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ZOMIG Cp 2,5 : guide complet du médicament

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Les crises de la migraine consti­tuent l’une des causes fré­quentes de consul­ta­tion chez les neu­ro­logues. La quête de solu­tion durable pour trai­ter ce mal a conduit les scien­ti­fiques à mettre au point une classe thé­ra­peu­tique com­po­sée de médi­ca­ments anti­mi­grai­neux. Cette classe thé­ra­peu­tique est appe­lée Trip­tan et ras­semble près d’une dizaine de médi­ca­ments qui pos­sèdent des carac­té­ris­tiques identiques.

Par­mi cette famille de médi­ca­ments, quelques-uns se démarquent par leur effi­ca­ci­té. C’est le cas du ZOMIG, qui a pour spé­ci­fi­ci­té d’être employé dans la prise en charge des crises migrai­neuses aiguës avec ou sans aura. Pour en faire bon usage, il est néces­saire de connaître son mode d’action, ain­si que toutes les pré­cau­tions liées à son utilisation.

ZOMIG Cp 2,5 : Présentation

Le ZOMIG est un médi­ca­ment anti­mi­grai­neux pres­crit dans la prise en charge de la crise migrai­neuse. Spé­ci­fi­que­ment, il est pres­crit lorsque le patient migrai­neux pré­sente de vio­lents maux de tête (Cépha­lée). Ce médi­ca­ment existe sous trois formes prin­ci­pales, cha­cune por­tant une déno­mi­na­tion propre. Il s’agit du :

  • ZOMIG Com­pri­mé 2,5 mg ;
  • ZOMIG RAPIMELT Com­pri­mé fondant ;
  • ZOMIG pour vapo­ri­sa­tion nasale, etc.

De ces trois formes, le ZOMIG com­pri­mé à 2,5 mg est la plus ancienne, mais aus­si la plus dis­po­nible sur le mar­ché. Les com­pri­més du ZOMIG tra­di­tion­nel sont de cou­leurs jaunes, de formes rondes et sont enro­bés dans des pel­li­cules. Le ZOMIG Cp 2,5 est com­mer­cia­li­sé dans une pla­quette com­po­sée de 6 com­pri­més. Il est com­po­sé d’une dizaine d’ingrédients dont prin­ci­pa­le­ment la cel­lu­lose micro­cris­tal­line, le lac­tose, le dioxyde de titane, le magné­sium de stéa­rate et le gly­co­late d’amidon sodique.

ZOMIG Cp 2,5 : indication thérapeutique

Le ZOMIG est indi­qué dans le trai­te­ment de la phase aiguë de la crise migrai­neuse avec ou sans aura. La migraine est, en effet, une mala­die chro­nique d’origine neu­ro­lo­gique. Elle se mani­feste par des crises récur­rentes. Ces crises sont dites « sans aura » lorsqu’elles se tra­duisent par une cépha­lée modé­rée et tran­si­toire. Elles dis­pa­raissent au bout de trois jours au maxi­mum, mais peuvent être accom­pa­gnées d’autres symp­tômes comme la nau­sée, le vomis­se­ment et une grande sen­si­bi­li­té à la lumière et aux bruits.

Les crises migrai­neuses sont dites « avec  aura » lorsqu’elles se tra­duisent par des troubles visuels, lan­ga­giers, moteurs ou encore sen­si­tifs. Le ZOMIG est éli­gible aux trai­te­ments de ces deux formes de migraines. Tou­te­fois, il n’est recom­man­dé que pour la phase céphal­al­gique des crises migraineuses.

Cette phase est celle au cours de laquelle les maux de tête vio­lents (cépha­lées) sont presque per­ma­nents et prennent le pas sur les autres troubles neu­ro­lo­giques. C’est donc cette indi­ca­tion pré­cise qui jus­ti­fie la spé­ci­fi­ci­té du mode d’action du ZOMIG par rap­port aux autres molé­cules de la famille des TRIPTANS.

ZOMIG Cp 2,5 : Mode d’action

Les études réa­li­sées sur le ZOMIG (Zol­mi­trip­tan) ont démon­tré qu’il était un agoniste sélec­tif de cer­tains récep­teurs recom­bi­nants humains. Il s’agit des récep­teurs 5TH1Db et 5TH1Db. Outre les récep­teurs 5TH1D avec les­quels, le ZOMIG pré­sente une forte affi­ni­té, les récep­teurs 5TH1B pos­sèdent éga­le­ment quelques connexions avec la molé­cule, tout le contraire des récep­teurs 5TH1A avec les­quels le ZOMIG pos­sède de faibles affinités.

L’intérêt de toutes ces affi­ni­tés réside dans le fait que le sys­tème tri­gé­mi­no vas­cu­laire dont relèvent ces récep­teurs est impli­qué dans le méca­nisme phy­sio­pa­tho­lo­gique de la migraine. Selon les thèses scien­ti­fiques émises, les troubles neu­ro­lo­giques liés aux crises migrai­neuses seraient déclen­chés par l’activation de ce sys­tème. Il en résulte une vaso­di­la­ta­tion du crâne, ain­si qu’une inflam­ma­tion neu­ro­gène induite par la libé­ra­tion de neu­ro­pep­tides sensitifs.

Grâce aux affi­ni­tés éta­blies avec les récep­teurs 5TH1D et 5TH1B, ain­si qu’à son effet ago­niste sur ses mêmes élé­ments, le ZOMIG par­vient à cal­mer les troubles pro­vo­qués par l’activation du sys­tème tri­gé­mi­no vas­cu­laire. Il y par­vient en pro­vo­quant une vaso­cons­tric­tion crâ­nienne et en inhi­bant la libé­ra­tion des neu­ro­pep­tides sen­si­tifs. L’administration du ZOMIG a donc un effet irré­ver­sible sur les ano­ma­lies neu­ro­lo­giques qui pro­voquent la sur­ve­nue de la migraine. L’efficacité de son action est entre autres dépen­dante de son métabolisme.

Le méta­bo­lisme du ZOMIG s’effectue en majeur par­tie au niveau du foie et est dépen­dant du CYPIA2. Il en résulte trois méta­bo­lites prin­ci­paux. Il s’agit de l’acide indole-acé­tique et des ana­logues N‑oxyde et N‑desméthylsolmitriptan. Ce der­nier méta­bo­lite est le seul actif des trois.

Il pos­sède la moi­tié de la concen­tra­tion plas­ma­tique totale du ZOMIG et a la capa­ci­té d’agir sur les récep­teurs 5TH1D grâce à son effet ago­niste séro­to­ni­ner­gique. Son méta­bo­lisme est assu­ré par le sys­tème enzy­ma­tique de la mono­amine-oxy­dase A. après admi­nis­tra­tion, le médi­ca­ment est essen­tiel­le­ment éli­mi­né par voie uri­naire et par voie rénale.

ZOMIG Cp 2,5 : mode d’administration et Posologie

L’administration du ZOMIG doit impé­ra­ti­ve­ment être consé­cu­tive à un diag­nos­tic éta­blis­sant avec effec­ti­vi­té les crises migrai­neuses chez le patient. L’usage du médi­ca­ment à des fins de pré­ven­tion de la migraine n’est pas auto­ri­sé. En outre, le Zomig doit être admi­nis­tré de pré­fé­rence dès l’apparition des symp­tômes carac­té­ris­tiques de la phase céphal­al­gique de la crise migrai­neuse. L’administration du ZOMIG com­pri­mé à 2,5 mg se fait par voie orale. Le patient doit ava­ler le com­pri­mé avec de l’eau. Il doit éga­le­ment veiller à res­pec­ter stric­te­ment la dose prescrite.

Posologie

La dose recom­man­dée est de 2,5 mg. Il s’agit d’une dose de départ qui peut être com­plé­tée au cours d’une même jour­née. Tou­te­fois, l’administration d’une seconde dose n’est pas auto­ri­sée pour la même crise. Elle ne peut être faite que lors­qu’ap­pa­raît une nou­velle crise migrai­neuse. De même, le patient doit attendre au mini­mum deux heures avant la prise d’une nou­velle dose.

Dans tous les cas, la dose totale jour­na­lière recom­man­dée est de 10 mg. Tou­te­fois, il n’est pas éta­bli que l’administration d’une seconde dose de ZOMIG soit effi­cace, lorsque la pre­mière n’était pas satis­fai­sante. Aus­si, faut-il pré­ci­ser que l’administration d’une dose unique attei­gnant le seuil de 5 mg n’est pas pro­hi­bée. Cepen­dant, elle expose plus gra­ve­ment le patient aux effets secondaires.

Par ailleurs, cer­taines caté­go­ries de patients néces­sitent une dose adap­tée à leur situa­tion cli­nique. Il s’agit d’une part des patients souf­frants d’hypertension arté­rielle chez qui il est pos­sible de déter­mi­ner une dose conve­nable. Chez les patients dont l’hypertension arté­rielle est sévère ou non maî­tri­sée, le ZOMIG n’est pas recommandé.

D’autre part, les patients souf­frant d’une insuf­fi­sance hépa­tique néces­sitent aus­si l’application d’une dose adap­tée, en rai­son d’un trouble méta­bo­lique noté chez ces der­niers. Chez ces deux caté­go­ries de patients, il est aus­si impor­tant de sur­veiller la ten­sion arté­rielle afin de contrô­ler leur tolé­rance à la molé­cule. Une sur­veillance médi­cale est éga­le­ment néces­saire chez les patients ayant fait un sur­do­sage de ZOMIG.

Surdosage

Les  patients chez qui un sur­do­sage a été noté doivent être pla­cés sous sur­veillance pen­dant une durée mini­male de 15 heures. Cette durée mini­male de 15 heures a été déter­mi­née par le fait que l’élimination de la demi-vie du ZOMIG dure envi­ron 3 heures. Cepen­dant, la durée de sur­veillance peut être aug­men­tée si les symp­tômes du sur­do­sage per­sistent chez le sujet.

Ce sui­vi est d’autant plus impor­tant qu’aucun anti­dote contre l’intoxication au ZOMIG n’est encore dis­po­nible. Il est donc pri­mor­dial que la sur­veillance médi­cale se fasse en soins inten­sifs avec main­tien des fonc­tions res­pi­ra­toires et car­dio­vas­cu­laires du patient. La pos­si­bi­li­té d’épurer le sang par hémo­dia­lyse existe. Tou­te­fois, l’efficacité de ce pro­cé­dé sur les concen­tra­tions du ZOMIG n’a pas été établie.

ZOMIG Cp 2,5 : Contre-indications

Le trai­te­ment de la crise migrai­neuse par le ZOMIG est contre-indi­qué dans de nom­breux cas. En pre­mier lieu, le médi­ca­ment est contre-indi­qué chez toute per­sonne pré­sen­tant une aller­gie à l’un de ses ingré­dients ou ayant une hyper­sen­si­bi­li­té au médi­ca­ment lui-même.

En second lieu, le médi­ca­ment est contre-indi­qué chez les patients dont l’arrêt d’un trai­te­ment par l’inhibiteur de la mono­amine-oxy­dase (IMAO) n’a pas encore atteint deux semaines. De même, l’utilisation conco­mi­tante du ZOMIG avec un trai­te­ment par l’inhibiteur de la MAO n’est pas auto­ri­sée. Le ZOMIG  est éga­le­ment contre-indi­qué dans les 24 heures qui suivent la prise d’un autre ago­niste des récep­teurs recom­bi­nants humains, ou d’un autre médi­ca­ment ayant l’ergotamine par­mi ses composantes.

En troi­sième lieu, l’administration du ZOMIG n’est pas non plus auto­ri­sée chez les per­sonnes ayant des anté­cé­dents de cer­tains troubles isché­miques graves comme ceux car­diaques (comme les angines de poi­trine), vas­cu­laires céré­braux (toutes les formes d’AVC) ou péri­phé­riques (comme l’infarctus mésen­té­rique). Les per­sonnes pré­sen­tant tou­jours des symp­tômes de ces troubles ne sont pas non plus éli­gibles au trai­te­ment par ZOMIG. Il en est de même des per­sonnes affi­chant d’autres patho­lo­gies graves comme une val­vu­lo­plas­tie, une aryth­mie car­diaque ou une athé­ro­sclé­rose.

En qua­trième lieu, la molé­cule n’est pas auto­ri­sée chez les patients ayant une migraine oph­tal­mo­lo­gique, hémi­plé­gique ou basi­laire. La contre-indi­ca­tion s’étend éga­le­ment aux per­sonnes souf­frant d’une hyper­ten­sion sévère ou non maî­tri­sée, ZOMIG étant sus­cep­tible d’entrainer une forte élé­va­tion de la ten­sion arté­rielle.

ZOMIG Cp 2,5 : mises en garde et précautions d’emplois

L’efficacité ou l’innocuité du trai­te­ment de la crise migrai­neuse par le ZOMIG n’a pas été éta­blie chez les patients ayant moins de 18 ans et chez les per­sonnes âgées (plus de 65 ans). Ce médi­ca­ment n’est donc pas recom­man­dé chez ces caté­go­ries de patients. De même, la mise en route du trai­te­ment avec ZOMIG est subor­don­née à un diag­nos­tic dûment éta­bli sur la phase céphal­al­gique de la migraine.

En outre, les patients pré­sen­tant une into­lé­rance au galac­tose résul­tant d’un pro­blème héré­di­taire rare devraient évi­ter de prendre ZOMIG. Pour cause, le lac­tose est l’une des com­po­santes prin­ci­pales du ZOMIG. Autre mise en garde impor­tante, les patients n’étant pas cer­tains de l’innocuité de ZOMIG sur leur orga­nisme ne devraient pas conduire ou manœu­vrer des machines après avoir pris ce médicament.

Par ailleurs, l’utilisation pro­lon­gée de ZOMIG comme de tout autre médi­ca­ment dans la prise en charge des cépha­lées peut entraî­ner leur aggra­va­tion. Il est conseillé aux patients se retrou­vant dans une telle situa­tion de prendre l’avis du méde­cin pres­crip­teur aux fins d’envisager un arrêt du traitement.

Rela­ti­ve­ment aux pré­cau­tions d’emplois, il est décon­seillé de prendre ZOMIG de façon conco­mi­tante avec d’autres trai­te­ments appar­te­nant à la même classe thé­ra­peu­tique. Il est aus­si décon­seillé de prendre ZOMIG dans les 24 heures sui­vant un trai­te­ment ayant des com­po­santes ou une indi­ca­tion simi­laires à celles de ZOMIG.

Il est tou­te­fois plus pré­cau­tion­neux d’avertir son méde­cin sur tous les trai­te­ments en cours ou arrê­tés les deux der­nières semaines avant l’établissement du diag­nos­tic sur les cépha­lées. La conser­va­tion du com­pri­mé tra­di­tion­nel ZOMIG à 2,5 mg doit se faire à une tem­pé­ra­ture ambiante située entre 15° et 25°.

ZOMIG Cp 2,5 : les effets indésirables

Le trai­te­ment des crises migrai­neuses par ZOMIG est sus­cep­tible d’induire des effets secon­daires. Les plus fré­quents sont des dou­leurs au niveau des membres, du cou, de la gorge et de la poi­trine. Ces symp­tômes s’accompagnent le plus sou­vent de pal­pi­ta­tions ou encore d’étourdissements. La fatigue, des dou­leurs abdo­mi­nales, la nau­sée et le vomis­se­ment consti­tuent aus­si des symp­tômes qui sont notés fréquemment.

D’autres effets indé­si­rables moins fré­quents ont éga­le­ment été notés chez cer­tains patients ayant pris du ZOMIG. Leur gra­vi­té est tou­te­fois supé­rieure à celle des mani­fes­ta­tions sus­ci­tées. Il s’agit d’une aug­men­ta­tion pas­sa­gère de la ten­sion arté­rielle, d’une tachy­car­die qui se tra­duit par une aug­men­ta­tion du rythme car­diaque du patient, et de cer­tains troubles urinaires.

Rela­ti­ve­ment aux effets les plus rares, on recense de graves réac­tions aller­giques sur la peau ou dans le visage, un infarc­tus du myo­carde, une angine de poi­trine ou un vasos­pasme des artères coro­naires. Quelques patients ont aus­si pré­sen­té de graves troubles intes­ti­naux, ain­si que des affec­tions rénales comme la poly­urie et la pol­la­kiu­rie. L’apparition de ces effets indé­si­rables ne doit pas être confon­due, par ailleurs, avec les consé­quences d’un surdosage.

S’il est éta­bli qu’il s’agit bien d’effets secon­daires, le patient doit se rap­pro­cher au plus tôt de son méde­cin. Ce der­nier pour­ra déci­der de l’arrêt du trai­te­ment ou d’une révi­sion de la dose habi­tuelle. Dans le second cas, une sur­veillance est néces­saire pour éva­luer la tolé­rance du patient à la nou­velle dose. Pour les effets indé­si­rables les plus sévères, l’interruption du trai­te­ment est indis­pen­sable. Une hos­pi­ta­li­sa­tion pour­rait aus­si être envi­sa­gée en fonc­tion de la gra­vi­té des symptômes.

ZOMIG Cp 2,5 : Interactions médicamenteuses

L’association du ZOMIG avec cer­tains autres médi­ca­ments ou molé­cules est for­te­ment pro­hi­bée. D’abord, il s’agit des inhi­bi­teurs de la mono­amine-oxy­dase (IMAO non sélec­tif, sélec­tif A et B, liné­zo­lide ou encore des vaso­cons­tric­teurs). L’emploi du ZOMIG en asso­cia­tion avec ces inhi­bi­teurs a révé­lé des risques d’élévation de la ten­sion arté­rielle et de vaso­cons­tric­tion des artères coronaires.

Ensuite, une asso­cia­tion de ZOMIG avec un médi­ca­ment conte­nant des déri­vés de l’ergot de seigle a induit des réac­tions indé­si­rables chez cer­tains sujets durant les essais cli­niques de ce médi­ca­ment. Il en est de même des autres ago­nistes sélec­tifs des récep­teurs 5HT1.

Les inter­ac­tions les plus graves sont celles avec des médi­ca­ments ayant des effets séro­to­ni­ner­giques. Une telle asso­cia­tion induit le syn­drome séro­to­ni­ner­gique qui est redou­té pour la sévé­ri­té de ses symp­tômes et pour le risque de mor­ta­li­té éle­vé. Pour évi­ter les effets pou­vant résul­ter de toutes ces inter­ac­tions, il est recom­man­dé aux patients de prendre l’avis de leur méde­cin s’ils ont des doutes sur le trai­te­ment ou s’ils pré­sentent des effets non désirés.

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