Santé

Virus TTV transfusion transmitted virus : que savoir ?

De nombreux virus ont été découverts depuis le début du 21e siècle. L’un d’entre eux est le virus TTV (Transfusion Transmitted Virus), découvert lors d’une étude sur les patients souffrant d’hépatite. Bien qu’il soit peu connu, le virus TTV ne cesse de faire plus de victimes dans le monde entier. Qu’est-ce que le virus TTV ? Quels sont ses modes de transmission ? Comment en sortir guéri ? Décryptage dans cet article.

Qu’est-ce que le virus TTV transfusion transmitted virus ?

Le virus TTV, ou transfusion transmitted virus, a été détecté chez des personnes atteintes d’une hépatite post-transfusionnelle. Des chercheurs du groupe T.Nishizawa en 1997 furent les premiers à en faire cas. Ils l’ont identifié à partir du clone original N22 retrouvé dans le sang d’un donneur. Ce dernier présentait un titre élevé d’ADN TTV et une activité accrue d’ALT.

En effet, le virus TTV tire son nom de son mode de transmission des acronymes anglais. Il s’agit d’un ADN annulaire simple, un brin génomique dont la taille est 2,6 KD et qui se multiplie dans les hépatocytes. Il est un agent causal de l’hépatite C et peut être transmis par voie fécale, orale ou par transfusion.

Quelle est la structure du virus TTV ?

Ce virus est composé de 3 800 nucléotides et figure parmi les agents pathogènes responsables de l’hépatite C. Son génome est un ADN linéaire simple. Il possède trois cadres de lectures ouvertes, tous variables. Il s’exprime sous différentes versions :

  • SEN (SENV) (SEN-A-SEN-H) ;
  • SEN-H ;
  • et SEN-D.

Les deux dernières versions (SEN-H et SEN-D) sont plus présentes dans le sang des personnes souffrant des hépatites B et C.  Le génome du virus TTV est représenté par un ADN annulaire simple avec un brin non-coq.

De polarité négative, ils ont une structure similaire à celle des virus parvovirus et 30 % de différence dans les séquences nucléotidique en sous-groupe. Ils ont aussi 11 à 15 % de différence les uns des autres dans les séquences nucléotidiques. De façon générale, ce sont les sous-groupes Gla, G1b, G2a et G2b qui les distinguent.

Comment diagnostiquer les Virus TTV ?

Avant de faire face au virus TTV, il faut préalablement se livrer à un diagnostic.

Réaliser un diagnostic par IRM (imagination par résonance magnétique)

Les patients souffrants des hépatites ont le choix entre plusieurs types d’IRM.

Faire une IRM de l’articulation temporomandibulaire et du cerveau avec contraste

L’IRM de l’articulation temporodibulaire permet d’analyser les troubles de la fonction motrice des os situés au niveau du crâne. Elle évalue très vite les caractéristiques anatomiques et les éventuelles lésions des os de l’articulation, ainsi que leur innervation. Elle évalue aussi l’état des muscles faciaux sans compromettre l’intégrité des tissus mous, ce qui permet aux personnels de santé d’établir un diagnostic précis.

La méthode d’analyse par l’IRM du cerveau avec contraste utilise un agent de contraste à plusieurs applications. Grâce à celle-ci, les patients se méfient du contraste oral et intraveineux.

Faire une IRM (du sacrum et du coccyx) et une IRM du haut du corps avec et sans contraste

L’imagerie par résonance magnétique du sacrum et du coccyx s’appuie sur les propriétés d’hydrogène une fois dans un champ magnétique. Cette méthode n’utilise donc pas les rayons lumineux. Cependant, lorsque l’effet du champ s’arrête, tout devient normal.

L’IRM du haut du corps prend en compte toute la tête et le cou. Elle permet d’étudier les structures vasculaires par résonance magnétique nucléaire, ce qui permet d’évaluer la circulation sanguine dans le cerveau. Cela permet aussi d’identifier, une infection, une lésion et les pathologies de cette partie du corps.

Faire une IRM du rachis thoracique et du cervical (avec ou sans contraste)

Les résultats d’une IRM du rachis thoracique proviennent d’une étude de haute technologie réalisée sur une personne qui souffre des hépatites C. Cette analyse présente l’un des niveaux les plus élevés de fiabilité. Or, l’IRM du cervical est le moyen le plus informatif pour réaliser une imagerie invisible et non invasive.

En effet, cette analyse se base sur l’enregistrement des réponses électromagnétique des noyaux des atomes. Ces derniers constituent normalement la structure des organes internes de l’organisme humain.

Faire une IRM du pied et du petit bassin

L’IRM permet de déterminer avec exactitude toutes les maladies et d’identifier les lésions traumatiques et les changements dégénératifs. Ce type de diagnostic permet d’identifier les anomalies congénitales des os des parties molles du pied et des articulations. Contrairement à cette précédente méthode, l’IRM du petit bassin est très utilisée dans le but d’identifier une infection. Celle-ci est informative et permet d’obtenir un résultat précis.

Faire une IRM des articulations du poignet et de la main

Les articulations du poignet présentent plusieurs caractéristiques. Malgré leur petite taille, elles sont soumises à d’importantes charges de façon constante. Or, l’imagerie par résonance magnétique des extrémités de la main donne avec précision l’état des os. Celle-ci renseigne aussi l’état des tissus mous des articulations.

Réaliser une tomographie par ordinateur

Il existe différents types de tomographie par ordinateur.

Faire une tomodensitométrie de la colonne vertébrale et des glandes mammaires

La tomodensitométrie de la colonne vertébrale est une étude moderne des couches du corps humain. Elle est basée sur le traitement informatique et la mesure d’atténuation des rayons X. Quant à la tomographie des glandes mammaires, notez qu’elle est le diagnostic le plus pratique et le plus informatif.

Faire une tomographie des dents et une irm de la prostate

La tomographie dentaire est très populaire. Bien que récente, elle a pu avoir la confiance de plusieurs personnes en peu de temps. Quant à l’IRM de la prostate, notez qu’elle est réalisée depuis 1980. Compte tenu des imperfections techniques des scanners RM, cette méthode est devenue moins précise et moins informative. Cela est aussi dû à l’insuffisance développée par les différentes méthodes d’analyse.

Faire une spectroscopie par IRM et une TEP

La première méthode (spectroscopie par résonance magnétique) est une méthode qui permet d’obtenir des informations non invasives. Ces dernières sont basées sur le métabolisme du système nerveux crânien des patients ayant des troubles neurologiques au niveau de la tête.

Encore appelé MP-spectroscopie ou spectroscopie 1 h-MR, celle-ci se réalise sur un déplacement chimique. Il s’agit d’un changement de la fréquence de résonance des protons, lesquels composent les différents composés chimiques. C’est aussi les différences entre les fréquences des pics spectraux individuels.

Or, la tomographie par émission de positrons est une analyse intravitale de l’activité fonctionnelle et métabolique des tissus du corps. Elle tient compte des phénomènes d’émissions de positrons décelés dans l’ADN des patients souffrant d’insuffisance rénale. Ces derniers sont observés dans le produit radio pharmaceutique distribué et accumulés dans les différents organes.

Faire une imagerie par résonance magnétique (IRM) fonctionnelle et les études de perfusion

L’IRM fonctionnelle tient compte de l’augmentation de la circulation sanguine dans le cerveau suite à celle de l’activité neuronale du cortex. Il se base sur l’évolution du flux sanguin après une action du stimulus correspondant. La cartographie obtenue permet d’obtenir les champs d’activation neuronale qui surviennent après le stimulus sensoriel, moteur et autre.

Cependant, l’étude de perfusion permet d’analyser et de quantifier le mouvement du sang. Les méthodes utilisées dans cette étude d’hémodynamique cérébrale sont l’IRM et la topographie au xénon. Il y a aussi la topographie (par émission de positrons et de monophotonique) et la topographie spirale avec renforcement de contrastes.

Comment traiter le virus TTV transfusion transmitted virus ?

La cause d’un virus TTV peut varier. C’est pour cette raison que plusieurs solutions se présentent pour les personnes qui en souffrent. Il s’agit surtout des  patients ayant le virus de l’hépatite C.

Faire une transfusion sanguine.

Ce mode de traitement est l’un des plus réalisés lorsqu’il s’agit de faire face à un virus TTV.

Raliser une transfusion d’albumine ou une thérapie par perfusion

Pour faire face au virus TTV en particulier le Vhc, de nombreux patients optent pour la transfusion d’albumine. Il s’agit de la protéine plasmatique la plus importante, utilisée très souvent dans la chirurgie. En effet, la transfusion d’albumine est l’alternative standard utilisée pour la thérapie transfusionnelle. Elle est souvent effectuée dans les conditions critiques causées par l’intoxication et l’hypovolémie. Or, la thérapie par perfusion permet à l’organisme de bénéficier de l’eau, des médicaments et des nutriments. Cette méthode fournit également au corps des électrolytes à travers une veine.

Réaliser un don de sang ou une masse érythrocytaire

Pour remédier à certaines causes du virus de l’hépatite C, cette solution a été considérée comme un moyen très efficace et polyvalent. En effet, celle-ci permet d’éviter les longs moments passés avant de faire une intervention lorsque le virus conduit à un état hypovolémie. Il en est de même lorsque celui-ci présente des troubles de divers métabolismes liés aux protéines étiologies et l’anémie hémorragique.

Or, la transfusion sanguine (ou de sérum) de masse érythrocytaire est un panier de globules rouges [EM]. Ce dernier est un composant sanguin composé de plasma [20 à 30 %], de globule rouge [70 à 80 %]. Il est aussi composé de plaquettes [hématocrite 65 à 80 %] et d’une impureté de leucocyte. En effet, une seule dose de masse érythrocytaire [150 à 290 ml] correspond à une dose de sang [510 ml].

Réaliser une héphérèse thérapeutique

Cette étape comprend la cytaphérèse et la plasmaphérèse. Ces dernières sont généralement tolérantes pour les donneurs sains n’ayant aucune insuffisance. Néanmoins, il est possible de rencontrer certains risques même s’ils sont peu négligeables.

 Technique de transfusion et complication post-transfusion sanguine

Avant d’effectuer une transfusion de sérum, le personnel de santé doit vérifier l’étiquetage du récipient. Ils doivent effectuer aussi des tests de compatibilité. Cela leur permettra de s’assurer que le composant est bien destiné au patient.

Une fois la transfusion de sérum effectuée, les patients peuvent se retrouver face à diverses complications. Celles-ci comprennent les réactions fébriles non hémolytiques et des frissons.

Transplanter des cellules souches

La transplantation des cellules souches se fait au niveau de plusieurs organes lorsqu’il s’agit de faire face au Vhc.

Transplanter les cellules souches hématopoïétiques de la moelle osseuse et faire une greffe de celle-ci

Cette transplantation cellulaire concerne l’ensemble des cellules de la moelle osseuse et non les dérivés des cellules souches embryonnaires. Pour le faire, les patients doivent bénéficier d’un suivi dans leur irradiation totale. Ils doivent aussi bénéficier de ce service lors de la perfusion des cellules de la moelle osseuse hématopoïétique.

Transplantation des cellules souches embryonnaires et mésenchymateuses

Cette solution qui permet de faire face au Vhc n’est pas apparue accidentellement. Elle a vu le jour suite à de nombreuses années de recherche scientifique dans le secteur de la biologie du développement. En effet, l’expression « cellule souche » a été introduite dans la médecine dans les années 1900. Il a été fait par Alexander Maksimov.

La transplantation des cellules souches mésenchymateuses occupe une grande place. En réalité,  celles-ci figurent parmi les cellules souches régionales et leurs dérivés constituent la matrice stromale des tissus du corps humain.

Transplanter les cellules souches hématopoïétiques du sac vitellin et du sans situé dans le cordon ombilical

Lors de cette transplantation, les cellules souches hématopoïétiques connaissent une différenciation et une prolifération particulières de leur développement ontogénétique. Cela est dû au processus de changement de l’ontogenèse de l’être humain. C’est aussi dû à la localisation des principaux domaines de l’hématopoïèse.

Cependant, l’implantation des cellules souches du cordon ombilical agit comme une cellule souche hématopoïétique sur le potentiel prolifératif. Il agit également de la même manière sur les capacités de repeuplement, mais il n’est pas sans complications.

Transplanter des cellules souches et opter pour une médecine plastique régénérative

Le virus TTV en particulier le virus de l’hépatite C peut atteindre les cellules souches de l’organisme. Pour l’éliminer de ces zones du corps, les patients préfèrent une implantation des cellules souches et d’un plastique régénératif.

Cette solution apparaît comme une nouvelle directive des traitements des maladies incurables par la médecine non traditionnelle et traditionnelle. Connue sous le nom de la médecine régénératrice plastique, celle-ci est basée sur l’utilisation du potentiel régénérateur des cellules souches.

Faire une physiothérapie

Pour traiter le virus TTV ou toute infection, les patients peuvent opter pour un bain d’hydrogène sulfuré encore appelé bains de sulfure. Ce dernier est composé d’eau médicinale et d’un composant curatif de base.

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