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Dermocorticoïdes : indications, contre-indications, classes thérapeutiques

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Les der­mo­cor­ti­coïdes sont une classe de médi­ca­ments cou­ram­ment uti­li­sée depuis 1950. Répu­tés pour leur effi­ca­ci­té, ils sont par­ti­cu­liè­re­ment plé­bis­ci­tés pour le trai­te­ment d’une mul­ti­tude de pro­blèmes de peau. Cepen­dant, ils ne sont pas sans risques pour la san­té. Ils doivent pour cela être uti­li­sés judi­cieu­se­ment et uni­que­ment dans les cir­cons­tances où ils sont indi­qués. Quelles sont les indi­ca­tions des der­mo­cor­ti­coïdes ? Quelles sont leurs contre-indi­ca­tions ? Quelles sont les dif­fé­rentes classes thé­ra­peu­tiques de der­mo­cor­ti­coïdes retrou­vées en pharmacie ?

Dermocorticoïdes : définition

Par défi­ni­tion, les der­mo­cor­ti­coïdes cor­res­pondent à une caté­go­rie de pro­duits phar­ma­ceu­tiques ayant pour prin­cipe actif le cor­ti­sol. Dans les offi­cines phar­ma­ceu­tiques, ils se déclinent en trois formes prin­ci­pales, à savoir :

  • les crèmes ;
  • les lotions ;
  • les pom­mades.

Ils consti­tuent indé­pen­dam­ment de la forme consi­dé­rée, un trai­te­ment de réfé­rence pour d’innombrables affec­tions cuta­nées. En effet, du fait de l’action anti-inflam­ma­toire du cor­ti­sol, les der­mo­cor­ti­coïdes cor­rigent effi­ca­ce­ment l’inflammation de la peau ain­si que ses symp­tômes. Il s’agit entre autres du suin­te­ment, de la rou­geur, du gon­fle­ment et des plaques d’épaississement.

Dermocorticoïdes : indications primaires

Les indi­ca­tions pri­maires des der­mo­cor­ti­coïdes sont au nombre de trois. Elles consti­tuent les pre­mières cir­cons­tances de pres­crip­tion d’un der­mo­cor­ti­coïde. Il s’agit notamment :

  • de l’eczéma de contact ;
  • de la der­ma­tite atopique ;
  • de liché­ni­fi­ca­tion.

Ces pro­blèmes de peaux redou­tés pour leurs réper­cus­sions sur le quo­ti­dien des per­sonnes qui en sont atteintes sont recon­nais­sables au tra­vers de signes spécifiques.

L’eczéma de contact

Défi­ni comme une mala­die inflam­ma­toire, l’eczé­ma dit de contact est une réac­tion aller­gique de la peau au contact d’un aller­gène. Ce der­nier peut être la tein­ture d’un vête­ment, un pro­duit cos­mé­tique (par­fum, laque), un médi­ca­ment (baume, pro­duit anti­sep­tique) ou encore un aller­gène pro­fes­sion­nel (ciment, résine).

Outre les signes clas­siques d’une inflam­ma­tion cuta­née, l’eczéma de contact est recon­nais­sable par les plaques de vési­cules qui appa­raissent sur la peau. Ces der­nières sont emplies d’un liquide clair et ils s’accompagnent de signes exten­sibles. Ces der­niers sont variables sui­vant la loca­li­sa­tion de l’eczéma. Dans le cas d’un eczé­ma de contact du visage par exemple, l’apparition des plaques de vési­cules s’accompagne en géné­ral d’un œdème.

En outre, l’eczéma de contact peut tou­cher aus­si bien adulte et enfant. De même, l’idée selon laquelle il sur­vient exclu­si­ve­ment en pré­sence d’un ter­rain géné­tique pro­pice aux ana­phy­laxies est tota­le­ment fausse.

La dermatite atopique

La der­ma­tite ato­pique com­mu­né­ment appe­lée eczé­ma ato­pique est une mala­die chro­nique et inflam­ma­toire de la peau. À l’inverse de l’eczéma de contact, elle se déve­loppe sur un ter­rain géné­tique favo­rable aux ana­phy­laxies et touche prin­ci­pa­le­ment les enfants.

Excep­té la pré­dis­po­si­tion géné­tique, d’autres causes favo­risent la sur­ve­nue d’une der­mite ato­pique. Au nombre des plus cou­rantes, on compte la sécré­tion impor­tante d’anticorps IgE (Immu­no­glo­bu­line E) et la dété­rio­ra­tion du film hydro­li­pi­dique pro­tec­teur de la peau.

La der­ma­tite ato­pique se mani­feste au début par une forte séche­resse cuta­née qui s’étend même aux régions de la peau qui ne sont pas atteintes. Par la suite, lésions cuta­nées, croûtes, déman­geai­sons, rou­geurs et autres signes d’éruptions cuta­nées sont obser­vés. Si elle n’est pas conve­na­ble­ment trai­tée, la der­ma­tite ato­pique chez le nour­ris­son est très sus­cep­tible de se com­pli­quer. Une de ses com­pli­ca­tions les plus redou­tées est l’her­pès labial.

Lichénification

La liché­ni­fi­ca­tion est une lésion cuta­née induite par un grat­tage récur­rent et pro­lon­gé de la peau. Elle se carac­té­rise par un fort épais­sis­se­ment de la couche exté­rieure de la peau et la for­ma­tion de plaques. Dans la majo­ri­té des cas, la peau en plus de s’épaissir prend une teinte rose-gri­sâtre, devient rugueuse et brille. Toute situa­tion capable d’entraîner des déman­geai­sons (der­ma­toses pru­ri­gi­neuses, névro­der­mites) est sus­cep­tible de favo­ri­ser une liché­ni­fi­ca­tion. À tous les âges, il est pos­sible de contrac­ter cette lésion cuta­née.

Dermocorticoïdes : indications secondaires

Der­mo­cor­ti­coïdes

Les indi­ca­tions secon­daires des der­mo­cor­ti­coïdes sont très nom­breuses. Cepen­dant, dans le rang des plus impor­tantes, on réper­to­rie les affec­tions suivantes :

  • le pso­ria­sis localisé ;
  • le lichen sclé­reux génital ;
  • la dys­hi­drose ;
  • le gra­nu­lome annulaire ;
  • le lupus éry­thé­ma­teux discoïde ;
  • la Der­mite séborrhéique ;
  • le pru­ri­go non parasitaire.

Une brève des­crip­tion de cha­cune de ces affec­tions cuta­nées dont le trai­te­ment requiert l’usage d’un der­mo­cor­ti­coïde est faite ci-dessous. 

Le psoriasis localisé

Le pso­ria­sis est une mala­die chro­nique et inflam­ma­toire. Non conta­gieux, il se révèle par l’apparition de fines couches pel­li­cu­laires de cou­leurs blanches sur la peau affec­tée qui devient rouge et est recou­verte de squames. La forme loca­li­sée (pso­ria­sis loca­li­sé) touche une par­tie spé­ci­fique du corps. Il s’agit en géné­ral du cuir che­ve­lu, du genou, du coude, du dos, de la main, des ongles et du pied.

Les rai­sons pré­cises de sur­ve­nue d’un pso­ria­sis loca­li­sé ne sont pas entiè­re­ment élu­ci­dées. Néan­moins, on l’associe sou­vent à des fac­teurs tels que le stress, la pré­dis­po­si­tion géné­tique, et le dys­fonc­tion­ne­ment du sys­tème immu­ni­taire. Un pso­ria­sis loca­li­sé peut se com­pli­quer et entraî­ner un pso­ria­sis éry­thro­der­mique ou un rhu­ma­tisme pso­ria­sique.

Le lichen scléreux génital

Le lichen sclé­reux géni­tal aus­si appe­lé lichen sclé­reux vul­vaire est une affec­tion cuta­née qui touche les lèvres géni­tales ain­si que les régions péri­néales et anales. Il sur­vient fré­quem­ment chez les femmes méno­pau­sées d’âge com­pris entre 50 et 60 ans. Il se carac­té­rise par une inflam­ma­tion fibro­sante et chro­nique du tis­su conjonctif.

Bien que le lichen sclé­reux géni­tal soit asymp­to­ma­tique dans près de 30 % de cas, il peut pour cer­taines formes cli­niques se mani­fes­ter par plu­sieurs signes. Le prin­ci­pal est une dépig­men­ta­tion de la cou­leur de la peau qui vire au blanc nacré. Ce symp­tôme peut par­fois s’accompagner d’une atro­phie cuta­née et d’un rema­nie­ment anatomique.

La dyshidrose

La dys­hi­drose est une variante par­ti­cu­lière d’eczéma. Elle cible exclu­si­ve­ment les pieds et les mains et entraîne la for­ma­tion de vési­cules sur la peau. Ces der­niers sont accom­pa­gnés de déman­geai­sons dans plus de 90 % des cas.

Les fac­teurs capables de favo­ri­ser la dys­hi­drose sont multiples :

  • l’hyperhidrose ;
  • la trans­pi­ra­tion ;
  • le stress ;
  • l’exposition au soleil ;
  • le taba­gisme actif et passif.

Pour évi­ter que la dys­hi­drose ne réci­dive, il est impor­tant d’agir sur ces fac­teurs pen­dant et après le traitement.

Le granulome annulaire

Le gra­nu­lome annu­laire désigne une mala­die bénigne et chro­nique qui touche la peau. Consi­dé­ré comme idio­pa­thique en rai­son de ses étio­lo­gies qui sont res­tées indé­ter­mi­nées à ce jour, il se mani­feste au tra­vers de nom­breux symp­tômes. Il entraîne au départ une déco­lo­ra­tion de la peau qui prend une teinte jaune.

Ensuite appa­raissent plu­sieurs lésions cuta­nées. Ces der­nières s’assemblent au fil du temps pour consti­tuer de petits anneaux de centre clair. Si rien n’est fait à cette étape, les anneaux peuvent s’étendre à tout le corps. Les femmes sont en rai­son d’une pré­dis­po­si­tion phy­sio­lo­gique plus sus­cep­tible de souf­frir d’un gra­nu­lome annu­laire que les hommes.

Le lupus érythémateux discoïde

Le lupus éry­thé­ma­teux dis­coïde est une affec­tion chro­nique rare qui est très sus­cep­tible de se com­pli­quer. Il com­mence par la for­ma­tion de plaques éry­thé­ma­teuses qui lorsqu’elles sont arri­vées à matu­ra­tion donne nais­sance à des cica­trices atro­phiques. Indo­lores au début, ces cica­trices vont s’assembler par la suite pour for­mer de grosses masses sus­cep­tibles de s’étendre. Si aucun trai­te­ment n’est enta­mé, une atro­phie cen­trale peut se développer.

Un lupus éry­thé­ma­teux dis­coïde peut sur­ve­nir par­tout sur le corps humain. Tou­te­fois, les régions qu’il cible le plus sont celles expo­sées aux rayons lumi­neux. Il s’agit, à titre indi­ca­tif, du visage, du cuir che­ve­lu et des oreilles. À l’image du gra­nu­lome annu­laire, le lupus éry­thé­ma­teux dis­coïde est une mala­die cuta­née idio­pa­thique. Les causes pré­cises de sa sur­ve­nue ne sont pas connues.

La dermite séborrhéique

La der­mite sébor­rhéique cou­ram­ment appe­lée der­ma­tite sébor­rhéique est une der­ma­tose de type inflam­ma­toire qui touche les adultes. Elle se mani­feste par l’apparition de plaques éry­thé­ma­teuses de teintes rouges et enduites de squames grais­seuses.

Chro­nique, mais aus­si non conta­gieuse, la der­mite sébor­rhéique cible prin­ci­pa­le­ment les par­ties du corps où la pro­duc­tion du sébum est à son pic. Par exemple, on note le cuir che­ve­lu, le nez, et les sour­cils. La prin­ci­pale cause d’une der­mite sébor­rhéique est la mul­ti­pli­ca­tion exces­sive des levures de la famille des malas­se­zia.

Le prurigo non parasitaire

Le pru­ri­go est une affec­tion cuta­née qui est fré­quem­ment obser­vée chez les femmes et les jeunes enfants d’âges com­pris entre deux et sept ans. Lorsqu’il est non para­si­taire, c’est-à-dire non cau­sé par un para­site, il résulte de l’exposition du corps à un aller­gène. Celui-ci peut être une par­ti­cule aller­gé­nique de la pous­sière, le soleil, un com­po­sé chi­mique ou un pro­duit ali­men­taire. Bien sou­vent, le pru­ri­go non para­si­taire se déve­loppe sur les par­ties de la peau expo­sée aux rayons lumi­neux et au soleil.

Le pru­ri­go non para­si­taire se mani­feste par de nom­breux signes. Il se révèle au début par une simple érup­tion de la peau. Cette der­nière évo­lue pour don­ner lieu à des croûtes, des papules de cou­leurs rouges, des vési­cules de forme cen­trale et des déman­geai­sons. Si rien n’est fait, il peut se com­pli­quer et se géné­ra­li­ser à tout le corps.

Dermocorticoïdes : indications de circonstances

Der­mo­cor­ti­coïdes

Les prin­ci­pales indi­ca­tions de cir­cons­tances des der­mo­cor­ti­coïdes sont : les piqûres d’insectes et le pru­ri­go para­si­taire rési­duel. Dans la plu­part des cas de piqûres d’insectes, une réac­tion inflam­ma­toire a lieu au niveau de la peau. Elle est dou­lou­reuse et s’accompagne géné­ra­le­ment de déman­geai­sons ou de rou­geurs. Le der­mo­cor­ti­coïde étant un anti-inflam­ma­toire, il sera alors utile pour cal­mer la réac­tion inflam­ma­toire et les autres signes associés.

Il pré­sente un inté­rêt simi­laire lors de la prise en charge d’un pru­ri­go para­si­taire rési­duel. En réa­li­té, quand l’étiologie de cette der­ma­tose a été déter­mi­née et trai­tée, il faut néces­sai­re­ment un der­mo­cor­ti­coïde pour cal­mer l’inflammation dont il s’accompagne. Autre­ment, la cause du pru­ri­go aura certes été trai­tée, mais la peau risque de demeu­rer enflam­mée pen­dant un bon moment. 

Dermocorticoïdes : contre-indications

Les der­mo­cor­ti­coïdes comme tout pro­duit phar­ma­ceu­tique sont sujets à de nom­breuses contre-indi­ca­tions. Il s’agit entre autres des :

  • der­ma­toses bac­té­riennes, para­si­taires, virales et fongiques ;
  • der­ma­toses faciales à com­po­sante vaso­mo­trice ou folliculaire ;
  • des lésions ulcérées.

Uti­li­ser des der­mo­cor­ti­coïdes dans l’une ou l’autre de ces cir­cons­tances peut s’avérer pré­ju­di­ciable d’un point de vue sanitaire.

Dermatoses bactériennes, parasitaires, virales et fongiques

Ces der­ma­toses cor­res­pondent à des pro­blèmes de peaux cau­sés soit par une bac­té­rie, un para­site, un virus ou encore un cham­pi­gnon. Pour assu­rer leur prise en charge, des médi­ca­ments spé­ci­fiques tels que les anti­bio­tiques et les anti­fon­giques sont pré­vus. Ils per­mettent de détruire l’agent infec­tieux en cause et de res­tau­rer la peau.

Uti­li­ser un der­mo­cor­ti­coïde pour ces der­ma­toses est vive­ment décon­seillé. D’une part, il ne sera pas effi­cace et les symp­tômes obser­vés réci­divent fré­quem­ment. D’autre part, il risque de com­pli­quer les der­ma­toses et favo­ri­ser leur extension.

Dermatoses faciales à composante vasomotrice ou folliculaire

Der­mo­cor­ti­coïdes

En cas de der­ma­toses faciales à com­po­sante vaso­mo­trice (exemple : la rosa­cée) ou fol­li­cu­laire (exemple : acné), l’usage des der­mo­cor­ti­coïdes est éga­le­ment décon­seillé. Pour cause, par des méca­nismes non entiè­re­ment élu­ci­dés, le der­mo­cor­ti­coïde serait favo­rable à la pro­li­fé­ra­tion de ses der­ma­toses. Dans le cas par­ti­cu­lier de l’acné, le der­mo­cor­ti­coïde est nui­sible, car il empêche la résorp­tion et la cica­tri­sa­tion des boutons.

Lésions ulcérées

Les lésions ulcé­rées sont des lésions cuta­nées spé­ciales qui découlent d’une perte de liquide der­mique. En géné­ral, elles n’entraînent pas une inflam­ma­tion de la peau. Par consé­quent, pour assu­rer leur prise en charge, d’autres pro­duits phar­ma­ceu­tiques dif­fé­rents des der­mo­cor­ti­coïdes sont uti­li­sés. Dans ce contexte pré­cis, les der­mo­cor­ti­coïdes en plus d’être inef­fi­caces aug­mentent le risque de complication.

Dermocorticoïdes : classification

Les der­mo­cor­ti­coïdes sont répar­tis en fonc­tion de l’intensité de leur acti­vi­té en quatre classes thé­ra­peu­tiques : classe I, classe II, classe II, et classe IV.

Une clas­si­fi­ca­tion des prin­ci­paux der­mo­cor­ti­coïdes sui­vant leurs classes est faite dans le tableau ci-dessous.

 

Classe thé­ra­peu­tique

Der­mo­cor­ti­coïdes concernés

 Classe I (Très forts)

●     DERMOVAL (clo­bé­ta­sol) : gel (20 ml) et crème (10 g) ;

●     DIPROLENE (béta­mé­tha­sone) : pom­made (15 g).

 Classe II (Forts)

●     BETNEVAL (béta­mé­tha­sone) : crème (10/30 g), pom­made (10/30 g) et lotion (15 g) ;

●     CELESTODERM (béta­mé­tha­sone) : crème (10 g) et pom­made (10 g) ;

●     DIPROSONE (béta­mé­tha­sone) : crème (15/30 g), pom­made (15/30 g) et lotion (15/30 g) ;

●     EPITOPIC (diflu­pred­nate): gel et crème (15 g) ;

●     EFFICORT HYDROPHILE : crème (15/30 g);

●     EFFICORT LIPOPHILE : crème (30 g) ;

●     HALOG (hal­ci­no­nide) : crème (30 g) ;

●     LOCOID (hydro­cor­ti­sone) : crème épaisse ou crème clas­sique (30 g), pom­made (30 g), et lotion (30 ml) ;

●     NERISONE (diflu­cor­to­lone) : crème et pom­made (30 g) ;

●     NERISONE GRAS : pom­made (30 g) ;

●     PENTICORT (amci­no­nide) : crème et pom­made (30 g) ;

●     SYNALAR CREME (fluo­ci­no­lone) : crème (15 g) ;

●     SYNALAR GRAS : pom­made (15 g) ;

●     TOPILAR (flu­clo­ro­lone) : crème et pom­made (15 g) ;

●     TOPSYNE type APG (fluo­ci­no­nide) : pom­made (15 g) ;

●     TOPSYNE GRAS : pom­made (15 g).

Classe III (Assez forts)

●     CELESTODERM RELAIS : crème (25 g) ;

●     EPITOPIC 0.02%: crème (40 g) ;

●     LOCAPRED (déso­nide): crème (15 g) ;

●     TIBICORTEN (triam­ci­no­lone) : crème (15/30 g);

●     TOPSYNE 0,01 % : pom­made (50 g) ;

●     TRIDESONIT 0.05%: crème (30 g) ;

●     ULTRALAN (Fluo­ro­cor­to­lone) : pom­made (15/30 g)

Classe IV : (Modé­ré)

●     HYDRACORT (hydro­cor­ti­sone): crème (30 g)

 

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