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Cyanose : diagnostic, causes, signes et traitements

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Consi­dé­rée comme un symp­tôme cli­nique, la cya­nose est une affec­tion qui résulte d’une désa­tu­ra­tion du sang en oxy­gène. Elle est redou­tée pour ses effets sur la colo­ra­tion de la couche externe de la peau et se pré­sente géné­ra­le­ment comme la consé­quence d’une mala­die sous-jacente. Com­ment se fait son diag­nos­tic ? Quelles sont ses étio­lo­gies ? Quels sont ses symp­tômes ? Com­ment est-elle prise en charge ? On vous dit tout sur la cya­nose ici !

Cyanose : définition

La cya­nose cor­res­pond à la pig­men­ta­tion de la peau ou des muqueuses en bleu. Elle fait sou­vent suite à une alté­ra­tion pro­lon­gée du sang et en par­ti­cu­lier de l’hémoglobine, qui est res­pon­sable du trans­port de l’oxygène vers les tis­sus. En effet, en cas de cya­nose, le taux san­guin d’hémoglobine désoxy­gé­née s’élève. Le sang s’appauvrit alors en oxy­gène et lors de sa cir­cu­la­tion dans les vais­seaux, les tégu­ments prennent une teinte bleu­tée.

Cyanose : diagnostic

En géné­ral, le diag­nos­tic d’une cya­nose se fait en milieu hos­pi­ta­lier par un pro­fes­sion­nel de la san­té. Il peut se poser de diverses façons. Dans la majo­ri­té des cas, il est éta­bli au moyen de l’appréciation de deux exa­mens cli­niques. Il y a le taux de satu­ra­tion du sang en oxy­gène et le taux en hémo­glo­bine désoxy­gé­née.

Le taux de saturation sanguin en oxygène

Cet exa­men per­met de mesu­rer la SaO2 (satu­ra­tion de l’oxygène) et la PaO2 (pres­sion arté­rielle en oxy­gène) du sang. Il ren­seigne en pour­cen­tage la part pré­cise d’hémoglobine oxy­gé­née par rap­port au total d’hémoglobine dans le sang. Géné­ra­le­ment, il est fait en labo­ra­toire cli­nique suite au pré­lè­ve­ment du sang arté­riel du malade.

Pour des valeurs nor­males d’hémoglobines, peu importe les tranches d’âges consi­dé­rées, la SaO2 et la PaO2 doivent res­pec­ti­ve­ment être supé­rieures à 80 % et 50 mmHg. Ain­si, une SaO2 infé­rieure ou égale à 80 %, ou encore une PaO2 infé­rieure à 50 mmHg tra­duisent un faible taux de satu­ra­tion en oxy­gène. Cela induit donc une cyanose.

Le taux en hémoglobine désoxygénée

Bien que le taux en hémo­glo­bine désoxy­gé­née soit moins com­plet que l’examen pré­cé­dent, il demeure l’un des plus pré­cis qui soient. Son objec­tif est de mesu­rer en grammes et par déci­litres (dl) de sang, le total d’hémoglobine désoxygénée.

En prin­cipe, par déci­litres de liquide san­guin, le taux en hémo­glo­bine désoxy­gé­née ne doit pas excé­der cinq grammes. Par consé­quent, un taux en hémo­glo­bine désoxy­gé­née supé­rieure à 5 g/dl suf­fit pour éta­blir le diag­nos­tic d’une cyanose.

Cyanose : symptômes

Le prin­ci­pal symp­tôme par lequel une cya­nose est recon­nais­sable est la colo­ra­tion de l’enveloppe externe de la peau en bleue. Cepen­dant, en fonc­tion de ses ori­gines, elle peut éga­le­ment se mani­fes­ter par de nom­breux autres symp­tômes. Il y a entre autres :

  • la fièvre ;
  • les dou­leurs loca­li­sées au niveau de la poitrine ;
  • la détresse respiratoire ;
  • la fatigue ;
  • l’insuffisance car­diaque, etc.

Ces symp­tômes sont pour la plu­part d’un inté­rêt étio­lo­gique et ne sont pas néces­saires pour confir­mer le diag­nos­tic d’une cya­nose. Tou­te­fois, ils per­mettent de mieux orien­ter la prise en charge du patient.

Cyanose : complications

La cya­nose est une patho­lo­gie qui, lorsqu’elle est mal trai­tée, peut entraî­ner de nom­breuses com­pli­ca­tions. Ces der­nières sont mul­tiples et dépendent d’une part de la loca­li­sa­tion de la cya­nose et d’autre part de sa cause. Dans le rang des plus réper­to­riés, on compte la poly­glo­bu­lie secon­daire, l’hippocratisme digi­tal et une syncope.

La polyglobulie secondaire

La poly­glo­bu­lie secon­daire consi­dé­rée comme la prin­ci­pale com­pli­ca­tion d’une cya­nose est un trouble carac­té­ri­sé par un accrois­se­ment exor­bi­tant de la quan­ti­té de glo­bules rouges pro­duits par l’organisme. En cas de cya­nose, elle résulte d’un méca­nisme mis en œuvre par l’organisme pour faire face à la faible oxy­gé­na­tion des tis­sus. Même si elle n’engage pas le pro­nos­tic vital, elle est consi­dé­rée comme une urgence médi­cale, car elle rend vis­queux le sang qui peine à cir­cu­ler dans les veines.

L’hippocratisme digital

L’hip­po­cra­tisme digi­tal est après la poly­glo­bu­lie secon­daire, la com­pli­ca­tion la plus cou­rante d’une cya­nose. Elle est défi­nie comme une prise injus­ti­fiée de volume par les ongles et est plus cou­rante chez les patients souf­frant du syn­drome de Ray­naud. L’hippocratisme digi­tal même si elle paraît banale est une com­pli­ca­tion de la cya­nose à ne pas prendre à la légère. On vous recom­mande de consul­ter un méde­cin lorsque vous obser­vez en plus de la colo­ra­tion bleu­tée de la peau, des signes d’un hip­po­cra­tisme digital.

La syncope

La syn­cope est la com­pli­ca­tion la plus alar­mante d’une cya­nose. Elle inter­vient géné­ra­le­ment dans le cas d’une cya­nose géné­ra­li­sée et se carac­té­rise par une perte totale et sou­daine de connais­sance pen­dant un bref moment. Elle est trai­tée comme une urgence médi­cale, et peut enga­ger le pro­nos­tic vital si des soins adap­tés ne sont pas admi­nis­trés rapidement.

Cyanose : les différents types

Cya­nose

On dis­tingue deux prin­ci­paux types de cya­noses : la cya­nose loca­li­sée et la cya­nose généralisée.

La cyanose localisée

La cya­nose loca­li­sée est la forme la plus cou­rante de cya­nose. Dans le cas d’une cya­nose loca­li­sée, la pig­men­ta­tion bleu­tée ne se limite qu’à des régions spé­ci­fiques de la peau. Bien sou­vent, il s’agit :

  • du visage ;
  • des lèvres ;
  • des doigts et des orteils ;
  • du bras ;
  • de la jambe.

L’évolution de la cya­nose loca­li­sée est habi­tuel­le­ment plus favo­rable que celle d’une cya­nose géné­ra­li­sée. En effet, elle est moins sus­cep­tible de s’aggraver. Cepen­dant, elle doit néces­sai­re­ment faire l’objet d’une consultation.

La cyanose généralisée

Par oppo­si­tion à la cya­nose loca­li­sée, la cya­nose géné­ra­li­sée s’étend à l’ensemble des membres du corps. Elle est une urgence médi­cale, car elle peut cacher une mala­die grave sus­cep­tible d’engager le pro­nos­tic vital. La consul­ta­tion d’un méde­cin est requise dans l’immédiat quand les symp­tômes d’une cya­nose géné­ra­li­sée sont obser­vés. Il faut noter que contrai­re­ment aux idées reçues, elle peut tou­cher aus­si bien les adultes que les enfants.

Cyanose : causes

Les causes d’une cya­nose sont mul­tiples et varient selon le type consi­dé­ré. Les plus cou­rantes sont :

  • l’exposition au froid ;
  • le phé­no­mène de Raynaud ;
  • la pneu­mo­nie ;
  • l’insuffisance res­pi­ra­toire ;
  • l’embolie pul­mo­naire ;
  • le choc cardiotonique ;
  • l’œdème pul­mo­naire ;
  • l’asthme bron­chique.

Excep­té ces dif­fé­rentes causes, rares sont les fac­teurs qui à eux seuls, peuvent favo­ri­ser la cya­nose chez un sujet à part une pré­dis­po­si­tion génétique.

L’exposition au froid

Très sou­vent bana­li­sée, l’expo­si­tion au froid est la cause de la sur­ve­nue de 50 % des cas de cya­noses loca­li­sées. En effet, dans les périodes froides, un dés­équi­libre se crée entre la tem­pé­ra­ture envi­ron­nante et celle de l’organisme. Ain­si, plu­sieurs fonc­tions phy­sio­lo­giques y com­pris le trans­port de l’oxygène vers les tis­sus par l’hémoglobine sont per­tur­bées. Le taux de satu­ra­tion en oxy­gène chute donc, expo­sant cer­taines par­ties du corps à une cya­nose. Lorsque l’expo­si­tion au froid est la cause d’une cya­nose, il n’y a pas d’inquiétude à avoir. En réa­li­té, dans la majo­ri­té des cas, aucune com­pli­ca­tion ne survient.

Le syndrome de Raynaud 

Défi­ni comme un vasos­pasme, le syn­drome de Ray­naud est un trouble rare qui fait suite à une expo­si­tion prolongée/brutale au froid ou à un pro­blème psy­chique (stress, dépres­sion). Il consti­tue avec l’exposition au froid les deux causes majo­ri­taires d’une cya­nose localisée.

En cas de syn­drome de Ray­naud, on assiste à un arrêt tem­po­raire de la cir­cu­la­tion du sang au niveau des doigts. La satu­ra­tion san­guine en oxy­gène baisse alors à ce point et la peau de la main prend une teinte bleue.

La pneumonie 

La pneu­mo­nie désigne l’infection des pou­mons par un virus tel qu’un rhi­no­vi­rus, ou une bac­té­rie telle que Hae­mo­phi­lus influen­za. Bien qu’elle soit sans gra­vi­té, elle est la prin­ci­pale rai­son de sur­ve­nue d’une cya­nose géné­ra­li­sée, sur­tout lorsqu’elle est mal traitée.

En effet, sui­vant un méca­nisme non entiè­re­ment élu­ci­dé à ce jour, la pneu­mo­nie entraî­ne­rait dans les pou­mons, une satu­ra­tion par­tielle du sang d’origine vei­neuse en oxy­gène. Cela expose la qua­si-tota­li­té des per­sonnes qui en souffrent à une désa­tu­ra­tion pro­gres­sive de sang en oxy­gène et donc une cya­nose généralisée.

L’insuffisance respiratoire 

L’insuf­fi­sance res­pi­ra­toire est une mala­die carac­té­ri­sée par l’incapacité par­tielle de l’appareil res­pi­ra­toire à assu­rer de façon opti­male l’hémostase. Elle se mani­feste au tra­vers de nom­breux symp­tômes, par­mi les­quels figure l’hypoxie. Lorsque l’hémostase n’est pas bien assu­rée, un dés­équi­libre est obser­vé entre les taux d’oxygène véhi­cu­lés et les taux d’hydroxyde de car­bone libé­rés dans les alvéoles. Le sang s’appauvrit ain­si en oxy­gène et une hypoxie, puis une cya­nose géné­ra­li­sée peuvent être observées.

L’embolie pulmonaire 

Une embo­lie pul­mo­naire est par défi­ni­tion une obs­truc­tion par­tielle ou com­plète d’une artère ou de l’un de ses pro­lon­ge­ments par un caillot de sang. Elle figure par­mi les mala­dies pul­mo­naires les plus graves et peut cau­ser une cya­nose généralisée.

Ceci est expli­qué par le fait qu’une embo­lie pul­mo­naire pour­rait entra­ver le trans­port opti­mal d’oxygène vers les tis­sus par les hémo­glo­bines. Il s’ensuit donc un appau­vris­se­ment du sang en oxy­gène et une cya­nose qui s’étend à l’ensemble du corps.

Le choc cardiotonique 

Le choc car­dio­to­nique est une mala­die car­diaque carac­té­ri­sée par une inca­pa­ci­té de la pompe car­diaque à accom­plir de manière opti­male ses fonc­tions phy­sio­lo­giques. Un rôle clé de la pompe car­diaque est de faire cir­cu­ler l’hémoglobine dans le sang. Elle contri­bue donc gran­de­ment au pro­ces­sus de trans­port de l’oxygène vers les tis­sus dans l’organisme. De ce fait, sa défaillance pour­rait entraî­ner une hypoxie, ce qui jus­ti­fie l’implication du choc car­dio­to­nique dans l’apparition d’une cya­nose. La majeure par­tie du temps, le choc car­dio­to­nique est res­pon­sable d’une cya­nose géné­ra­li­sée.

L’œdème pulmonaire

Cau­sé en géné­ral par une insuf­fi­sance car­diaque gauche, l’œdème pul­mo­naire cor­res­pond à une accu­mu­la­tion impor­tante d’eau dans les alvéoles à l’intérieur des pou­mons. Il est sus­cep­tible de favo­ri­ser une cya­nose par un méca­nisme simple. En effet, lorsque du liquide s’accumule dans les alvéoles, elles se retrouvent dans l’incapacité de char­ger effi­ca­ce­ment les hémo­glo­bines en oxy­gène. Les tis­sus sont alors par­tiel­le­ment oxy­gé­nés ou pas du tout oxy­gé­nés, ce qui offre un ter­rain pro­pice à la cya­nose généralisée.

L’asthme bronchique

L’asthme bron­chique est une mala­die pul­mo­naire qui peut se mani­fes­ter par des crises aigües dites d’asthmes. Même si ces der­nières passent géné­ra­le­ment avec les trai­te­ments adap­tés, elles peuvent s’aggraver et virer vers une cya­nose, le plus sou­vent géné­ra­li­sée. Les crises d’asthme bron­chique pro­voquent, en effet, une hausse remar­quable des fré­quences car­diaques et res­pi­ra­toires. Par consé­quent, les muscles acces­soires de la res­pi­ra­tion sont sol­li­ci­tés et un épui­se­ment res­pi­ra­toire gra­duel s’observe. Dans ces condi­tions, l’hémoglobine se retrouve dans l’incapacité de trans­por­ter effi­ca­ce­ment l’oxygène aux tis­sus. Ain­si, le sang s’appauvrit pro­gres­si­ve­ment et une cya­nose est obser­vée si aucun soin n’est admi­nis­tré dans l’immédiat pour cal­mer la crise.

Cyanose : mesures préventives

Cya­nose

Pour pré­ve­nir la cya­nose, il n’existe aucun moyen objec­tif de pro­cé­der. Cepen­dant, au regard des causes d’une cya­nose, on recom­mande pour com­men­cer d’éviter de s’exposer au froid dans les sai­sons froides. Ensuite, pour évi­ter les nom­breuses mala­dies res­pon­sables de la cya­nose, il est conseillé de faire du sport, et d’adopter une ali­men­ta­tion saine et équi­li­brée. Pour finir, confor­mé­ment aux recom­man­da­tions de l’OMS pour une bonne san­té, il est impé­ra­tif de faire au moins 30 minutes d’activité spor­tive par jour.

Cyanose : solutions

Pour pal­lier une cya­nose, diverses solu­tions sont pro­po­sées. Elles dépendent du type de cya­nose, et agissent sur la cause de la cya­nose afin d’éviter qu’elle se complique.

Dans le rang des solu­tions uti­li­sées en milieu médi­cal pour le trai­te­ment d’une cya­nose, on compte :

  • l’intervention chi­rur­gi­cale ;
  • l’oxygénation ;
  • la pres­crip­tion de médicaments ;
  • les vête­ments chauds.

Ces solu­tions peuvent être com­plé­tées par des solu­tions de la phy­to­thé­ra­pie ou des recettes de grands-mères.

L’intervention chirurgicale

L’inter­ven­tion chi­rur­gi­cale est géné­ra­le­ment requise pour les cas de cya­noses géné­ra­li­sées graves. Elle n’est envi­sa­gée que lorsque la cause de la cya­nose ne peut être trai­tée par une simple médi­ca­tion. Ce type d’intervention chi­rur­gi­cale est en géné­ral sans risque et pro­gram­mé quand il n’y a aucune urgence.

L’oxygénation

L’oxy­gé­na­tion est un pro­cé­dé qui consiste en un apport d’oxygène à l’organisme au tra­vers d’un dis­po­si­tif sous forme de masque. Ce der­nier couvre la bouche et le nez. Plus rare­ment, en fonc­tion des par­ti­cu­la­ri­tés du cas consi­dé­ré, elle peut éga­le­ment s’effectuer par une intu­ba­tion tra­chéale ou par une trachéotomie.

Une oxy­gé­na­tion est géné­ra­le­ment envi­sa­gée dans les cas moins graves de cya­noses et est sou­vent très effi­cace. Géné­ra­le­ment, elle est asso­ciée à l’intervention chi­rur­gi­cale quand le malade pré­sente des troubles respiratoires.

Les médicaments

Le trai­te­ment médi­ca­men­teux est sou­vent uti­li­sé pour les causes de la cya­nose. Cepen­dant, il n’est pas fixe et dépend de la mala­die res­pon­sable de la colo­ra­tion bleu­tée de la peau. Pour un malade qui pré­sente par exemple une pneu­mo­nie, des anti­bio­tiques (amoxi­cil­line par exemple) doivent être pré­vus pour la prise en charge. Les médi­ca­ments sont en prin­cipe inutiles pour le trai­te­ment des formes bénignes de cyanose.

Les vêtements chauds

Le port de vête­ments chauds est le trai­te­ment par excel­lence pour cor­ri­ger une cya­nose lorsqu’elle est cau­sée par un fac­teur externe tel que l’exposition au froid. Il est très effi­cace et les patients se retrouvent dans un délai extrê­me­ment court (une tren­taine de minutes après le port des vête­ments). On le recom­mande aus­si en com­plé­ment aux autres trai­te­ments pour une dis­pa­ri­tion rapide des symptômes.

 

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