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Adénome de la prostate : causes, complications, diagnostic

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La com­bi­nai­son de la finas­té­ride et de la doxa­zo­sine est une stra­té­gie thé­ra­peu­tique uti­li­sée depuis 2003 pour le trai­te­ment de l’adénome de la pros­tate. Elle est très effi­cace et assure le ralen­tis­se­ment de la pro­gres­sion cli­nique de l’adé­nome dans plus de 65 % des cas contre une moyenne de 35 % lorsqu’une com­bi­nai­son n’est pas faite.

Tou­te­fois, elle n’est indi­quée que dans cer­taines cir­cons­tances et com­porte d’importants risques. Pour cela, elle ne doit pas être uti­li­sée en l’absence d’une pres­crip­tion médi­cale. Voi­ci tout ce qu’il faut savoir sur le trai­te­ment de l’adénome de la pros­tate avec une com­bi­nai­son de doxa­zo­sine et de finastéride.

Doxazosine et finastéride : présentation

La doxa­zo­sine et la finas­té­ride sont deux médi­ca­ments appar­te­nant à dif­fé­rentes classes phar­ma­ceu­tiques. Elles sont for­mu­lées de manière non iden­tique et les sub­stances actives qu’elles com­prennent ne sont pas les mêmes.

Doxazosine

La doxa­zo­sine est un anti­adr­éner­gique appar­te­nant à la famille des alpha­blo­quants. Elle est pré­sen­tée sous la forme d’un com­pri­mé pel­li­cu­lé, rond, bicon­vexe et blanc à libé­ra­tion éten­due (pro­lon­gée) dont le prin­cipe actif est la més­i­late de doxa­zo­sine. Elle est décli­née dans des doses variées (com­pri­mé de doxa­zo­sine de 2 mg, 4 mg, 16 mg) et com­prend les ingré­dients non médi­ci­naux sui­vants :

  • l’oxyde de polyéthylène ;
  • la cel­lu­lose microcristalline ;
  • la povi­done ;
  • le butyl­hy­droxy­to­luène ;
  • l’α — tocophérol ;
  • la silice col­loï­dale anhydre ;
  • le fuma­rate de stéa­ryle sodique.

Le pel­li­cu­lage des com­pri­més de doxa­zo­sine est assu­ré grâce aux silices col­loï­dales anhydres, au copo­ly­mère d’acrylate d’éthyle et d’acide métha­cry­lique, au macro­gol et au dioxyde de titane (E171).

La doxa­zo­sine ne fait l’objet d’aucune pré­cau­tion de conser­va­tion par­ti­cu­lière. Par ailleurs, elle est condi­tion­née dans des boîtes qui peuvent conte­nir jusqu’à une cen­taine de com­pri­més. En règle géné­rale, plus une boîte contient de com­pri­més, plus elle est oné­reuse.

Finastéride

La finas­té­ride est un médi­ca­ment clas­si­fié dans la caté­go­rie des autres médi­ca­ments der­ma­to­lo­giques. Elle est décli­née sous la forme d’un com­pri­mé pel­li­cu­lé rond et brun dont la sub­stance active est la finas­té­ride. À l’instar de la doxa­zo­sine, les com­pri­més de finas­té­ride sont pro­po­sés sui­vant des doses dif­fé­rentes. Ain­si, on dis­tingue le com­pri­mé de finas­té­ride de 1 mg et celui de 5 mg.

Excep­té la sub­stance active, les com­pri­més de finas­té­ride indé­pen­dam­ment des doses consi­dé­rées com­prennent les ingré­dients non médi­ci­naux ci-après :

  • le lac­tose monohydraté ;
  • l’amidon de maïs prégélatinisé ;
  • le lau­ryl­sul­fate de sodium ;
  • le car­boxy­mé­thy­la­mi­don sodique de type A ;
  • la povi­done ;
  • la cel­lu­lose microcristalline ;
  • le stéa­rate de magnésium.

Le pel­li­cu­lage des com­pri­més de finas­té­ride est réa­li­sé avec l’hypromellose 6 CP (E464), le dioxyde de titane (E171), le macro­gol 6000, le macro­gol 400, l’oxyde de fer rouge (E172) et l’oxyde de fer jaune (E172).

En ce qui concerne la conser­va­tion des com­pri­més de finas­té­ride, aucune mesure par­ti­cu­lière n’est for­mu­lée. De même, le condi­tion­ne­ment des com­pri­més est fait dans des boîtes ayant la capa­ci­té de gar­der jusqu’à 100 comprimés.

La com­bi­nai­son de doxa­zo­sine et de finas­té­ride est une ligne thé­ra­peu­tique indi­quée pour le trai­te­ment de l’adénome de la pros­tate.

Adénome de la prostate : définition

L’adénome de la pros­tate aus­si appe­lé hyper­pla­sie bénigne de la pros­tate (HBP) désigne une majo­ra­tion du volume des glandes pros­ta­tiques chez l’homme. Il concerne plus de 25 % des hommes d’âge com­pris entre 55 et 59 ans d’un côté. D’un autre côté, plus de 50 % des hommes d’âge supé­rieur à 60 ans sont sus­cep­tibles de souf­frir de ce mal. L’adénome de la pros­tate est une mala­die chro­nique et elle se déve­loppe sur plu­sieurs années. À l’inverse des idées reçues, l’adénome de la pros­tate n’a aucun rap­port avec le can­cer de la pros­tate.

Adénome de la prostate : diagnostic

Le diag­nos­tic de l’adénome de la pros­tate est fait sur la base d’un exa­men cli­nique et de quelques ana­lyses bio­chi­miques. L’examen cli­nique consiste en un tou­cher rec­tal et en une consul­ta­tion de l’abdomen et des organes géni­taux. Il per­met d’apprécier la taille de la pros­tate ain­si que sa consis­tance en vue d’identifier d’éven­tuelles ano­ma­lies.

Les ana­lyses bio­chi­miques de labo­ra­toire qui per­mettent de poser le diag­nos­tic d’un adé­nome de la pros­tate sont nom­breuses. Il s’agit de :

  • L’examen cyto­bac­té­rio­lo­gique des urines (ECBU). Il per­met de mettre en évi­dence la pré­sence d’une infec­tion uri­naire et de voir si les urines du patient contiennent des leu­co­cytes ou du sang ;
  • L’analyse de l’antigène spé­ci­fique de la pros­tate (PSA) dont les taux sont majo­rés en pré­sence d’un adé­nome de la prostate ;
  • L’analyse de la créa­ti­nine. Elle per­met d’apprécier la fonc­tion rénale et l’impact de l’adénome de la pros­tate sur elle.

Plus rare­ment, un débit­mètre est réa­li­sé pour effec­tuer la mesure pré­cise de la force du jet uri­naire du malade.

Adénome de la prostate : causes et facteurs 

L’hyperplasie bénigne de la pros­tate est secon­daire à une mul­ti­pli­ca­tion anar­chique des cel­lules de la pros­tate. Cepen­dant, à ce jour le méca­nisme à l’origine de cet état de choses reste encore incom­pris. D’innom­brables théo­ries sont déve­lop­pées pour l’expliquer. Les plus per­ti­nentes com­prennent un dérè­gle­ment hor­mo­nal et une rup­ture de l’équilibre entre les méca­nismes de des­truc­tion et de matu­ra­tion des cel­lules de la prostate.

L’âge est le prin­ci­pal fac­teur de risque de l’adénome de la pros­tate. Cepen­dant, en dehors de lui, d’autres fac­teurs favo­ri­sants tels que le syn­drome méta­bo­lique et les anté­cé­dents fami­liaux ont été iden­ti­fiés. Ain­si, les per­sonnes souf­frant d’un syn­drome méta­bo­lique ou celles ayant un parent qui a souf­fert d’un adé­nome de la pros­tate sont plus sus­cep­tibles de faire la mala­die que les autres.

Adénome de la prostate : symptômes

À la phase non asymp­to­ma­tique, l’adénome de la pros­tate se mani­feste prin­ci­pa­le­ment par des symp­tômes uri­naires. Notam­ment :

  • une pol­la­kiu­rie (envie fré­quente d’uriner) ;
  • un faible jet urinaire ;
  • une incon­ti­nence urinaire ;
  • des fuites uri­naires fré­quentes après la miction ;
  • les mic­tions noc­turnes excessives.

Ces symp­tômes uri­naires peuvent s’accompagner d’un dys­fonc­tion­ne­ment sexuel ou encore d’une baisse de la libido.

Adénome de la prostate : complications

Adé­nome de la prostate

La prin­ci­pale com­pli­ca­tion que peut entraî­ner un adé­nome de la pros­tate est la sur­ve­nue d’une réten­tion aiguë d’urine. Elle se tra­duit par une impos­si­bi­li­té totale d’uriner. Il s’agit d’une urgence médi­cale et le patient doit être conduit à l’hôpi­tal le plus rapi­de­ment pos­sible. En plus de la réten­tion aiguë d’urine, l’adénome de la pros­tate peut pro­vo­quer des infec­tions uri­naires, des pros­ta­tites, des cal­culs vési­cu­laires et une dégra­da­tion de l’activité des reins.

Doxazosine + finastéride : effets sur l’adénome de la prostate

Les effets de la com­bi­nai­son de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride sur l’adé­nome de la pros­tate sont nom­breux. Les plus impor­tants com­prennent une dimi­nu­tion pro­gres­sive du volume de la pros­tate et de l’inci­dence des com­pli­ca­tions. Excep­té eux, la com­bi­nai­son de la doxa­zo­sine et la finas­té­ride a un impact posi­tif sur la qua­li­té de vie du malade. En effet, les symp­tômes de l’adénome de la pros­tate tels que la pol­la­kiu­rie et les dys­fonc­tion­ne­ments sexuels ont d’importantes réper­cus­sions sur le quo­ti­dien du malade. Il peine à s’épanouir sur le plan sexuel et dans la socié­té quand un trai­te­ment ne lui est pas admi­nis­tré pour trai­ter ces symptômes.

Plu­sieurs études scien­ti­fiques ont consta­té une amé­lio­ra­tion de la libi­do et une cor­rec­tion de la pol­la­kiu­rie au bout de quelques semaines de trai­te­ment avec la doxa­zo­sine et la finas­té­ride. Alors, il est tout à l’actif du patient de prendre une telle com­bi­nai­son pour se soulager.

Doxazosine + finastéride : contre-indications

Les contre-indi­ca­tions à la com­bi­nai­son de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride regroupent les contre-indi­ca­tions de la doxa­zo­sine et de la finastéride.

Contre-indications de la doxazosine

L’uti­li­sa­tion de la doxa­zo­sine seule ou en asso­cia­tion avec un médi­ca­ment tel que la finas­té­ride est pros­crite aux patients qui présentent :

  • Une aller­gie à la doxa­zo­sine ou à un quel­conque autre ingré­dient non médi­ci­nal uti­li­sé pour la for­mu­la­tion du médi­ca­ment (povi­done, butyl­hy­droxy­to­luène, α — toco­phé­rol…) ;
  • Des anté­cé­dents d’hypotension ortho­sta­tique. Il s’agit d’une forme de baisse de pres­sion arté­rielle capable d’entraîner de fortes sen­sa­tions d’étourdissements ou de ver­tiges quand le patient passe de la posi­tion assise aux posi­tions debout ou couchée.
  • Des voies uri­naires supé­rieures obs­truées, une infec­tion chro­nique de l’appareil uri­naire ou des cal­culs à l’intérieur de la vessie.
  • Des anté­cé­dents de blo­cage œso­pha­gien (canal reliant l’estomac à la bouche) ou de rétré­cis­se­ment du tube digestif.
  • Des anté­cé­dents d’hypotension sévère.

Quelques fois, la prise de la doxa­zo­sine est éga­le­ment contre-indi­quée aux patients pré­sen­tant une incon­ti­nence uri­naire par regor­ge­ment. C’est-à-dire une incon­ti­nence liée soit à une anu­rie ou soit à l’absence ou l’impos­si­bi­li­té de contrô­ler le besoin d’uriner. Ce type d’incontinence peut s’accompagner ou non de troubles rénaux.

Contre-indications de la finastéride

La prise de la finas­té­ride seule ou com­bi­née à un médi­ca­ment comme la doxa­zo­sine est inter­dite à ceux qui pré­sentent une aller­gie à la sub­stance active ou un autre ingré­dient non médi­ci­nal entrant dans la com­po­si­tion du médi­ca­ment. Il s’agit entre autres de povi­done, de cel­lu­lose micro­cris­tal­line, de stéa­rate de magnésium.

Doxazosine + finastéride : précautions et avertissements

Quelques pré­cau­tions et aver­tis­se­ments sont for­mu­lés par rap­port à l’uti­li­sa­tion com­bi­née de la doxa­zo­sine et de finas­té­ride. Voi­ci les plus importantes.

Enfant et adolescent âgé de moins de 18 ans

L’effi­ca­ci­té et la sécu­ri­té de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride n’ont pas encore été éta­blies chez l’enfant ou l’adolescent d’âge infé­rieur à 18 ans. Ain­si, pour la prise en charge de l’adénome de la pros­tate dans cette tranche d’âge, un autre pro­to­cole est éla­bo­ré. L’association de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride qui est décon­seillée n’est uti­li­sée qu’en der­nier recours.

Fertilité et grossesse

Les com­pri­més à libé­ra­tion pro­lon­gée de doxa­zo­sine et de finas­té­ride sont asso­ciés uni­que­ment dans le cas d’une hyper­pla­sie bénigne des cel­lules pros­ta­tiques chez l’homme. Ils ne doivent en aucun cas (gros­sesse com­prise) être uti­li­sés par les femmes.

Aucune don­née sug­gé­rant que la com­bi­nai­son de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride peut avoir des réper­cus­sions sur la fer­ti­li­té n’existe à ce jour. Cepen­dant, si le patient envi­sage d’avoir un enfant, il lui est recom­man­dé de deman­der conseil à un pro­fes­sion­nel de la san­té avant d’entamer le traitement.

Dépression et changements d’humeur

Chez cer­tains patients mis sous doxa­zo­sine et finas­té­ride, des chan­ge­ments brusques de l’humeur ain­si qu’une dépres­sion et le déve­lop­pe­ment de pen­sées sui­ci­daires avaient été rap­por­tés. Au vu de cela, l’association de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride est décon­seillée aux patients qui pré­sentent des anté­cé­dents de dépres­sion et de troubles de l’humeur. Une atten­tion par­ti­cu­lière doit leur être por­tée dans les cas où ils pren­draient le traitement.

Utilisation de machines et conduite d’automobiles

Il n’existe à ce jour aucune étude ayant mis en évi­dence les rap­ports entre l’utilisation de la finas­té­ride et de la doxa­zo­sine ain­si que la capa­ci­té de conduire une machine ou un véhi­cule. Néan­moins, on recom­mande aux patients de se repo­ser quelques minutes après la prise du trai­te­ment avant de conduire des équi­pe­ments tels qu’une voi­ture ou une machine.

Doxazosine + finastéride : effets secondaires

Doxa­zo­sine + finastéride

À l’instar de la qua­si-tota­li­té des trai­te­ments médi­ca­men­teux, la médi­ca­tion à base de doxa­zo­sine et de finas­té­ride pré­sente de nom­breux effets secon­daires. Ces der­niers sont répar­tis en fonc­tion de la fré­quence de leur sur­ve­nue en trois groupes. Ain­si, on dis­tingue les effets secon­daires cou­rants, les effets secon­daires peu cou­rants et les effets secon­daires rares. Il est à noter que les effets secon­daires liés à l’utilisation com­bi­née de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride ne sur­viennent pas sys­té­ma­ti­que­ment chez tous les patients traités.

Effets secondaires courants de la doxazosine + finastéride

Les effets secon­daires cou­rants de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride sont :

  • Les étour­dis­se­ments ;
  • Le mal de tête ;
  • Les ver­tiges avec une forte somnolence ;
  • Les pal­pi­ta­tions car­diaques (bat­te­ments car­diaques très rapides) ;
  • L’hypotension (faible ten­sion arté­rielle) ;
  • La dys­pnée (dif­fi­cul­tés à res­pi­rer) ;
  • La bron­chite.

Très fré­quem­ment, en dehors des effets secon­daires lis­tés, on observe éga­le­ment les effets comme la toux, la rhi­nite, le mal de ventre, la dys­pep­sie (indi­ges­tion), les déman­geai­sons et les dou­leurs lom­baires.

Effets secondaires peu courants de la doxazosine + finastéride

Les effets secon­daires peu cou­rants de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride com­prennent :

  • Une réac­tion aller­gique grave, sus­cep­tible de pro­vo­quer les signes tels qu’une érup­tion cuta­née, un œdème au visage, un sif­fle­ment ou un essoufflement.
  • Un endo­lo­ris­se­ment ou une fai­blesse sou­daine dans les bras et les jambes.
  • Une sen­sa­tion oppres­sante de lour­deur dans la poi­trine avec appa­ri­tion des symp­tômes d’un angor.
  • Une dou­leur tho­ra­cique sus­cep­tible de s’étendre à des régions comme le bras et le cou.
  • Une baisse rapide de la libido.
  • Les troubles de la fonc­tion reproductive.
  • La dépres­sion.

Plus rare­ment, dans cette caté­go­rie d’effets secon­daires on observe aus­si l’apparition d’un pro­blème d’éjaculation qui est sou­vent asso­cié à la dimi­nu­tion du volume de sperme produit.

Effets secondaires rares de la doxazosine + finastéride

Les effets secon­daires rares de la doxa­zo­sine et de la finas­té­ride regroupent :

  • Les crampes à l’estomac ;
  • Le jau­nis­se­ment des muqueuses et de la peau ;
  • Les infec­tions thoraciques ;
  • L’érection pro­lon­gée et dou­lou­reuse du pénis ;
  • L’urticaire ;
  • Les dif­fi­cul­tés à ava­ler et à respirer.

Ces effets secon­daires consti­tuent des urgences médi­cales. Ils doivent faire l’objet d’une consul­ta­tion médi­cale immé­diate.

 

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