HomeParapharmacieLes produits aphrodisiaques : composition, effet, efficacité

Les produits aphrodisiaques : composition, effet, efficacité

Publié le

spot_img

L’amélioration des per­for­mances sexuelles est une pré­oc­cu­pa­tion majeure des hommes et des femmes depuis des temps immé­mo­riaux. Dans l’Antiquité, on croyait que les ali­ments aphro­di­siaques étaient ceux qui res­sem­blaient aux organes géni­taux (mas­cu­lins ou fémi­nins). Par exemple, le gin­seng est uti­li­sé depuis des mil­liers d’années pour amé­lio­rer les érec­tions. De curieux aphro­di­siaques ont été uti­li­sés au cours de l’histoire. Il s’agit de tes­ti­cules ou de pénis d’animaux, ain­si que de sang de cerf et même de sperme de jeunes hommes « virils ». La grande ques­tion est tou­jours : les aphro­di­siaques sont-ils vrai­ment efficaces ?

Produits aphrodisiaques : description

En géné­ral, on consi­dère que les aphro­di­siaques sont tout ce qui, en sti­mu­lant les sens, aug­mente le désir ou la per­for­mance sexuelle. Ils doivent créer le désir sexuel, et non amé­lio­rer les per­for­mances et les capa­ci­tés. À cet effet, il existe déjà les fameuses pilules bleues que les experts ne consi­dèrent pas comme des aphrodisiaques.

Selon l’encyclopédie

L’Encyclopædia Bri­tan­ni­ca défi­nit le terme « aphro­di­siaque » comme l’une des nom­breuses formes de sti­mu­la­tions cen­sées créer une exci­ta­tion sexuelle. On peut les clas­ser en deux groupes principaux :

  • Psy­cho­phy­sio­lo­giques (visuels, tac­tiles, olfac­tifs, audi­tifs) et
  • Internes (pro­ve­nant de la nour­ri­ture, des bois­sons alcoo­li­sées, des drogues, des philtres d’amour, des pré­pa­ra­tions médicales).

D’autre part, il y a l’érotisme bien connu du pou­voir. Le diplo­mate et homme d’État Hen­ry Kis­sin­ger a affir­mé que le pou­voir est l’aphrodisiaque par excellence.

De grands auteurs ont écrit à ce sujet. Ce n’est pas donc pour rien que la nour­ri­ture et le sexe sont les moteurs de l’humanité depuis le début du monde. Le folk­lore popu­laire énu­mère des cen­taines d’aphrodisiaques qui n’ont d’ailleurs que peu de fon­de­ments scien­ti­fiques. La plu­part des études se sont concen­trées sur les médi­ca­ments ou les hor­mones pour amé­lio­rer la dys­fonc­tion érec­tile masculine.

Par consé­quent, tout ali­ment qui peut sti­mu­ler le désir sexuel d’une per­sonne peut être consi­dé­ré comme un aphrodisiaque. 

Origine du terme

Le terme dérive du nom d’Aphrodite, la déesse grecque de la fer­ti­li­té, de la beau­té et de l’amour. Depuis l’Antiquité, ces ali­ments sont uti­li­sés, soit pour leur forme, leur arôme, leur goût et leurs nutri­ments, pour aug­men­ter l’appétit sexuel. Ils sont éga­le­ment uti­li­sés pour rendre les rap­ports sexuels plus agréables.

Produits aphrodisiaques : compositions

Cer­tains ali­ments contiennent de la séro­to­nine, un neu­ro­trans­met­teur res­pon­sable de la régu­la­tion de l’humeur et, sur­tout, de l’excitation. C’est ce que l’on peut dire des dif­fé­rents ali­ments et des sub­stances qu’ils contiennent.

Cepen­dant, tout est per­mis dans lorsqu’il s’agit de sexe. Si l’utilisation de cer­tains ali­ments lors des ren­contres avec un par­te­naire per­met d’augmenter le plai­sir, qu’il en soit ain­si. En outre, le pou­voir de l’esprit joue un rôle très impor­tant dans la concen­tra­tion et l’intensification des sen­sa­tions. Par­fois, il est pos­sible qu’ils fonc­tionnent. Ou est-ce peut-être l’esprit qui les fait fonc­tion­ner ? L’important est de tou­jours cher­cher des moyens d’apprécier et de rendre plus inté­res­sante sa vie sexuelle.

Produits aphrodisiaques : effet sur l’organisme

Quand on uti­lise un pro­duit consi­dé­ré comme un sti­mu­lant sexuel, le corps réagit de la manière sui­vante. Tout d’abord, des signaux sont envoyés du lobe lim­bique du cer­veau au sys­tème ner­veux de la région pelvienne.

Ces signaux pro­voquent la dila­ta­tion des vais­seaux san­guins. Cette dila­ta­tion crée une érec­tion chez l’homme et la femme (le tis­su érec­tile fémi­nin se trouve dans le cli­to­ris et la zone autour de l’entrée du vagin).

Ce pro­ces­sus s’accompagne le plus sou­vent d’une tachy­car­die. Le cer­veau libère alors des sub­stances telles que la noré­pi­né­phrine et la dopa­mine, des neu­ro­trans­met­teurs qui indiquent une sen­sa­tion de plai­sir. Selon les experts, les aphro­di­siaques peuvent agir de deux manières :

  • Ils pro­duisent du désir sexuel par l’esprit.
  • Ils pro­duisent du désir en affec­tant des par­ties du corps. Par exemple, on peut citer un pro­duit qui aug­mente le flux san­guin vers les organes sexuels ou qui fait sécré­ter à l’organisme des sub­stances chi­miques asso­ciées au désir sexuel.

Par ailleurs, les cher­cheurs ont décou­vert que cer­tains ali­ments, herbes et autres sup­plé­ments sti­mulent la pro­duc­tion d’hormones ou d’autres sub­stances chi­miques qui affectent la libi­do. Dans le même temps, ils ne savent pas si ces pro­duits chi­miques sont pro­duits en quan­ti­té suf­fi­sante pour faire la dif­fé­rence. Il y a peu de recherches sur ce sujet, prin­ci­pa­le­ment parce que la libi­do est un sujet plus ou moins dif­fi­cile à étudier.

Produits aphrodisiaques : efficacité

Dr Janice B. Swan­son, de la pres­ti­gieuse Mayo Cli­nic aux États-Unis, insiste sur le fait qu’il existe peu de preuves. Il s’agit des preuves sur l’efficacité de la plu­part des sub­stances pré­sentes dans les aphro­di­siaques naturels. 

Il n’y a rien de mal à expé­ri­men­ter la plu­part des ali­ments pour voir s’ils sont des aphro­di­siaques natu­rels effi­caces. Cepen­dant, il est impor­tant de savoir que cer­tains com­plé­ments conte­nant des extraits d’insectes ou de plantes peuvent être toxiques.

Par exemple, la « mouche espa­gnole », un aphro­di­siaque natu­rel cou­ram­ment pro­mu, peut pro­vo­quer des lésions rénales et des sai­gne­ments gas­tro-intes­ti­naux. Très peu d’aliments ont été scien­ti­fi­que­ment prou­vés comme ayant des effets libi­di­naux sur des par­ties du corps autres que l’estomac. C’est ce que rap­porte la Food and Drug Admi­nis­tra­tion (FDA) américaine.

Cepen­dant, de nom­breux experts ont mené des études pour mesu­rer la réponse sexuelle à la nour­ri­ture. Les auto­ri­tés diri­geantes et les uni­ver­si­taires mènent de plus en plus de recherches sur les liens entre l’arôme, la nour­ri­ture, les émo­tions et l’expérience sensuelle.

Le sou­ve­nir nos­tal­gique déclen­ché par les odeurs, connu sous le nom d’« effet prous­tien », a été adop­té par cer­tains experts. Ceux-ci estiment que man­ger doit être une expé­rience sen­so­rielle com­plète, incluant le goût, l’odeur et même le son. Ain­si, cer­tains ali­ments ont une base scien­ti­fique en tant qu’aphrodisiaques, mais la plu­part sont des pla­ce­bos qui fonc­tionnent par suggestion.

Produits aphrodisiaques : les résultats des études

Les scien­ti­fiques ont fait très peu de recherches sur la phar­ma­co­lo­gie des aphro­di­siaques. Cela s’explique prin­ci­pa­le­ment par deux raisons :

  • Le sexe a tou­jours été un sujet d’étude tabou au sein de la science. Cela s’explique par la forte charge idéo­lo­gique qu’il véhi­cule et les contraintes sociales et morales sévères, voire éthiques, qu’il entraîne dans toutes les cultures développées.
  • La dif­fi­cul­té de mesu­rer tout ce qui appar­tient à la sphère psy­chique ou sen­so­rielle-affec­tive de l’individu.

De nom­breuses études scien­ti­fiques se sont limi­tées à rap­por­ter les effets nocifs d’un grand nombre de sub­stances consom­mées à des fins aphro­di­siaques. Celles-ci ont entraî­né l’intoxication et la mort de cer­taines personnes.

Cela fut décrit pour la can­tha­ri­dine, la man­dra­gore, la bufo­té­nine et d’autres sub­stances ayant des effets car­dio­ac­tifs. Quoi qu’il en soit, bien que la recherche se soit prin­ci­pa­le­ment concen­trée sur les ani­maux, il existe une cer­taine expé­rience scien­ti­fique de cer­tains médi­ca­ments ou substances.

Ceux-ci peuvent pro­vo­quer une aug­men­ta­tion de la réponse sexuelle. Il n’en reste pas moins qu’il n’existe aucune preuve concluante, offi­ciel­le­ment recon­nue, d’un véri­table effet aphro­di­siaque (libi­di­neux) d’une sub­stance active.

En fait, la FDA n’admet pas l’existence d’un médi­ca­ment ayant ces pro­prié­tés. La même agence a reti­ré du mar­ché amé­ri­cain cer­tains pro­duits « aphro­di­siaques » dis­po­nibles sans ordon­nance. Ces der­niers ont entraî­né l’intoxication de nom­breuses personnes.

Produits aphrodisiaques : pouvoir de l’esprit et mode de vie sain

Aujourd’hui, très peu de per­sonnes doutent que cer­tains médi­ca­ments qui amé­liorent la fonc­tion sexuelle puissent avoir un cer­tain nombre d’effets secon­daires dan­ge­reux. De nom­breux experts estiment que la meilleure façon d’avoir une vie sexuelle saine est de recou­rir à des moyens naturels.

Ces der­niers com­prennent une bonne ali­men­ta­tion, de l’exercice, une expo­si­tion à la lumière du soleil, un repos suf­fi­sant et, sur­tout, un état d’esprit posi­tif. Bon nombre des ali­ments qui existent ont des pro­prié­tés qui four­nissent de l’énergie au corps et abaissent ou aug­mentent la pres­sion sanguine.

Ceux-ci peuvent aider, c’est vrai, mais beau­coup sont enclins à pen­ser davan­tage à leur « effet pla­ce­bo » et à la sug­ges­tion qu’ils créent dans l’esprit. Il n’y a rien de plus puis­sant que l’esprit. L’écrivain Isa­bel Allende a dit un jour : « Pour les femmes, le meilleur aphro­di­siaque, ce sont les mots, le point G est dans les oreilles, celui qui regarde en bas perd son temps ». Bien sûr, il existe des tech­niques ances­trales qui ne manquent pas, comme une dose de charme et un sens de l’humour !

Produits aphrodisiaques : quelques aliments historiques

Les pro­duits aphrodisiaques

« Natu­ral Aphrodisiacs‑A Review of Selec­ted Sexual Enhan­cers » a publié les ali­ments ou sub­stances les plus répu­tés pour aider à sti­mu­ler l’appétit sexuel. Voi­ci quelques-uns.

Miel

Il est tra­di­tion­nel­le­ment uti­li­sé comme faci­li­ta­teur de l’amour dans le mariage, d’où le terme « lune de miel ». Il n’y a pas d’essais cli­niques cor­rec­te­ment conçus pour être sûr de ses pou­voirs aphro­di­siaques en général.

En outre, il existe une varié­té de miel connue sous le nom de miel fou, fabri­qué au Moyen-Orient. Ce miel est obte­nu à par­tir du nec­tar d’une espèce spé­ci­fique de fleur (Rho­do­den­dron pon­ti­cum) qui contient de la grayanotoxine.

On dit que sa consom­ma­tion sti­mule le désir chez les hommes et les femmes. Tou­te­fois, il n’existe aucune preuve autre que celle reven­di­quée par ses ven­deurs et pro­mo­teurs. Ce qui est prou­vé, c’est que de petites doses de graya­no­toxine pro­duisent une hypo­ten­sion et une bra­dy­car­die. Elles pro­voquent aus­si fon­da­men­ta­le­ment une syn­cope, un bloc auri­cu­lo-ven­tri­cu­laire et une asys­tole.

Huîtres

La déesse Aphro­dite est née dans la mer, et c’est peut-être pour cela que les pro­prié­tés aphro­di­siaques sont trans­fé­rées à plu­sieurs de ses fruits. Beau­coup affirment que ce pro­duit est lié aux organes géni­taux fémi­nins. Cer­tains spé­cia­listes pensent cepen­dant que c’est sa forte teneur en zinc qui lui confère ses pro­prié­tés sexuelles.

Chocolat

Selon la légende, le roi aztèque Mon­te­zu­ma buvait du cho­co­lat pour aug­men­ter sa viri­li­té avant de rendre visite à son harem d’épouses. Il n’avait cer­tai­ne­ment pas tout à fait tort, car le cacao contient des amines bio­gènes, de la tyra­mine, de la phényléthylamine. 

Il contient éga­le­ment des méthylxan­thines et des acides gras de type can­na­bi­noïde, aux­quels on attri­bue au cho­co­lat cer­tains pou­voirs aphro­di­siaques. Ils sont liés à l’augmentation des niveaux de séro­to­nine. Il peut être ten­tant d’attribuer ces pro­prié­tés au cho­co­lat, mais aucun résul­tat cli­ni­que­ment per­ti­nent n’a été trou­vé jusqu’à présent.

Cantharidine

L’ingrédient actif de l’extrait séché d’un type de coléo­ptère (Lyt­ta vesi­ca­to­ria). Cette poudre, dont on dit qu’elle a un effet aphro­di­siaque, est popu­lai­re­ment connue sous le nom de « mouche espa­gnole ». Sans tour­ner autour du pot : c’est un poi­son puis­sant. Son effet est d’inhiber la phos­pho­dies­té­rase, la phos­pha­tase et de sti­mu­ler les récep­teurs bêta.

Résul­tat : une conges­tion vas­cu­laire des organes sexuels et une inflam­ma­tion du trac­tus uro­gé­ni­tal. En même temps, la toxine peut brû­ler la bouche et la gorge et pro­vo­quer des infec­tions géni­to-uri­naires, une héma­tu­rie et des cica­trices de l’urètre. Une consom­ma­tion exces­sive entraîne éga­le­ment une insuf­fi­sance rénale, des hémor­ra­gies gas­tro-intes­ti­nales et la mort.

Fruit du saule pleureur

Il est connu dans le monde anglo-saxon sous le nom de « chas­te­ber­ries ». Le fruit de cette plante (Vitex agnus-cas­tus) est uti­li­sé depuis l’époque d’Hippocrate pour trai­ter les symp­tômes menstruels.

Par ailleurs, il pos­sède plu­sieurs prin­cipes actifs capables de modi­fier les niveaux de pro­lac­tine et de pro­ges­té­rone, mais n’a aucun effet sur le désir sexuel. En rai­son de son acti­vi­té hor­mo­nale, son uti­li­sa­tion peut inter­agir et modi­fier l’effet des médi­ca­ments contra­cep­tifs et d’autres traitements.

Ail

Beau­coup le détestent pour son odeur et son goût. Cepen­dant, l’ail est tra­di­tion­nel­le­ment consi­dé­ré comme un ali­ment aphro­di­siaque en rai­son de son effet réchauf­fant sur le corps. Aris­tote l’a loué pour ses pro­prié­tés revi­go­rantes et il était très popu­laire auprès des mili­taires romains.

Truffe

Ce cham­pi­gnon sou­ter­rain est essen­tiel dans cer­taines cui­sines, comme la cui­sine fran­çaise. Bien que ses pro­prié­tés aphro­di­siaques soient contes­tées, il est vrai qu’au Moyen Âge, on man­geait des truffes en croyant qu’elles sti­mu­laient la libi­do. 

Cer­tains disent que c’est pré­ci­sé­ment leur tou­cher qui leur confère leurs pro­prié­tés sup­po­sées. Il a même été dit que cer­taines des sub­stances vola­tiles conte­nues dans les truffes imitent les phé­ro­mones du sanglier.

Cannelle

C’est l’un des sti­mu­lants sexuels les plus popu­laires, bien que l’on dise qu’à forte dose, il peut même avoir l’effet inverse. L’effet de la can­nelle serait éga­le­ment plus impor­tant chez les femmes que chez les hommes. 

Fraises

Elles favo­risent la cir­cu­la­tion san­guine, ce qui peut éga­le­ment aug­men­ter la capa­ci­té sexuelle. Mais c’est peut-être leur appa­rence et leur cou­leur vive qui font des fraises l’un des aphro­di­siaques les plus populaires.

Ginseng

Ce clas­sique de l’herboristerie, un ali­ment de base de la méde­cine chi­noise, est cré­di­té de nom­breuses pro­prié­tés, dont le sou­la­ge­ment des dys­fonc­tion­ne­ments érec­tiles. Sept études ont été menées pour com­pa­rer le gin­seng et un pla­ce­bo chez des patients souf­frant de ce pro­blème sexuel. Elles ont toutes conclu que la plante avait un léger effet sur l’érection.

Produits aphrodisiaques : conclusion

Tout ali­ment pro­po­sé peut être un aphro­di­siaque. De nom­breux nutri­ments sont alors consi­dé­rés comme des sti­mu­lants sexuels parce qu’ils sont sucrés, riches, cré­meux, exo­tiques, épicés.

Par­fois, il s’agit de pro­duits de luxe qui ne sont pas acces­sibles à tous. En revanche, un déjeu­ner ou un dîner copieux avec un par­te­naire a l’effet inverse d’un revi­go­rant sexuel et peut même pro­vo­quer une som­no­lence invin­cible. Les extrêmes ne sont jamais bons !

Derniers articles

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...

Utilisation des morphiniques d’action rapide

Les morphiniques d’action rapide sont des médicaments utilisés pour un soulagement efficace de la...

Cymbalta Duloxétine : Indications, effets indésirables et Précautions d’emploi

Apparu sur le marché depuis plusieurs années, Cymbalta est un médicament dédié au traitement...

Pour aller plus loin

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...

Utilisation des morphiniques d’action rapide

Les morphiniques d’action rapide sont des médicaments utilisés pour un soulagement efficace de la...