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NIASPAN LP : indications, posologie, contre-indications, précautions, effets secondaires, interactions

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NIASPAN LP est un médi­ca­ment qui contient de l’acide nico­ti­nique len­te­ment libé­rée. Son action dans l’organisme per­met une aug­men­ta­tion du taux de bon cho­les­té­rol (HDL) ain­si qu’une dimi­nu­tion de la quan­ti­té de mau­vais cho­les­té­rol (LDL). La régu­la­tion de ces lipides s’avère jus­te­ment impor­tante pour pré­ser­ver la bonne san­té du cœur et des vaisseaux. 

Cepen­dant, le médi­ca­ment ne peut s’utiliser qu’à la suite d’une pres­crip­tion médi­cale. En réa­li­té, il est décon­seillé dans plu­sieurs contextes que seul le méde­cin peut appré­cier. En outre, lorsqu’il n’y a pas de contre-indi­ca­tion, il reste néces­saire de prendre des pré­cau­tions avant de com­men­cer le trai­te­ment. Voi­ci tout ce qu’il faut savoir à ce propos.

NIASPAN LP : Indications

Le NIASPAN LP est habi­tuel­le­ment pres­crit pour le trai­te­ment deux caté­go­ries de mala­dies. Il s’agit de :

  • dys­li­pi­dé­mie mixte 
  • hyper­cho­les­té­ro­lé­mie primaire. 

Ce sont des concen­tra­tions anor­ma­le­ment éle­vées de cho­les­té­rol ou d’acides gras dans le sang. En effet, il existe deux types de cho­les­té­rol dans l’organisme. On dis­tingue notam­ment le bon cho­les­té­rol ou HDL (High Den­si­ty Lipo­pro­tein) et le mau­vais cho­les­té­rol ou LDL (Low Den­si­ty Lipo­pro­tein). Le pre­mier est appe­lé « bon », car il ne se dépose pas dans les artères. Quant au second, il est appe­lé « mau­vais » parce qu’il peut se dépo­ser dans les artères, aug­men­tant le risque de crise car­diaque ou d’AVC.

Ain­si, dans les cas de dys­li­pi­dé­mie mixte ou d’hypercholestérolémie pri­maire, le médi­ca­ment inter­vient pour régu­ler les taux de cho­les­té­rol dans le sang. Il s’utilise habi­tuel­le­ment en asso­cia­tion avec une autre sub­stance qui réduit les taux de graisses dans l’organisme dénom­mée « sta­tine ». Cepen­dant, si les sta­tines sont contre-indi­quées chez le patient, le méde­cin pour­ra tou­jours pres­crire uni­que­ment NIASPAN LP. Évi­dem­ment, le médi­ca­ment ne rem­place pas les autres stra­té­gies non phar­ma­co­lo­giques (exer­cice phy­sique, régime ali­men­taire…) pour recou­vrer la santé.

NIASPAN LP : Posologie et mode d’administration

Il importe de tou­jours res­pec­ter les doses indi­quées par le méde­cin pour la prise de ce médi­ca­ment. En effet, quelles que soient ses uti­li­sa­tions habi­tuelles, ce trai­te­ment néces­site à tous les coups une adap­ta­tion au pro­fil du patient. Ain­si, la poso­lo­gie énon­cée ici ne repré­sente qu’une pos­si­bi­li­té, certes cou­rante, mais modi­fiable par le spécialiste.

D’ordinaire, le méde­cin vous fera com­men­cer le trai­te­ment avec une faible dose qui connai­tra des aug­men­ta­tions selon les effets consta­tés et atten­dus. Le trai­te­ment ini­tial recom­man­dé s’étale sur trois semaines de la manière suivante :

  • Pre­mière semaine : prise d’un com­pri­mé de 375 mg chaque soir au coucher
  • Deuxième semaine : prise d’un com­pri­mé de 500 mg chaque soir au coucher
  • Troi­sième semaine : prise d’un com­pri­mé de 750 mg les soirs au cou­cher.

À la suite de cette phase ini­tiale, il est géné­ra­le­ment pres­crit une dose de deux com­pri­més de 500 mg (soit 1000 mg) tous les soirs au cou­cher pen­dant 4 nou­velles semaines. Le méde­cin déci­de­ra enfin d’une dose quo­ti­dienne adap­tée à votre cas (2000 mg au maxi­mum par jour). Les doses sug­gé­rées chez les femmes peuvent être infé­rieures à celles indi­quées aux hommes. Il n’y a cepen­dant pas de dif­fé­rence entre la poso­lo­gie chez la per­sonne âgée et le jeune. 

NIASPAN LP est dis­po­nible sous plu­sieurs for­mats (375 mg, 500 mg, 1000 mg…) qu’il faut évi­ter de confondre. En effet, la prise de plu­sieurs com­pri­més de faible dose n’équivaut pas à celle d’un com­pri­mé for­te­ment dosé. En outre, la pré­pa­ra­tion de ce médi­ca­ment est dif­fé­rente de celle des autres trai­te­ments à base d’acide nico­ti­nique. Il n’y a donc pas lieu de sub­sti­tuer la sub­stance par une autre similaire.

Mode d’administration

NIASPAN LP se prend par voie orale chaque soir au cou­cher après un en-cas pauvre en graisse comme un yaourt allé­gé, une pomme ou une tranche de pain. Le com­pri­mé ne doit pas être cas­sé, écra­sé, ni mâché. Il suf­fi­ra de l’avaler avec un peu d’eau. Si vous avez oublié de prendre un com­pri­mé, évi­tez de faire un sur­do­sage pour com­pen­ser. Pre­nez sim­ple­ment votre dose habi­tuelle le soir suivant.

NIASPAN LP : Contre-indications

High Den­si­ty Lipoprotein

Ce médi­ca­ment est contre-indi­qué sui­vant divers contextes. Ne le pre­nez jamais en cas :

  • d’allergie (hyper­sen­si­bi­li­té) à l’acide nico­ti­nique ou à l’une des sub­stances conte­nues dans NIASPAN LP
  • de dys­fonc­tion­ne­ment du foie
  • d’ulcère de l’estomac ou de l’intestin grêle
  • de sai­gne­ment arté­riel (sai­gne­ment grave d’un vais­seau san­guin reliant le cœur au reste du corps).

Par ailleurs, le trai­te­ment est réser­vé exclu­si­ve­ment aux adultes. Il est donc décon­seillé de l’utiliser chez les enfants.

Grossesse, allaitement et fertilité

Chez la femme enceinte, il n’existe pas de don­nées suf­fi­santes pour éta­blir les réper­cus­sions sur le fœtus de l’utilisation du NIASPAN LP aux doses habi­tuel­le­ment pres­crites. Il n’est pas non plus déter­mi­né si ce médi­ca­ment altère les capa­ci­tés repro­duc­trices. Le trai­te­ment est en consé­quence contre-indi­qué chez la femme enceinte.

En cas d’allaitement, il faut aus­si évi­ter de prendre ce médi­ca­ment. En réa­li­té, l’acide nico­ti­nique passe dans le lait mater­nel. Son uti­li­sa­tion peut ain­si entrai­ner des effets indé­si­rables graves chez le nour­ris­son allai­té. Bien qu’aucune étude n’a été conduite avec NIASPAN LP chez les femmes qui allaitent, consul­tez votre méde­cin pour savoir s’il faut soit arrê­ter le trai­te­ment soit arrê­ter l’allaitement (pas­ser à l’utilisation du bibe­ron en l’occurrence). Il s’agit d’une mesure salutaire.

NIASPAN LP : Précautions

Cer­taines pré­cau­tions seront requises chez les pro­fils de patients pré­sen­tant des risques de com­pli­ca­tions de leurs mala­dies lors du trai­te­ment. On dis­tingue notam­ment les cas de :

  • muscles sque­let­tiques
  • Insuf­fi­sance rénale
  • Dia­bète.
  • Infarc­tus du myo­carde aigu
  • Acide urique
  • Coa­gu­la­tion
  • Pro­blème de foie
  • Hypo­phos­pho­ré­mie, etc.

Muscles squelettiques

Il est impor­tant d’informer son méde­cin de l’existence d’antécédents per­son­nels ou fami­liaux de pro­blèmes mus­cu­laires. En effet, des cas de lésions mus­cu­laires ont été recen­sés chez des patients trai­tés à la fois avec NIASPAN LP et une sta­tine. Le méde­cin devra éva­luer les béné­fices appor­tés par le trai­te­ment pour juger de la per­ti­nence de sa mise en place. 

En outre, si le trai­te­ment est requis mal­gré le risque, une sur­veillance atten­tive du patient sera néces­saire pour iden­ti­fier pré­co­ce­ment tout symp­tôme. Il s’agit notam­ment de dou­leurs mus­cu­laires, sen­si­bi­li­té et fai­blesse des muscles… sur­tout lors des pre­miers mois du trai­te­ment ou d’augmentation poso­lo­gique. Une inter­rup­tion auto­ma­tique du trai­te­ment sera préconisée.

Insuffisance rénale

Le médi­ca­ment doit être uti­li­sé avec pré­cau­tion chez les patients pré­sen­tant une insuf­fi­sance rénale. En effet, aucune étude cli­nique n’a été réa­li­sée sur ces pro­fils pour éta­blir les impli­ca­tions du trai­te­ment. Il reste donc judi­cieux de sur­veiller le patient pour pal­lier d’éventuelles complications.

Diabète

Les patients dia­bé­tiques ou poten­tiel­le­ment dia­bé­tiques doivent éga­le­ment béné­fi­cier d’un sui­vi per­son­na­li­sé lors de ce trai­te­ment. Ceux-ci pré­sentent le risque de déve­lop­per une into­lé­rance au glu­cose. Il peut s’avérer néces­saire de modi­fier leur régime ali­men­taire ou même leur trai­te­ment anti­dia­bé­tique pour évi­ter les complications.

Infarctus du myocarde aigu

Chez les patients atteints de la phase aigüe de l’infarctus du myo­carde ou d’angor instable, l’administration de NIASPAN LP requiert beau­coup de pru­dence. Le méde­cin doit être pré­ve­nu sur­tout dans les cas d’utilisation de pro­duits vaso-actifs comme les adré­no­ly­tiques, les déri­vés nitrés, les inhi­bi­teurs calciques.

Acide urique

Il est recom­man­dé de mettre en place une sur­veillance accrue des patients pré­sen­tant des fac­teurs de risque de goutte. En effet, des cas d’augmentations de concen­tra­tions en acide urique ont été recen­sés pen­dant le trai­te­ment par NIASPAN LP.

Coagulation

Chez les patients sous anti­coa­gu­lants, il importe de sur­veiller le temps de pro­throm­bine et la numé­ra­tion pla­quet­taire. En effet, ces élé­ments subissent par­fois des modi­fi­ca­tions sous NIASPAN LP. Il convient d’être alors pru­dent lors de l’administration et vigi­lant en cas d’imminence d’une inter­ven­tion chirurgicale.

Hypophosphorémie

Des cas de dimi­nu­tions tran­si­toires de la phos­pho­ré­mie ont été recen­sés chez des patients sous NIASPAN LP. Il faut ain­si pra­ti­quer une sur­veillance de la phos­pho­ré­mie chez les per­sonnes à risques. Par ailleurs, le sui­vi doit s’étendre aux patients qui pré­sentent des anté­cé­dents d’ictère, d’atteinte hépa­to­bi­liaire ou d’ulcère gas­tro-duo­dé­nal.

NIASPAN LP : Effets secondaires

À l’instar de tous les médi­ca­ments, NIASPAN LP com­porte des effets secon­daires, bien que tout e monde n’y soit pas sujet. Ces réper­cus­sions peuvent se clas­si­fier en 4 groupes notamment :

  • Les effets secon­daires fréquents
  • Les effets secon­daires peu fréquents
  • Les effets secon­daires rares 
  • Les effets secon­daires très rares

Les effets secondaires fréquents

Ce sont des effets indé­si­rables qui touchent envi­ron 1 per­sonne sur 10. Il s’agit entre autres de :

  • Bouf­fées vasomotrices
  • Diar­rhée
  • Nau­sées ou vomissements
  • Érup­tion cuta­née ou démangeaisons
  • Dou­leurs abdo­mi­nales ou dif­fi­cul­tés à respirer

Les bouf­fées vaso­mo­trices sont par­ti­cu­liè­re­ment très fré­quentes. Elles concernent plus d’une per­sonne sur 10 et appa­raissent le plus sou­vent au début du trai­te­ment (ou au moment de chan­ger les doses). Elles se carac­té­risent par une sen­sa­tion de cha­leur, de rou­geur, des four­mille­ments ou déman­geai­sons au niveau du cou, dans le dos, sur le visage ou la poitrine.

Géné­ra­le­ment, ces bouf­fées dis­pa­raissent pro­gres­si­ve­ment jusqu’à s’estomper entiè­re­ment au bout de quelques semaines de trai­te­ment. Dans de rares cas, elles s’intensifient et s’accompagnent de ver­tiges, d’accélération du rythme car­diaque, de pal­pi­ta­tions, d’essoufflement, de trans­pi­ra­tions, de fris­sons d’œdèmes voire d’évanouissements. En cas de sur­ve­nance de l’un de ces effets, une inter­rup­tion immé­diate du trai­te­ment est requise ain­si que la sol­li­ci­ta­tion d’urgence des ser­vices du méde­cin traitant.

Effets secondaires peu fréquents

Ils sur­viennent chez moins d’un patient sur 100. Il s’agit notam­ment de :

  • Maux de tête
  • Trans­pi­ra­tion, ver­tiges, essoufflement
  • Peau sèche, urti­caire ou érup­tion cuta­née généralisée
  • Dou­leurs ou gon­fle­ment des membres
  • Alté­ra­tion de cer­taines fonc­tions de l’organisme (foie, muscles…)
  • Fris­sons ou sen­sa­tion de faiblesse

Lorsque ces symp­tômes sur­viennent, il convient de sol­li­ci­ter au plus vite l’avis du méde­cin sur la néces­si­té d’une prise en charge ou de l’arrêt du traitement.

Effets secondaires rares

Ils touchent moins d’une per­sonne sur 1000. Il s’agit de :

  • Nez qui coule (rhi­nite)
  • Baisse de la tolé­rance au glucose
  • Ner­vo­si­té, troubles du sommeil
  • Chute de la ten­sion arté­rielle ou éva­nouis­se­ment, sur­tout au lever
  • Troubles ocu­laires
  • Gon­fle­ment du visage
  • Érup­tion cuta­née bul­leuse ou vési­cu­leuse,
  • Pares­thé­sie
  • Dou­leurs de poitrine
  • Fla­tu­lence ou éructation 
  • Crampe dans les jambes

Effets secondaires très rares

Ces effets touchent moins d’une per­sonne sur 10 000. Ils ne sont pas tou­jours graves, mais doivent faire l’objet d’une prise charge médi­cale. On distingue :

  • L’anorexie
  • La migraine
  • Cer­tains troubles ocu­laires spé­ci­fiques (amblyo­pie toxique, œdème macu­laire cystoïde)
  • Des pro­blèmes car­diaques (fibril­la­tion auri­cu­laire ou autres arythmies)
  • Le jau­nis­se­ment de la peau et des yeux (jau­nisse)
  • L’assombrissement de la peau (hyper­pig­men­ta­tion)
  • L’apparition de plaques noi­râtres sur la peau
  • Des ulcères d’estomac ou d’intestin grêle
  • Les réac­tions aller­giques pou­vant com­prendre les bouf­fées vaso­mo­trices, des érup­tions cuta­nées de tout genre, urti­caire, le gon­fle­ment du visage ou de la gorge, l’essoufflement, des dif­fi­cul­tés res­pi­ra­toires… (contac­tez immé­dia­te­ment votre méde­cin dans ces cas)
  • Col­lap­sus, etc.

Notons que cer­tains effets indé­si­rables non énu­mé­rés peuvent sur­ve­nir selon le patient. Dans tous les cas, la consul­ta­tion d’un méde­cin dans les plus brefs délais sera béné­fique au patient.

NIASPAN LP : Interactions

High Den­si­ty Lipoprotein

Les inter­ac­tions de NIASPAN LP avec d’autres sub­stances peuvent se clas­si­fier en deux grands groupes. Il s’agit de :

  • inter­ac­tions avec des médicaments
  • inter­ac­tions avec des boissons. 

Les interactions avec des médicaments

A prio­ri, quel que soit le médi­ca­ment que vous pre­nez en conco­mi­tance avec NIASPAN LP (même s’il s’agit de trai­te­ment sans ordon­nance), vous devez infor­mer votre méde­cin en vue d’analyser les éven­tuelles inter­ac­tions et prendre les mesures adé­quates. Cette recom­man­da­tion devient plus stricte lorsque vous suivez :

  • un trai­te­ment anti­dia­bé­tique (insu­line incluse) : il est impor­tant de suivre la gly­cé­mie dans ce cas et de modi­fier le trai­te­ment si nécessaire
  • un trai­te­ment anti­coa­gu­lant : des ana­lyses régu­lières de sang sont requises
  • un trai­te­ment par résines : ils peuvent inhi­ber l’action thé­ra­peu­tique du NIASPAN LP. Géné­ra­le­ment, une prise des médi­ca­ments à des moments dif­fé­rés de la jour­née peut résoudre ce problème.
  • Un trai­te­ment pou­vant faire bais­ser la ten­sion arté­rielle (bêta­blo­quants, déri­vés nitrés, patchs de nico­tine…) : NIASPAN LP peut aus­si réduire la ten­sion arté­rielle. Des mesures poso­lo­giques pour­ront être indi­quées dans ces cas.
  • Un trai­te­ment par sta­tines : ce sont des médi­ca­ments qui réduisent le taux de cho­les­té­rol dans le sang. Leur asso­cia­tion avec NIASPAN LP appa­rait comme un fac­teur de risque d’apparition de troubles musculaires.

Interactions avec des boissons

Les bois­sons chaudes ain­si que l’alcool sont à évi­ter pen­dant un trai­te­ment par NIASPAN LP. En effet, elles peuvent aggra­ver cer­tains effets secon­daires tels que les bouf­fées vaso­mo­trices et les déman­geai­sons. Aus­si, l’alcool en par­ti­cu­lier peut aug­men­ter les risques de troubles mus­cu­laires et hépatiques.

NIASPAN LP : Conservation

Le médi­ca­ment doit être tenu hors de la vue et de la por­tée des enfants. Il doit se conser­ver à une tem­pé­ra­ture infé­rieure ou égale à 25 ° C. 

 

 

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