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Acide valproïque : formes, indications, contre-indications, effets secondaires

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L’acide val­proïque (acide 2 — pro­pyl­pen­ta­noïque ou encore val­proate) est un puis­sant anti­con­vul­si­vant. Répu­té pour ses pro­prié­tés anti­dé­pres­sives, thy­mo­ré­gu­la­trices et anxio­ly­tiques, il est uti­li­sé depuis 1967 pour le trai­te­ment de cer­taines crises convulsives.

Il se décline en des formes variées et fait très bonne presse en rai­son de son effi­ca­ci­té. Cepen­dant, il pré­sente quelques effets secon­daires et est contre-indi­qué dans cer­tains cas en rai­son de sa forte téra­to­gé­ni­ci­té. Voi­ci l’essen­tiel à rete­nir sur l’acide val­proïque.

Acide valproïque : nom commercial et formes

L’acide val­proïque est com­mer­cia­li­sé dans les offi­cines phar­ma­ceu­tiques sous le nom de DEPAKINE®. Il est pré­sen­té sous deux prin­ci­pales formes : les cap­sules et le sirop.

Les capsules d’acide valproïque

Les cap­sules sont les formes com­mer­ciales les plus popu­laires de l’acide val­proïque. Elles sont pro­po­sées sui­vant des doses spé­ci­fiques et on dis­tingue : la cap­sule de 250 mg et celle de 500 mg d’acide val­proïque. La com­po­si­tion et la for­mu­la­tion du DEPAKINE® varient d’une cap­sule à une autre.

La capsule de 250 mg d’acide valproïque

La cap­sule de 250 mg d’acide val­proïque est une gélule de géla­tine molle orange et oblongue por­tant sur sa face supé­rieure l’inscription : « pms 250 ». Elle contient exac­te­ment 250 mg d’acide val­proïque et les ingré­dients non médi­ci­naux suivants :

  • AD et C jaune nº 5 ;
  • AD et C jaune nº 6 ;
  • Le dioxyde de titane ;
  • La géla­tine ;
  • La gly­cé­rine.

En plus de ces ingré­dients, on retrouve dans la cap­sule de 250 mg d’acide val­proïque des traces d’huile de maïs.

La capsule de 500 mg d’acide valproïque

La cap­sule de 500 mg d’acide val­proïque est une gélule de géla­tine molle jaune et oblongue sur laquelle est gra­vée l’inscription : « pms 500 ». Elle contient exac­te­ment 500 mg d’acide val­proïque et les ingré­dients non médi­ci­naux ci-après :

  • AD et C bleu nº 1 ;
  • AD et C jaune nº 6 ;
  • La laque d’aluminium C et AD jaune nº 6 ;
  • La laque d’aluminium C et D jaune nº 10 ;
  • Le dioxyde de titane ;
  • La géla­tine ;
  • La gly­cé­rine.

À ces ingré­dients s’ajoutent les alcools comme le métha­nol et l’éthanol, le chlo­rure de méthy­lène, l’hydroxypropylcellulose, l’acétone, l’eau puri­fiée et le phta­late de diéthyle.

Le sirop d’acide valproïque

Le sirop d’acide val­proïque est pro­po­sé en une dose unique de 5 mL. Il est condi­tion­né dans un petit bocal et il a une cou­leur rose-rouge avec un goût sucré de cerise. Il contient 250 mg de sel sodique de val­proate ain­si que les ingré­dients non médi­ci­naux comme :

  • AD et C rouge nº 2 ;
  • L’acide chlor­hy­drique ;
  • Le ben­zoate de sodium ;
  • Le dex­trose ;
  • Le pro­py­lène glycol ;
  • Le méthyl­pa­ra­bène ;
  • La gly­cé­rine.

L’eau puri­fiée, le phos­phate de potas­sium et la gly­cé­rine sont retrou­vés en petites quan­ti­tés dans le sirop de val­proate. Par ailleurs, le goût de cerise qui le carac­té­rise est dû aux saveurs arti­fi­cielles de cerise sau­vage, de sucrose et de cerise uti­li­sées au moment de sa formulation.

Acide valproïque : mode d’action

Acide val­proïque

L’acide val­proïque agit direc­te­ment sur le sys­tème ner­veux cen­tral. Il inhibe en pre­mier lieu la GABA trans­ami­nase dont l’activité entraîne une dégra­da­tion des neu­ro­trans­met­teurs GABA. En consé­quence, les concen­tra­tions neu­ro­nales du GABA aug­mentent dans le cer­veau. Le calme et la relaxa­tion sont alors favo­ri­sés et la toni­ci­té mus­cu­laire, le rythme car­diaque ain­si que les convul­sions sont réduits.

En second lieu, l’acide val­proïque inhibe les HDCA (his­tones désa­cé­ty­lases). Ain­si, la dif­fé­ren­cia­tion de cer­taines cel­lules est accé­lé­rée pour favo­ri­ser la relaxa­tion du malade. Par ailleurs, le val­proate pro­voque une dimi­nu­tion de l’exicito-toxicité du glu­ta­mate. Ce qui a un effet pro­tec­teur sur les neu­rones du cerveau.

Acide valproïque : indications

Les prin­ci­pales indi­ca­tions de l’acide val­proïque sont :

  • L’épilepsie ;
  • L’anxiété géné­ra­li­sée ;
  • Le trouble bipolaire ;
  • La dépres­sion ;
  • Les troubles obses­sion­nels com­pul­sifs (TOC).

Plus rare­ment, il est uti­li­sé pour le trai­te­ment des formes per­sis­tantes de migraine avec une atteinte cérébrale.

L’épilepsie

L’épi­lep­sie aus­si appe­lée mal comi­tial, est une patho­lo­gie neu­ro­lo­gique. Les étio­lo­gies de l’épi­lep­sie sont mul­tiples. Elles regroupent entre autres cer­taines mala­dies (mala­dies auto-immunes, tumeur céré­brale, encé­pha­lite, mala­die d’Alzheimer, acci­dent vas­cu­laire céré­bral, trau­ma­tisme crâ­nien), une pré­dis­po­si­tion géné­tique et une convul­sion fébrile.

Dans cer­tains cas, l’épilepsie peut sur­ve­nir dans les cir­cons­tances par­ti­cu­lières d’hypoglycémie, de troubles ioniques, d’hypocalcémie, d’hyponatrémie, d’alcoolisme, d’ivresse aiguë et de médi­ca­tion exces­sive. Il n’est pas exclu qu’elle soit idio­pa­thique.

Les crises épi­lep­tiques se déroulent géné­ra­le­ment en trois phases : la phase tonique, la phase clo­nique, et la phase ster­to­reuse.

La phase tonique se mani­feste par des signes basiques comme un rai­dis­se­ment et une contrac­tion sou­te­nue des muscles du tronc, du visage et des membres ocu­lo­mo­teurs. La phase clo­nique quant à elle cause des convul­sions et des contrac­tions aléa­toires des muscles pré­cé­dents. La phase ster­to­reuse, pour finir, entraîne une perte de connais­sance, un encom­bre­ment bron­chique et une dif­fi­cul­té res­pi­ra­toire. À ce stade, une incon­ti­nence uri­naire peut sur­ve­nir, mais ce n’est pas systématique.

À toutes les phases de la crise épi­lep­tique, l’acide val­proïque est le trai­te­ment de réfé­rence pour sou­la­ger le patient. Il réduit gra­duel­le­ment la gra­vi­té et l’intensité des convulsions.

L’anxiété généralisée

L’anxié­té géné­ra­li­sée (ou trouble anxieux géné­ra­li­sé) désigne une mala­die psy­chia­trique grave. Elle est prin­ci­pa­le­ment cau­sée par le stress post-trau­ma­tique, le dérè­gle­ment de la sécré­tion du cor­ti­sol et la consom­ma­tion de cer­tains médi­ca­ments. Elle touche plus fré­quem­ment les femmes et sa sur­ve­nue est favo­ri­sée par les anté­cé­dents fami­liaux. En effet, une per­sonne avec un parent ayant souf­fert d’une anxié­té géné­ra­li­sée pré­sente un risque plus impor­tant de faire la maladie.

Les symp­tômes du trouble anxieux géné­ra­li­sé sont nom­breux et peuvent dif­fé­rer d’un patient à un autre. Les plus impor­tants sont : une inquié­tude incon­trô­lable, une forte ner­vo­si­té, une dif­fi­cul­té à dor­mir, une trans­pi­ra­tion exces­sive et une grande irri­ta­bi­li­té. En absence de trai­te­ment, des symp­tômes plus graves tels qu’une insom­nie, une amné­sie et des pal­pi­ta­tions car­diaques peuvent apparaître.

L’acide val­proïque a mon­tré un effet posi­tif sur la régres­sion des symp­tômes de l’anxiété géné­ra­li­sée. Il est effi­cace dans près de 90 % des cas et per­met de pré­ve­nir les com­pli­ca­tions de la maladie.

Le trouble bipolaire

La mala­die mania­co-dépres­sive est une patho­lo­gie psy­chia­trique qui affecte prin­ci­pa­le­ment les per­sonnes âgées. Les causes exactes de sa sur­ve­nue ne sont pas connues. Cepen­dant, ce trouble est favo­ri­sé des fac­teurs géné­tiques d’une part par et d’autre part par cer­taines mala­dies. En effet, le trouble bipo­laire est très fré­quent dans les familles com­po­sées d’un ou plu­sieurs malades. De la même manière, il est récur­rent chez les per­sonnes ayant des anté­cé­dents de dépres­sion sai­son­nière, de mala­dies men­tales (trouble anxieux) et de dys­fonc­tion cérébrale.

Les mani­fes­ta­tions du trouble bipo­laire sont mul­tiples et dépendent des phases de la mala­die (phase maniaque, phase dépres­sive). La phase maniaque est carac­té­ri­sée par les symp­tômes comme l’excitation exces­sive, l’irritabilité, la colère, l’accès de rage, l’agitation, le déve­lop­pe­ment de com­por­te­ment hos­tile et la para­noïa. Dans les cas extrêmes, ils peuvent s’accompagner de signes plus graves comme l’altération de la capa­ci­té de juge­ment, les pro­blèmes de locu­tions, le manque de concen­tra­tion, l’exacerbation des pul­sions sexuelles et les troubles du sommeil.

La phase dépres­sive du trouble bipo­laire est mar­quée au début par la perte d’énergie et d’intérêt pour la vie. Le patient est triste en per­ma­nence et pleure par­fois sans la moindre rai­son. Ensuite, il plonge dans un état d’anxiété et déve­loppe des sen­ti­ments de déses­poir, de culpa­bi­li­té et d’inutilité. Si rien n’est fait à cette étape, la capa­ci­té de prise de déci­sions est alté­rée. De plus, des signes comme l’irritabilité, le chan­ge­ment d’appétit, la perte de poids et l’envie de sui­cide apparaissant.

Pour favo­ri­ser la régres­sion de ces dif­fé­rents symp­tômes, l’acide val­proïque peut être uti­li­sé en asso­cia­tion avec un anti­psy­cho­tique ou un psycho-régulateur.

La dépression

La dépres­sion est une affec­tion psy­chique très fré­quente. Elle est favo­ri­sée par des fac­teurs d’ordre géné­tique et éco­lo­gique. Elle se mani­feste par plu­sieurs symp­tômes notam­ment, la dys­pho­rie, la fatigue exces­sive, les troubles du som­meil et de la concentration.

Pour la prise en charge de la dépres­sion, une pano­plie de trai­te­ments est pro­po­sée. Ces der­niers consistent en une médi­ca­tion, une psy­cho­thé­ra­pie et une élec­tro-convul­si­vo­thé­ra­pie. La médi­ca­tion est faite sur la base de l’acide val­proïque. D’autres médi­ca­ments peuvent lui être asso­ciés en fonc­tion des symp­tômes pré­sen­tés par le patient.

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC)

Les troubles obses­sion­nels com­pul­sifs regroupent un ensemble de mala­dies ayant en com­mun la pré­sence de com­pul­sions, d’obsessions ou d’actions répé­ti­tives qui sont dif­fi­ciles à arrê­ter. Les étio­lo­gies de ces troubles regroupent des anté­cé­dents fami­liaux, des anté­cé­dents médi­caux (infec­tion strep­to­coc­cique, anxié­té, dépres­sion), un dys­fonc­tion­ne­ment céré­bral, l’alcoolisme et la toxi­co­ma­nie. Ces der­niers se mani­festent en géné­ral par la per­sis­tance de pen­sées indé­si­rables et répé­tées qui peuvent s’accompagner d’images ou des envies intrusives.

En milieu hos­pi­ta­lier, les troubles obses­sion­nels com­pul­sifs sont trai­tés avec l’acide val­proïque et d’autres anti­dé­pres­seurs. Un sui­vi nutri­tion­nel et psy­cho­lo­gique est éga­le­ment pré­vu pour per­mettre au patient de sur­mon­ter les obses­sions qu’il déve­loppe. De même, lorsque les symp­tômes per­sistent, des psy­cho­thé­ra­pies de groupe et une thé­ra­pie de bien-être sont envisageables.

Acide valproïque : contre-indications

Acide val­proïque

Les contre-indi­ca­tions cou­rantes de l’acide val­proïque sont :

  • La gros­sesse ;
  • L’allergie à un consti­tuant du DEPAKINE ;
  • Les mala­dies sus­cep­tibles d’être aggra­vées par l’acide valproïque.

L’utilisation de l’acide val­proïque est par­fois décon­seillée en cas d’anomalies congé­ni­tales du cycle de l’urée.

Grossesse

La prin­ci­pale contre-indi­ca­tion de l’acide val­proïque est la gros­sesse. En effet, le val­proate est le plus téra­to­gène des thy­mo­ré­gu­la­teurs et des anti­con­vul­si­vants. Par consé­quent, l’utiliser durant la gros­sesse expose le fœtus à des mal­for­ma­tions congé­ni­tales graves (l’encéphalocèle ou le défaut de fer­me­ture du tube neural).

Plus de 10 % des ges­tantes uti­li­sant l’acide val­proïque au pre­mier tri­mestre de la gros­sesse sont sus­cep­tibles de don­ner nais­sance à un bébé ayant des mal­for­ma­tions congé­ni­tales. Les enfants nés de mères uti­li­sant l’acide val­proïque sont aus­si sus­cep­tibles d’avoir un défi­cit cog­ni­tif. Il n’est pas rare alors qu’ils déve­loppent sur le long terme l’autisme ou des affec­tions du même genre. Au vu de cela, en cas de gros­sesse, l’acide val­proïque n’est indi­qué qu’en der­nier recours.

L’allergie à un constituant du DEPAKINE

Le DEPAKINE est contre-indi­qué aux per­sonnes qui pré­sentent une aller­gie à l’un de ses consti­tuants (gly­cé­rine, géla­tine, huile de maïs). Son uti­li­sa­tion dans ce cas pré­cis entraîne une série de réac­tions d’hypersensibilité pou­vant induire une ana­phy­laxie. Le pro­nos­tic vital du patient est alors enga­gé et les symp­tômes qu’il pré­sente sont exacerbés.

Pour cela, il est recom­man­dé aux malades qui se savent aller­giques à un des com­po­sés du DEPAKINE de le signa­ler à leur méde­cin trai­tant. Un autre médi­ca­ment pour­ra être pro­po­sé pour amoin­drir les risques. Pour les autres malades, la conduite à tenir est d’informer immé­dia­te­ment un pro­fes­sion­nel de san­té quand des signes d’anaphylaxie sont remar­qués les minutes après la prise de l’acide valproïque.

À ce pro­pos, la sémio­lo­gie d’une ana­phy­laxie révèle des symp­tômes tels que les pico­te­ments, les tiraille­ments, les déman­geai­sons, l’essoufflement, l’écoulement nasal, les nau­sées et la diar­rhée. Ces symp­tômes sont accom­pa­gnés dans cer­taines cir­cons­tances des symp­tômes car­dio­vas­cu­laires comme une tachy­car­die, l’hypotension arté­rielle et l’accélération du pouls.

Les maladies susceptibles d’être aggravées par l’acide valproïque

Les symp­tômes de cer­taines mala­dies comme l’hépa­to­pa­thie et la por­phy­rie sont aggra­vés par la prise de l’acide val­proïque. Pour cela, son usage est pure­ment et sim­ple­ment contre-indi­qué aux patients qui en souffrent. D’autres médi­ca­ments aus­si effi­caces que l’acide val­proïque et com­pa­tibles avec ces patho­lo­gies sont pro­po­sés dans ces circonstances.

L’hépatopathie est à titre infor­ma­tif une mala­die qui touche le foie. Elle peut être chro­nique ou aiguë. En géné­ral, elle est cau­sée par les toxines bac­té­riennes, les para­si­toses, l’alcoolisme, l’hypertension por­tale et cer­taines mala­dies auto-immunes.

La por­phy­rie quant à elle est une mala­die qui résulte de la hausse des taux de por­phy­rines dans l’organisme. Les troubles du méta­bo­lisme des com­po­sés pyr­ro­liques sont les prin­ci­pales rai­sons de sa sur­ve­nue. Elle se mani­feste géné­ra­le­ment par des dou­leurs de l’abdomen, des troubles psy­chiques, des troubles ner­veux et des troubles biliaires de gra­vi­té importante.

Acide valproïque : effets secondaires

Les prin­ci­paux effets secon­daires de l’acide val­proïque sont :

  • La prise bru­tale de poids ;
  • La chute de cheveux ;
  • Les nau­sées ;
  • La dys­pep­sie ;
  • La fatigue ;
  • Les ver­tiges
  • Les troubles diges­tifs tels que les fla­tu­lences, la consti­pa­tion et les ballonnements.

La cyto­lyse hépa­tique, les dys­fonc­tion­ne­ments cog­ni­tifs, le syn­drome par­kin­so­nien, l’encéphalopathie hyper­am­mo­nié­mique et la carence en vita­mine B9 peuvent éga­le­ment consti­tuer des effets secon­daires de l’acide val­proïque. Il est à noter que les effets secon­daires de l’acide val­proïque ne sont pas sys­té­ma­tiques. Cer­tains patients ne res­sentent aucun effet secon­daire après la prise de l’acide val­proïque. Dans le cas où ils sont res­sen­tis, la conduite à tenir est d’informer le méde­cin trai­tant et de suivre ses ins­truc­tions ou d’aller à l’hôpital pour un avis médi­cal.

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