HomeParapharmacieLes triptans : efficacité, mécanisme d’action, posologie, interactions

Les triptans : efficacité, mécanisme d’action, posologie, interactions

Publié le

spot_img

Pour trai­ter la migraine, les méde­cins pres­crivent géné­ra­le­ment plu­sieurs médi­ca­ments. Par­mi ceux-ci, on trouve les « trip­tans », une classe de médi­ca­ments qui se sont avé­rés très effi­caces. Ils sont, en effet, capables de résoudre le vrai pro­blème en agis­sant de façon plus spé­ci­fique. Leur prin­ci­pal méca­nisme d’action se situe au niveau des récep­teurs de la séro­to­nine. En effet, ce sont de nou­veaux médi­ca­ments des­ti­nés à trai­ter les maux de tête et les migraines, désor­mais auto­ri­sés sur le mar­ché fran­çais. Que devrait-on rete­nir sur cette classe de médi­ca­ments que sont les triptans ?

Triptans : description

Les trip­tans sont une classe de médi­ca­ments uti­li­sés dans le trai­te­ment de la migraine (avec ou sans aura). Cer­tains des ingré­dients actifs de ce groupe sont éga­le­ment uti­li­sés dans le trai­te­ment des dou­leurs faciales.

Géné­ra­le­ment admi­nis­trés par voie orale, cer­tains médi­ca­ments à base de prin­cipes actifs appar­te­nant au groupe des trip­tans peuvent tou­te­fois avoir pour voie d’administration l’inhalation. C’est le cas par exemple des sprays nasaux. En outre, on trouve aus­si des formes qui sont admi­nis­trées par voie paren­té­rale. Ce sont dans ce cas des solu­tions injec­tables.

Par ailleurs, les médi­ca­ments à base de trip­tan néces­sitent une pres­crip­tion médi­cale spé­ci­fique pour pou­voir leur com­mer­cia­li­sa­tion. Cer­tains d’entre eux sont consi­dé­rés comme médi­ca­ments de classe A, de sorte que leur coût peut être rem­bour­sé, en par­tie ou tota­le­ment. Par ailleurs, d’autres, trip­tans sont clas­sés comme médi­ca­ments de classe C, de sorte que leur coût est entiè­re­ment à la charge du citoyen.

Triptans : causes des migraines

Les causes exactes des migraines ne sont pas encore tota­le­ment com­prises. Cepen­dant, on pense que plu­sieurs fac­teurs peuvent être impli­qués dans l’apparition de cette affec­tion. On note par exemple :

  • Des alté­ra­tions des méca­nismes cen­traux de contrôle de la douleur,
  • Des fac­teurs hormonaux,
  • Des fac­teurs géné­tiques : en fait, il existe un cer­tain carac­tère fami­lial dans le déve­lop­pe­ment de la migraine.

Par­mi les dif­fé­rentes hypo­thèses avan­cées quant à la véri­table cause sous-jacente de la migraine, la théo­rie la plus répu­tée est celle de tri­gé­mi­no-vas­cu­laire. Selon cette théo­rie, l’activation des affé­rences tri­gé­mi­no-vas­cu­laires déclenche la crise migraineuse.

Cela entraîne la libé­ra­tion de sub­stances vasoac­tives capables d’induire une vaso­di­la­ta­tion des artères céré­brales. C’est cette vaso­di­la­ta­tion qui pro­voque la dou­leur clas­sique de la migraine.

Triptans : efficacité dans le traitement de la migraine

Les trip­tans sont par­ti­cu­liè­re­ment recom­man­dés pour les migraines moyennes à sévères et les cépha­lées en grappe dou­lou­reuses. Ces médi­ca­ments sont pres­crits parce qu’ils agissent non seule­ment sur la dou­leur cau­sée par ces maux de tête, mais aus­si sur leurs consé­quences. Celles-ci com­prennent par exemple, des nau­sées et des vomissements.

L’association avec des anti­émé­tiques n’est géné­ra­le­ment pas néces­saire. Comme men­tion­né plus haut, on peut éga­le­ment uti­li­ser cer­tains trip­tans dans le trai­te­ment des dou­leurs vas­cu­laires faciales. Il s’agit par­ti­cu­liè­re­ment de ceux qui peuvent être pris par voie parentérale.

Tou­te­fois, il convient de noter qu’ils ne sont géné­ra­le­ment uti­li­sés qu’en pre­mière inten­tion dans le trai­te­ment des crises de migraine les plus graves. Pour les crises légères, les méde­cins recom­mandent géné­ra­le­ment une stra­té­gie de trai­te­ment de pre­mière inten­tion avec des AINS (anti-inflam­ma­toires non sté­roï­diens). On peut admi­nis­trer les trip­tans par dif­fé­rentes voies : orale, paren­té­rale ou par inha­la­tion. En effet, les trip­tans peuvent être for­mu­lés sous forme de :

  • Com­pri­més (suma­trip­tan, almo­trip­tan, zol­mi­trip­tan, riza­trip­tan, fro­va­trip­tan, élétriptan),
  • Com­pri­més oro­dis­per­sibles (riza­trip­tan, zolmitriptan),
  • Lyo­phi­li­sats oraux (riza­trip­tan),
  • Solu­tions pour injec­tion (suma­trip­tan),
  • Sprays nasaux (suma­trip­tan, zolmitriptan).

Les trip­tans ont une excel­lente capa­ci­té à péné­trer dans le sys­tème ner­veux. Ils inter­agissent avec les struc­tures et régulent la libé­ra­tion de séro­to­nine impli­quée dans le contrôle de la douleur.

Triptans : les médicaments les plus connus

Les médi­ca­ments les plus connus en phar­ma­co­lo­gie et en méde­cine conte­nant des trip­tans sont les suivants :

  • élé­trip­tan (Rel­pax),
  • fro­va­trip­tan (Aura­dol, Rilamig),
  • riza­trip­tan (Maxalt, Rizaliv),
  • suma­trip­tan (Imi­gran),
  • zol­mi­trip­tan (Zomig),
  • almo­trip­tan (Almo­gran),

L’un des pre­miers à être appa­ru sur le mar­ché a été le suma­trip­tan. Il est dis­po­nible sous plu­sieurs formes, dont le spray, mais la plus effi­cace pour les crises de migraine et de cépha­lée reste la forme sous-cuta­née. Le riza­trip­tan et le zol­mi­trip­tan sont deux médi­ca­ments qui sont appa­rus à la fin des années 1990. Ils font par­tie de la deuxième géné­ra­tion de médi­ca­ments avec les trip­tans. Ils pré­sentent moins de contre-indi­ca­tions et sont plus effi­caces, car leur effet contre les maux de tête est plus durable.

Triptans : mécanisme d’action

Comme men­tion­né ci-des­sus, les trip­tans agissent sur les récep­teurs de la séro­to­nine situés au niveau cen­tral. En effet, ils sont capables de tra­ver­ser la bar­rière héma­toen­cé­pha­lique, dite BHE. Plus pré­ci­sé­ment, les trip­tans sont des ago­nistes sélec­tifs des récep­teurs séro­to­ni­ner­giques de type 1.

Aus­si, ils ont une affi­ni­té par­ti­cu­lière pour les sous-types 5‑HT1B. Ces der­niers, au niveau cen­tral, sont prin­ci­pa­le­ment pré­sents dans les artères céré­brales). Les sous-types neu­ro­naux 5‑HT1D et 5‑HT1F sont prin­ci­pa­le­ment situés dans le sys­tème vas­cu­laire tri­gé­mi­nal.

Ain­si, les trip­tans induisent une sti­mu­la­tion des sous-types de récep­teurs sus­men­tion­nés qui conduit essen­tiel­le­ment à une vaso­cons­tric­tion des vais­seaux san­guins céré­braux. Ces médi­ca­ments pro­voquent alors l’inhibition de la libé­ra­tion de sub­stances vasoac­tives due à l’activation des affé­rences vas­cu­laires du tri­ju­meau. Celui-ci, au contraire, pro­voque leur dilatation.

Les trip­tans résolvent donc la crise de migraine en s’opposant à la vaso­di­la­ta­tion direc­te­ment res­pon­sable du sti­mu­lus dou­lou­reux. Ils empêchent éga­le­ment la libé­ra­tion de toutes les sub­stances qui pro­voquent la dila­ta­tion des vais­seaux san­guins céré­braux.

Triptans : posologie et mode d’emploi

Les dif­fé­rents médi­ca­ments de cette caté­go­rie ne doivent jamais être pris pen­dant plus de trois mois consé­cu­tifs. Pour des périodes plus longues, la dose doit inévi­ta­ble­ment être réduite, géné­ra­le­ment de moitié.

Le Zol­mi­trip­tan, l’Eletriptan et le Riza­trip­tan ont des inter­ac­tions connues avec d’autres médi­ca­ments. Il est donc tou­jours conseillé de consul­ter la notice pour savoir quels autres médi­ca­ments ne doivent pas être pris. Les patients souf­frant de migraines ne devraient pas aus­si les prendre en asso­cia­tion avec des contra­cep­tifs. De même, les trip­tans ne semblent pas être effi­caces dans cer­taines formes de migraines ou de cépha­lée, notam­ment contre ces types :

  • La migraine hémi­plé­gique familiale,
  • Migraine avec aura dite ophtalmique,
  • Migraine avec aura très prolongée,
  • Migraine basi­laire.

La dose maxi­male de trip­tans est de 8 à 10 pièces par mois pen­dant un maxi­mum de 3 mois. Évi­dem­ment, si ce temps est dépas­sé, il fau­dra envi­sa­ger de réduire la dose, géné­ra­le­ment de moitié.

L’âge

L’âge auquel il est pos­sible d’utiliser des médi­ca­ments à base de trip­tan est de 18 à 65 ans. Chez les per­sonnes plus âgées, l’almotriptan est sou­vent uti­li­sé avec de bons résul­tats. Chez les per­sonnes plus jeunes, âgées de 12 à 17 ans, un aéro­sol est uti­li­sé avec 2 inha­la­tions quo­ti­diennes de 10 mg avec du suma­trip­tan salin.

Quant aux enfants de moins de 12 ans, ils ne doivent jamais uti­li­ser ces médi­ca­ments pour les maux de tête ou la migraine. En dehors du suma­trip­tan, aucun autre médi­ca­ment conte­nant cette sub­stance active n’a jamais reçu d’indication minis­té­rielle. Il ne peut donc être pres­crit aux jeunes qu’avec un plan thé­ra­peu­tique approu­vé par le comi­té d’éthique et avec l’autorisation des parents de l’enfant.

Prise dès l’apparition des symptômes

Pour que les trip­tans soient effi­caces, ils doivent être pris dès que le début de la crise migrai­neuse est per­çu. Autre­ment dit, lorsque la dou­leur est encore légère, à un stade pré­coce, et/ou lorsque l’aura apparaît.

Ce n’est qu’à cette condi­tion que l’on a plus de chances d’arrêter la dou­leur et de pré­ve­nir le risque de réci­dives. Dans un pre­mier temps, il peut être dif­fi­cile de dis­tin­guer un simple mal de tête (dû à la fatigue, par exemple) d’une véri­table crise de migraine.

C’est sur­tout le cas quand la mala­die est à ses débuts. Tou­te­fois, avec le temps, le patient pren­dra l’habitude de recon­naître immé­dia­te­ment les signes d’une crise migrai­neuse immi­nente. Il sera donc capable de réagir en consé­quence. En plus, l’aide d’un pro­fes­sion­nel de san­té serait utile pour déce­ler de quoi il est vrai­ment question.

Triptans : interactions médicamenteuses

Mal­heu­reu­se­ment, un aspect néga­tif des trip­tans est les inter­ac­tions médi­ca­men­teuses qu’ils peuvent éta­blir. Tout d’abord, il convient de noter que les patients ne doivent pas prendre trip­tan en même temps que des alca­loïdes de l’ergot de seigle. Il s’agit d’autres médi­ca­ments anti­mi­grai­neux. En outre, en rai­son des inter­ac­tions médi­ca­men­teuses qui peuvent se pro­duire, on ne peut en aucun cas prendre ces médi­ca­ments ne doivent avec des trip­tans. Par exemple, on peut citer :

  • Le méthy­ser­gide, une sub­stance active uti­li­sée dans la pro­phy­laxie de la migraine
  • Les inhi­bi­teurs de la mono­amine-oxy­dase (IMAO),
  • Le pro­pra­no­lol (un médi­ca­ment bêta­blo­quant uti­li­sé dans le trai­te­ment de l’hypertension),
  • Les médi­ca­ments méta­bo­li­sés par le cyto­chrome P3A4,
  • Les médi­ca­ments inhi­bi­teurs de la gly­co­pro­téine P.

Cepen­dant, si le méde­cin pres­crit des trip­tans, il doit infor­mer le patient si ce der­nier pour­rait prendre des médi­ca­ments. Il doit l’avertir sur la prise des pro­duits de toute nature, y com­pris des médi­ca­ments en vente libre. C’est éga­le­ment le cas des pro­duits à base de plantes et des pro­duits phy­to­thé­ra­peu­tiques, des pro­duits homéo­pa­thiques, etc.

Triptans : effets secondaires

Les effets secon­daires pro­bables des trip­tans sont les suivants :

  • Une étroi­tesse dans la poitrine,
  • La sen­sa­tion d’oppression dans le cou,
  • Les nau­sées,
  • Les ver­tiges,
  • Les pal­pi­ta­tions,
  • Les dou­leurs tho­ra­ciques et/ou abdominales,
  • Le rou­gis­se­ment du visage,
  • La sen­sa­tion de chaud ou de froid,
  • La rai­deur dans le cou,
  • L’anxiété,
  • L’asthénie,
  • L’augmentation ini­tiale de l’intensité de la migraine.

En géné­ral, les effets secon­daires ci-des­sus sont com­muns à la plu­part des prin­cipes actifs de la classe des trip­tans. Tou­te­fois, le type et l’intensité de ces effets varient en fonc­tion du médi­ca­ment uti­li­sé, ain­si que de la sen­si­bi­li­té indi­vi­duelle de chaque per­sonne. Pour des infor­ma­tions spé­ci­fiques sur les effets secon­daires d’un trip­tan par­ti­cu­lier, le patient peut se réfé­rer aux infor­ma­tions figu­rant sur la notice du médi­ca­ment.

Triptans : contre-indications

Les contre-indi­ca­tions à l’utilisation de médi­ca­ments conte­nant des trip­tans ne sont pas cou­rantes et doivent être sui­vies atten­ti­ve­ment. Aus­si, on ne doit les jamais asso­cier à des médi­ca­ments conte­nant la même sub­stance active.

Prin­ci­pa­le­ment, les per­sonnes qui pré­sentent des anté­cé­dents posi­tifs ou sus­pects de vasos­pasme coro­na­rien ne doivent jamais employer ces trip­tans. C’est aus­si le cas lorsqu’elles sont atteintes plu­tôt de car­dio­pa­thie isché­mique, de mala­die vas­cu­laire péri­phé­rique, de migraine céré­brale, hémi­plé­gique ou basi­laire et d’hypertension non contrôlée.

Par ailleurs, les patients qui souffrent de patho­lo­gies coro­naires ne doivent pas prendre ces médi­ca­ments. Les trip­tans, en effet, sont éga­le­ment capables d’induire une vaso­cons­tric­tion des artères coro­naires.

Lorsqu’on uti­lise fré­quem­ment cette classe de médi­ca­ments, ce qu’on appelle le syn­drome du trip­tan peut se pro­duire. Les symp­tômes typiques de cette consé­quence de la prise de trip­tans sont des dou­leurs à la poi­trine et au cou.

Il ne faut jamais dépas­ser les doses thé­ra­peu­tiques recom­man­dées par le méde­cin ou la notice d’emballage. Une uti­li­sa­tion impru­dente peut, dans de nom­breux cas, aug­men­ter le nombre de crises de migraine. Cela pour­rait tout aus­si entraî­ner une hyper­ten­sion arté­rielle qui endom­mage les artères. L’utilisation des trip­tans est décon­seillée pen­dant la gros­sesse et l’allaitement.

Triptans : recommandations dans le traitement de la migraine

L’objectif prin­ci­pal du trai­te­ment de la migraine est de contrô­ler les symp­tômes afin de mini­mi­ser l’incapacité fonc­tion­nelle. Le méde­cin doit tenir compte des élé­ments sui­vants pour choi­sir le trai­te­ment appro­prié à chaque patient.

L’intensité du mal de tête

Concer­nant le choix du médi­ca­ment, l’approche la plus effi­cace sug­gère de choi­sir en fonc­tion de l’intensité de la crise. De cette façon, le médi­ca­ment per­çu comme le plus utile est admi­nis­tré en premier.

Ain­si, les patients qui souffrent de migraines sévères sont mis sous trip­tans. Il est recom­man­dé aux vic­times qui pré­sentent des crises moins graves d’utiliser un AINS. S’ils ne répondent pas, les crises sui­vantes peuvent com­men­cer avec un trip­tan. Cette approche repose sur le fait que les médi­ca­ments trip­tans sont plus effi­caces pour les crises de migraine sévères que les AINS.

La récidive des maux de tête

La récur­rence des maux de tête se pro­duit lorsque le trai­te­ment sou­lage la dou­leur, mais elle réap­pa­raît dans les 24 heures. Lorsqu’une pre­mière réponse à un trip­tan a été obte­nue, on peut alors envi­sa­ger une deuxième dose du même médicament.

Cela donne géné­ra­le­ment une bonne réponse. Si les réci­dives sont fré­quentes, même si elles répondent ini­tia­le­ment au trip­tan, il faut éga­le­ment envi­sa­ger de pas­ser à l’élétriptan ou au fro­va­trip­tan lors des pro­chaines crises. Ces trip­tans ont des taux de réci­dive rela­ti­ve­ment plus faibles, en rai­son de leur longue demi-vie par rap­port aux autres types.

Les opioïdes et les barbituriques sont à éviter

Ils sont moins effi­caces et pré­dis­posent aux cépha­lées de sur­con­som­ma­tion d’analgésiques. Les trip­tans ont des struc­tures molé­cu­laires simi­laires. Tou­te­fois, il existe des dif­fé­rences phar­ma­co­ci­né­tiques qui expliquent les varia­tions de leurs pro­fils d’efficacité et de tolé­rance. Une méta-ana­lyse de 53 études a révé­lé que tous les trip­tans oraux étaient effi­caces et bien tolé­rés. Cepen­dant, ceux qui avaient le plus de chances de réus­sir étaient le riza­trip­tan 10 mg, l’élé­trip­tan 80 mg et l’almo­trip­tan 12,5 mg.

D’autre part, nul ne peut pré­dire la réponse indi­vi­duelle à un trip­tan spé­ci­fique. Par ailleurs, l’échec de l’un ne per­met pas de pré­voir l’inefficacité de l’autre. Dans tous les cas, il est impor­tant de com­prendre les pro­prié­tés phar­ma­co­dy­na­miques et phar­ma­co­ci­né­tiques des dif­fé­rents médi­ca­ments pour orien­ter le traitement.

Derniers articles

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...

Utilisation des morphiniques d’action rapide

Les morphiniques d’action rapide sont des médicaments utilisés pour un soulagement efficace de la...

Cymbalta Duloxétine : Indications, effets indésirables et Précautions d’emploi

Apparu sur le marché depuis plusieurs années, Cymbalta est un médicament dédié au traitement...

Pour aller plus loin

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...

Utilisation des morphiniques d’action rapide

Les morphiniques d’action rapide sont des médicaments utilisés pour un soulagement efficace de la...