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Acide zolédronique : présentation, indications, contre-indications, effets secondaires

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L’acide zolé­dro­nique (Aclas­ta) est un inhi­bi­teur de résorp­tion osseuse appar­te­nant à la classe des bis­phos­pho­nates azo­tés. Il assure le main­tien de l’équilibre entre les pro­ces­sus de renou­vel­le­ment et de dégra­da­tion des os du corps humain. Pour ce fait, il consti­tue un trai­te­ment de choix pour les mala­dies dont les symp­tômes com­prennent une dégres­sion osseuse.

Pro­po­sé en une dose unique de 5 mg, l’acide zolé­dro­nique est admis comme un médi­ca­ment de haute sen­si­bi­li­té. Par consé­quent, seul un pro­fes­sion­nel de san­té habi­li­té est à même de le pres­crire et de l’administrer à un malade. De plus, l’acide zolé­dro­nique pré­sente plu­sieurs effets secon­daires et est contre-indi­qué dans une mul­ti­tude de cir­cons­tances. Voi­ci tout ce qu’il est impor­tant de savoir avant d’utiliser l’acide zolédronique.

Acide zolédronique : présentation

L’Aclasta ou l’acide zolé­dro­nique est décli­né sous la forme d’une solu­tion inco­lore et prête à l’emploi dont le prin­cipe actif est le mono­hy­drate d’acide zolé­dro­nique. Elle est condi­tion­née dans un fla­con sté­rile de 100 ml et com­prend en plus de la sub­stance active les ingré­dients non médi­ci­naux suivants :

  • le man­ni­tol ;
  • le citrate de sodium ;
  • l’eau pour injection.

Le bou­chon uti­li­sé pour scel­ler l’extrémité du fla­con d’Aclasta est fabri­qué à base du caou­tchouc et d’une cap­sule d’aluminium doté d’un rabat. Par ailleurs, le fla­con d’acide zolé­dro­nique est ven­du dans une boîte de car­ton qui peut selon les formes consi­dé­rées conte­nir un seul ou plu­sieurs flacons.

Acide zolédronique : mode d’administration et mode d’action

L’acide zolé­dro­nique est per­fu­sé par voie vei­neuse uni­que­ment et sui­vant un pro­to­cole de per­fu­sion par­ti­cu­lier. Ce der­nier du fait de sa com­plexi­té et des risques qu’il com­porte est conduit exclu­si­ve­ment par un pro­fes­sion­nel de la san­té. Il peut s’agir d’un infir­mier ou d’un médecin.

En géné­ral, la per­fu­sion dure entre 15 et 20 minutes et une dose unique de 5 mg d’acide zolé­dro­nique est admi­nis­trée au malade. La per­fu­sion est sou­vent réité­rée chaque année. Cepen­dant, en fonc­tion de la mala­die à trai­ter et de l’évolution des symp­tômes la période avant une nou­velle per­fu­sion peut varier.

Une fois que l’acide zolé­dro­nique est per­fu­sé, son action consis­te­ra à équi­li­brer le pro­cé­dé de renou­vel­le­ment osseux. Par consé­quent, le rythme de for­ma­tion et de des­truc­tion des os est nor­ma­li­sé. De plus, les os sont for­ti­fiés et retrouvent une struc­ture normale.

Acide zolédronique : indications

Les prin­ci­pales indi­ca­tions de l’acide zolé­dro­nique com­prennent la mala­die de Paget et l’ostéoporose.

La maladie de Paget

La mala­die de Paget aus­si appe­lée ostéite défor­mante est une patho­lo­gie carac­té­ri­sée par une exa­cer­ba­tion des pro­ces­sus de résorp­tion et de for­ma­tion de l’os. Elle évo­lue sur plu­sieurs années et concerne plus de 2 % de la popu­la­tion mon­diale. Voi­ci les causes, les prin­ci­paux os tou­chés, les symp­tômes, ain­si que les moyens de diag­nos­tic de la mala­die de Paget.

Causes de la maladie de Paget

Dans les condi­tions phy­sio­lo­giques nor­males, à l’intérieur de l’organisme les ostéo­clastes et les ostéo­blastes agissent en équi­libre pour pré­ser­ver l’intégrité et la struc­ture des os. Les ostéo­clastes assurent la des­truc­tion de l’os vieilli et les ostéo­blastes assurent la pro­duc­tion de l’os nou­veau. Pour la mala­die de Paget, l’activité de ces cel­lules est opti­mi­sée à cer­tains points du sque­lette. Un remo­de­lage osseux est alors obser­vé et les taux de for­ma­tion et de résorp­tion osseux connaissent une hausse remarquable.

Le méca­nisme à la base du remo­de­lage osseux obser­vé en pré­sence de la mala­die de Paget reste encore incon­nu à ce jour. Par consé­quent, elle est consi­dé­rée comme une patho­lo­gie idio­pa­thique. Elle tend, cepen­dant, à déte­nir un carac­tère fami­lial. En effet, la majo­ri­té des patients souf­frants de la mala­die de Paget sont des per­sonnes ayant un parent qui a fait la mala­die. D’autres ori­gines pro­bables de ce mal com­prennent cer­taines ano­ma­lies géné­tiques et une infec­tion virale. Tou­te­fois, aucune don­née scien­ti­fique pro­bante ne prouve que la mala­die de Paget soit conta­gieuse. L’hypothèse d’une cause virale fait donc l’objet de plu­sieurs contestations.

Principaux os touchés par la maladie de Paget

La mala­die de Paget peut tou­cher tous les os du sque­lette humain. Tou­te­fois, en géné­ral, les os les plus affec­tés sont :

  • l’os du bassin ;
  • le fémur (l’os situé au niveau de la cuisse) ;
  • le tibia (l’os situé au niveau de la jambe) ;
  • le rachis (les os de la colonne vertébrale) ;
  • les os de la clavicule.

Les os de la voûte crâ­nienne et de la par­tie haute du bras (l’humérus) sont rare­ment tou­chés par la mala­die de Paget.

Symptômes de la maladie de Paget

La mala­die de Paget est asymp­to­ma­tique au début. Cepen­dant, aux stades avan­cés de la mala­die, elle se mani­feste par des symp­tômes variés. Les plus fré­quents regroupent :

  • un épais­sis­se­ment impor­tant des os touchés ;
  • des dou­leurs osseuses qui sont exa­cer­bées au toucher ;
  • des défor­ma­tions osseuses ;
  • une com­pres­sion des nerfs ;
  • une rai­deur articulaire ;
  • une sen­sa­tion de fourmillements ;
  • des frac­tures.

Les symp­tômes de la mala­die de Paget sont pour la plu­part visibles à l’œil nu. Néan­moins, pour voir les ano­ma­lies osseuses des radio­gra­phies sont nécessaires.

Diagnostic de la maladie de Paget

Le diag­nos­tic de la mala­die de Paget est géné­ra­le­ment effec­tué grâce à une radio­gra­phie. Cepen­dant, en dehors de celle-ci, des dosages bio­chi­miques peuvent éga­le­ment être effec­tués pour poser le diag­nos­tic de cette mala­die. Les prin­ci­pales sub­stances dosées dans le sang sont le cal­cium, le phos­phate et la phos­pha­tase alca­line. Il s’agit d’une enzyme inter­ve­nant dans le pro­ces­sus de renou­vel­le­ment des os dans l’organisme.

Par ailleurs, pour iden­ti­fier avec pré­ci­sion les os tou­chés par la mala­die de Paget, une scin­ti­gra­phie osseuse peut être faite. À titre infor­ma­tif, la scin­ti­gra­phie est un exa­men iso­to­pique qui est réa­li­sé avec un pro­duit fai­ble­ment radio­ac­tif. Par exemple, le tech­né­tium.

L’ostéoporose

L’ostéo­po­rose est une affec­tion dif­fuse du sque­lette qui asso­cie une réduc­tion de la den­si­té des os ain­si qu’une alté­ra­tion de leurs archi­tec­tures. Elle sur­vient fré­quem­ment chez les adultes de plus de 50 ans et consti­tue un pro­blème de san­té publique. Les causes, les symp­tômes, ain­si que les moyens de diag­nos­tic de cette mala­die sont pré­sen­tés ci-dessous.

Causes de l’ostéoporose

L’ostéoporose est cau­sée d’une part par une accé­lé­ra­tion de la résorp­tion des os et d’autre part par une for­ma­tion insuf­fi­sante de nou­veaux os. Le méca­nisme à l’origine de cet état de choses est favo­ri­sé par une série de fac­teurs. Notam­ment :

  • la méno­pause (ostéo­po­rose post-ménopausique) ;
  • l’âge ;
  • les anté­cé­dents fami­liaux d’ostéoporose ;
  • l’utilisation pro­lon­gée de corticoïdes ;
  • le vieillis­se­ment.

L’acide zolé­dro­nique peut être uti­li­sé pour le trai­te­ment de l’ostéoporose, peu importe, le fac­teur ayant favo­ri­sé sa survenue.

Symptômes de l’ostéoporose

L’ostéoporose est une mala­die chro­nique qui évo­lue en trois phases. Aux phases de début (phase 1 et phase 2), elle est géné­ra­le­ment asymp­to­ma­tique. À la der­nière phase, néan­moins, elle se mani­feste par de nom­breux symp­tômes, à savoir :

  • De la sur­ve­nue répé­tée de frac­tures. Elles sont la consé­quence d’une fra­gi­li­té osseuse et sur­viennent dans les condi­tions les plus banales pos­sibles (une petite chute, une toux, la des­cente des marches d’un esca­lier) ;
  • Des dou­leurs cer­vi­cales (dor­sales). Elles résultent du pin­ce­ment des nerfs issus de la moelle épi­nière et du tas­se­ment des ver­tèbres qui est obser­vé en cas d’ostéoporose ;
  • De la dimi­nu­tion de la taille. Elle est cau­sée par une cour­ba­ture dor­sale en réponse à l’affaissement de la colonne vertébrale ;
  • De la cyphose (pos­ture voû­tée). Elle est secon­daire à la cour­ba­ture du dos et peut pro­vo­quer des troubles res­pi­ra­toires et une exa­cer­ba­tion des dou­leurs res­sen­ties par le malade.

La plu­part des symp­tômes de l’ostéoporose sont faci­le­ment recon­nais­sables même par une per­sonne dont la fonc­tion n’a rien à voir avec la médecine.

Diagnostic de l’ostéoporose

Le diag­nos­tic de l’ostéoporose en milieu cli­nique repose prin­ci­pa­le­ment sur la den­si­to­mé­trie osseuse. Il s’agit d’un exa­men d’absorptiométrie bipho­to­nique qui per­met d’effectuer une mesure de la den­si­té osseuse par les rayons X.

La den­si­to­mé­trie à lui seul suf­fit pour poser le diag­nos­tic de l’ostéoporose. Tou­te­fois, d’autres exa­mens d’imagerie et exa­mens bio­chi­miques peuvent éga­le­ment être réa­li­sés pour confir­mer le diag­nos­tic. Les plus cou­ram­ment uti­li­sés sont le scan­ner, la scin­ti­gra­phie, l’imagerie par réso­nance magné­tique (IRM) et le dosage san­guin de la vita­mine D.

Acide zolédronique : contre-indications.

Acide zolé­dro­nique

À l’instar de tout médi­ca­ment, l’acide zolé­dro­nique fait l’objet de nom­breuses contre-indi­ca­tions. Ain­si, son uti­li­sa­tion est pros­crite dans les cir­cons­tances ci-après :

  • Une hyper­sen­si­bi­li­té (aller­gie) à la sub­stance active de l’Aclasta ou à un autre des ingré­dients non médi­ci­naux uti­li­sés pour sa formulation ;
  • Une hyper­sen­si­bi­li­té (aller­gie) à un autre médi­ca­ment appar­te­nant à la classe phar­ma­ceu­tique des bisphosphonates ;
  • Une gros­sesse ou un allai­te­ment au sein ;
  • Un dys­fonc­tion­ne­ment grave des reins ;
  • Une carence impor­tante en cal­cium qui n’a pas été trai­tée ou per­dure mal­gré les traitements.

Prendre l’acide zolé­dro­nique dans l’une ou l’autre de ces cir­cons­tances expose le malade à des com­pli­ca­tions graves comme une ana­phy­laxie. Par ailleurs, dans les cas où l’acide zolé­dro­nique est contre-indi­qué, pour trai­ter le patient d’autres médi­ca­ments sont pro­po­sés par le méde­cin trai­tant.

Acide zolédronique : précautions et mises en garde

Les prin­ci­pales pré­cau­tions et mises en garde for­mu­lées par rap­port à l’acide zolé­dro­nique concernent l’allergie à l’AAS, la fibril­la­tion auri­cu­laire, l’hydratation cor­po­relle et l’inflammation oculaire.

L’allergie à l’AAS

Il n’existe aucune preuve qui éta­blit que l’utilisation de l’acide zolé­dro­nique peut por­ter pré­ju­dice aux per­sonnes pré­sen­tant une aller­gie à l’AAS (acide acé­tyl­sa­li­cy­lique). Cepen­dant, beau­coup d’études ont mon­tré que la prise des autres bis­phos­pho­nates azo­tés a engen­dré des pro­blèmes res­pi­ra­toires chez la majo­ri­té des patients aller­giques à l’AAS. Pour cela, on recom­mande aux patients qui se retrouvent dans ce cas d’informer leur méde­cin trai­tant. Les risques pour­ront alors être mieux anti­ci­pés par ce dernier.

La fibrillation auriculaire

Quelques essais cli­niques ont mon­tré qu’il existe une cor­ré­la­tion entre l’acide zolé­dro­nique et l’optimisation du risque de fibril­la­tion auri­cu­laire. En effet, la plu­part des patients aux­quels de l’acide zolé­dro­nique était admi­nis­tré pré­sen­taient des signes d’une fibril­la­tion auri­cu­laire. Au vu de cela, les patients trai­tés avec l’acide zolé­dro­nique ont obli­ga­tion de dis­cu­ter avec leur méde­cin trai­tant s’ils res­sentent le moindre signe d’un dys­fonc­tion­ne­ment car­diaque. Par exemple, des bat­te­ments car­diaques rapides ou irré­gu­liers, de l’essoufflement, des étour­dis­se­ments et de la fai­blesse phy­sique.

L’hydratation corporelle

Une hydra­ta­tion cor­po­relle insuf­fi­sante durant la période de médi­ca­tion à base d’acide zolé­dro­nique est asso­ciée à un risque accru de pro­blèmes rénaux. Pour cette rai­son, il est conseillé aux patients trai­tés de prendre assez d’eau. Pour une hydra­ta­tion opti­male, ils doivent boire au moins deux litres d’eau. Par ailleurs, les prin­ci­paux moments d’hydratation doivent être avant et juste après la per­fu­sion du médicament.

L’inflammation oculaire

Plu­sieurs patients ayant reçu des per­fu­sions d’acide zolé­dro­nique ont affir­mé avoir fait l’objet de symp­tômes cli­niques assi­gnables à une inflam­ma­tion de l’œil. Par consé­quent, les patients trai­tés avec l’acide zolé­dro­nique ont le devoir d’informer leur méde­cin trai­tant dès qu’ils remarquent cer­tains signes. Il peut s’agir d’un chan­ge­ment de la vision, d’une rou­geur ocu­laire et des dou­leurs oculaires.

Acide zolédronique : effets secondaires

Les ostéo­né­croses de la mâchoire et du conduit audi­tif externe consti­tuent les effets secon­daires les plus redou­tés de l’acide zolé­dro­nique. Elles sont prin­ci­pa­le­ment obser­vées chez les patients pré­sen­tant des comor­bi­di­tés (coa­gu­lo­pa­thies, ané­mie, can­cer, infec­tion) et ceux à qui d’autres médi­ca­ments sont admi­nis­trés. Par exemple, les cor­ti­coïdes, les inhi­bi­teurs de l’angiogenèse, les radio­thé­ra­pies et les chi­mio­thé­ra­pies. De même, elles concernent davan­tage les patients ayant une mau­vaise hygiène de vie que les autres (hygiène buc­co-den­taire, taba­gisme). Lorsque des ostéo­né­croses appa­raissent comme suite à l’utilisation de l’acide zolé­dro­nique, un trai­te­ment par­ti­cu­lier est mis en place par le méde­cin trai­tant. Au besoin, l’administration de l’acide zolé­dro­nique est arrê­tée jusqu’à ce que l’ostéonécrose ain­si que ses fac­teurs de risques soient contrô­lés.

Excep­té les ostéo­né­croses, l’acide zolé­dro­nique pré­sente d’autres effets secon­daires. Ils peuvent être répar­tis en divers groupes. Ain­si, on dis­tingue les effets secon­daires fré­quents et les effets secon­daires rares.

Effets secondaires fréquents de l’acide zolédronique

Les effets secon­daires fré­quents assi­gnables à l’utilisation de l’acide zolé­dro­nique comprennent :

  • Une perte de l’appétit ;
  • Une conges­tion impor­tante du nez ;
  • Les pro­blèmes diges­tifs comme la consti­pa­tion, la diar­rhée et les vomissements ;
  • Une dou­leur dans l’abdomen ;
  • Une érup­tion de la peau avec les démangeaisons ;
  • Les étour­dis­se­ments ;
  • Des fris­sons et une fièvre importante.

Les effets secon­daires fré­quents de l’acide zolé­dro­nique sont sou­vent sans risque pour la san­té. Ils régressent de manière spon­ta­née même en l’absence d’un trai­te­ment.

Effets secondaires rares de l’acide zolédronique

Les effets secon­daires rares affé­rents à l’utilisation de l’acide zolé­dro­nique comprennent :

  • Une dou­leur osseuse et une rai­deur arti­cu­laire ain­si que des spasmes musculaires ;
  • L’aggravation des frac­tures osseuses pré­sen­tées par le malade ;
  • Une dou­leur chro­nique à l’oreille ;
  • Des sif­fle­ments au moment de la respiration ;
  • Des signes attri­buables à une dété­rio­ra­tion de la fonc­tion rénale ;
  • Des signes d’hypocalcémie.

À l’inverse des effets secon­daires fré­quents, ceux qui sont rares sont consi­dé­rés comme des urgences médi­cales. Ils per­sistent et s’aggravent géné­ra­le­ment avec le temps. Pour cela, ils doivent faire l’objet d’une consul­ta­tion médi­cale.

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