HomeSantéANOREXIE MENTALE : CAUSES, SYMPTÔMES, DIAGNOSTIC, TRAITEMENT

ANOREXIE MENTALE : CAUSES, SYMPTÔMES, DIAGNOSTIC, TRAITEMENT

Publié le

spot_img

Avec les diverses consé­quences asso­ciées à l’obésité, vou­loir perdre du poids est un désir tout à fait nor­mal. Chez cer­taines per­sonnes, cette volon­té est si extrême qu’elle finit par deve­nir patho­lo­gique. Elles n’arrivent en effet plus à se pas­ser de cette envie de mai­grir. Dans une telle situa­tion, on parle d’anorexie men­tale. Il s’agit d’un phé­no­mène qui a long­temps été vu comme un caprice, mais qui a fini par être consi­dé­ré comme un trouble du com­por­te­ment ali­men­taire. Au sein de cette caté­go­rie d’affections, l’anorexie men­tale est celle qui cause le plus de décès. Com­ment est-ce pos­sible ? Voi­ci les explications.

ANOREXIE MENTALE : Présentation

À l’instar de la bou­li­mie, l’anorexie men­tale fait aus­si par­tie des troubles des conduites ali­men­taires (TCA). Les per­sonnes atteintes des patho­lo­gies de cette caté­go­rie pos­sèdent des com­por­te­ments ali­men­taires dif­fé­rents de ceux qui sont habi­tuel­le­ment adop­tés par les indi­vi­dus vivant dans le même envi­ron­ne­ment qu’elles.

Par­ti­cu­liè­re­ment dans le cas de l’anorexie men­tale, l’individu concer­né a une pho­bie de la prise de poids. C’est ce qui dis­tingue cette mala­die de l’anorexie qui est un terme beau­coup plus géné­ra­liste fai­sant tout sim­ple­ment allu­sion à une perte de l’appétit.

En réa­li­té, dans le contexte de l’anorexie men­tale, l’appétit est pré­sent chez le malade. Ce der­nier refuse de son plein gré de s’alimenter dans l’optique d’atteindre son objec­tif de perte de poids.

Anorexie mentale : Mécanisme d’action

Il est dif­fi­cile de décrire avec exac­ti­tude et de façon géné­ra­li­sée com­ment l’anorexie men­tale s’installe chez une per­sonne. Tout compte fait, tout part de l’envie intense du sujet à mai­grir. Cette der­nière est plus pous­sée, car la per­sonne concer­née est habi­tée par une peur exa­gé­rée de prendre du poids.

Pire, elle pos­sède une image défor­mée de son corps. C’est la dys­mor­pho­pho­bie. Le sujet se voit en réa­li­té comme ayant trop de graisses alors que cela peut ne pas être le cas. Par consé­quent, il met tout en œuvre pour éli­mi­ner les soi-disant kilos de trop. Concrè­te­ment, il :

  • Limite sa consom­ma­tion d’aliments durant des mois voire des années ;
  • Adopte un régime ali­men­taire exempt de calories ;
  • Mène des acti­vi­tés spor­tives de façon intense ;
  • Prend des médi­ca­ments coupe-faim ;
  • Se fait vomir lorsque des calo­ries sont ingur­gi­tées par erreur.

Avec toutes ces ten­ta­tives, une bonne par­tie du poids est nor­ma­le­ment éli­mi­née au bout d’une courte période. L’anorexique men­tal estime qu’il est tou­jours trop gros mal­gré son poids très en des­sous de la nor­male. Il conti­nue alors dans sa quête et finit avec une mai­greur frap­pante. Ce genre d’individu ne pos­sède en réa­li­té que la peau sur les os.

ANOREXIE MENTALE : personnes concernées

L’anorexie men­tale est une affec­tion pré­sente dans de nom­breuses régions du monde. Elle sévit dans les pays occi­den­taux. En France par exemple, plus de 200 000 per­sonnes sont déjà concer­nées par cette mala­die. Chaque année, près de 5000 nou­veaux cas sont enregistrés.

Si cette patho­lo­gie touche plus la race blanche, c’est en rai­son de la men­ta­li­té qui y règne. En effet, dans les pays euro­péens, pos­sé­der une cor­pu­lence géné­reuse est vu d’un mau­vais œil. Un tel phy­sique est consi­dé­ré comme mal­sain et laid. Le désir de mai­grir est donc nor­mal et d’ailleurs pré­sent chez tous les individus.

De même, l’anorexie men­tale peut se mani­fes­ter chez toute per­sonne, et ce quel que soit son âge ou sexe. Ain­si, un enfant tout comme un adulte peuvent être atteints de cette patho­lo­gie. Aus­si bien un homme qu’une femme pour­raient en souffrir.

C’est cepen­dant dans le rang des per­sonnes de sexe fémi­nin que l’affection effec­tue le plus de dégâts avec une pré­va­lence de 80 % des cas détec­tés. C’est ce que laissent com­prendre les études. Ces der­nières révèlent aus­si que c’est entre 13 ou 14 ans et 16 ou 17 ans que l’anorexie men­tale est plus sus­cep­tible d’apparaître.

Une ado­les­cente de race blanche est donc plus pré­dis­po­sée à cette mala­die qu’un ado­les­cent de la même race.

Anorexie mentale : typologie

La patho­lo­gie d’anorexie men­tale peut revê­tir deux aspects. Dans le pre­mier cas, il s’agit d’anorexie res­tric­tive. C’est la forme la plus fré­quente de la mala­die. Elle se tra­duit par le com­por­te­ment ali­men­taire res­tric­tif dont fait montre le malade.

Ce der­nier met en effet en œuvre une tech­nique (jeûne ou régime) de contrôle de son corps et sur­tout de chaque ali­ment qu’il doit consom­mer. Dans le second cas, il est ques­tion d’anorexie men­tale bou­li­mique. C’est la forme la moins cou­rante de la mala­die. Elle ne touche que 20 % des anorexiques.

Ici, le sujet a un com­por­te­ment hyper­pha­gique. Il se gave en effet d’aliments ou de repas. Cette atti­tude pro­vient géné­ra­le­ment du fait que l’organisme de l’individu ne par­vient pas à sup­por­ter long­temps la res­tric­tion ali­men­taire. Très vite après ce geste, l’anorexique se sent coupable.

Il cherche alors à rat­tra­per son erreur. C’est ain­si qu’il se retrouve à avoir des com­por­te­ments bou­li­miques. Ceux-ci consistent à éli­mi­ner les ali­ments ingur­gi­tés. La per­sonne concer­née peut donc consom­mer des diu­ré­tiques, des laxa­tifs ou se faire vomir.

ANOREXIE MENTALE : Causes

ANOREXIE MENTALE

Les causes de l’anorexie men­tale ne sont jusqu’à ce jour pas encore clai­re­ment iden­ti­fiées. Il est tou­te­fois pos­sible d’affirmer que divers élé­ments sont impli­qués dans la nais­sance de ce désordre alimentaire.

Les causes socioculturelles

La croyance qui règne dans cer­tains milieux contri­bue énor­mé­ment à l’apparition de l’anorexie men­tale chez un indi­vi­du. Dans les socié­tés occi­den­tales par exemple, le corps idéal est celui de min­ceur. C’est ce phy­sique qui est d’ailleurs pro­mu par les médias.

En gran­dis­sant, l’enfant pense donc que pour être un modèle de beau­té, il doit pos­sé­der un corps exempt de gras. C’est ce concept de corps idéa­li­sé qui pré­vaut dans cer­tains milieux pro­fes­sion­nels comme ceux :

  • De la danse ;
  • Du sport ;
  • Du man­ne­qui­nat.

La pres­sion psy­cho­lo­gique qui règne dans ces sec­teurs peut en réa­li­té consti­tuer une ori­gine de la maladie.

Les facteurs psychologiques

Si l’anorexie men­tale consti­tue une patho­lo­gie en soi, elle peut dans cer­tains cas être une consé­quence d’une mala­die sous-jacente. Les affec­tions inter­ve­nant dans le cadre de ce désordre ali­men­taire sont le plus sou­vent des troubles psy­cho­lo­giques comme :

  • La dépres­sion ;
  • L’anxiété ;
  • Les trau­ma­tismes ;
  • Les troubles obses­sion­nels cog­ni­tifs (TOC) ;
  • La pho­bie sociale.

Tou­jours sur le plan cog­ni­tif, il s’avère que cer­tains traits de per­son­na­li­té consti­tuent des fac­teurs de risque de la patho­lo­gie. Il s’agit de la personnalité :

  • Dépen­dante (peur de la sépa­ra­tion, besoin exces­sif de s’appuyer sur quelqu’un) ;
  • Bor­der­line ;
  • Évi­tante (sen­si­bi­li­té aux cri­tiques néga­tives d’autrui) ;
  • Obses­sion­nelle (sou­ci des détails, rigidité).

L’absence d’estime de soi et le per­fec­tion­nisme sont éga­le­ment des élé­ments associés.

La génétique

Cela pour­rait paraître ano­din, mais la géné­tique joue un rôle quoi que minime dans le déclen­che­ment d’une ano­rexie men­tale. Une étude a en effet per­mis de conclure qu’une femme fai­sant par­tie d’une famille où le mal a été détec­té est 4 fois plus expo­sée qu’une autre femme issue d’une famille saine.

De même, une autre étude montre que si une jumelle est atteinte d’anorexie, il est fort pro­bable que l’autre en soit aus­si affec­tée. Le taux de cer­ti­tude est à vrai dire de 56 % lorsque les jumelles sont iden­tiques. Quand il s’agit de fausses jumelles, cette pro­ba­bi­li­té passe à 5 %.

Tou­te­fois, il est néces­saire de pré­ci­ser que si une per­sonne est souf­frante de la mala­die au sein d’une famille, il est pos­sible que le des­cen­dant ne soit pas atteint du trouble lui-même. Il peut tout sim­ple­ment déve­lop­per des com­por­te­ments géné­ra­le­ment obser­vés dans le cadre de cette affec­tion comme le tem­pé­ra­ment obsessionnel.

Les causes hormonales

Les hor­mones sont énor­mé­ment impli­quées dans les troubles de com­por­te­ments ali­men­taires. Un dys­fonc­tion­ne­ment au niveau de deux d’entre elles peut déclen­cher l’anorexie men­tale. Il y a d’une part l’hormone du bon­heur, éga­le­ment dénom­mée séro­to­nine. Elle est res­pon­sable de l’émotivité et de la bonne humeur.

Chez les per­sonnes ano­rexiques, ces deux élé­ments sont qua­si-inexis­tants, car l’hormone les régu­lant pos­sède une acti­vi­té en baisse. D’autre part, il y a la ghré­line qui est l’hormone sti­mu­lant l’appétit. Une per­tur­ba­tion au niveau de son sys­tème de pro­duc­tion pro­voque des sen­sa­tions de faim erro­nées chez le sujet anorexique.

Les facteurs environnementaux

Le cli­mat envi­ron­ne­men­tal dans lequel vit le sujet, son quo­ti­dien ou une situa­tion per­son­nelle peuvent être à la base de la mala­die. C’est le cas par exemple du fait de :

  • Faire l’objet de remarques déplai­santes sur son physique ;
  • Être sou­mis à des res­tric­tions alimentaires ;
  • Vivre dans un foyer conflictuel ;
  • Perdre un proche ou subir une séparation.

À cette liste s’ajoutent le chan­ge­ment de corps inter­ve­nant durant la puber­té ou le fait de ne pas se sen­tir à sa place.

ANOREXIE MENTALE : Symptômes

Chez les femmes, l’absence des règles (amé­nor­rhée) depuis une moyenne de trois mois est un signe qui doit inter­pel­ler. De façon géné­rale, l’anorexie men­tale s’identifie grâce aux chan­ge­ments inter­ve­nus au niveau du mode de vie de la per­sonne sus­pec­tée. Cette dernière :

  • Est hyper­ac­tive (pra­tique inten­sive d’activités sportives) ;
  • Voit la mai­greur comme un idéal de beau­té ;
  • Se fait rare lors des moments de repas ;
  • Renou­velle sa garde-robe pour mieux affi­cher sa forme amincie ;
  • Évite les ali­ments caloriques ;
  • Prend du plai­sir à mai­grir ;
  • Pos­sède des pro­blèmes de diges­tion de pro­duits sucrés ou gras ;
  • À une peur de gros­sir asso­ciée à des sauts d’humeur.

Le déni de la réa­li­té (image défor­mée de son corps) et un amai­gris­se­ment (au moins 25 % de la masse cor­po­relle ini­tiale) consti­tuent éga­le­ment des signes qui inter­pellent.

ANOREXIE MENTALE : Diagnostic

ANOREXIE MENTALE

Trois élé­ments per­mettent de poser le diag­nos­tic de l’anorexie mentale.

La psychopathologie

Ici, avant de sus­pec­ter la pré­sence de la mala­die, le méde­cin doit s’assurer que les divers symp­tômes qui la qua­li­fient sont pré­sents. Par­mi ces signes, le refus du patient de conser­ver un poids nor­mal ne doit pas être lais­sé pour compte, car il s’agit de la carac­té­ris­tique prin­ci­pale de la pathologie.

L’évaluation somatique

À ce niveau, le méde­cin a pour mis­sion d’exa­mi­ner la san­té phy­sique du malade afin d’évaluer les consé­quences de son mode de vie ali­men­taire sur celle-ci. Pour évo­luer dans cette phase du diag­nos­tic, le pro­fes­sion­nel de san­té va recher­cher des élé­ments sus­cep­tibles de mettre en place l’hypothèse de l’anorexie mentale.

C’est le cas de l’indice de masse cor­po­relle (IMC). Concrè­te­ment, il va véri­fier si celui-ci est en baisse, stag­na­tion ou évo­lu­tion. Pour y arri­ver, il va devoir se baser sur des valeurs seuil. Celles-ci dépendent cepen­dant de l’âge du patient. S’il s’agit d’un adulte, c’est l’IMC réel qui est consi­dé­ré. S’il est :

  • Infé­rieur à 15 kg/m2, le niveau de la mala­die est extrême ;
  • Com­pris entre 15 et 15,99 kg/m2, la patho­lo­gie est consi­dé­rée comme sévère ;
  • Situé entre 16 et 16,99 kg/m2, l’affection est dési­gnée de modé­rée ;
  • Infé­rieur ou égal à 17 kg/m2, l’anorexie men­tale est dite légère.

Quand il s’agit d’un enfant ou d’un ado­les­cent, c’est le per­cen­tile de l’IMC cor­res­pon­dant à l’âge qui est employé. Un cas d’anorexie men­tale peut être évo­qué lorsque l’IMC est en des­sous de :

  • 12,7 kg/m2 pour un patient de 13 à 14 ans ;
  • 13,2 kg/m2 pour un ado­les­cent de 15 et 16 ans ;
  • 14 kg/m2 pour un patient de plus de 17 ans.

Dans cha­cun de ces cas, une hos­pi­ta­li­sa­tion du sujet est requise.

ANOREXIE MENTALE : Traitement

Le trai­te­ment de l’anorexie men­tale repose sur des solu­tions comme :

  • La prise d’antipsychotiques de 2èmegéné­ra­tion ;
  • L’assistance de la famille ;
  • La thé­ra­pie psychologique ;
  • La sup­plé­men­ta­tion nutri­tion­nelle.

Cha­cune de ces solu­tions est uti­li­sée dans des situa­tions bien précises.

Quel est le meilleur traitement ?

Lorsqu’un indi­vi­du ano­rexique perd plus de 75 % de sa masse cor­po­relle, il est aus­si­tôt hos­pi­ta­li­sé afin de béné­fi­cier d’une res­tau­ra­tion de son poids. C’est dans cette optique que la sup­plé­men­ta­tion nutri­tion­nelle est mise en œuvre. Elle consiste à don­ner quo­ti­dien­ne­ment au malade 30 à 40 kcal/kg d’aliments. Cette renu­tri­tion peut se réaliser :

  • Avec des sup­plé­ments liquides ;
  • Par voie nasogastrique ;
  • Ora­le­ment avec des ali­ments solides.

Quel que soit le mode pré­fé­ré, il doit pou­voir garan­tir par semaine une prise de poids de 1,5 kg au moins durant toute la période de l’hospitalisation. Une fois que le patient se retrouve hors de dan­ger, la plus longue phase du trai­te­ment débute. Elle est qua­li­fiée d’ambulatoire.

Comment se passe la thérapie ambulatoire ?

La phase ambu­la­toire doit durer en moyenne un an. Son prin­cipe est de cor­ri­ger les com­por­te­ments ali­men­taires du patient. Ce der­nier sera en effet ame­né à nor­ma­li­ser la prise du poids et l’adoption d’une bonne alimentation.

Dans l’optique d’atteindre ces objec­tifs, la thé­ra­pie fami­liale et celle psy­cho­lo­gique sont les tech­niques les plus mises en œuvre, sur­tout si le patient est un ado­les­cent ou un enfant. D’autres solu­tions peuvent être éga­le­ment envi­sa­gées comme :

  • Le sui­vi du patient par un nutri­tion­niste ;
  • La recom­man­da­tion de repas à consommer ;
  • L’encouragement du patient ;
  • Nouer une rela­tion favo­rable pour évi­ter les risques de rechute.

La prise de médi­ca­ments favo­ri­sant la prise du poids comme l’olanzapine consti­tue éga­le­ment une solu­tion fiable. Par ailleurs, lorsque la perte de poids n’est pas sévère, c’est uni­que­ment la thé­ra­pie ambu­la­toire qui est uti­li­sée comme moyen de traitement.

ANOREXIE MENTALE : Complications

L’anorexie men­tale est une affec­tion à ne pas négli­ger. Sa prise en charge doit être rapide. Dans le rang des troubles du com­por­te­ment ali­men­taire, elle consti­tue l’affection res­pon­sable d’un grand nombre de mor­ta­li­tés, soit 10 %. 

Le décès est majo­ri­tai­re­ment lié aux consé­quences que pro­voque l’affection au niveau psy­cho­lo­gique. En effet, à un niveau extrême de la mala­die, les ano­rexiques ont des conduites et idées suicidaires.

Les autres conséquences

Bien que cela soit peu cou­rant, le décès sus­cep­tible d’intervenir dans le cadre d’une ano­rexie men­tale peut être éga­le­ment rela­tif à ses consé­quences sur le phy­sique à savoir :

  • Les troubles du rythme cardiaque ;
  • La peau bleutée ;
  • L’ostéoporose ;
  • Les troubles électrolytiques ;
  • L’insuffisance hépa­tique aiguë ;
  • L’hypotension ;
  • Le lanu­go.

Les ano­ma­lies bio­chi­miques du foie, la gas­tro­pa­ré­sie et la sar­co­pé­nie font éga­le­ment par­tie de cette liste de com­pli­ca­tions de l’anorexie men­tale.

 

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...