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Douleurs du genou : Affections associées et traitements

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Situé à la jonc­tion de la jambe et de la cuisse, le genou est une région arti­cu­laire com­po­sée de plu­sieurs ten­dons, muscles, liga­ments et car­ti­lages. Il est énor­mé­ment sol­li­ci­té lors des divers mou­ve­ments du quo­ti­dien. Comme la majo­ri­té des arti­cu­la­tions du corps, le genou n’est véri­ta­ble­ment pas assez rigide. Au moindre trau­ma­tisme, choc ou bles­sure, il peut deve­nir douloureux.

Lorsque ces maux sur­viennent, plu­sieurs per­sonnes ont ten­dance à croire qu’ils pro­viennent du genou étant don­né que c’est cette par­tie qui pré­sente les symp­tômes. En réa­li­té, ces dou­leurs ne sont pas cau­sées par les arti­cu­la­tions du genou.

Elles viennent de cer­taines zones asso­ciées à ce der­nier comme son com­par­ti­ment externe ou anté­ro-externe. Consi­dé­rant ces deux faces, les cas cli­niques les plus fré­quem­ment asso­ciés sont le kyste ménis­cal et le syn­drome de l’essuie-glace. Que sont ces affec­tions et com­ment les soi­gner ? Voi­ci le point !

Douleurs du genou : Syndrome de l’essuie-glace

Le syn­drome de l’essuie-glace désigne une patho­lo­gie se mani­fes­tant par des dou­leurs au niveau de la face externe du genou. Cepen­dant, il faut pré­ci­ser que ce n’est pas cette zone du corps qui pro­voque ces sen­sa­tions désa­gréables. La par­tie réel­le­ment tou­chée est la ban­de­lette ilio-tibiale.

Il s’agit d’un ten­don à l’aspect plat qui va de la hanche au genou. Cette bande de tis­su fibreux part plus pré­ci­sé­ment du muscle ten­seur du fas­cia lata pour s’arrêter au niveau du tibia. Elle se déplace de la par­tie avant du genou à celle de l’arrière à l’image d’un essuie-glace lorsque la jambe effec­tue des mou­ve­ments de flexion-extension.

Quand ces der­niers deviennent répé­ti­tifs, ils pro­voquent une inflam­ma­tion au niveau de la ban­de­lette ilio-tibiale, entraî­nant ain­si le syn­drome de l’essuie-glace. La dou­leur asso­ciée à cette affec­tion est si forte que l’individu qui en souffre peut se retrou­ver dans la dif­fi­cul­té ou l’impossibilité de mou­voir son genou.

Causes du syndrome de la bandelette ilio-tibiale

De simples situa­tions du quo­ti­dien peuvent pro­vo­quer le syn­drome de l’essuie-glace. Il s’agit par exemple du fait de :

  • Mon­ter et des­cendre les escaliers ;
  • Por­ter de mau­vaises chaussures ;
  • Avoir une mau­vaise pos­ture ;
  • Main­te­nir le genou en inactivité.

D’autres élé­ments plus signi­fi­ca­tifs peuvent don­ner nais­sance à cette affec­tion. C’est le cas du sur­en­traî­ne­ment. Il s’agit d’ailleurs de la prin­ci­pale cause du syn­drome. C’est en rai­son de l’importance de ce fac­teur que les cou­reurs et cyclistes consti­tuent les caté­go­ries de per­sonnes majo­ri­tai­re­ment tou­chées. Ce qui vaut à ce der­nier le sur­nom de mala­die du cou­reur.

Par ailleurs, cette bles­sure au genou peut être éga­le­ment due à une fai­blesse mus­cu­laire de l’un des membres infé­rieurs ou à un trau­ma­tisme au niveau de ces der­niers. Le fait de pos­sé­der des muscles for­més de façon irré­gu­lière consti­tue aus­si un fac­teur déclen­cheur de la pathologie.

C’est pour cela que les per­sonnes ayant des jambes arquées (genu varum) repré­sentent des sujets à risques.

Manifestations de la blessure au genou

Dou­leurs du genou

Pour rap­pel, la dou­leur consti­tue la prin­ci­pale mani­fes­ta­tion du syn­drome de la ban­de­lette ilio-tibiale. Il faut dire que celle-ci s’installe de manière pro­gres­sive. Elle s’intensifie lorsque le genou est sol­li­ci­té. Une fois que ce der­nier se retrouve au repos, la sen­sa­tion dou­lou­reuse dis­pa­raît au bout de quelques heures.

Cepen­dant, dans les cas avan­cés de la mala­die, la dou­leur peut ne pas s’estomper même après l’effort et il s’agit d’un signe alar­mant. Ce pre­mier symp­tôme s’accompagne géné­ra­le­ment de brû­lures. Ces der­nières peuvent être res­sen­ties aus­si bien lorsque l’individu est en mou­ve­ment et en inactivité.

Chez cer­tains sujets, elles peuvent évo­luer du com­par­ti­ment externe du genou vers la cuisse voire la hanche. Avec d’autres, ces mani­fes­ta­tions peuvent être asso­ciées à un blo­cage du genou, les obli­geant ain­si à boiter.

Traitement du syndrome du tenseur du fascia lata

Lorsque le sujet constate les symp­tômes du syn­drome de l’essuie-glace, il doit au plus vite se rendre chez un méde­cin spé­cia­li­sé afin d’éviter les risques de com­pli­ca­tions. Avant d’envisager cette option, il est conseillé d’effec­tuer quelques actions pour sou­la­ger les dou­leurs récur­rentes. Il s’agit notam­ment de lais­ser le genou au repos et de poser une poche de gla­çons sur la face de cette par­tie du corps.

Les examens de diagnostics

Pour évi­ter de conclure la pré­sence d’autres affec­tions asso­ciées aux dou­leurs du com­par­ti­ment externe ou anté­ro-externe du genou, le méde­cin va réa­li­ser divers exa­mens de diag­nos­tic. Deux tests sont géné­ra­le­ment effec­tués dans le cadre de ce dépistage.

Il y a d’abord le test de Renne qui consiste à flé­chir à près de 30° le genou concer­né tout en ayant appui sur le pied sain. Si une sen­sa­tion dou­lou­reuse sur­vient au niveau du côté externe du genou, alors cela signi­fie que le patient souffre du syn­drome de la ban­de­lette ilio-tibiale. Outre cela, le méde­cin peut pra­ti­quer le test de Noble.

Son pro­cé­dé de réa­li­sa­tion est de faire pres­sion dans le creux du com­par­ti­ment externe du genou du malade pen­dant que ce der­nier effec­tue des mou­ve­ments de flexion de la jambe. Un sen­ti­ment de dou­leur dans ce cas atteste de l’existence de la patho­lo­gie. Le méde­cin peut par ailleurs com­plé­ter ces exa­mens de pal­pa­tions par un IRM ou des radio­gra­phies.

Les solutions de guérison

Une fois que la pré­sence du syn­drome de l’essuie-glace est confir­mée, le méde­cin peut mettre en place les trai­te­ments adap­tés. La solu­tion pro­po­sée dépend de l’origine qu’il aura détec­tée pour l’affection. Ain­si, lorsque cette der­nière semble par exemple due au port de chaus­sures peu conformes, le pro­fes­sion­nel de san­té recom­mande sou­vent de chan­ger ces paires.

Ensuite, il pres­crit des semelles ortho­pé­diques. Quand cette bles­sure au genou est pro­vo­quée par un trau­ma­tisme comme une frac­ture, des séances de kiné­si­thé­ra­pie peuvent être mises en place. Pour gué­rir ce syn­drome, il est éga­le­ment pos­sible d’appli­quer des gels anti-inflam­ma­toires, un cata­plasme d’argile ou faire une mésothérapie.

Dans les cas les plus sévères de l’affection, une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale, une injec­tion de cor­ti­coïdes et l’usage d’un laser thé­ra­peu­tique peuvent être envi­sa­gés. Quand le mal n’est pas à un niveau avan­cé et que le trai­te­ment est bien res­pec­té, le patient peut pro­gres­si­ve­ment reprendre ses acti­vi­tés au bout de deux à trois semaines.

Douleurs du genou : Kyste méniscal externe

Dou­leurs du genou

Le kyste ménis­cal désigne une affec­tion qui inter­vient suite à une lésion du car­ti­lage du ménisque. Cette der­nière peut être une déchi­rure ou une fis­sure. En réa­li­té, lorsque l’une de ces lésions sur­vient, elle peut tra­ver­ser tout le ménisque lais­sant s’échapper le liquide qu’il contient.

Ce der­nier va alors s’accumuler dans la poche syno­viale située à la péri­phé­rie du ménisque et finit par for­mer un kyste, d’où la nais­sance de la patho­lo­gie du kyste ménis­cal. Il faut pré­ci­ser que cette affec­tion existe sous deux formes. Tout dépend du type de ménisque tou­ché. Par­lant de ce der­nier, il faut dire que c’est un car­ti­lage situé de part et d’autre du genou.

Il y a donc deux ménisques : l’un est qua­li­fié d’externe et est situé du côté laté­ral du genou. Quant à l’autre, il est dési­gné d’interne et se retrouve du côté médial de cette arti­cu­la­tion. Ces cous­si­nets de car­ti­lage fibreux pos­sèdent une fonc­tion simi­laire à celle des joints, car ils comblent les espaces vides entre le tibia et le fémur.

À vrai dire, le rôle des ménisques s’avère bien plus impor­tant. Grâce à leur forme en crois­sant et leur struc­ture élas­tique, ils favo­risent la sta­bi­li­té et la lubri­fi­ca­tion entre les deux par­ties qu’ils relient. C’est éga­le­ment grâce à leur fonc­tion d’amortisseur que le genou demeure stable et que ses muscles ne s’usent pas à chaque mou­ve­ment.

Kyste méniscal externe : causes 

Bien que ce soit le kyste ménis­cal interne qui sur­vienne plus fré­quem­ment que celui externe, il faut mal­gré cela avouer que c’est ce der­nier qui nous inté­resse. C’est compte tenu du fait qu’il est dans ce sujet ques­tion des patho­lo­gies asso­ciées aux dou­leurs du genou inter­ve­nant dans son com­par­ti­ment externe ou antéro-externe.

Par­lant donc des causes du kyste ménis­cal externe, ils sont de deux ordres. Il y a d’une part le fac­teur dégé­né­ra­tif qui fait réfé­rence à l’usure du temps. Dans ce cas, il faut com­prendre qu’au fil des années et donc avec l’âge, les ménisques deviennent fra­giles. Ce qui conduit à leur dégra­da­tion.

Cette der­nière est alors une situa­tion nor­male et elle se pro­duit le plus sou­vent chez les per­sonnes âgées. Ces sujets consti­tuent donc des indi­vi­dus à risque.

Les facteurs traumatiques

Cette caté­go­rie de fac­teurs ras­semble toutes les situa­tions de trau­ma­tisme inter­ve­nant au niveau du ménisque et condui­sant à la nais­sance du kyste. Il peut s’agir par exemple d’une lésion en anse de seau. Lorsque ce type de trau­ma­tisme sur­vient, il déchire en deux par­ties le ménisque. Il s’agit cepen­dant d’un phé­no­mène rare.

Les lésions ménis­cales d’origine trau­ma­tique les plus cou­rantes sont :

  • Le pin­ce­ment de l’interligne articulaire ;
  • Les fis­sures (radiaires, hori­zon­tales et verticales) ;
  • La dés­in­ser­tion ménis­cale périphérique.

Ces dif­fé­rentes formes de trau­ma­tisme sont à 75 % res­pon­sables du kyste ménis­cal externe. Elles sur­viennent géné­ra­le­ment après un mou­ve­ment anor­mal de l’articulation du genou. Il s’agit éga­le­ment de types de lésions qui naissent le plus sou­vent chez les spor­tifs de haut niveau et les jeunes individus.

Kyste méniscal externe : symptômes 

La pré­sence d’un kyste ménis­cal externe ne se révèle pas tou­jours par des symp­tômes. C’est par­ti­cu­liè­re­ment ain­si lorsque l’affection est d’origine dégé­né­ra­tive. Dans une telle situa­tion, on parle de ménisque externe dis­coïde. Ce type de ménisque béné­fi­cie d’une telle appel­la­tion parce qu’il a une forme assez particulière.

Cette der­nière au lieu de res­sem­bler à une lune pos­sède plu­tôt un for­mat en disque. De plus, il s’agit d’une affec­tion qui affecte l’ensemble du pla­teau tibial externe. Elle sur­vient le plus sou­vent chez les enfants, car ces der­niers pos­sèdent un ménisque fra­gile et donc plus sus­cep­tible de vite se déchirer.

Au final, il n’y a que lorsque le kyste ménis­cal externe est de cause trau­ma­tique qu’il pré­sente des symp­tômes. Ces der­niers peuvent être des sen­sa­tions de cra­que­ment au niveau du genou ou le gon­fle­ment de cette zone.

Il est éga­le­ment pos­sible de res­sen­tir des dou­leurs sus­cep­tibles de deve­nir chro­niques et d’évoluer vers les par­ties envi­ron­nantes comme la hanche et la cuisse. La patho­lo­gie peut aus­si se mani­fes­ter par le blo­cage du genou empê­chant l’extension totale de cette arti­cu­la­tion. Il faut pré­ci­ser que ce symp­tôme n’apparaît qu’en cas de lésion en anse de seau.

Prise en charge médicale de l’affection

Dou­leurs du genou

Lorsque l’existence d’un kyste ménis­cal externe est sus­pec­tée chez un indi­vi­du, sa prise en charge médi­cale s’effectue en deux phases.

Le diagnostic

Pour détec­ter l’affection, le méde­cin réa­lise en pre­mier lieu un exa­men cli­nique repo­sant prin­ci­pa­le­ment sur des pal­pa­tions. Il va en effet exa­mi­ner le genou afin de recher­cher l’existence d’un éven­tuel cla­que­ment ou d’une dou­leur. Dans ce cadre, divers tests sont effec­tués comme celui de :

  • Edge ;
  • Apley ;
  • Chil­dress ;
  • McMur­ray ;
  • Payr ;
  • Stien­mann I.

Pour épar­gner les faux diag­nos­tics ou conti­nuer la quête de l’existence de l’affection (en cas d’absences de symp­tômes), des exa­mens sup­plé­men­taires sont réa­li­sés. C’est le cas des radio­gra­phies. Elles per­mettent certes d’avoir un aper­çu de l’état géné­ral du genou, mais ne se révèlent pas effi­caces pour voir les lésions au niveau des ménisques. C’est pour cela que des diag­nos­tics plus per­for­mants comme l’IRM et l’échographie sont effectués. 

Les traitements

Lorsque la pré­sence du kyste ménis­cal externe est confir­mée, la solu­tion de gué­ri­son pre­miè­re­ment envi­sa­gée est le trai­te­ment médi­cal. Ce der­nier consiste à :

  • Faire des séances de rééducation ;
  • Pres­crire le port de semelles orthopédiques ;
  • Consom­mer des anti-inflam­ma­toires ou des antalgiques ;
  • Infil­trer des cor­ti­coïdes dans le genou du patient.

Grâce à ces actions, les symp­tômes, s’ils existent, finissent par dis­pa­raître. Ce qui peut favo­ri­ser la gué­ri­son de l’affection. Chez cer­tains sujets, en par­ti­cu­lier ceux jeunes, actifs ou pra­ti­quants régu­liè­re­ment des acti­vi­tés spor­tives, les dou­leurs peuvent ne pas s’estomper.

Ces der­nières pour­raient même s’accompagner de signes de com­pli­ca­tions. Si au bout de 3 mois de trai­te­ment médi­cal, aucune amé­lio­ra­tion n’est enre­gis­trée, une chi­rur­gie est alors réalisée.

Kyste méniscal externe : chirurgie 

Hor­mis la condi­tion d’aggravation, une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale du kyste ménis­cal externe ne peut être envi­sa­gée que lorsque la patho­lo­gie affecte le quo­ti­dien du patient ou quand le genou de ce der­nier est instable. Tou­te­fois, quand le méde­cin a l’intention d’effectuer ce type de trai­te­ment, il a le choix entre deux types d’opérations.

1. La réparation méniscale sous arthroscopie

Ce type de chi­rur­gie est envi­sa­gé lorsque le pro­fes­sion­nel de san­té sou­haite conser­ver les tis­sus du ménisque affec­té. Il s’agit éga­le­ment d’une inter­ven­tion avan­ta­geuse en ce sens qu’elle réduit les risques d’infection, faci­lite la récu­pé­ra­tion et pos­sède une courte durée d’hospitalisation.

En effet, suite à une répa­ra­tion ménis­cale sous arthro­sco­pie, le patient peut déjà au bout de 2 à 3 jours retour­ner chez lui. Par­lant à pré­sent du pro­ces­sus de réa­li­sa­tion de cette chi­rur­gie, il faut dire que le chi­rur­gien pro­cède à deux inci­sions sur le genou.

L’une est effec­tuée sur la face externe de cette arti­cu­la­tion afin de faire pas­ser plus tard des outils d’opération minia­tu­ri­sés. Quant à l’autre ouver­ture, elle est faite sur la face interne du genou. Elle sert de pas­sage à un tube de fibres optiques.

Il s’agit d’une mini-camé­ra qui per­met­tra au chi­rur­gien de voir l’intérieur de l’articulation sur un écran. L’objectif ensuite, ce sera de réa­li­ser une suture au niveau du ménisque lésé. L’incision faite au niveau de la face externe du genou per­met d’avoir aisé­ment accès à ce cartilage.

2. La méniscectomie partielle

Quand il n’est pas pos­sible de répa­rer la lésion ménis­cale, la ménis­cec­to­mie par­tielle consti­tue le type de chi­rur­gie envi­sa­gé pour trai­ter le kyste ménis­cal externe. Cette inter­ven­tion pos­sède les mêmes atouts que la pre­mière. De plus, elle est réa­li­sée dans des condi­tions iden­tiques à cette der­nière.

L’unique par­ti­cu­la­ri­té ici, c’est que le chi­rur­gien va pro­cé­der au retrait de la par­tie abî­mée du ménisque. Ensuite, les ouver­tures faites seront refer­mées et le patient n’aura qu’à suivre les recom­man­da­tions de son méde­cin afin de favo­ri­ser la cicatrisation.

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