéopathiques,
  • Le changement d’habitudes de vie
  • La pratique d’une activité physique.

Thérapies de comportement

Les thérapies cognitivo-comportementales peuvent aider les femmes à accepter et à gérer la transition de la vie fertile à la ménopause. De même, elles seront plus aptes à gérer celle de la postménopause.

Basées sur la psychoéducation, elles consistent à favoriser la connaissance de la femme sur la ménopause. Cela lui permet de faire une restructuration de toutes croyances irrationnelles et erronées sur cette phase de la vie féminine. Il est également très utile dans le traitement de la dépression, de l’anxiété et de la mauvaise humeur, des douleurs et des bouffées.

Utilisation de lubrifiants ou de lasers vaginaux

Le laser vaginal est utile en cas d’atrophie vaginale, d’incontinence urinaire légère, de prolapsus léger ou de cystite. Ce traitement n’a pas de contre-indications ni d’effets secondaires. On peut donc l’effectuer en présence d’affections sous-jacentes telles que le cancer du sein.

Les lubrifiants vaginaux se présentent sous forme de pessaires, de crèmes ou de gels. Ils permettent de réduire la douleur lors des rapports sexuels.

Alternatives homéopathiques

Ces thérapies permettraient notamment de réduire les bouffées de chaleur et les sautes d’humeur. Par exemple, on peut citer le dong quai, la sauge, le ginseng, l’onagre, etc. Cependant, on n’a pas pu prouver l’innocuité et l’efficacité réelles de ces alternatives homéopathiques avec certitude.

Changement d’habitudes de vie

Cela inclut les habitudes alimentaires, la gestion et le respect du rythme circadien. Selon de nombreux experts de la diététique, la nutrition est l’une des armes les plus puissantes dont on dispose pour lutter contre le vieillissement. En effet, plusieurs aliments stimulent l’activité des hormones et des endorphines ou ont l’effet similaire sur l’organisme. Les femmes ménopausées pourraient opter pour des fruits et légumes. Elles peuvent réduire les aliments pauvres ou trop riches en protéines. Par ailleurs, elles pourraient éviter de fumer ou de boire l’alcool. On recommande d’avoir des habitudes saines pour un sommeil de qualité. Pour ce faire, il serait utile de penser à respecter les heures de l’horloge circadienne des personnes âgées.

Pratique d’une activité physique

L’activité physique maintient un bon métabolisme ou le réactive, ce qui aide à produire plus de calcium dans les os. Toutefois, faire des exercices pratiques permet d’améliorer l’humeur, le tonus musculaires et aide à réduire les graisses du corps.

Outre cela, les femmes peuvent pratiquer les exercices de Kegel. Ils consistent à apprendre comment contracter et relâcher les muscles comme si l’on bloquait la miction. Ces exercices permettent de renforcer le plancher pelvien et aide à traiter ou prévenir l’incontinence urinaire.

Par ailleurs, les exercices de yoga ou de méditation sont également connus pour combattre les bouffées de chaleur et la prise de poids. Faire la marche rapide ou le tai-chi pourrait aider les femmes à se sentir plus vigoureuses.

En définitive, les femmes ne peuvent pas éviter la ménopause, mais grâce à des traitements comme le THS, elles peuvent mieux vivre avec cet état. Il convient de rappeler que le THS doit être suivi afin de prendre en charge une nouvelle apparition des symptômes.

 

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