HomeParapharmacieMéthotrexate : présentation, indications, mode d’emploi

Méthotrexate : présentation, indications, mode d’emploi

Publié le

spot_img

Le métho­trexate fait par­tie des anti­mé­ta­bo­lites les plus uti­li­sés, prin­ci­pa­le­ment dans le trai­te­ment d’une cer­taine caté­go­rie de can­cers. C’est un anta­go­niste folique qui par­ti­cipe à la réduc­tion de l’acide folique ain­si qu’à la mul­ti­pli­ca­tion des cel­lules tis­su­laires. Ce com­po­sé pos­sède éga­le­ment des pro­prié­tés anti- inflam­ma­toires et immu­no­sup­pres­sives, ce qui le rend tout aus­si adap­té au trai­te­ment d’autres mala­dies. Com­mer­cia­li­sé sous de nom­breuses for­mu­la­tions et essen­tiel­le­ment comme poudre de solu­tion injec­table, le métho­trexate pré­sente aus­si plu­sieurs effets secon­daires. Les­quels ? Quelles sont les indi­ca­tions et les contre-indi­ca­tions du métho­trexate ? Quelles sont les pré­cau­tions à prendre ? Voi­ci des réponses !

Méthotrexate : présentation

Le métho­trexate est un prin­cipe actif qui agit dans la crois­sance de cer­tains types de cel­lules dans l’organisme. Il per­met de ralen­tir la repro­duc­tion des cel­lules comme les cel­lules can­cé­reuses, celles de la moelle osseuse ain­si que celles de la peau. Ce médi­ca­ment est com­mer­cia­li­sé sous de nom­breuses formes à savoir :

  • Métho­trexate com­po­sé de 50 mg poudre pour solu­tion injectable,
  • Métho­trexate com­po­sé de 500 mg poudre pour solu­tion injectable,
  • Métho­trexate com­pre­nant 1 g poudre pour solu­tion injectable,
  • Métho­trexate 50 mg/2 ml solu­tion injectable,
  • Métho­trexate 100 mg/20 ml solu­tion injectable,
  • Métho­trexate 1 g/10 ml solu­tion pour solu­tion injectable,
  • Métho­trexate 5 g/50 ml solu­tion injectable.

Cha­cun des fla­cons de poudre lyo­phi­li­sée peut conte­nir les ingré­dients tels que le chlo­rure de sodium et/ou de l’hydroxyde de sodium. Ce dosage per­met de faire un ajus­te­ment du pH de la solu­tion. Aus­si, il est cou­rant d’utiliser de l’eau pour les dif­fé­rentes pré­pa­ra­tions injec­tables. Il faut éga­le­ment pré­ci­ser que cer­tains médi­ca­ments conte­nant ce prin­cipe sont pré­sen­tés sous forme de comprimés.

Méthotrexate : indications

C’est un médi­ca­ment uti­li­sé prin­ci­pa­le­ment pour effec­tuer le trai­te­ment de la leu­cé­mie et d’autres formes de can­cer comme celui du sein, de la tête, du cou, de l’utérus, du pou­mon, de la peau. Le métho­trexate est aus­si employé lorsqu’il s’agit de trai­ter le pso­ria­sis sévère et la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde chez les adultes ou les per­sonnes âgées. Par ailleurs, il est une aide pré­cieuse dans le trai­te­ment de la poly­ar­thrite juvé­nile active contrac­tée par les enfants.   Il faut ajou­ter que le métho­trexate est un médi­ca­ment uti­li­sé la plu­part du temps en der­nier recours lorsque d’autres médi­ca­ments n’ont pas eu l’effet attendu.

Méthotrexate : contre-indications

Le métho­trexate est un médi­ca­ment contre-indi­qué chez les per­sonnes qui souffrent d’allergie aux sub­stances actives elles-mêmes. Il ne convient pas éga­le­ment aux patients aller­giques aux exci­pients conte­nus dans la for­mu­la­tion phar­ma­ceu­tique. Compte tenu des effets secon­daires qu’il engendre, la prise du métho­trexate est décon­seillée chez des per­sonnes qui souffrent de troubles rénaux ou hépa­tiques.

De plus, les per­sonnes souf­frant d’anémie, de leu­co­pé­nie ou de throm­bo­cy­to­pé­nie ne doivent pas uti­li­ser ce médi­ca­ment. Il en est de même pour les patients atteints de mala­dies gas­tro-intes­ti­nales comme la sto­ma­tite ulcé­reuse, la colite ulcé­reuse et l’ulcère pep­tique. En outre, le métho­trexate est éga­le­ment contre-indi­qué pour les femmes enceintes ou qui allaitent.

Méthotrexate : mécanisme d’action

Comme il a été dit pré­cé­dem­ment, le métho­trexate est de la famille des anti­mé­ta­bo­lites qui luttent effi­ca­ce­ment contre des can­cers pré­cis. De plus, il est un anta­go­niste de l’acide folique qui est une sub­stance qui joue des rôles essen­tiels dans plu­sieurs pro­ces­sus cel­lu­laires. En d’autres termes, il inter­vient pré­ci­sé­ment lors des phases de la syn­thèse de l’ADN. D’un autre côté, il a la capa­ci­té de ralen­tir, d’empêcher ou de stop­per la syn­thèse de toutes les bases puriques.

Il faut néan­moins rap­pe­ler que le métho­trexate asso­cié aux bases pyri­mi­diques consti­tue des molé­cules des deux brins de l’ADN. Le ralen­tis­se­ment ou l’arrêt de la syn­thèse des bases puriques conduit à une déduc­tion. Selon cette der­nière le métho­trexate a la capa­ci­té de stop­per la syn­thèse que ce soit de l’ADN ou celle de l’ARN. Par rico­chet, l’arrêt de la syn­thèse en pro­téines entraîne la des­truc­tion des cel­lules. Par ailleurs, le rôle anti-inflam­ma­toire que joue le métho­trexate lui confère la capa­ci­té de lut­ter contre les mala­dies inflam­ma­toires même lorsqu’elle est uti­li­sée à faible dose.

Méthotrexate : efficacité

Concer­nant la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde, le métho­trexate est le médi­ca­ment recom­man­dé en pre­mier recours, que cela soit en mono­thé­ra­pie ou asso­cié à d’autres médi­ca­ments. D’ailleurs, de nom­breuses études ont prou­vé qu’en asso­ciant le métho­trexate à d’autres médi­ca­ments cela per­met de mieux répondre à la poly­ar­thrite rhu­ma­toïde. Quelques essais cli­niques ont éga­le­ment per­mis de prou­ver l’efficacité de ces autres sub­stances a été démontrée.

Dans cette lutte, sa pré­sence dimi­nue l’inflammation et annule les réac­tions de défense du sys­tème immu­ni­taire. Lorsque d’autres trai­te­ments s’avèrent sans effet pour cer­tains types de can­cers, les méde­cins recom­mandent for­te­ment le métho­trexate.  Par­mi eux figurent la leu­cé­mie, le lym­phome non hodg­ki­nien, le can­cer du sein, le can­cer de la tête, de l’estomac, de la ves­sie ou encore des os,

Par ailleurs, le métho­trexate est effi­cace en ce sens qu’il exerce une action de blo­cage du pro­ces­sus enzy­ma­tique. Ce der­nier est indis­pen­sable pour la repro­duc­tion et la pro­li­fé­ra­tion des cel­lules can­cé­reuses. Quand il est uti­li­sé pour cette fin, le métho­trexate se pré­sente alors comme un anti-méta­bo­lite.

Méthotrexate : mode d’administration et posologie

Métho­trexate

Les patients peuvent prendre le métho­trexate de plu­sieurs manières.

Mode d’administration

D’abord, ils ont la pos­si­bi­li­té de l’utiliser par voie orale. Pour être consom­mé par cette voie, ce médi­ca­ment se pré­sente sous forme de com­pri­mé avec pour cou­leur, une cou­leur jaune. Ensuite, ce médi­ca­ment peut éga­le­ment être pris par voie paren­té­rale : intra­vei­neuse, intra­tu­mo­rale ou intra­mus­cu­laire. Contrai­re­ment aux com­pri­més, le pro­duit ici est pré­sen­té sous forme de liquide jaune (solu­tion injectable).

Posologie

Quant à la poso­lo­gie, elle se base sur plu­sieurs cri­tères, comme le type de mal ain­si que le niveau d’évolution de la mala­die. Qu’il s’agisse d’une tumeur, d’un pso­ria­sis ou d’une poly­ar­thrite rhu­ma­toïde, tous ces cri­tères sont à prendre en compte. Cepen­dant, deux aspects ne doivent pas être mis de côté. Il s’agit de l’état actuel de la vic­time, mais aus­si, et sur­tout de la déci­sion prise par le médecin.

En effet, il lui revient de déter­mi­ner la stra­té­gie thé­ra­peu­tique qui convient le plus au patient selon le cas qui se pré­sente à lui. Ce der­nier est tenu de suivre reli­gieu­se­ment les pres­crip­tions du pro­fes­sion­nel de santé.

Dosage

En ce qui concerne les doses de métho­trexate, comme il l’a été pré­cé­dem­ment indi­qué, il faut éva­luer l’état la victime.

De plus, il est plus conseillé de le consom­mer par la voie orale. En effet, l’administration est ain­si beau­coup plus facile et sur­tout ultra­ra­pide. Enfin, les doses habi­tuel­le­ment recom­man­dées sont :

  • Les nou­veau-nés : entre 1,25 mg et 2,5 mg à prendre au plus 6 fois et au moins 3 fois par semaine. Il est néces­saire de prendre des pré­cau­tions, car le médi­ca­ment pour­rait avoir des effets sur cette popu­la­tion pédiatrique.
  • Les ado­les­cents : entre 2,5 mg et 5 mg à prendre au plus 6 fois et au moins 3 fois par semaine.
  • Les adultes : entre 5,6 mg et 10 mg à prendre au plus 6 fois et au moins 3 fois par semaine.

En dehors de ces pres­crip­tions, tout patient devrait consul­ter son méde­cin avant d’effectuer quelque modi­fi­ca­tion que ce soit.

Méthotrexate : effets secondaires

Comme on le constate sou­vent pour tous les médi­ca­ments, la prise de métho­trexate peut avoir des effets secon­daires. Ces der­niers varient d’un indi­vi­du à l’autre ou du mode d’administration ou encore de la mala­die en ques­tion. Voi­ci quelques-uns de ces effets indésirables.

La myélosuppression

La myé­lo­su­pres­sion est un effet secon­daire du métho­trexate qui consiste en une des­truc­tion de la moelle osseuse condui­sant à une dimi­nu­tion des cel­lules du sang. Cela peut causer :

  • L’anémie : réduc­tion du taux d’hémoglobine dans le sang,
  • La leu­co­pé­nie : réduc­tion de la quan­ti­té de glo­bules blancs,
  • La throm­bo­cy­to­pé­nie : réduc­tion du niveau de pla­quettes sanguines.

La myé­lo­su­pres­sion est un effet induit essen­tiel­le­ment par le dosage admi­nis­tré. Alors, il est néces­saire de bien res­pec­ter les recom­man­da­tions du méde­cin ou du pro­fes­sion­nel de santé.

L’hépatotoxicité

C’est un effet secon­daire qui attaque direc­te­ment le foie. L’utilisation sur une longue durée de ce médi­ca­ment peut pro­vo­quer l’apparition une fibrose hépa­tique ain­si qu’une cir­rhose. Pour cela, il est impor­tant durant le trai­te­ment de sur­veiller la fonc­tion du foie.

Des dysfonctionnements du rein

La prise de métho­trexate peut entraî­ner un dys­fonc­tion­ne­ment rénal de courte durée. On peut consta­ter alors un taux éle­vé de créa­ti­nine au niveau du sang. Si cette aug­men­ta­tion per­sis­tait, il fau­drait dans l’immédiat arrê­ter le trai­te­ment ou d’y appor­ter des modifications.

Des bouleversements du système respiratoire

L’utilisation du métho­trexate peut pro­vo­quer une toxi­ci­té des pou­mons, cau­sant une fibrose. Tou­te­fois, cela peut être réver­sible et dis­pa­raître pro­gres­si­ve­ment à la fin du trai­te­ment. Les autres effets indé­si­rables sur les pou­mons sont la pneu­mo­nie et la toux sèche. 

Les autres effets secondaires du méthotrexate

Les autres effets secon­daires de ce médi­ca­ment peuvent inclure :

  • L’asthénie (sen­sa­tion de fatigue et dimi­nu­tion de l’appétit) ;
  • Des dou­leurs ou des ulcères de la bouche accom­pa­gnés de la perte tem­po­raire du goût ;
  • Des troubles gas­tro-intes­ti­naux comme la sto­ma­tite ulcé­reuse ou l’entérite hémorragique ;
  • La per­fo­ra­tion de la muqueuse uté­rine ;
  • La diar­rhée ;
  • La déshy­dra­ta­tion ;
  • Des pro­blèmes cuta­nés ou sous-cuta­nés (déman­geai­sons de la peau, rougeurs) ;
  • Des nau­sées et des vomis­se­ments intermittents ;
  • L’alopécie (peut pro­vo­quer une perte des che­veux qui s’arrête dès la fin du traitement) ;

D’autres effets indé­si­rables comme des maux de tête, de l’anxiété, de l’éruption cuta­née, de l’essoufflement, de l’anxiété peuvent apparaitre.

Méthotrexate : surdosage

Le sur­do­sage du métho­trexate se mani­feste par des éva­nouis­se­ments fré­quents ou des dif­fi­cul­tés res­pi­ra­toires. De plus, il peut pro­vo­quer des nau­sées ain­si que des selles accom­pa­gnées de sangs. Mis à part tout ceci, il peut éga­le­ment cau­ser des maux de tête. Dans d’autres cas, la vic­time peut ne pré­sen­ter aucun de ces symp­tômes cités.

La pre­mière recom­man­da­tion pour inhi­ber l’action du sur­do­sage consti­tue : le foli­nate de cal­cium ou acide folique. Pour obte­nir le plus rapi­de­ment pos­sible de bons résul­tats, il est conseillé de com­men­cer sa consom­ma­tion le plus tôt pos­sible. De plus, la deuxième recom­man­da­tion est une hydra­ta­tion et une alca­li­ni­sa­tion de l’urine de la vic­time afin de pré­ve­nir la pré­ci­pi­ta­tion du méthotrexate.

Cepen­dant, en cas de sur­do­sage sévère, le mieux est de faire appel aux ser­vices qui s’en char­ge­ront assez rapi­de­ment. Dans le cas où, un patient aurait pris une dose supé­rieure à celle conseillée par le méde­cin, il urge d’appeler immé­dia­te­ment le 911. Autre que le 911, vous pou­vez éga­le­ment faire appel aux centres qui s’occupent de l’antipoison.

Méthotrexate : précautions à prendre

Métho­trexate

Lorsqu’on uti­lise le métho­trexate, il est impor­tant d’éviter de prendre d’autres types de médi­ca­ments sur­tout sans l’avis préa­lable d’un pro­fes­sion­nel de san­té. C’est le cas de Bac­trim ou du pro­bé­né­cide. Il faut éga­le­ment évi­ter au maxi­mum de consom­mer de fortes doses d’aspirines, d’AINS ou l’utilisation de pénicilline.

Ensuite, il est néces­saire d’éviter de prendre de l’alcool, car il peut éle­ver les effets secon­daires et les dom­mages sur le foie. Durant le trai­te­ment, il est vive­ment conseillé de ne pas rece­voir de vac­cin dit « vivant » au risque de déve­lop­per une forme d’infection sévère. Les vac­cins « vivants » sont ceux admi­nis­trés contre la rou­geole, les oreillons, la rubéole, le rota­vi­rus, la fièvre typhoïde ou la fièvre jaune.

On les uti­lise éga­le­ment pour pré­ve­nir la vari­celle, le coro­na­vi­rus, le zona et la grippe nasale. Le métho­trexate peut aus­si don­ner plus rapi­de­ment des coups de soleil. Il est donc impé­ra­tif de la part du patient de ne pas s’exposer aux rayons du soleil ou les lits de bron­zage. Il faut bien se cou­vrir avec des vête­ments de pro­tec­tion et employer un écran solaire à l’extérieur.

Méthotrexate : interactions

Avant toute chose, le patient doit noti­fier à son méde­cin tous les médi­ca­ments qu’il a récem­ment pris afin d’éviter de mau­vaises sur­prises. En effet, le métho­trexate est éva­cué sous la forme inchan­gée par la voie rénale après de nom­breuses phases. Il s’agit de la fil­tra­tion glo­mé­ru­laire, de la pro­duc­tion tubu­laire active sui­vie de la réab­sorp­tion tubu­laire pas­sive.

Ain­si, il est à déduire que tout médi­ca­ment ayant rap­port avec la néphro­toxique peut dimi­nuer l’excrétion rénale de l’ensemble des métho­trexates. C’est alors que les experts du domaine sug­gèrent d’éviter la consom­ma­tion des médi­ca­ments de cette caté­go­rie de pro­duit lors de la période de consom­ma­tion du méthotrexate.

Aus­si, il faut évi­ter la consom­ma­tion des médi­ca­ments qui luttent contre la dépres­sion, la théo­phyl­line, le tra­ma­dol, les anti­pa­lu­déens, etc. Pour finir, cer­taines expé­riences ont mon­tré que l’admi­nis­tra­tion conco­mi­tante du métho­trexate avec la phé­nyl­bu­ta­zone a cau­sé non seule­ment une toxi­ci­té, mais aus­si la fièvre. Cette col­li­sion a de même engen­dré une dépres­sion au niveau de la moelle osseuse ain­si que la mort par septicémie.

Méthotrexate : grossesse et allaitement

Pour une femme enceinte, le métho­trexate peut conduire à une embryo­toxi­ci­té (peut deve­nir toxique pour l’embryon) ou encore à des mal­for­ma­tions congé­ni­tales. Il faut savoir éga­le­ment que le métho­trexate est un médi­ca­ment très agres­sif qui peut pro­vo­quer une fausse couche ou être fatal pour le fœtus. C’est pour cela que la pres­crip­tion du métho­trexate pour les femmes qui sont en âge de pro­créer n’est pos­sible qu’après une ana­lyse pour exclure une pos­sible grossesse.

De plus, il est impor­tant pour une patiente et son conjoint de prendre des pré­cau­tions pour évi­ter une gros­sesse durant le trai­te­ment ou juste après le trai­te­ment. Autre­ment dit, sur une période qui peut aller jusqu’à un an. Le métho­trexate est un pro­duit qui est excré­té dans le lait mater­nel, il est donc capi­tal de ne pas en faire usage au cours de l’allaitement. Il peut avoir des consé­quences toxiques très graves sur le bébé allai­té. C’est d’ailleurs la rai­son pour laquelle, la Food and Drug Admi­nis­tra­tion (FDA) a pla­cé ce médi­ca­ment dans la classe X.

Cette der­nière prend en compte toutes les sortes de médi­ca­ments pour les­quels les scien­ti­fiques ont mon­tré qu’ils peuvent entraî­ner le déve­lop­pe­ment d’anomalies fœtales (cela concerne les hommes et les ani­maux). De ce fait, ces pro­duits sont for­te­ment décon­seillés pen­dant la gros­sesse ou l’allaitement. Pour plus de pré­ci­sion, on recom­mande de deman­der l’avis de son médecin.

 

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...