HomeBien-êtreLes douleurs abdominales de l’enfant : causes, typologie et remèdes

Les douleurs abdominales de l’enfant : causes, typologie et remèdes

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Les maux de ventre ou les dou­leurs abdo­mi­nales font par­tie des symp­tômes les plus cou­rants chez les enfants. Ils sont sou­vent source d’inquiétude, car les parents les asso­cient à des troubles néces­si­tant des inter­ven­tions chi­rur­gi­cales. Ce sont des dou­leurs d’estomac qui dis­pa­raissent et appa­raissent plu­sieurs fois par semaine ou par­fois plu­sieurs fois par jour. Les causes de cette affec­tion chez les bébés peuvent être nom­breuses. Il est donc impor­tant de les connaître afin de les iden­ti­fier et de savoir com­ment réagir en cas de pre­miers secours.

Douleurs abdominales de l’enfant : description générale

Les dou­leurs abdo­mi­nales se carac­té­risent par des épi­sodes de troubles de l’estomac sur une période don­née. Elles peuvent être si graves qu’elles inter­fèrent avec les acti­vi­tés quo­ti­diennes de l’enfant. Trop sou­vent, cette affec­tion donne lieu à d’interminables tests, écho­gra­phies et exa­mens de contrôle. Le constat est que ceux-ci s’avèrent par­fois néga­tifs. Ces maux consti­tuent de prin­ci­pales causes d’accès aux soins médi­caux de niveau I et II chez les enfants de plus de 3 ans. Dans cer­tains cas, ils se mani­festent par des dou­leurs abdo­mi­nales récur­rentes (DAR). Ces der­nières se mani­festent par la pré­sence d’au moins 3 épi­sodes de dou­leur gênants sur une période d’au moins 3 mois.

L’incidence des DAR dans le monde est esti­mée à envi­ron 13,5 %. Ce taux est lié à l’âge et à une pré­va­lence plus éle­vée chez les filles. On ne peut iden­ti­fier une cause orga­nique que dans 5 à 10 % des cas. Les autres sont consi­dé­rés comme des troubles diges­tifs fonctionnels. 

Ce mal consti­tue un ter­rain fer­tile pour le déve­lop­pe­ment de fausses croyances, même par­mi les pro­fes­sion­nels de san­té. Cela est dû à l’impact émo­tion­nel et des réper­cus­sions sur la qua­li­té de vie des enfants et des familles.

Douleurs abdominales de l’enfant : causes

Les causes des maux de ventre chez les enfants sont mul­tiples. Elles peuvent affec­ter dif­fé­rents organes situés dans l’abdomen ou être liées à d’autres pathologies.

Cause fonctionnelle

Dans 90 % des cas, la cause est fonc­tion­nelle. L’origine fonc­tion­nelle du trouble indique qu’il existe une per­tur­ba­tion du fonc­tion­ne­ment de l’intestin. Les rai­sons peuvent être :

  • une modi­fi­ca­tion de la quan­ti­té de gaz intestinaux ;
  • une hyper­ex­ci­ta­bi­li­té des muscles intestinaux ;
  • un pas­sage dif­fi­cile des matières fécales.

Des don­nées récentes sug­gèrent que des inter­ac­tions com­plexes entre le cer­veau et l’intestin jouent un rôle cru­cial. Les enfants qui souffrent de dou­leurs abdo­mi­nales fonc­tion­nelles sont sou­vent expo­sés à des attentes exces­sives ou à l’anxiété.

En outre, ils sont par­fois confron­tés à des situa­tions fami­liales, ou même des chan­ge­ments nor­maux comme la nais­sance d’un frère ou d’une sœur. Ces situa­tions peuvent pro­vo­quer un stress conti­nu chez l’enfant. Ces expé­riences, en ver­tu de l’interconnexion entre le cer­veau et l’intestin, conduisent à la géné­ra­tion de dou­leurs d’estomac.

Cause biopsychosociale

Pour expli­quer la cause des dou­leurs abdo­mi­nales, on parle aujourd’hui d’un modèle bio­psy­cho­so­cial. En effet, des évé­ne­ments médi­caux mineurs et des fac­teurs psy­cho­so­ciaux inter­viennent sur une pré­dis­po­si­tion géné­tique géné­rant une patho­lo­gie appe­lée hyper­sen­si­bi­li­té vis­cé­rale. Il s’agit d’une dimi­nu­tion du seuil de dou­leur dans l’intestin (per­cep­tion de la dou­leur même pour des sti­mu­li légers).

Les causes dans ces cas peuvent être :

  • Une inflam­ma­tion muqueuse légère ;
  • Un trau­ma­tisme précoce ;
  • Le stress ;
  • L’anxiété ;
  • La dépres­sion.

Par ailleurs, les études ont per­mis de confir­mer un rôle majeur du micro­biote intes­ti­nal. On parle désor­mais d’un axe « cer­veau-micro­biote-intes­tin ». Il peut être à la genèse des dou­leurs abdo­mi­nales de l’enfant. Les per­tur­ba­tions de la flore intes­ti­nale dues au stress, aux médi­ca­ments ou aux voyages sont éga­le­ment des causes pro­bables. Elles peuvent entraî­ner des symp­tômes de troubles intes­ti­naux tels que la consti­pa­tion, la diar­rhée et les dou­leurs d’estomac.

Infections bactériennes

Les enfants entrent en contact avec de nom­breuses bac­té­ries poten­tiel­le­ment dan­ge­reuses à la mai­son, à l’école et dans la cour de récréa­tion. Ces bat­te­ries peuvent pro­vo­quer des infec­tions intes­ti­nales. Les dou­leurs abdo­mi­nales sont un effet secon­daire cou­rant de cette expo­si­tion. Cer­taines causes sont d’origine bio­lo­gique et peuvent être attri­buées aux mala­dies suivantes :

  • La consti­pa­tion chronique,
  • L’intolérance au lactose,
  • La mala­die de Crohn,
  • Le diver­ti­cule de Meckel,
  • Les cal­culs biliaires,
  • La para­si­tose,
  • La mala­die cœliaque,
  • Les infec­tions des voies urinaires,
  • Les cal­culs rénaux,
  • L’hydronéphrose.

En outre, la sur­ali­men­ta­tion, les aller­gies ali­men­taires et les intoxi­ca­tions ali­men­taires peuvent pro­vo­quer des dou­leurs dans la région abdominale.

Douleurs abdominales de l’enfant : différents types

Bien qu’il n’existe pas de causes pré­cises aux dou­leurs abdo­mi­nales, on peut les regrou­per en 5 dif­fé­rents groupes.

Les douleurs abdominales dues à la constipation

Cin­quante pour cent des enfants consti­pés (ou en état de consti­pa­tion) pré­sentent sou­vent aus­si des dou­leurs abdo­mi­nales, qui peuvent être noc­turnes. La consti­pa­tion dans le groupe d’âge pédia­trique est fonc­tion­nelle dans envi­ron 95 % des cas.

Elle se résout géné­ra­le­ment par un trai­te­ment appro­prié avec des émol­lients fécaux. Une fois la consti­pa­tion réso­lue, les dou­leurs d’estomac dis­pa­raissent habi­tuel­le­ment aus­si. Il existe dif­fé­rents types de constipations.

On parle en effet de consti­pa­tion lorsque l’enfant fait peu sou­vent « caca » (moins de deux fois par semaine). En revanche, lorsqu’il le fait quo­ti­dien­ne­ment, il peut éva­cuer ain­si des selles volu­mi­neuses, dures et dif­fi­ciles ou des selles de chèvre (en boules).

Dans tous ces cas, cela signi­fie que l’enfant retient long­temps les fèces dans l’intestin avant de les éva­cuer. Par consé­quent, si un enfant souffre de dou­leurs abdo­mi­nales fré­quentes et de consti­pa­tion, sa mère devra en par­ler à son pédiatre. Ce der­nier pro­po­se­ra un trai­te­ment avec des émol­lients fécaux pour la pre­mière étape afin de résoudre le mal.

La dyspepsie fonctionnelle

La dys­pep­sie fonc­tion­nelle se carac­té­rise par une sen­sa­tion de bal­lon­ne­ment abdo­mi­nal après les repas. L’enfant res­sent une satié­té pré­coce et/ou une sen­sa­tion dou­lou­reuse dans la par­tie médiane supé­rieure de l’abdomen (dou­leur épi­gas­trique). Autre­ment dit, en cas de dys­pep­sie fonc­tion­nelle, le pro­blème se situe plus sou­vent au-des­sus du nombril.

Ces symp­tômes doivent être pré­sents depuis au moins deux mois. Dans le cas de la dys­pep­sie fonc­tion­nelle, les symp­tômes concernent l’estomac :

  • Sous-type d’inconfort post­pran­dial de la dys­pep­sie fonc­tion­nelle : dans cette forme, les symp­tômes pré­do­mi­nants sont la satié­té pré­coce et la plé­ni­tude postprandiale.
  • Dys­pep­sie fonc­tion­nelle du sous-type dou­lou­reux : dans cette forme, cepen­dant, le symp­tôme pré­do­mi­nant est la dou­leur ou la brû­lure épigastrique.

Les symp­tômes décrits pour la dys­pep­sie fonc­tion­nelle sont assez sem­blables à ceux obser­vés dans les cas de gas­trite et/ou d’ulcère gas­tro-duo­dé­nal. En fait, chez les enfants, ces symp­tômes paraissent indi­quer l’une des affec­tions qui touchent prin­ci­pa­le­ment l’estomac. Il s’agit de l’Helicobacter pylo­ri (un germe qui attaque l’estomac), que l’on traite par des anti­bio­tiques et des antiacides.

Le syndrome du côlon irritable (SCI)

Le déve­lop­pe­ment de dou­leurs abdo­mi­nales qui sur­viennent au moins quatre jours par mois pen­dant au moins deux mois est sa carac­té­ris­tique aty­pique. Elles sur­viennent lors de la défé­ca­tion et sont asso­ciées à des chan­ge­ments dans la fré­quence et la consis­tance des selles. Par exemple, dures ou semi-liquides. Trois sous-types de SCI peuvent être recon­nus en fonc­tion des carac­té­ris­tiques des selles :

  • Syn­drome du côlon irri­table avec diarrhée,
  • Syn­drome du côlon irri­table avec constipation,
  • Syn­drome du côlon irri­table mixte.

Chez les enfants atteints de SCI avec consti­pa­tion, les dou­leurs abdo­mi­nales ne dis­pa­raissent pas avec la régu­la­ri­sa­tion de l’alvéole. Alors que ce n’est pas le cas chez les patients atteints de consti­pa­tion fonctionnelle.

La migraine abdominale

Les dou­leurs abdo­mi­nales de l’enfant

Elle se carac­té­rise par des épi­sodes graves de dou­leurs abdo­mi­nales aiguës, géné­ra­le­ment loca­li­sées autour du nom­bril ou s’étendant à tout l’abdomen. Celles-ci durent une heure ou plus. La dou­leur est le plus inva­li­dante, per­turbe les acti­vi­tés nor­males et peut être asso­ciée à d’autres symptômes :

  • Les nau­sées ;
  • Les vomis­se­ments ;
  • Les maux de tête ;
  • Trouble visuel ou photophobie ;
  • La pâleur.

Ces épi­sodes de dou­leurs s’interrompent par des périodes pro­lon­gées (semaines ou mois) de bien-être total. La carac­té­ris­tique de ce trouble gas­tro-intes­ti­nal fonc­tion­nel est que les symp­tômes se répètent de manière sté­réo­ty­pée. C’est-à-dire qu’ils sont tou­jours liés aux mêmes carac­té­ris­tiques pour chaque patient. Le trouble fonc­tion­nel capable de déclen­cher une migraine sévère chez un adulte peut donc être pro­je­té sur l’abdomen chez un enfant.

De plus, les symp­tômes sont par­fois si intenses qu’il est néces­saire d’hospitaliser le bébé pour le réhy­dra­ter et le main­te­nir. Lorsque les vomis­se­ments sont impor­tants, l’administration d’ondansétron peut aider. Le trai­te­ment est le même que pour la migraine, avec des antal­giques en phase aiguë (para­cé­ta­mol ou ibuprofène).

Les douleurs abdominales fonctionnelles non spécifiées

Il s’agit de dou­leurs abdo­mi­nales qui ne cor­res­pondent pas aux carac­té­ris­tiques des troubles décrits ci-des­sus. Ce sont des épi­sodes de dou­leurs qui sur­viennent au moins quatre fois par mois. Elles durent pen­dant au moins deux mois de façon épi­so­dique ou continue.

En outre, ces dou­leurs ne sur­viennent pas exclu­si­ve­ment lors d’événements phy­sio­lo­giques, dont l’alimentation. Dans la popu­la­tion d’âge pédia­trique, la consti­pa­tion est une cause impor­tante de dou­leurs abdo­mi­nales fonctionnelles.

Douleurs abdominales de l’enfant : symptômes d’alerte

Bien que les symp­tômes soient très gênants, dans la plu­part des cas, ils ne mettent pas la vie en dan­ger. Par ailleurs, ils ne sont pas asso­ciés à des patho­lo­gies graves ou liées au développement.

Voi­ci une liste de symp­tômes à recher­cher chez les enfants atteints de dou­leurs abdo­mi­nales. Cer­tains aug­mentent la pro­ba­bi­li­té qu’il ne s’agisse pas d’un pro­blème fonc­tion­nel, mais d’une mala­die organique.

Manifestations générales alarmantes

Les symp­tômes qui doivent inquié­ter les parents comprennent :

  • Les dou­leurs abdo­mi­nales per­sis­tantes dans l’abdomen supé­rieur droit (vési­cule biliaire) ou infé­rieur droit (appen­di­cite, appendicopathie).
  • Les dou­leurs noc­turnes ou diar­rhées : elles sug­gèrent avant tout une consti­pa­tion et, si elles sont exclues, un pro­blème orga­nique. Dans le cas des troubles fonc­tion­nels énu­mé­rés ci-des­sus (sauf la consti­pa­tion fonc­tion­nelle), les dou­leurs sont en effet tou­jours diurnes.
  • Une perte de poids et/ou retard de crois­sance : cela doit tou­jours être alarmant.
  • La pré­sence d’arthrite : les mala­dies inflam­ma­toires chro­niques de l’intestin (MICI). Par exemple, la mala­die de Crohn et la colite ulcé­reuse. Elles sont sou­vent asso­ciées à une arthropathie.
  • Une mala­die péria­nale : c’est une évo­ca­trice d’une MICI (mala­dies inflam­ma­toires chro­niques de l’intestin).
  • Une dys­pha­gie (dif­fi­cul­té à ava­ler) et des vomis­se­ments per­sis­tants : évo­ca­teurs d’une patho­lo­gie œso­pha­gienne (sté­noses, acha­la­sie, etc.).
  • Une fièvre inexpliquée.
  • Une hémor­ra­gie gastro-intestinale.

En plus de ces mani­fes­ta­tions, on peut noter des signes de mala­die cœliaque ou d’ulcère gas­tro-duo­dé­nal. Si ces carac­té­ris­tiques sont pré­sentes, on recom­mande d’envisager un bilan diagnostique. 

Manifestations chez les nourrissons

Chez les nour­ris­sons, qui sont mani­fes­te­ment inca­pables de s’exprimer, il est dif­fi­cile d’identifier la pré­sence de dou­leurs abdo­mi­nales. Les pleurs sont sou­vent consi­dé­rés comme un symp­tôme de dou­leur abdo­mi­nale. Tou­te­fois, il faut savoir qu’un nour­ris­son peut pleu­rer pour des rai­sons phy­sio­lo­giques, par exemple, la faim. Les pleurs peuvent éga­le­ment indi­quer d’autres patho­lo­gies, notam­ment d’une infec­tion des voies uri­naires. Néan­moins, voi­ci les signes du nour­ris­son qui peuvent témoi­gner de la pré­sence de dou­leurs abdominales :

  • Épi­sodes de pleurs pro­lon­gés ou récur­rents (colique),
  • Agi­ta­tion,
  • Irri­ta­bi­li­té,
  • Inso­lu­bi­li­té parentale.

Chez un nour­ris­son de moins de 5 mois, cer­tains symp­tômes peuvent dis­pa­raître d’eux-mêmes sans une rai­son évi­dente. Tou­te­fois, cela peut être le signe d’une absence de retard de crois­sance, des dou­leurs ou d’une autre mala­die. Dans ces cas, il est recom­man­dé d’utiliser, la règle de trois. Il faut véri­fier si le nour­ris­son pleure plus de trois heures par jour, et plus de trois jours par semaine.

Douleurs abdominales de l’enfant : remèdes

Les dou­leurs abdo­mi­nales de l’enfant

Pour un enfant qui res­sent les dou­leurs abdo­mi­nales, les remèdes natu­rels peuvent être béné­fiques pour le cal­mer. Il s’agit de mesures simples pour détendre les muscles abdo­mi­naux et sou­la­ger la dou­leur. Les remèdes de grand-mère pour les maux de ventre chez les bébés incluent :

  • Bouillotte : il est recom­man­dé de la pla­cer sur le ventre du bébé pen­dant qu’il est allon­gé. La cha­leur va agir pour détendre les muscles qui se contractent.
  • Mas­sage du ventre : l’application d’une légère pres­sion peut aider à délo­ger les gaz ou les indi­ges­tions qui se pro­duisent. Cela pro­cure un sou­la­ge­ment peu de temps après.
  • Consom­ma­tion de petites gor­gées d’eau : en buvant de l’eau, cela fini­ra par sti­mu­ler la diges­tion et aide­ra à sou­la­ger toute ten­sion douloureuse.

Les spé­cia­listes recom­mandent de don­ner aux enfants atteints de dou­leurs abdo­mi­nales du thé et des tisanes au citron ou à la camomille.

Habitudes alimentaires saines

Si l’enfant souffre de maux de ventre, il est néces­saire de suivre un régime ali­men­taire cor­rect. Ce der­nier doit tou­jours être conve­nu avec un spé­cia­liste, qui pour­ra aus­si éva­luer et prendre en compte les éven­tuelles into­lé­rances ali­men­taires. En géné­ral, il est recom­man­dé d’administrer de l’eau en permanence.

Quant aux assai­son­ne­ments, l’huile d’olive et le citron sont pré­fé­rables. Les fruits et légumes de sai­son sont par­ti­cu­liè­re­ment adap­tés, tout comme les ali­ments par­ti­cu­liè­re­ment riches en fibres. En revanche, les pro­duits lai­tiers et le lait de vache sont à éviter.

Journal

Il peut être utile de tenir un jour­nal sur une cer­taine période de temps pour le mon­trer au pédiatre. On peut y noter :

  • La fré­quence à laquelle la per­tur­ba­tion se produit,
  • Le moment de la jour­née où le mal de ventre se produit,
  • Com­ment elle sur­vient (avec ou sans nau­sées, ventre gon­flé, pré­sence de vomis­se­ments, maux de tête, rela­tion avec les évé­ne­ments de la vie),
  • Les habi­tudes intes­ti­nales (quo­ti­diennes ou non, carac­té­ris­tiques des selles),
  • Le type de régime alimentaire.

Les formes fonc­tion­nelles béné­fi­cient du res­pect de bonnes habi­tudes ali­men­taires, d’un mode de vie sain et d’une médi­ca­tion adap­tée. Ces habi­tudes sont aus­si par­fois néces­saires à titre pré­ven­tif contre l’apparition de la dou­leur. Le pédiatre don­ne­ra des indi­ca­tions au cas par cas pour amé­lio­rer la qua­li­té de vie de l’enfant.

 

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