HomeSantéAcné rosacée : étiologie, sémiologie, diagnostic, prise en charge

Acné rosacée : étiologie, sémiologie, diagnostic, prise en charge

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L’acné rosa­cée est une patho­lo­gie pri­mi­ti­ve­ment vas­cu­laire dont la pré­va­lence est esti­mée à plus de 2 %. Elle est très fré­quente chez les femmes en pré­mé­no­pause et évo­lue en quatre phases. Quelle que soit la phase consi­dé­rée, l’érythème, le rhi­no­phy­ma, les papules et les pus­tules repré­sentent ses prin­ci­paux symptômes.

Le diag­nos­tic de la rosa­cée se fait en fonc­tion de la dis­tri­bu­tion des carac­té­ris­tiques et de l’aspect cli­nique. La prise en charge qui est sou­vent étio­lo­gique, varie selon les phases et la gra­vi­té du mal. Elle repose sur une médi­ca­tion topique ou orale et plus rare­ment sur une chi­rur­gie. Voi­ci l’essentiel à savoir sur l’acné rosacée.

Acné rosacée : étiologie

La rosa­cée est une affec­tion idio­pa­thique et les causes exactes de sa sur­ve­nue ne sont donc pas connues. Cepen­dant, elle est favo­ri­sée par un cer­tain nombre de fac­teurs. Il s’agit entre autres :

  • D’un contrôle vaso­mo­teur défaillant ;
  • De la réduc­tion du drai­nage vei­neux au niveau de la région faciale ;
  • De la hausse des demo­dex fol­li­cu­lo­rum (aca­riens fol­li­cu­laires) ;
  • De l’accélération de l’angiogenèse ;
  • D’un dys­fonc­tion­ne­ment des pep­tides antimicrobiens.

En dehors des fac­teurs sus­men­tion­nés, l’acné rosa­cée est éga­le­ment favo­ri­sée par une pré­dis­po­si­tion géné­tique. En effet, elle est plus récur­rente chez les per­sonnes dont la car­na­tion de la peau, des che­veux et des yeux est claire. De même, elle touche pré­fé­ren­tiel­le­ment les per­sonnes ayant un parent qui avait souf­fert d’une rosacée.

Acné rosacée : sémiologie

L’acné rosa­cée est une affec­tion chro­nique. Elle évo­lue sur de nom­breuses années et se carac­té­rise par des crises aggra­vées par la consom­ma­tion d’alcool, les épices, le soleil, les émo­tions, les cos­mé­tiques, etc. Les symp­tômes per­çus par le patient dif­fèrent selon les phases de la mala­die :

  • Phase pré­ro­sa­cée ;
  • Phase vas­cu­laire ;
  • Phase inflam­ma­toire ;
  • Phase tar­dive.

Par­fois, la symp­to­ma­to­lo­gie de l’acné rosa­cée dépend éga­le­ment des anté­cé­dents cli­niques du patient.

Phase prérosacée

La phase pré­ro­sa­cée cor­res­pond au stade des flushs. Elle se carac­té­rise prin­ci­pa­le­ment par des épi­sodes d’érythème de sur­ve­nue bru­tale qui touche le nez et les joues. Le patient décrit les symp­tômes tels que les bouf­fées de cha­leur éry­thé­ma­teuses et res­sent des pico­te­ments. Plus rare­ment, ces symp­tômes s’accompagnent d’une hyper­hé­mie conjonc­ti­vale.

En géné­ral, la phase pré­ro­sa­cée est déclen­chée dans des cir­cons­tances pré­cises dont les prin­ci­paux sti­mu­lus rap­por­tés par les patients com­prennent le stress et les épices. À ce stade, lorsqu’un trai­te­ment est admi­nis­tré l’issue de la mala­die est favo­rable. Les symp­tômes régressent rapi­de­ment et les com­pli­ca­tions sont évitées.

Phase vasculaire

La phase vas­cu­laire de l’acné rosa­cée est le stade de la cou­pe­rose. Elle est la consé­quence d’une insta­bi­li­té vaso­mo­trice sou­te­nue et se dis­tingue par la for­ma­tion d’un éry­thème per­ma­nent. Celui-ci s’accompagne de télan­giec­ta­sies et quelques fois d’œdèmes loca­li­sés au niveau du front et des joues. Il est à noter que les symp­tômes per­çus à la phase pré­ro­sa­cée per­sistent éga­le­ment au stade vasculaire.

Phase inflammatoire

La phase inflam­ma­toire est secon­daire à une inflam­ma­tion des tis­sus cuta­nés. Elle est recon­nais­sable par l’apparition de pus­tules et de papules inflam­ma­toires sur le visage. À cette étape de la mala­die, l’intégrité du fol­li­cule séba­cé est entiè­re­ment pré­ser­vée. Par consé­quent, le tableau cli­nique ne révèle ni kystes ni comé­dons. Cepen­dant, les vais­seaux san­guins de la face sont visibles.

Phase tardive

La phase tar­dive est la plus redou­tée de toutes les phases de l’acné rosa­cée. Elle est prin­ci­pa­le­ment carac­té­ri­sée par un rhi­no­phy­ma qui s’accompagne d’un rema­nie­ment fibreux et d’une hyper­pla­sie séba­cée des tis­sus conjonc­tifs. Le patient pré­sente alors un gros nez défor­mé, bos­se­lé et de cou­leur rouge. En plus, des dépôts exces­sifs de col­la­gène sont remarqués.

Acné rosacée : diagnostic différentiel

Acné rosa­cée

Bien qu’elles aient en com­mun quelques symp­tômes, l’acné rosa­cée ne doit pas être confon­due aux affec­tions cuta­nées suivantes :

  • L’acné ;
  • L’eczéma sébor­rhéique ;
  • La der­mite de contact (der­mite iatro­gène) ;
  • Le lupus ;
  • La der­mite iatrogène.

Elle se dis­tingue d’elles sur plu­sieurs points et il est impor­tant de les dif­fé­ren­cier pour une prise en charge opti­male en milieu hospitalier.

L’acné

L’acné ou « l’acné vul­gaire » est une der­ma­to­pa­tho­lo­gie qu’on ne pré­sente plus. Elle touche prin­ci­pa­le­ment les ado­les­cents et se tra­duit par une hyper­sé­bor­rhée cuta­née. Elle appa­raît suite à des varia­tions hor­mo­nales impor­tantes et à une ali­men­ta­tion trop grasse. À l’opposé de l’acné rosa­cée, elle cible toutes les régions du corps où pré­do­minent les fol­li­cules pilo-séba­cés, à savoir, le visage, le dos et la par­tie supé­rieure du thorax.

Les mani­fes­ta­tions cuta­nées de l’acné sont moins spé­ci­fiques que celles de l’acné rosa­cée. Elles com­prennent les signes tels que les papules, les pus­tules, mais aus­si les points noirs, les comé­dons et les kystes dou­lou­reux. Elles sont sans gra­vi­té pour la san­té et régressent spon­ta­né­ment même lorsqu’aucun trai­te­ment n’est pas appliqué.

L’eczéma séborrhéique

L’eczéma sébor­rhéique (ou der­mite sébor­rhéique) est une mala­die cuta­née carac­té­ri­sée par l’apparition de lésions squa­meuses et rouge sur l’épiderme. Elle affecte le cuir che­ve­lu et les par­ties grasses du corps que sont le visage, le dos, et le tho­rax. Le tableau cli­nique de l’eczéma sébor­rhéique com­prend en dehors des lésions squa­meuses les symp­tômes tels que :

  • Les déman­geai­sons ;
  • Les pico­te­ments ;
  • La séche­resse cutanée ;
  • La rou­geur ;
  • Les des­qua­ma­tions cutanées.

Ces symp­tômes sont sus­cep­tibles de s’intensifier si les lésions ne sont pas trai­tées rapi­de­ment. Contrai­re­ment à l’acné rosa­cée, l’eczéma sébor­rhéique même s’il évo­lue pen­dant long­temps ne peut pas entraî­ner un rhi­no­phy­ma. De même, il n’a presque aucun impact sur les vais­seaux san­guins et l’irrigation du visage.

La dermite de contact ou iatrogène

La der­mite de contact (ou der­mite iatro­gène) est une inflam­ma­tion du derme qui est pro­vo­quée par le contact direct de la peau avec un agent irri­tant. Il peut s’agir d’un acide, d’une sub­stance alca­line, d’un sol­vant (acé­tone), un savon, un déter­gent, d’une plante (poin­set­tias), d’un aller­gène ali­men­taire ou encore d’un liquide cor­po­rel comme l’urine.

La plu­part du temps, la der­mite de contact se mani­feste par une érup­tion cuta­née et la for­ma­tion de plaques éry­thé­ma­teuses. Cepen­dant, des symp­tômes secon­daires comme les rou­geurs, les déman­geai­sons et les pico­te­ments peuvent être observés.

La sémio­lo­gie de la der­mite de contact ne révèle pas les signes comme les télan­giec­ta­sies, les œdèmes et le rhi­no­phy­ma. Il faut aus­si noter que la mala­die n’a aucun effet sur la vas­cu­la­ri­sa­tion de la face. L’intégrité des petits vais­seaux san­guins du visage est dans ce cas préservée.

Le lupus

Le lupus est une mala­die auto-immune cau­sée par l’enchaînement de réac­tions immu­ni­taires diri­gées contre le soi dans l’organisme. Il peut tou­cher dif­fé­rents organes notam­ment, le cer­veau, les reins, la peau et la cavi­té car­diaque. Les symp­tômes au tra­vers des­quels il se mani­feste sont nom­breux et varient selon l’organe ciblé.

Quand la peau est tou­chée, la sémio­lo­gie révèle plu­sieurs simi­li­tudes entre les symp­tômes du lupus et ceux de l’acné rosa­cée. Le patient pré­sente des érup­tions éry­thé­ma­teuses et squa­meuses qui sont sou­vent indo­lores. Ces der­nières s’accompagnent d’une sen­sa­tion d’inconfort phy­sique et par­fois de tiraille­ments cuta­nés. On note ici éga­le­ment une absence de télan­giec­ta­sies, d’œdèmes et de rhinophyma.

À ce jour, les causes pré­cises du lupus ne sont pas encore entiè­re­ment élu­ci­dées. De même, aucun remède n’existe pour le gué­rir. Les trai­te­ments dis­po­nibles visent essen­tiel­le­ment à cal­mer les symp­tômes res­sen­tis par le patient et à amé­lio­rer sa qua­li­té de vie.

La dermite iatrogène

La der­mite désigne une inflam­ma­tion des tis­sus loca­li­sés au niveau du derme et de l’épiderme. Elle se carac­té­rise par la for­ma­tion d’un éry­thème auquel peuvent s’associer un pru­rit, un œdème, des cloques et une des­qua­ma­tion de la peau. Les causes pos­sibles d’une der­mite sont nom­breuses. Néan­moins, lorsqu’elle sur­vient à la suite de l’utilisation d’un médi­ca­ment ou d’un acte médi­cal, on parle de la der­mite iatro­gène.

La der­mite iatro­gène se dis­tingue prin­ci­pa­le­ment de l’acné rosa­cée par l’absence des symp­tômes tels que le rhi­no­phy­ma. De plus, il ne s’agit pas dans ce cas d’une mala­die chro­nique. Les symp­tômes sur­viennent brus­que­ment quelques minutes après la prise du médi­ca­ment ou l’acte médi­cal. Le trai­te­ment de la der­mite iatro­gène consiste d’une part en la sup­pres­sion du trai­te­ment à l’origine de la mala­die et d’autre part au sou­la­ge­ment des symptômes.

Acné rosacée : prise en charge

Acné rosa­cée

La prise en charge d’une acné rosa­cée com­mence par la sup­pres­sion des fac­teurs favo­ri­sants les pous­sées éry­thé­ma­teuses. Elle se pour­suit après par une médi­ca­tion, des méthodes phy­siques et une chi­rur­gie dans les cas graves.

Médication

Pour le trai­te­ment de l’acné rosa­cée, la médi­ca­tion est faite sur la base de divers médi­ca­ments. Les prin­ci­paux sont :

  • Les tétra­cy­clines ;
  • Le métro­ni­da­zole ;
  • Le cata­pres­san ;
  • Le roac­cu­tane.

Ils se pré­sentent sous des formes diverses et leurs prin­cipes actifs sont dif­fé­rents. Pour cela, ils sont indi­qués cha­cun dans des cir­cons­tances spé­ci­fiques. Il est alors décon­seillé de faire une auto­mé­di­ca­tion pour trai­ter l’acné rosacée.

Les tétracyclines

Les tétra­cy­clines sont des anti­bio­tiques bac­té­rio­sta­tiques appar­te­nant à la classe des cyclines. Effi­caces contre les bac­té­ries à Gram + et ceux à Gram —, elles regroupent les pro­duits phar­ma­ceu­tiques tels que la doxy­cy­cline, l’éravacycline, la mino­cy­cline, la tétra­cy­cline et l’omadacycline. Les tétra­cy­clines sont géné­ra­le­ment admi­nis­trées par voie orale et sont uti­li­sées à de faibles doses pour le trai­te­ment des pous­sées pus­tu­leuses de l’acné rosa­cée. Cette médi­ca­tion peut s’étendre sur plu­sieurs mois ou années.

Il est décon­seillé d’utiliser les tétra­cy­clines en asso­cia­tion avec des pro­duits ren­fer­mant du fer, de l’aluminium, du magné­sium ou du cal­cium. En effet, ils contiennent des anti­acides qui sont des com­po­sés sus­cep­tibles de réduire l’efficacité des tétra­cy­clines. Outre cela, cer­taines tétra­cy­clines (la tétra­cy­cline et l’omadacycline) doivent être prises hors des repas et idéa­le­ment à jeun. En effet, les ali­ments réduisent leur absorption.

Par ailleurs, l’utilisation de cette médi­ca­tion est décon­seillée aux femmes enceintes. Elle affecte les dents et la crois­sance osseuse du fœtus.

Le métronidazole

Le métro­ni­da­zole est un anti­pa­ra­si­taire et un anti­bio­tique de la famille des nitroi­mi­da­zoles. Son action repose sur l’inhibition de la pro­duc­tion des acides nucléiques et il est indi­qué pour les phases ini­tiales de l’acné rosa­cée. Au début du trai­te­ment, le métro­ni­da­zole est for­te­ment dosé (500 mg/jour) et admi­nis­tré par voie orale. Après deux semaines de trai­te­ment, la dose admi­nis­trée est revue à la baisse (125 mg/jour).

En géné­ral, au bout de deux mois de trai­te­ment, l’administration orale du métro­ni­da­zole est stop­pée. La crème de métro­ni­da­zole à 1 % est alors uti­li­sée pour la pour­suite de la prise en charge de l’acné rosa­cée. Dans ce cas, une appli­ca­tion locale est de mise au quo­ti­dien et aus­si long­temps que les symp­tômes persistent.

Le métro­ni­da­zole ne fait pas l’objet d’une contre-indi­ca­tion par­ti­cu­lière. Cepen­dant, son usage est décon­seillé aux enfants de moins de 8 ans, aux femmes allai­tantes et à celles qui sont en début de gros­sesse. De même, en rai­son de ses impacts sur le méta­bo­lisme de l’alcool, il est recom­man­dé d’éviter la consom­ma­tion des bois­sons alcoolisées.

Le catapressan

Le cata­pres­san est un anti­hy­per­ten­seur cen­tral. Il exerce une action directe sur les com­po­santes du sys­tème ner­veux et par­ti­cipe à la régu­la­ri­sa­tion de la ten­sion arté­rielle. Bien que très connu pour ses effets sur l’hypertension arté­rielle, il est très effi­cace pour le trai­te­ment de l’acné rosa­cée quand elle est diag­nos­ti­quée tôt.

La médi­ca­tion avec du cata­pres­san est géné­ra­le­ment faite par voie orale et sur une courte durée. Elle est contre-indi­quée en cas d’allergie à la clo­ni­dine chlor­hy­drate, de dépres­sion et de troubles car­diaques graves. Les effets secon­daires connus pour ce trai­te­ment sont la séche­resse buc­cale, les ver­tiges, la consti­pa­tion et la dépres­sion.

Le roaccutane

Le roac­cu­tane (ou iso­tré­ti­noïne) est un anti­bio­tique uti­li­sé à la phase tar­dive de l’acné rosa­cée. Il s’agit d’un réti­noïde retrou­vé natu­rel­le­ment dans l’organisme humain. Il per­met de trai­ter un rhi­no­phy­ma débu­tant. La médi­ca­tion à base du roac­cu­tane, lorsqu’elle est bien conduite évite au patient une inter­ven­tion chirurgicale.

Méthodes physiques

Les méthodes phy­siques uti­li­sées pour le trai­te­ment de l’acné rosa­cée sont nom­breuses. Les plus cou­rantes sont l’électrocoagulation, le laser et la cryo­thé­ra­pie. Tout comme la médi­ca­tion, elles sont très effi­caces. Néan­moins, pour que tous les symp­tômes de la mala­die dis­pa­raissent, il est impor­tant d’en faire un usage régu­lier. Cela requiert de nom­breuses res­sources finan­cières et maté­rielles. La médi­ca­tion demeure au vu de cela, le meilleur moyen de prise en charge de l’acné rosacée.

Chirurgie

La chi­rur­gie est uti­li­sée en der­nier recours pour la prise en charge de l’acné rosa­cée. Elle est néces­saire seule­ment si le rhi­no­phy­ma a évo­lué et que le nez est exces­si­ve­ment défor­mé. Elle est essen­tiel­le­ment esthé­tique et vise une restruc­tu­ra­tion de la forme du nez du patient.

Dans la majo­ri­té des cas, la chi­rur­gie pour acné rosa­cée est asso­ciée à une médi­ca­tion. Les médi­ca­ments uti­li­sés dépendent des symp­tômes pré­sen­tés par le patient. L’intervention chi­rur­gi­cale est de courte durée et est sans risque. Elle n’engage pas le pro­nos­tic vital et ne fait l’objet d’aucune contre-indi­ca­tion spé­ciale.

 

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