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Coartem – Riamet : action, efficacité, précautions d’emploi

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Le palu­disme est une mala­die majo­ri­tai­re­ment infan­tile qui fait des ravages dans toutes les régions du monde. Par­ti­cu­liè­re­ment en Afrique, il est chaque année res­pon­sable de plus d’un mil­lion de décès d’enfants. Pour­tant, il existe un trai­te­ment contre l’affection. En réa­li­té, il s’avère que la chlo­ro­quine, pro­duit com­mu­né­ment uti­li­sé pour soi­gner le mal se retrouve avec une effi­ca­ci­té réduite de moi­tié, car le para­site palu­dique serait deve­nu plus résis­tant. Mal­gré cela, le palu­disme ne demeure pas une patho­lo­gie incu­rable, car ses effets sont contre­ba­lan­cés par le Coar­tem – Ria­met. Voi­ci com­ment agit ce médicament.

Coartem – Riamet : Indication

Le Coar­tem – Ria­met est un com­pri­mé rond, de cou­leur jaune pâle, doté d’un trait de séca­bi­li­té et por­tant sur l’une de ses faces les lettres CG puis sur l’autre l’inscription NC. Ayant béné­fi­cié de son auto­ri­sa­tion de mise sur le mar­ché depuis avril 2001, ce pro­duit est dis­po­nible et ven­du sur ordon­nance dans la plu­part des phar­ma­cies du monde.

Il faut pré­ci­ser que dans les pays déve­lop­pés, le médi­ca­ment est com­mer­cia­li­sé sous le nom de Ria­met. Dans ceux en voie de déve­lop­pe­ment, il est pro­po­sé sous la déno­mi­na­tion de Coar­tem. Quelle que soit la région où il est ache­té, le Coar­tem – Ria­met­pos­sède la même fonction.

Il est en effet des­ti­né au trai­te­ment non pas pré­ven­tif, mais plu­tôt cura­tif du palu­disme. Le médi­ca­ment est à pré­co­ni­ser que si la patho­lo­gie est pro­vo­quée par le Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum. Trans­mis par la piqûre du mous­tique femelle appe­lé ano­phèle, il s’agit d’un para­site res­pon­sable de la mala­ria chez l’homme.

Par­mi les dif­fé­rentes espèces de bac­té­ries sus­cep­tibles de cau­ser cette mala­die, le Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum serait la plus dan­ge­reuse. Ce para­site est en effet res­pon­sable de plus de 90 % des décès liés au paludisme.

Il est par ailleurs néces­saire de noti­fier que le Coar­tem – Ria­met est indi­qué que si la mala­die concer­née est sans signes de gra­vi­té. Concrè­te­ment, le médi­ca­ment ne s’emploie pas lorsque le palu­disme est de forme sévère comme dans le cas où une hos­pi­ta­li­sa­tion du patient se révèle nécessaire.

Coartem – Riamet : Composition

Le Coar­tem – Ria­metcom­prend divers exci­pients à savoir :

  • Stéa­rate de magnésium ;
  • Cros­car­mel­lose sodique ;
  • Dioxyde de sili­cium colloïdal ;
  • Lac­tose anhydre ;
  • Talc puri­fié ;
  • Poly­sor­bate 80

Ces divers com­po­sants ne pos­sèdent que des fonc­tions secon­daires ou sup­plé­men­taires. Le médi­ca­ment doit toute sa force à deux sub­stances qui consti­tuent ses prin­cipes actifs. Il s’agit d’une part de l’artéméther repré­sen­tant 20 mg du pro­duit et d’autre part de la lumé­fan­trine dont la concen­tra­tion est de 120 mg.

Ces deux molé­cules font par­tie du groupe de médi­ca­ments des anti­pa­lu­diques.

Mode d’action de l’artéméther et de la luméfantrine

L’artéméther et la lumé­fan­trine agissent de façon com­plé­men­taire en inhi­bant la syn­thèse de pro­téines intra­pa­ra­si­taires et d’acides nucléiques, même si elles pos­sèdent cha­cune une acti­vi­té par­ti­cu­lière sur le Plas­mo­dium falciparum.

Par­lant de l’artéméther, il faut rete­nir qu’il consti­tue un déri­vé de l’artémisinine. Il s’agit d’une sub­stance dotée d’une demi-vie de près de deux heures puis d’une action rapide de type gamé­ti­cide et schi­zon­ti­cide. Avec toutes ces pro­prié­tés, l’artéméther est effi­cace, car il affai­blit les effets du Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum.

Pour y par­ve­nir, il agit sur les radi­caux libres issus de la des­truc­tion de l’hémoglobine toxique du Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum. Compte tenu de sa très courte demi-vie, ce prin­cipe actif ne par­vient pas à res­ter long­temps dans l’organisme au point de pou­voir éli­mi­ner entiè­re­ment le parasite.

C’est à ce niveau que l’intervention de la lumé­fan­trine se révèle néces­saire. Le rôle de ce com­po­sé consiste à pro­lon­ger l’action de l’artéméther en agis­sant spé­ci­fi­que­ment sur la poly­mé­ri­sa­tion intra­pa­ra­si­taire. En effet, tout comme ce der­nier, la lumé­fan­trine pos­sède aus­si une action schizonticide.

De plus, de par sa phar­ma­co­lo­gie et sa struc­ture, elle consti­tue une sub­stance simi­laire à l’artéméther. Cepen­dant, la lumé­fan­trine se dif­fé­ren­cie par sa demi-vie allant de deux à trois jours. Cette molé­cule dure donc plus dans l’organisme. Ce qui lui per­met d’achever l’action enta­mée par l’artéméther au niveau du parasite.

Coartem – Riamet : Efficacité

Suite à l’action syner­gique de l’artéméther et de la lumé­fan­trine, plus de 95 % des toxines pro­duites par le para­site sont éva­cuées au bout d’une jour­née de trai­te­ment. Après 48 heures de consom­ma­tion du Coar­tem – Ria­met, une régres­sion s’observe au niveau du déve­lop­pe­ment des gamétocytes.

De plus, la clai­rance para­si­taire se trouve à son plus haut point. L’efficacité du Coar­tem – Ria­met­semble donc avé­rée. Cela est d’ailleurs confir­mé par quelques études.

Coartem – Riamet : Une efficacité clinique révélée par les études A026 et A2403

Pour éva­luer l’efficacité du Coar­tem – Ria­met, cinq dif­fé­rentes études ont été réa­li­sées. La même méthode a été sui­vie pour tous les essais. Ain­si, ces der­niers ont été menés sur des sujets atteints de palu­disme sans signes de gra­vi­té et se trou­vant en :

  • Amé­rique du Sud ;
  • Thaï­lande ;
  • Europe ;
  • Afrique sub­sa­ha­rienne.

Tous les sujets concer­nés pesaient plus de 5 kg. Ils pré­sen­taient pour la plu­part une para­si­té­mie située com­prise entre 0,01 et 4 %. Il leur a été admi­nis­tré du Coar­tem – Ria­met à une poso­lo­gie de 6 doses. En ce qui concerne les cri­tères de juge­ment de l’efficacité, il s’agissait notam­ment du :

  • Temps de dis­pa­ri­tion de la fièvre (FCT) ;
  • Temps d’élimination des para­sites (PCT) ;
  • Taux de gué­ri­son au bout de 28 jours.

En guise d’explication, le pre­mier élé­ment aide à recher­cher la durée qui s’est écou­lée entre le moment où la tem­pé­ra­ture du patient a chu­té à moins de 37,5 ° C et res­tée en des­sous de ce seuil puis l’instant où la pre­mière dose du médi­ca­ment lui a été donnée.

Le deuxième fac­teur fait réfé­rence au temps qu’il a fal­lu pour que les para­sites asexués subissent une pre­mière dis­pa­ri­tion totale suite à la prise de la pre­mière dose de Coar­tem – Ria­met.

Quant au der­nier para­mètre, il se rap­porte au nombre d’individus qui dans un délai de 7 jours après la pre­mière dose pré­sen­tait des para­sites entiè­re­ment éli­mi­nés sans que ces der­niers ne réci­divent dans un délai de 28 jours.

Études A026 et A2403 : Résultats

Dans le cadre des cinq études, le trai­te­ment à base de Coar­tem – Ria­me­ta don­né des résul­tats assez satis­fai­sants. Les don­nées obte­nues en fin d’analyse étaient meilleures au niveau de deux essais, notam­ment ceux por­tant les numé­ros A026 et A2403. Au niveau de la pre­mière expé­rience, les patients avaient entre 2 et 63 ans.

Sur les 133 per­sonnes qu’ils étaient, 130 ont pré­sen­té des signes de gué­ri­son au bout de 28 jours et le FCT était de 22 h chez 87 des patients. Par­lant de l’étude A2403, il y avait 299 indi­vi­dus âgés entre 2 mois et 9 ans. Un total de 289 patients était gué­ri à 28 jours. Le FCT était de 8 h et le PCT de 24 h.

Par ailleurs, il faut dire que les résul­tats de ces deux études et celles des trois autres ont per­mis à la Com­mis­sion de la Trans­pa­rence de la Haute Auto­ri­té de la San­té de se pro­non­cer sur l’efficacité du Coar­tem – Ria­met.

Ain­si, selon ce comi­té, le pro­duit pos­sède un ser­vice médi­cal ren­du (SMR) impor­tant et son amé­lio­ra­tion du ser­vice médi­cal ren­du (ASMR) est faible (chez le nour­ris­son de plus de 5 kg et l’enfant). La com­mis­sion ajoute que le médi­ca­ment peut être uti­li­sé en pre­mière inten­tion aus­si bien chez les adultes que chez les enfants.

Coartem – Riamet : Mode d’emploi

Coar­tem – Riamet

Le Coar­tem – Ria­met est certes effi­cace. Pour qu’il puisse véri­ta­ble­ment com­battre le Plas­mo­dium fal­ci­pa­rum, il existe des règles d’emploi à res­pec­ter. Ain­si, il faut rete­nir que le médi­ca­ment s’administre par voie orale. Il peut être pris par l’enfant et l’adulte.

Les nour­ris­sons peuvent éga­le­ment suivre un trai­te­ment à base d’artéméther et lumé­fan­trine. Ils doivent pos­sé­der un poids supé­rieur ou égal à 5 kg. Outre cela, il faut noter que le Coar­tem – Ria­met se prend durant les repas ou avec des bois­sons, de pré­fé­rence celles riches en lipides comme le lait.

Cela faci­lite en réa­li­té l’absorption des sub­stances actives du com­pri­mé par l’organisme. Si le patient se trouve dans l’incapacité de man­ger, il lui est conseillé de le faire dès que pos­sible suite à la prise du médi­ca­ment. Lorsque le sujet vomit dans un délai d’une heure après la consom­ma­tion du Coar­tem – Ria­met, il doit rece­voir une nou­velle et même dose du pro­duit.

Par­lant jus­te­ment de dosage, il faut dire que le Ria­met se prend sur 3 jours et en 6 doses. Une fois que la pre­mière prise (le plus tôt pos­sible après le diag­nos­tic) est faite, les cinq autres doivent être res­pec­ti­ve­ment effec­tuées dans un délai de :

  • 8 h ;
  • 24 h ;
  • 36 h ;
  • 48 h ;
  • 60 h.

Le nombre spé­ci­fique de com­pri­més à prendre dépend de l’âge et du poids du malade.

Posologie chez les enfants pesant entre 5 et moins de 35 kg

Ici, le nombre de com­pri­més à chaque prise varie entre 1 et 3. Ain­si, il faut selon les inter­valles de temps recom­man­dés donner :

  • 1 com­pri­mé aux enfants dont le poids est entre 5 moins de 15 kg ;
  • 2 com­pri­més aux enfants pesant entre 15 et moins de 25 kg ;
  • 3 com­pri­més aux enfants avec un poids situé entre 25 et moins de 35 kg.

Sui­vant donc le sché­ma poso­lo­gique de six doses, dans les pre­mier, deuxième et troi­sième cas, le nombre total de com­pri­més est res­pec­ti­ve­ment de 6, 12 et 18. Par ailleurs, chez les enfants (âgés de 12 ans au moins) et adultes de plus de 35 kg, il faut pour chaque dose prendre 4 com­pri­més de Coar­tem – Ria­me­ten res­pec­tant les inter­valles de temps.

Coartem – Riamet : Une sécurité d’emploi évaluée grâce à l’étude A2043

En plus d’avoir per­mis de recher­cher l’efficacité du Coar­tem – Ria­met, les don­nées de l’étude A2043 ont éga­le­ment aidé à éva­luer la tolé­rance du pro­duit. Spé­ci­fi­que­ment dans ce cas, les ana­lyses ont uni­que­ment été effec­tuées sur des sujets pesant entre 5 et 25 kg.

En fonc­tion de leur poids, ils ont reçu les six doses adap­tées pour des indi­vi­dus de leur âge et dans les inter­valles requis.

Résultats de l’expérience clinique

Dans 25 % des cas, des effets indé­si­rables ont été enre­gis­trés et dans une pro­por­tion de 72,6 %, des évé­ne­ments indé­si­rables ont été consta­tés. En ce qui concerne ces der­niers, il faut noter qu’un seul sujet a mani­fes­té des signes d’urticaire.

Cette réac­tion a contraint à pla­cer le patient en hos­pi­ta­li­sa­tion et à mettre fin à son trai­te­ment. Cer­tains effets secon­daires sont appa­rus chez un grand nombre des indi­vi­dus en étude. Il s’agissait notam­ment de :

  • Diar­rhée ;
  • Clo­nus ;
  • Hyper­éo­si­no­phi­lie ;
  • Ané­mie ;

Un allon­ge­ment de l’intervalle QTc a aus­si été rap­por­té par quelques patients. Selon le rap­port pro­po­sé dans le cadre de l’étude, il a été pré­ci­sé que ces divers effets cor­res­pon­daient au pro­fil de toxi­ci­té attendu.

De plus, ces der­niers sont simi­laires à ceux obser­vés chez les sujets adultes. Sur la base de ces don­nées, la Com­mis­sion de la Trans­pa­rence a conclu que le rap­port efficacité/effets secon­daires du Coar­tem – Ria­me­test impor­tant.

Coartem – Riamet : Effets secondaires

Les effets indé­si­rables pro­vo­qués par le Coar­tem – Ria­met­sont de fré­quence variée. Celle-ci n’est pas la même selon que le sujet soit déjà âgé ou non de 12 ans.

Chez les patients de moins de 12 ans

Avec les indi­vi­dus de cet âge, la prise du Coar­tem – Ria­met peut pro­vo­quer de façon très fré­quente :

  • Cépha­lées ;
  • Pertes d’appétit ;
  • Dou­leurs abdominales ;
  • Toux ;
  • Vomis­se­ments.

À un rythme peu fré­quent, le médi­ca­ment est source de :

  • Insom­nie ;
  • Urti­caire ;
  • Som­no­lence ;
  • Pru­rit ;
  • Mou­ve­ments cloniques.

De manière fré­quente, il entraîne :

  • Trouble du sommeil ;
  • Étour­dis­se­ments ;
  • Nau­sées ;
  • Rash ;
  • Affec­tions sys­té­miques et musculo-squelettiques ;
  • Pal­pi­ta­tions ;
  • Troubles géné­raux ;
  • Allon­ge­ment de l’intervalle QTc ;
  • Diar­rhées.

Cela s’avère certes rare, mais le Coar­tem pro­voque aus­si chez ce type de patients des réac­tions d’hypersensibilité.

Chez les patients de 12 ans au moins

Ici, le carac­tère très fré­quent des effets indé­si­rables de l’artéméther-luméfantrine concerne :

  • Les troubles du sommeil ;
  • La perte d’appétit ;
  • Les pal­pi­ta­tions ;
  • Les vomis­se­ments ;
  • La fatigue
  • Les cépha­lées ;
  • L’asthénie ;
  • Les nau­sées ;
  • Les dou­leurs abdominales ;
  • Les myal­gies et arthral­gies.

De façon fré­quente, le pro­duit est source de :

  • Troubles de la marche ;
  • Affec­tions cutanées ;
  • Allon­ge­ment de l’intervalle QTc ;
  • Diar­rhées ;
  • Mou­ve­ments cloniques ;
  • Insom­nie ;

À un rythme peu fré­quent, le trai­te­ment est res­pon­sable de :

  • Som­no­lence ;
  • Affec­tions hépatobiliaires ;
  • Ataxie ;

À une fré­quence indé­ter­mi­née, le Coar­tem – Ria­met est à la base d’angioedèmes et de réac­tions d’hypersensibilité.

Coartem – Riamet : Précautions d’usage

En cas de mau­vais emploi, la toxi­ci­té du Coar­tem – Ria­met­pour­rait être accrue. Pour être à l’abri des dan­gers liés à ce genre de situa­tion, il est conseillé de ne pas prendre le médi­ca­ment en cas de :

  • Pro­blèmes hépa­tiques, rénaux ou cardiaques ;
  • Gros­sesse (sur­tout au pre­mier trimestre) ;
  • Hyper­sen­si­bi­li­té aux exci­pients et sub­stances actives du produit ;
  • Anté­cé­dent de QT long ;
  • Allai­te­ment (la pos­si­bi­li­té de pas­sage dans le lait mater­nel chez l’homme est inconnue) ;
  • Trai­te­ment de la dépres­sion, d’inflammations, d’infections, d’allergies ;
  • Taux san­guin faible en magné­sium ou potassium ;
  • Anté­cé­dent fami­lial de mort subite.

Tout compte fait, si le patient est sous le trai­te­ment d’autres pro­duits, il doit en infor­mer son méde­cin. Ce der­nier doit lui pres­crire le Coar­tem – Ria­me­ta­vec une sur­veillance à l’appui s’il pos­sède une into­lé­rance alimentaire.

 

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