HomeBien-êtreNéphropathie diabétique : signes, stadification, étiologie, traitement

Néphropathie diabétique : signes, stadification, étiologie, traitement

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Le nombre de per­sonnes atteintes de dia­bète ne cesse de croitre non seule­ment en France, mais aus­si dans le monde entier. Cette aug­men­ta­tion est direc­te­ment liée à l’incidence crois­sante de la néphro­pa­thie dia­bé­tique. Les lésions rénales dans le dia­bète sucré sont l’une des pires com­pli­ca­tions de cette mala­die et entraînent un taux de mor­ta­li­té éle­vé. Bien qu’il existe des trai­te­ments pour la néphro­pa­thie dia­bé­tique, il est impor­tant de com­prendre ses causes, ses mani­fes­ta­tions et ses exa­mens diag­nos­tiques. Sur­tout, il est utile de savoir com­ment évi­ter cette pathologie.

Néphropathie diabétique : présentation

La néphro­pa­thie dia­bé­tique est une com­pli­ca­tion grave qui se déve­loppe chez les per­sonnes atteintes de dia­bète de type 1 et de type 2. Elle affecte les reins et c’est pour cette rai­son qu’elle est éga­le­ment appe­lée mala­die rénale dia­bé­tique. Jusqu’à 40 % des per­sonnes atteintes de dia­bète souffrent d’une mala­die rénale.

Par ailleurs, la néphro­pa­thie dia­bé­tique affecte la capa­ci­té des reins à éli­mi­ner les déchets méta­bo­liques et l’excès de liquide de l’organisme. En réa­li­té, au fil du temps, elle endom­mage len­te­ment le sys­tème de fil­tra­tion des reins. Il est donc très impor­tant de la détec­ter le plus tôt pos­sible. Cela per­met de ralen­tir la pro­gres­sion de la mala­die et de réduire le risque de com­pli­ca­tions. L’une d’entre elles est l’insuffisance rénale ter­mi­nale, qui repré­sente une menace sérieuse pour la vie du patient.

Néphropathie diabétique : symptômes

À ses pre­miers stades, la néphro­pa­thie dia­bé­tique peut ne pas être pré­sente. Au fur et à mesure de son évo­lu­tion, les symp­tômes sui­vants peuvent deve­nir gênants :

  • Ten­sion arté­rielle non contrôlée ;
  • Aug­men­ta­tion des pro­téines (albu­mine) dans les urines ;
  • Gon­fle­ment des pieds, des che­villes, des mains ou des yeux ;
  • Aug­men­ta­tion de l’envie d’uriner ;
  • Urine plus fon­cée en rai­son de la pré­sence de sang dans les urines ;
  • Confu­sion ou dif­fi­cul­té à se concentrer ;
  • Déman­geai­sons constantes.

En outre, les vic­times peuvent éga­le­ment pré­sen­ter avoir un essouf­fle­ment, une perte d’appétit, des nau­sées et des vomis­se­ments. Dans cer­tains cas, elles peuvent avoir une urine mous­seuse ou la pré­sence d’albumine/protéine dans l’urine (obser­vée à un stade pré­coce). Les signes d’une néphro­pa­thie peuvent éga­le­ment être l’observation de taux de créa­ti­nine et d’urée éle­vés lors d’une ana­lyse de sang. Pour finir, cette mala­die peut pro­vo­quer une prise de poids rapide inex­pli­quée, une dimi­nu­tion du débit uri­naire ou la fatigue.

Néphropathie diabétique : stades de développement

Selon la clas­si­fi­ca­tion moderne, on dis­tingue dif­fé­rents stades de déve­lop­pe­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique à savoir :

  • Microal­bu­mi­nu­rie (MAU) ;
  • Pro­téi­nu­rie (PU) avec fonc­tion d’excrétion de l’azote pré­ser­vée des reins ;
  • Insuf­fi­sance rénale chro­nique (IRC).

Microalbuminurie (MAU)

Le stade MAU (stade de néphro­pa­thie nais­sante) est une phase dans laquelle le niveau d’élimination d’albumine dans l’urine se situe entre 30 et 300 mg par jour. Dans le même temps, le débit de fil­tra­tion glo­mé­ru­laire (DFG) reste dans les limites normales.

Aus­si, la fonc­tion d’élimination de l’azote par les reins est nor­male. Le taux de la pres­sion arté­rielle (PA) est géné­ra­le­ment nor­mal dans le dia­bète de type 1. Avec un trai­te­ment rapide, ce stade de l’atteinte rénale peut être réversible.

Protéinurie (PU)

Le stade PU (stade de néphro­pa­thie mani­feste) est le stade au cours duquel le taux d’élimination d’albumine dans l’urine dépasse 300 mg par jour. Dans cette phase, une baisse régu­lière du DFG com­mence et une hyper­ten­sion per­sis­tante (PH) se déve­loppe. Le trai­te­ment actif de ce stade peut ralen­tir la pro­gres­sion du DFG et retar­der l’apparition de l’IRC.

Insuffisance rénale chronique

Le stade de l’IRC est le cas où il y a une dimi­nu­tion du DFG en des­sous de 60 ml/min. Cela aug­mente le taux de créa­ti­nine et d’urée dans le sérum san­guin. De même, la gra­vi­té de l’hypertension accroit. Une dimi­nu­tion du DFG en des­sous de 15 ml/min entraîne alors l’apparition d’une insuf­fi­sance rénale chro­nique terminale.

Néphropathie diabétique : causes et complications

Néphro­pa­thie diabétique

À l’intérieur des reins se trouvent des mil­lions de petits fais­ceaux de vais­seaux san­guins appe­lés glo­mé­rules. Ce sont ces der­niers qui filtrent et puri­fient le sang des déchets méta­bo­liques. Les lésions graves de ces vais­seaux san­guins entraînent une néphro­pa­thie dia­bé­tique. Cela conduit fina­le­ment à une réduc­tion de la fonc­tion rénale et à une insuf­fi­sance rénale.

Cette mala­die est étroi­te­ment liée au dia­bète. En effet, c’est le dia­bète qui endom­mage les vais­seaux san­guins et les cel­lules rénales. Pour­quoi cela se pro­duit-il ? Au fil du temps, un taux de gly­cé­mie éle­vé entraîne une hyper­ten­sion arté­rielle. À son tour, l’hypertension arté­rielle endom­mage les reins, car la pres­sion s’accumule dans le déli­cat sys­tème de filtration.

Complications

Les com­pli­ca­tions de la néphro­pa­thie dia­bé­tique se déve­loppent sur des mois, voire des années. Elles comprennent :

  • Un œdème pulmonaire ;
  • Une aug­men­ta­tion sou­daine du taux de potas­sium dans le sang (hyper­ka­lié­mie), qui peut à son tour entraî­ner une crise cardiaque ;
  • Des mala­dies car­dio­vas­cu­laires, qui peuvent conduire à un acci­dent vas­cu­laire cérébral ;
  • Une lésion des vais­seaux san­guins de la rétine (réti­no­pa­thie diabétique) ;
  • Une ané­mie ;
  • Une for­ma­tion d’ulcères du pied ;
  • Un dys­fonc­tion­ne­ment érec­tile ;
  • Des com­pli­ca­tions de la gros­sesse qui mettent en dan­ger la san­té de la mère et de l’enfant ;
  • Des dom­mages irré­ver­sibles aux reins qui néces­sitent une dia­lyse ou une trans­plan­ta­tion rénale ;

On peut aus­si noter d’autres pro­blèmes liés à des dom­mages aux reins et liés aux lésions des cel­lules ner­veuses ain­si que des vais­seaux sanguins.

Théories de la cause de la néphropathie diabétique

Il existe plu­sieurs théo­ries expli­quant la cause de la néphro­pa­thie dia­bé­tique : méta­bo­lique, hémo­dy­na­mique, géné­tique. Mal­gré leurs dif­fé­rences, la plu­part des experts s’accordent sur un point. En effet, le prin­ci­pal fac­teur déclen­cheur du déve­lop­pe­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique est l’hyperglycémie. La néphro­pa­thie dia­bé­tique est donc la consé­quence d’une sous-com­pen­sa­tion des troubles du méta­bo­lisme glu­ci­dique sur une longue période.

Théorie métabolique

Selon la théo­rie méta­bo­lique de la néphro­pa­thie dia­bé­tique, une hyper­gly­cé­mie per­sis­tante peut entraî­ner une per­tur­ba­tion de tous les pro­ces­sus bio­chi­miques dans les reins. Par ailleurs, elle peut cau­ser une dimi­nu­tion de leur acti­vi­té fonc­tion­nelle. La vio­la­tion de la fonc­tion « bar­rière » des reins entraîne l’apparition de pro­téines dans l’urine, la protéinurie.

Si les reins cessent de net­toyer cor­rec­te­ment le sang, les déchets et l’eau com­mencent à s’accumuler dans l’organisme. Dans le sang du patient, l’urée et la créa­ti­nine aug­mentent, indi­quant le déve­lop­pe­ment d’une insuf­fi­sance rénale.

Théorie hémodynamique

La théo­rie hémo­dy­na­mique explique le déve­lop­pe­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique par l’hypertension, une per­tur­ba­tion du flux san­guin rénal. En effet, une hyper­ten­sion pro­lon­gée peut entraî­ner des modi­fi­ca­tions de la struc­ture des glo­mé­rules rénaux. Au début, on observe une hyper­fil­tra­tion avec une aug­men­ta­tion du taux de libé­ra­tion des pro­téines et de la for­ma­tion d’urine primaire.

Par la suite, le tis­su des glo­mé­rules rénaux est rem­pla­cé par du tis­su conjonc­tif (glo­mé­ru­lo­sclé­rose). Cela entraîne une occlu­sion com­plète des glo­mé­rules rénaux, une dimi­nu­tion de leur capa­ci­té de fil­tra­tion et le déve­lop­pe­ment d’une insuf­fi­sance rénale chronique.

Théorie génétique

La théo­rie géné­tique du déve­lop­pe­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique sug­gère que le patient pré­sente des fac­teurs qui se mani­festent par des troubles hémo­dy­na­miques. À cela s’ajoutent des patho­lo­gies méta­bo­liques. En géné­ral, les trois méca­nismes de déve­lop­pe­ment, étroi­te­ment liés les uns aux autres, sont impli­qués dans la patho­ge­nèse de cette maladie.

Les fac­teurs de risque qui contri­buent au déve­lop­pe­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique peuvent inclure l’hyperglycémie non contrô­lée à long terme, l’hypertension ou le sur­poids. De même, les infec­tions des voies uri­naires, le taba­gisme et le sexe mas­cu­lin sont sus­cep­tibles d’augmenter le risque de déve­lop­per cette pathologie.

Néphropathie diabétique : diagnostic

Pour déter­mi­ner si une per­sonne souffre d’une néphro­pa­thie dia­bé­tique, plu­sieurs pro­cé­dures de diag­nos­tic sont prescrites.

Des tests sanguins

Les ana­lyses de sang sont recom­man­dées pour sur­veiller le dia­bète et déter­mi­ner dans quelle mesure les reins rem­plissent leurs fonc­tions. Le méde­cin trai­tant peut deman­der plu­sieurs tests san­guins en fonc­tion de l’état de la maladie.

Des analyses d’urine

Ce test per­met de déter­mi­ner la san­té des reins et montre s’il y a une grande quan­ti­té de pro­téines dans l’urine. Une concen­tra­tion éle­vée d’une pro­téine appe­lée microal­bu­mine indique des pro­blèmes rénaux.

Une radiographie ou échographie

Le diag­nos­tic de la néphro­pa­thie dia­bé­tique par radio­gra­phie ou écho­gra­phie per­met d’évaluer la struc­ture et la taille des reins. Cer­tains patients se voient pres­crire un scan­ner ou une IRM. Ces pro­cé­dures per­mettent d’évaluer si la cir­cu­la­tion san­guine dans les reins est altérée.

Une biopsie

Durant cette pro­cé­dure, le patient reçoit une anes­thé­sie locale. Ensuite, à l’aide d’une fine aiguille, le méde­cin pra­tique une ponc­tion dans le dos. Il « pré­lève » un petit mor­ceau de tis­su rénal. Il envoie alors l’échantillon de tis­su dans un labo­ra­toire dans lequel il est exa­mi­né au microscope.

Néphropathie diabétique : traitement

Néphro­pa­thie diabétique

La pre­mière et la plus impor­tante chose à faire est de trai­ter le dia­bète sucré et si elle est pré­sente, l’hypertension. En contrô­lant la gly­cé­mie et la pres­sion arté­rielle, on peut pré­ve­nir ou retar­der le dys­fonc­tion­ne­ment des reins et d’autres com­pli­ca­tions. Aux pre­miers stades, le trai­te­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique vise à contrô­ler la gly­cé­mie, la pres­sion arté­rielle, le cho­les­té­rol et d’autres fac­teurs. Les méde­cins pres­crivent plu­sieurs médicaments.

Inhibiteurs de l’enzyme

Les spé­cia­listes peuvent recom­man­der des Inhi­bi­teurs de l’enzyme de conver­sion de l’angiotensine (IEC) et des anta­go­nistes des récep­teurs de l’angiotensine II (ARA). Ils servent à contrô­ler la pres­sion arté­rielle. En rai­son du risque éle­vé d’effets secon­daires, l’utilisation simul­ta­née de ces médi­ca­ments n’est pas recom­man­dée. Les indi­ca­teurs de pres­sion arté­rielle maxi­male auto­ri­sée ne doivent pas dépas­ser 140/90 mmHg.

Médicaments pour contrôler la glycémie

Plu­sieurs médi­ca­ments sont uti­li­sés pour contrô­ler la gly­cé­mie. L’objectif du trai­te­ment est de réduire le taux d’hémoglobine gly­co­sy­lée à 7 % ou moins. Dans le trai­te­ment de la néphro­pa­thie dia­bé­tique, les sta­tines sont pres­crites pour contrô­ler le taux de cho­les­té­rol. En outre, ces médi­ca­ments contri­buent à réduire la concen­tra­tion de pro­téines dans l’urine.

Médicaments pour contrôler les nutriments

Le méde­cin peut pres­crire des médi­ca­ments qui main­tiennent l’équilibre néces­saire du phos­phate de cal­cium dans les os. De plus, il peut deman­der de prendre ceux qui per­mettent de contrô­ler la concen­tra­tion de pro­téines dans l’urine. Ces médi­ca­ments contri­buent sou­vent à réduire le taux d’albumine dans ce liquide et à amé­lio­rer la fonc­tion rénale.

Régime spécial

À par­tir du stade de la microal­bu­mi­nu­rie, un régime spé­cial pauvre en pro­téines et sans sel est recom­man­dé. Pour réduire le risque de déve­lop­per une mala­die car­dio­vas­cu­laire en cas de néphro­pa­thie dia­bé­tique, il faut cor­ri­ger la dys­li­pi­dé­mie. En effet, il faut suivre un régime pauvre en graisses et prendre des médi­ca­ments pour nor­ma­li­ser le spectre des lipides sanguins.

Traitement dans des cas avancés

Si l’état du patient s’aggrave et qu’il est confron­té à une insuf­fi­sance rénale, il n’y a que deux options dans ce cas. La pre­mière est la dia­lyse. Elle contri­bue à éli­mi­ner les déchets méta­bo­liques et l’excès de liquide dans le sang. Il existe de ce part deux types de dia­lyse : l’hémodialyse et la dia­lyse péri­to­néale. La pre­mière pro­cé­dure est plus cou­rante et néces­site une connexion régu­lière à la machine, qui agit comme un rein arti­fi­ciel.

Les pro­cé­dures d’hémodialyse sont effec­tuées 3 fois par semaine (en ambu­la­toire) et durent 3 à 5 heures. Les four­nis­seurs de soins effec­tuent la dia­lyse péri­to­néale à domi­cile, mais cela néces­site l’insertion d’un tube spé­cial dans la cavi­té abdo­mi­nale.

Dans le second cas, le patient peut avoir besoin d’une trans­plan­ta­tion rénale. Pour cer­tains patients, la trans­plan­ta­tion rénale est l’option thé­ra­peu­tique la plus effi­cace. Il est impor­tant de noter que si la dia­lyse ou la trans­plan­ta­tion rénale est refu­sée, l’espérance de vie est de quelques mois.

Néphropathie diabétique : recommandations

Lors du diag­nos­tic de la néphro­pa­thie dia­bé­tique et pen­dant la pres­crip­tion d’un trai­te­ment com­plé­men­taire, il est impor­tant de la dif­fé­ren­cier des autres mala­dies. Il s’agit de glo­mé­ru­lo­né­phrite aiguë et chro­nique, tuber­cu­lose, pyé­lo­né­phrite chro­nique.

À cette fin, un uro­gramme excré­toire, un exa­men bac­té­rio­lo­gique de l’urine pour la micro­flore et une écho­gra­phie des reins sont réa­li­sés. Si le patient pré­sente une pro­téi­nu­rie qui aug­mente rapi­de­ment, une héma­tu­rie per­sis­tante ou l’apparition sou­daine d’un syn­drome néphro­tique, on peut effec­tuer une biop­sie rénale. Cela per­met d’avoir des pré­ci­sions sur le diag­nos­tic.

Néphropathie diabétique : prévention

Pour réduire le risque de déve­lop­per cette mala­die, il est néces­saire de suivre les conseils suivants :

  • Trai­ter le dia­bète et contrô­ler stric­te­ment le taux de glycémie.
  • Contrô­ler la pres­sion sanguine.
  • Suivre les pres­crip­tions du méde­cin traitant.
  • Évi­ter de prendre des déci­sions sans l’avis d’un spécialiste.
  • Uti­li­ser soi­gneu­se­ment les analgésiques ;
  • Consul­ter son méde­cin avant de prendre des médi­ca­ments tels que l’aspirine, ibu­pro­fène et paracétamol. 
  • Essayer de faire régu­liè­re­ment de l’exercice sur­tout si l’on est en sur­poids. Cela aide­ra à main­te­nir le poids et le taux de gly­cé­mie en aug­men­tant l’absorption mus­cu­laire. Les per­sonnes en sur­poids doivent non seule­ment aug­men­ter leur acti­vi­té phy­sique, mais aus­si contac­ter un nutritionniste.
  • Arrê­ter de fumer, car cela peut endom­ma­ger les reins ou aggra­ver leurs états.
  • Contrô­ler ses reins au moins une fois par an au moyen d’un test uri­naire pour l’albumine et d’un test san­guin pour la créatinine.
  • Si des per­sonnes ont déjà souf­fert de dia­bète dans votre famille, il est conseillé de consul­ter un méde­cin. On recom­mande aus­si d’adopter de bonnes habi­tudes ali­men­taires et d’avoir un mode de vie sain.
  • Limi­ter sa consom­ma­tion de sucre et de sel.
  • Suivre un régime pauvre en pro­téines, en cho­les­té­rol et en graisses.

Par ailleurs, on recom­mande de prendre des fruits et d’avoir un régime ali­men­taire sain. Pour finir, il est très impor­tant que tous les dia­bé­tiques sur­veillent leur taux de gly­cé­mie et suivent atten­ti­ve­ment les recom­man­da­tions de l’endocrinologue. La san­té est un bien fra­gile dont cha­cun doit prendre soin.

 

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