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Hanche douloureuse : causes et traitements

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Les dou­leurs de la hanche sont fré­quentes, aus­si bien chez les enfants que chez les adultes. Elles peuvent être locales ou dif­fuses, tem­po­raires ou per­ma­nentes. Ces mani­fes­ta­tions s’ex­pliquent par la grande diver­si­té de causes qui sont à la base de la sur­ve­nue de ces dou­leurs. Entre les mala­dies inflam­ma­toires, l’ar­throse et les trau­ma­tismes, ces causes sont nom­breuses et sus­cep­tibles d’é­vo­luer vers des com­pli­ca­tions. Si vous souf­frez de dou­leurs récur­rentes au niveau de votre hanche, en voi­ci les causes et trai­te­ments possibles.

Hanche douloureuse : qu’est-ce-que c’est ?

Les dou­leurs à la hanche sont dif­fi­ciles à défi­nir, sur­tout par le grand public. Cette dif­fi­cul­té s’ex­plique notam­ment par le fait que les mani­fes­ta­tions varient d’un patient à un autre. Elle tient éga­le­ment au fait que ces der­niers ignorent la loca­li­sa­tion exacte de la hanche dans l’a­na­to­mie humaine.

En effet, la hanche est une grosse arti­cu­la­tion située dans l’aine et com­po­sée de muscles, de liga­ments et de ten­dons. Elle consti­tue le point de jonc­tion entre l’os iliaque et le fémur, dans la zone ingui­nale. C’est jus­te­ment de cette zone que pro­viennent les dou­leurs qui peuvent être locales ou diffuses.

Chez la plu­part des patients, ces dou­leurs se res­sentent lors de mou­ve­ments de la hanche. Elles peuvent être méca­niques ou inflam­ma­toires. Elles se tra­duisent éga­le­ment par des sen­sa­tions de décharges élec­triques, qui peuvent être plus fré­quentes au fil du temps. En rai­son de l’in­con­fort que pro­voquent ces dou­leurs, et du risque d’é­vo­lu­tion asymp­to­ma­tique d’une patho­lo­gie grave, il est recom­man­dé de recher­cher les causes de la dou­leur à tra­vers une consultation.

Hanche douloureuse : quelles sont les causes possibles ?

La hanche dou­lou­reuse peut être cau­sée par plu­sieurs patho­lo­gies. Les mala­dies les plus fré­quentes chez les per­sonnes sont d’o­ri­gines arti­cu­laires, osseuses et mus­cu­laires. Quelques patho­lo­gies d’o­ri­gines diverses sont éga­le­ment notées chez d’autres patients.

Douleurs de la hanche : quelles sont les causes d’origines articulaires ?

Les causes arti­cu­laires sont prin­ci­pa­le­ment à l’o­ri­gine du déclen­che­ment des dou­leurs arti­cu­laires. Les patho­lo­gies arti­cu­laires en causes sont notam­ment l’ar­throse de la hanche, la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde, la ten­di­nite de la hanche et la Spon­dy­lar­thrite ankylosante.

L’arthrose de la hanche

Éga­le­ment connue sous le nom de Coxar­throse, cette patho­lo­gie est plus fré­quente chez les patients pré­sen­tant des dou­leurs à la hanche. Elle atteint 3% de la popu­la­tion mon­diale (sta­tis­tiques concer­nant les adultes). L’ar­throse de la hanche est cau­sée par la dis­pa­ri­tion pro­gres­sive du car­ti­lage, ce qui induit une incon­gruence arti­cu­laire. L’in­con­gruence arti­cu­laire quant à elle, se carac­té­rise par une inadé­qua­tion entre les sur­faces de deux arti­cu­la­tions dif­fé­rentes. Elle sur­vient à la suite de la perte de la sub­stance osseuse.

L’in­con­gruence pro­voque des dys­fonc­tion­ne­ments pro­gres­sifs des arti­cu­la­tions. Ces dys­fonc­tion­ne­ments se carac­té­risent notam­ment par des dif­fi­cul­tés à la marche, obli­geant sou­vent les patients à recou­rir aux cannes pour dyna­mi­ser leur marche. Le symp­tôme prin­ci­pal de l’ar­throse est la dou­leur loca­li­sée dans l’aine. Cette dou­leur crée dans la plu­part des cas, une irra­dia­tion au niveau des cuisses dent de la hanche elle-même.

Ces dou­leurs évo­luent de façon pro­gres­sive. Au départ, elles appa­raissent pen­dant un effort phy­sique comme la course, la marche ou encore les mon­tées et des­centes d’es­ca­liers. En évo­luant, elles limitent l’en­du­rance à la marche et à la course du malade.

Le symp­tôme le plus grave de l’ar­throse de la hanche est la boi­te­rie. Les fac­teurs de risque de la mala­die sont les autres patho­lo­gies arti­cu­laires comme la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde ou encore les conflits arti­cu­laires favo­ri­sés par cer­tains sports comme le foot­ball et les sports de combat.

La polyarthrite rhumatoïde

La poly­ar­thrite est une mala­die inflam­ma­toire chro­nique qui affecte plu­sieurs arti­cu­la­tions. Elle sur­vient à la suite d’un dys­fonc­tion­ne­ment du sys­tème immu­ni­taire qui fabrique des auto-anti­corps, se retour­nant contre la mem­brane des arti­cu­la­tions. Il s’a­git donc d’une mala­die auto-immune. Elle est notam­ment carac­té­ri­sée par une des­truc­tion pro­gres­sive des os et du cartilage.

Cette des­truc­tion est due à l’in­flam­ma­tion pro­vo­quée par une pro­duc­tion exces­sive du liquide syno­vial dans les mem­branes de chaque arti­cu­la­tion. L’ac­cu­mu­la­tion de ce liquide entraîne des dou­leurs dues au dur­cis­se­ment ou à la rup­ture d’élé­ments tels que les ten­dons et les liga­ments. La dou­leur est géné­ra­le­ment accom­pa­gnée de rai­deur. On note éga­le­ment une rou­geur et un gon­fle­ment au niveau des arti­cu­la­tions tou­chées. D’autres symp­tômes sont asso­ciés à ces manifestations :

  • La fatigue ;
  • La fièvre ;
  • Perte d’ap­pé­tit, etc.

Étant don­né qu’il s’a­git d’une mala­die auto-immune, la poly­ar­thrite évo­lue vers des com­pli­ca­tions pou­vant aller jus­qu’à l’in­va­li­da­tion du malade. Des réper­cus­sions psy­cho­lo­giques sont éga­le­ment notées chez la majo­ri­té des patients.

La Spondylarthrite ankylosante

La Spon­dy­lar­thrite anky­lo­sante est une mala­die rhu­ma­tis­male d’o­ri­gine inflam­ma­toire, qui se mani­feste par des crises de dou­leurs impor­tantes. Ces dou­leurs touchent prin­ci­pa­le­ment la colonne ver­té­brale, mais évo­luent vers d’autres par­ties du corps, dont la hanche notam­ment. Les crises de dou­leurs sur­viennent sou­vent au milieu de la nuit et au réveil, dans les cas sévères de la maladie.

Douleurs de la hanche : quelles sont les causes osseuses et musculaires ?

Les dou­leurs de la hanche peuvent avoir des ori­gines osseuses. C’est notam­ment le cas lors­qu’elles sont consé­cu­tives à une frac­ture du col du fémur. Une telle frac­ture peut sur­ve­nir en cas de mala­die osseuse comme l’os­téo­po­rose. Le dia­bète est éga­le­ment un fac­teur de risque des frac­tures de la hanche. Ce risque est par­ti­cu­liè­re­ment éle­vé chez les patients atteints de dia­bète de type 1.

Les dou­leurs de la hanche peuvent éga­le­ment être révé­la­trices d’un can­cer des os en phase de méta­stase. Durant cette phase, le risque de frac­ture osseuse est plus éle­vé au niveau de la hanche. Cer­taines patho­lo­gies mus­cu­laires sont éga­le­ment en cause dans la sur­ve­nue des dou­leurs de la hanche. La prin­ci­pale mala­die d’o­ri­gine mus­cu­laire indexée est la tendinite.

Cette patho­lo­gie se carac­té­rise par l’u­sure des ten­dons fes­siers situés sur la face laté­rale de la cuisse. La ten­di­nite se mani­feste par une dou­leur qui sur­vient en cours d’ef­fort phy­sique, prin­ci­pa­le­ment pen­dant la marche. Le sexe ratio de l’é­pi­dé­mio­lo­gie de cette affec­tion est en faveur des femmes âgées de 40 à 60 ans. Les scia­tiques sont aus­si sus­cep­tibles de créer des dou­leurs au niveau de la hanche.

Quelles sont les autres causes possibles de la maladie ?

D’autres mala­dies sont éga­le­ment sus­cep­tibles d’être à l’o­ri­gine des dou­leurs de la hanche. La plus fré­quente d’entre elles est une luxa­tion ou frac­ture de la hanche, due à un trau­ma­tisme. Il résulte d’une telle mala­die, des dou­leurs d’une inten­si­té supé­rieure à celle des autres patho­lo­gies. La luxa­tion se carac­té­rise notam­ment par l’ap­pa­ri­tion d’un gon­fle­ment et d’une ecchymose. 

Les autres patho­lo­gies sus­cep­tibles d’en­traî­ner une dou­leur de la hanche sont la her­nie ingui­nale, la her­nie dis­cale ou encore une sté­nose ver­té­brale. La décou­verte de la patho­lo­gie à l’o­ri­gine des dou­leurs, néces­site plu­sieurs types d’examens.

Hanche douloureuse : quels examens réaliser ?

Le diag­nos­tic d’une dou­leur de la hanche se base sur plu­sieurs exa­mens dont l’in­ter­ro­ga­toire. Cette der­nière consti­tue une phase pré­li­mi­naire, qui per­met au méde­cin d’a­voir des ren­sei­gne­ments sur les anté­cé­dents du patient et son mode vie notam­ment. Des exa­mens cli­niques et radio­lo­giques sont éga­le­ment néces­saires pour poser un diag­nos­tic efficace.

En quoi consiste l’interrogatoire ?

L’in­ter­ro­ga­toire peut être mené par un géné­ra­liste comme par un spé­cia­liste. Il doit d’a­bord recher­cher d’é­ven­tuels anté­cé­dents médi­caux qui auraient pu être à la base des dou­leurs du patient. Les pre­miers anté­cé­dents à recher­cher sont d’o­ri­gine ortho­pé­dique. Ain­si, les patho­lo­gies recher­chées sont :

  • Luxa­tion congé­ni­tale de la hanche ;
  • Ostéo­chon­drite ;
  • Épi­phy­sio­lyse.

Si la réponse du patient est néga­tive sur cet anté­cé­dent, l’in­ter­ro­ga­toire sera orien­té vers d’é­ven­tuels trau­ma­tismes ou dou­leurs. Des anté­cé­dents fami­liaux seront ensuite recher­chés, pour ten­ter d’o­rien­ter le diag­nos­tic vers la pré­sence d’une mala­die héré­di­taire. Le malade doit éga­le­ment être inter­ro­gé sur ses trai­te­ments médi­ca­men­teux, et son res­pect des consignes du prescripteur.

En outre, le mode de vie du patient doit aus­si être scru­té. Le méde­cin doit recher­cher si ce der­nier est actif ou séden­taire. S’il est un spor­tif, il existe de fortes chances que la sur­ve­nue des dou­leurs soit liée à sa pra­tique spor­tive. L’hy­giène de vie et la consom­ma­tion de sub­stances nocives doivent éga­le­ment être recherchées.

Pour ache­ver l’in­ter­ro­ga­toire, l’exa­mi­na­teur doit recueillir des infor­ma­tions sur les mani­fes­ta­tions des dou­leurs. Ces infor­ma­tions doivent d’a­bord concer­ner le mode d’ap­pa­ri­tion des dou­leurs et leur typo­lo­gie (dou­leur méca­nique ou inflam­ma­toire). Ensuite, les symp­tômes asso­ciés aux crises de dou­leurs et leur mode d’é­vo­lu­tion seront de pré­cieux indi­ca­teurs dans le diag­nos­tic final. Pour finir, l’ap­ti­tude du patient à effec­tuer des mou­ve­ments et son péri­mètre de marche doivent éga­le­ment être évalués.

En quoi consiste l’examen clinique ?

L’exa­men cli­nique va notam­ment consis­ter en une phase pra­tique de l’é­va­lua­tion de l’ap­ti­tude du patient à effec­tuer des mou­ve­ments et à se dépla­cer. L’exa­men se fait donc en posi­tion debout, afin de per­mettre au méde­cin d’ob­ser­ver l’axe des membres infé­rieurs. Pour éva­luer le péri­mètre de marche du patient, ce der­nier est sou­mis à un exer­cice de marche. Des signes de boi­te­rie ou de recherche d’ap­pui pour­ront donc être détectés.

L’exa­men cli­nique doit se pour­suivre en posi­tion cou­chée. Le méde­cin doit être par­ti­cu­liè­re­ment atten­tif aux mobi­li­tés (pas­sives et actives) du patient. L’une des ano­ma­lies recher­chées à tra­vers cet exer­cice est la rai­deur. La réduc­tion d’am­pli­tude dans cer­tains sec­teurs de mobi­li­té est une don­née impor­tante dans la recherche de la patho­lo­gie en cause.

Les autres ano­ma­lies recher­chées sont les ostéo­phytes, une abduc­tion ou une exten­sion contra­riée. Si le diag­nos­tic paraît tou­jours indé­cis après ces exa­mens, des exa­mens radio­lo­giques doivent être effec­tués pour plus d’assurance.

Hanche douloureuse : quels examens radiologiques réaliser ?

Le pre­mier exa­men radio­lo­gique à réa­li­ser est une radio­gra­phie. Elle per­met notam­ment d’exa­mi­ner l’é­pais­seur du car­ti­lage ou inter­ligne arti­cu­laire, d’a­na­ly­ser la posi­tion du col fémo­ral et d’ap­pré­cier la cou­ver­ture du cotyle sur la tête fémorale.

Le second exa­men radio­lo­gique pos­sible est le scan­ner. Il peut être réa­li­sé après injec­tion d’un pro­duit de contraste.

Il per­met de visua­li­ser la coupe de l’a­na­to­mie des arti­cu­la­tions, et de véri­fier l’o­rien­ta­tion du col. Grâce à cet exa­men, la pré­sence d’une tumeur bénigne ou maligne ou d’une patho­lo­gie osseuse ou arti­cu­laire peut être détec­tée par exemple.

Par ailleurs, à défaut du scan­ner, un exa­men beau­coup plus large peut être réa­li­sé. Il s’a­git de la réso­nance magné­tique nucléaire (RNM).

Cet exa­men est répu­té très per­for­mant et per­met notam­ment de réa­li­ser les coupes sagit­tales, fron­tales et trans­ver­sales. Il est recom­man­dé de le réa­li­ser après injec­tion du gado­li­nium, pro­duit de contraste qui aug­mente la qua­li­té de l’i­ma­ge­rie. Grâce à une qua­li­té d’i­mage opti­male, il sera pos­sible d’ob­ser­ver et d’a­na­ly­ser plus faci­le­ment les tis­sus mous. La RNM faci­lite éga­le­ment l’é­tude pré­cise des ménisques, des liga­ments et de la mor­pho­lo­gie des os.

En fonc­tion de la patho­lo­gie recher­chée, d’autres exa­mens peuvent s’a­vé­rer néces­saires. Il s’a­git d’a­bord de la scin­ti­gra­phie osseuse. Cet exa­men est indi­qué lorsque le méde­cin redoute une tumeur, une infec­tion grave ou un déscel­le­ment de pro­thèse. Elle per­met éga­le­ment de détec­ter une inflam­ma­tion osseuse.

L’é­cho­gra­phie est indi­quée chez les enfants, lors­qu’une arthrite est soup­çon­née. L’ar­thro­gra­phie et la ponc­tion de la hanche consti­tuent éga­le­ment des pos­si­bi­li­tés de seconde inten­tion. Il est tou­te­fois impor­tant que la réa­li­sa­tion de ces exa­mens ne soit pas cumu­la­tive. Il revient au méde­cin de pres­crire l’exa­men qui lui per­met­tra de poser un bon diag­nos­tic, et de pro­po­ser un trai­te­ment efficace. 

Hanche douloureuse : quels traitements ?

Les options de trai­te­ments dépendent de la patho­lo­gie ayant entraî­née les dou­leurs de la hanche. Ain­si, lorsque le patient souffre d’ar­throse, il existe un trai­te­ment médi­cal consis­tant prin­ci­pa­le­ment en l’im­plan­ta­tion d’une pro­thèse. L’im­plan­ta­tion se fait par le biais d’une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale. La pro­thèse per­met de res­tau­rer les fonc­tions arti­cu­laires de la hanche.

Le réta­blis­se­ment des fonc­tions arti­cu­laires est aus­si effec­tif grâce à l’ins­tal­la­tion de deux implants, l’un sur le bas­sin et l’autre au niveau du fémur. Ces implants peuvent être faits de matière métal­lique ou en céra­mique. Les études menées sur cette chi­rur­gie révèlent qu’il existe très peu de risques d’u­sure. Cepen­dant, des trai­te­ments médi­ca­men­teux sur base d’an­tal­giques sont recom­man­dés pour sou­la­ger les crises.

Chez les patients souf­frant de rhu­ma­tismes inflam­ma­toires, les trai­te­ments médi­ca­men­teux à base de cor­ti­coïdes et de sul­fa­sa­fines affines, sont notam­ment effi­caces. Dans les cas graves, une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale peut être néces­saire. Pour les patients éprou­vant des dif­fi­cul­tés à mar­cher sur un long péri­mètre, des cannes anglaises leur sont indiquées.

De façon géné­rale, la reprise pro­gres­sive de l’ac­ti­vi­té phy­sique est recom­man­dée après le trai­te­ment, pour évi­ter toute rechute. Les patients ayant subi une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale doivent béné­fi­cier d’une réédu­ca­tion. Ain­si, la kiné­si­thé­ra­pie reste la meilleure indi­ca­tion pour une bonne rééducation.

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