HomeBien-êtreLes infections sexuellement transmissibles (IST) : Présentation et Traitement

Les infections sexuellement transmissibles (IST) : Présentation et Traitement

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Si cer­taines infec­tions peuvent être trans­mises par une mère à son enfant ou par voie ali­men­taire, d’autres en revanche se contractent suite à un rap­port sexuel non pro­té­gé. Ce sont les infec­tions sexuel­le­ment trans­mis­sibles, com­mu­né­ment appe­lées IST. La plu­part d’entre elles se traitent avec des solu­tions simples. Quelques-unes par contre néces­sitent des solu­tions plus coriaces. Tout compte fait, il existe une prise en charge médi­cale propre à chaque IST. Voi­ci les détails à ce propos.

La gonococcie

Éga­le­ment appe­lée chaude-pisse ou blen­nor­ra­gie, la gono­coc­cie consti­tue l’une des infec­tions sexuel­le­ment trans­mis­sibles (IST) les plus répan­dues dans le monde. Il sem­ble­rait en effet que le nombre total de cas déce­lés chaque année au niveau de tous les pays serait de l’ordre de 200 mil­lions.

Toutes les formes de rap­port sexuel à savoir oral, vagi­nal et anal sont favo­rables à la trans­mis­sion de la Neis­se­ria Gonor­rhoeae (NG). Il s’agit de la bac­té­rie res­pon­sable de la mala­die. Lorsque ce germe pénètre dans l’organisme, l’affection peut ne pas pro­vo­quer de symp­tômes. C’est d’ailleurs ce qui se pro­duit dans 70 % des cas chez la femme.

Du côté de l’homme éga­le­ment, la chaude pisse peut être asymp­to­ma­tique. Le silence ne dure géné­ra­le­ment dans ce cas que 2 à 7 jours et les signes qui appa­raissent chez ce type de sujet sont :

  • Éja­cu­la­tion douloureuse ;
  • Dou­leurs à la mic­tion ;
  • Écou­le­ment jaune-ver­dâtre et purulent ;
  • Méa­tite inflammatoire.

Les mani­fes­ta­tions de la blen­nor­ra­gie chez la femme s’avèrent moins nom­breuses quoique leurs com­pli­ca­tions appa­raissent plus impor­tantes. Il s’agit d’un écou­le­ment au niveau du méat uré­tral et de pertes vagi­nales verdâtres.

Le traitement de la gonococcie

Pour la prise en charge médi­cale de la chaude-pisse, les cyclines, les fluo­ro­qui­no­lones ain­si que la péni­cil­line étaient autre­fois uti­li­sés. Ces pro­duits ont fini par être aban­don­nés, car il existe des souches de Neis­se­ria Gonor­rhoeae qui résistent à leur admi­nis­tra­tion. La gen­ta­mi­cine et la spec­ti­no­my­cine ont donc été choi­sies en rem­pla­ce­ment.

Il sem­ble­rait cepen­dant que le pre­mier trai­te­ment soit mal codi­fié et qu’il n’est uti­li­sé qu’en Afrique. Quant au second, il n’est plus dis­po­nible. Compte tenu de ces diverses rai­sons, la cef­triaxone consti­tue le trai­te­ment de réfé­rence de la gonococcie.

La pré­fé­rence de cette molé­cule réside éga­le­ment dans le fait qu’elle pos­sède une accep­table tolé­rance et une bonne dif­fu­sion. Elle est com­mer­cia­li­sée sous le nom de Rocé­phine. En ce qui concerne son admi­nis­tra­tion, il faut rete­nir que celle-ci s’effectue par voie intra­mus­cu­laire (IM) et donc par injec­tion à une dose unique de 500 mg.

Par­ti­cu­liè­re­ment chez les indi­vi­dus atteints de pros­ta­tite gono­coc­cique, il faut sur une durée de 7 jours admi­nis­trer quo­ti­dien­ne­ment 1 g de cef­triaxone par voie IM. Ce trai­te­ment reste le même pour les patients pré­sen­tant une sep­ti­cé­mie à gonocoque.

Précautions lors du traitement

Toutes les par­ties du corps iden­ti­fiées lors du diag­nos­tic comme pré­sen­tant une infec­tion à la Neis­se­ria Gonor­rhoeae doivent au bout de 5 semaines de trai­te­ment faire l’objet d’un contrôle bio­lo­gique. De même, sept jours après la prise de la cef­triaxone, le patient doit subir un contrôle clinique.

Aus­si, est-il indis­pen­sable qu’un trai­te­ment de la chla­my­diae soit asso­cié à celui de la gono­coc­cie. Il repose sur la consom­ma­tion durant une semaine, et ce deux fois par jour de 100 mg de doxy­cy­cline. Par ailleurs, face à un cas de gono­coc­cie non com­pli­quée et une situa­tion de patients aller­giques, il est recom­man­dé de choi­sir pour trai­te­ment de la cipro­floxa­cine ou de la gen­ta­mi­cine.

Les deux médi­ca­ments s’administrent à une dose unique, mais dans le pre­mier cas, il faut 500 mg per os et au niveau du second de 240 mg par voie IM.

La chlamydia Trachomatis

La chla­my­dia Trachomatis

La chla­my­dia Tra­cho­ma­tis consti­tue la cause la plus cou­rante d’infections géni­tales et uri­naires. La pré­sence de cette bac­té­rie au sein de l’organisme peut éga­le­ment entraî­ner une infection :

  • Par le VIH ;
  • Syphi­lis ;
  • Gono­coc­cique.

Il faut pré­ci­ser que le germe n’accroît ou ne favo­rise dans ce cas que la sur­ve­nue des mala­dies. En réa­li­té, il n’y a que la chla­my­dia qui consti­tue l’infection sexuel­le­ment trans­mis­sible que pro­voque la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis. Il s’agit d’une mala­die à forte pré­va­lence dans le rang des jeunes de 15 à 30 ans, mais sus­cep­tible de tou­cher aus­si les femmes que les hommes.

Dans 50 % des cas chez l’homme et 70 % au niveau des femmes, elle ne pro­voque pas de symp­tômes. Si ces der­niers doivent se mani­fes­ter, cela ne se pro­duit qu’au bout de 5 à 14 jours suite à l’infection. Il est ques­tion du côté des hommes de :

  • Écou­le­ment blan­châtre au niveau du pénis et du rectum ;
  • Brû­lures lors de la mic­tion ;
  • Dou­leurs au niveau des testicules.

Chez la femme, il s’agit de :

  • Dou­leurs lors des rap­ports intimes ;
  • Maux de ventre ;
  • Sai­gne­ments vagi­naux ;
  • Écou­le­ments vagi­naux jaunâtres.

Chez les deux indi­vi­dus, une infec­tion à la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis se mani­feste aus­si par un écou­le­ment des yeux puis des dou­leurs au niveau de l’abdomen et du bas­sin.

Le traitement de l’infection à la chlamydia Trachomatis

Face à une infec­tion à la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis, le trai­te­ment repose sur l’administration par voie orale d’une dose unique de 1 g d’azithromycine. Il s’agit d’un anti­bio­tique et cette molé­cule repré­sente le médi­ca­ment de pre­mier choix de la maladie.

Tou­te­fois, il existe des trai­te­ments dont l’efficacité s’assimile à celle de l’azithromycine. C’est le cas de la doxy­cy­cline et de la mino­cy­cline. Ces médi­ca­ments se prennent sur 7 jours à rai­son de 100 mg au quo­ti­dien. Avec le der­nier trai­te­ment, il est pos­sible d’aller jusqu’à 200 mg. À titre alter­na­tif, le trai­te­ment à l’infection de la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis se réus­sit grâce à trois molé­cules à savoir :

  • Levo­floxa­cin ;
  • Ofloxa­cine ;
  • Éry­thro­my­cine.

La poso­lo­gie du pre­mier médi­ca­ment repose sur une admi­nis­tra­tion orale durant une semaine à une dose quo­ti­dienne de 500 mg.

En ce qui concerne le deuxième pro­duit, il se prend éga­le­ment sur 7 jours par voie orale. Les prises quo­ti­diennes sont au nombre de deux et de 200 mg cha­cune. Quant à la der­nière molé­cule, il faut la boire sur 21 jours. La dose jour­na­lière est de 1000 mg à prendre deux fois ou de 500 mg à ava­ler 4 fois.

Le cas particulier de la femme enceinte et des enfants de 9 à 18 ans

Chez la femme por­tant une gros­sesse, le trai­te­ment de l’infection sexuel­le­ment trans­mis­sible à la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis s’effectue de manière assez spé­ci­fique. Il consiste en l’administration de :

  • 500 mg per os d’amoxicilline sur 7 jours ;
  • Une dose unique per os de 1 g d’azithromycine ou ;
  • 2 g per os par jour pen­dant 7 jours d’érythromycine.

À pro­pos de ce der­nier point, il faut noter que le médi­ca­ment peut être pris ora­le­ment durant 2 semaines en doses frac­tion­nées de 1 g par jour. Néan­moins, il faut rete­nir que cette prise en charge thé­ra­peu­tique de l’infection à la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis reste la même chez une femme allai­tante. Du côté des enfants âgés de 9 à 18 ans, il faut prendre :

  • L’azithromycine en une fois par voie orale à une dose de 12 à 15 mg/kg ;
  • Durant 7 jours et en doses frac­tion­nées par voie orale 5 mg/kg/jour de doxy­cy­cline ou ;
  • En doses frac­tion­nées par jour 40 mg/kg d’érythromycine.

Pour cette der­nière molé­cule, le trai­te­ment peut se faire sur 14 jours si la dose quo­ti­dienne maxi­male est de 250 mg ou sur 7 jours si elle est de 500 mg.

Recommandations de traitement

Même lorsqu’elle est bien trai­tée, une infec­tion à la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis réap­pa­raît dans la plu­part des cas. Pour cette rai­son, il est conseillé d’effec­tuer des dépis­tages une fois que le trai­te­ment a été ache­vé afin de pré­ve­nir les réci­dives. L’un doit se faire entre 3 et 6 mois suite à cette période puis l’autre au bout de 5 semaines environ.

Par ailleurs, étant don­né que la chla­my­dia Tra­cho­ma­tis favo­rise l’apparition de la gono­coc­cie, il est recom­man­dé d’asso­cier le trai­te­ment de cette mala­die à celui de la chlamydia.

La syphilis

La syphi­lis

La syphi­lis est une infec­tion sexuel­le­ment trans­mis­sible assez dif­fi­cile à diag­nos­ti­quer, car ses symp­tômes varient d’un malade à un autre. De plus, la plu­part d’entre eux font pen­ser à d’autres mala­dies sexuel­le­ment trans­mis­sibles (MST). Une conta­mi­na­tion à la syphi­lis peut être tou­te­fois sus­pec­tée face à :

  • La pré­sence de bou­tons au fond de la gorge, sur l’anus et les organes génitaux ;
  • L’apparition d’un syn­drome de type grippal ;
  • Des rou­geurs et plaques de bou­tons sur la plante des pieds et la paume des mains ;
  • Une inflam­ma­tion de la rétine ou de l’enveloppe des yeux ;
  • Des troubles neu­ro­lo­giques comme la para­ly­sie d’une par­tie du visage et la méningite.

L’atteinte à la patho­lo­gie peut être confir­mée par un exa­men séro­lo­gique et plus pré­ci­sé­ment par la réa­li­sa­tion du test Tre­po­ne­ma Pal­li­dum Hae­mag­glu­ti­na­tion Assay (TPHA) ou celui du Vene­ral Disease Research Labo­ra­to­ry (VDRL).

Le traitement de la syphilis

Le trai­te­ment de la syphi­lis varie selon l’état du patient et le stade auquel se trouve l’infection. Ain­si, lorsque la mala­die est latente (les symp­tômes ont dis­pa­ru d’eux-mêmes) depuis moins d’un an ou qu’elle est de type pri­mo-secon­daire, il faut réa­li­ser une injec­tion intra­mus­cu­laire unique de Ben­za­thine ben­zyl­pé­ni­cil­line G. La dose est de 2,4 mil­lions d’unités (MU).

Lorsque le sujet pos­sède une aller­gie à cette sub­stance sans attendre un bébé, il faut lui don­ner durant 2 semaines par voie orale, et ce deux fois par jour 100 mg de doxycycline.

En cas de syphilis tardive

Face à un cas de syphi­lis latente depuis une durée indé­ter­mi­née ou une année au moins, il faut effec­tuer une injec­tion de 2,4 MU de Ben­za­thine ben­zyl­pé­ni­cil­line G au patient. Le trai­te­ment se réa­lise en 3 injec­tions espa­cées d’une semaine.

Ici, la démarche à suivre en pré­sence d’un malade sen­sible à la péni­cil­line consiste à lui admi­nis­trer durant 4 semaines et deux fois par jour 100 mg de doxy­cy­cline par voie orale. Cette mesure s’applique en dehors d’une grossesse.

En cas de neurosyphilis et de syphilis tertiaire

Pour la neu­ro­sy­phi­lis, la Ben­za­thine ben­zyl­pé­ni­cil­line G s’administre durant 10 à 15 jours. Au quo­ti­dien et plus pré­ci­sé­ment toutes les heures, il faut injec­ter par voie intra­vei­neuse (IV) au patient entre 3 et 4 MU de la solu­tion. Pour la syphi­lis ter­tiaire, le trai­te­ment est le même que celui uti­li­sé de base pour la syphi­lis tardive.

Chez la femme enceinte

Dans le cas d’une femme por­tant une gros­sesse, le trai­te­ment de la syphi­lis est celui de réfé­rence. C’est-à-dire celui choi­si au stade pri­mo-secon­daire de la mala­die. Il est éga­le­ment pos­sible d’injecter sur deux semaines à un rythme d’une fois par semaine la solution.

Lorsque la malade s’avère aller­gique au médi­ca­ment, le trai­te­ment doit se faire sur 21 jours. Ici, il fau­dra uti­li­ser par voie orale, et ce 4 fois par jour 500 mg d’Érythromycine.

Face à un porteur du virus du sida

Lorsque le patient est déjà atteint du sida et qu’il fau­dra lui trai­ter la syphi­lis, il est conseillé de lui réa­li­ser par voie IM sur trois semaines espa­cées d’une semaine trois injec­tions de Ben­za­thine ben­zyl­pé­ni­cil­line G d’une dose cha­cune de 2,4 MU.

Il s’agit de la pro­cé­dure à res­pec­ter dans le cas de la syphi­lis tar­dive, de même que face à une situa­tion de syphi­lis récente. Dans ce der­nier cas, les injec­tions sont au nombre de deux au plus. Pour la neu­ro­sy­phi­lis, il n’existe pas de modi­fi­ca­tions au niveau du traitement.

La trichomonase

La tri­cho­mo­nase

Pro­vo­quée par les pro­to­zoaires de la bac­té­rie Tri­cho­mo­nas vagi­na­lis, la tri­cho­mo­nase consti­tue l’une des infec­tions sexuel­le­ment trans­mis­sibles les plus fré­quentes sus­cep­tibles d’apparaître chez un indi­vi­du. Dans le monde, près de 143 mil­lions de nou­veaux cas sont chaque année dépistés.

Une telle mala­die se trans­met certes lors d’un rap­port sexuel non pro­té­gé avec une per­sonne infec­tée, mais elle peut aus­si être trans­mise par une mère à son enfant. Tous les types de sujets sont concer­nés par cette patho­lo­gie. Les femmes le sont encore plus, car la conta­mi­na­tion au Tri­cho­mo­nas vagi­na­lis s’avère plus éle­vée dans leur rang.

De plus, c’est avec cette caté­go­rie de patients que la tri­cho­mo­nase révèle géné­ra­le­ment ses symp­tômes. Il s’agit de :

  • La pré­sence d’une forte odeur désa­gréable (odeur de pois­son) au niveau du vagin ;
  • Brû­lures à la mic­tion ;
  • Pertes vagi­nales jau­nâtres ou verdâtres ;
  • Rap­ports sexuels douloureux ;
  • Chan­ge­ment de cou­leur (rouge) du vagin ;
  • Déman­geai­sons au niveau des organes génitaux.

Tous ces signes sur­viennent au moins entre 7 à 10 jours après l’infection.

Le traitement de l’infection au Trichomonas vaginalis

Le trai­te­ment de la tri­cho­mo­nase se fait grâce à un anti­bio­tique du nom de métro­ni­da­zole dont l’appellation com­mer­ciale est Fla­gyl. Cette molé­cule s’administre de deux manières. Il est pos­sible d’opter pour la prise unique et dans ce cas, il faut don­ner 2 g du médi­ca­ment au patient par voie orale.

À défaut de cela, le pra­ti­cien peut pres­crire un trai­te­ment sur 7 jours et dans ce cas, le malade devra au quo­ti­dien prendre par voie orale deux fois 500 mg du pro­duit. Par ailleurs, il existe un autre trai­te­ment qui s’avère aus­si effi­cace contre la tri­cho­mo­nase. Il s’agit du sec­ni­da­zole dont le nom com­mer­cial est le Sec­nol.

Cet anti­bio­tique se prend en début de repas en une dose unique de 2 g. Par­ti­cu­liè­re­ment chez la femme enceinte, le trai­te­ment de la tri­cho­mo­nase repose sur l’utilisation sur une période de 2 semaines et deux fois (matin et soir) par jour d’ovules de métronidazole.

Les mycoplasmes génitaux

Les myco­plasmes dési­gnent des micro-orga­nismes qui peuvent être res­pon­sables de pneu­mo­nies. Ces bac­té­ries peuvent aus­si être à l’origine d’infections géni­tales. Dans ce contexte, plus d’une dizaine de germes sont concer­nés et il s’agit du :

  • Myco­plas­ma hominis ;
  • Urea­plas­ma urealyticum ;
  • Myco­plas­ma fer­men­tans ;
  • Myco­plas­ma genitalium ;
  • Urea­plas­ma parvum.

Les deux pre­mières bac­té­ries sont celles qui sont les plus fré­quem­ment impli­quées dans une infec­tion sexuel­le­ment transmissible.

Traitement de l’IST

La prise en charge médi­cale des myco­plasmes géni­taux alterne entre la doxy­cy­cline et l’azithromycine. Concrè­te­ment, le pre­mier anti­bio­tique se prend sur une semaine et 3 jours après son entame, la prise du second médi­ca­ment doit être lan­cée. Les deux médi­ca­ments s’administrent par voie orale, mais avec la doxy­cy­cline, c’est 100 mg deux fois par jour.

Du côté de l’azithromycine, on débute avec 1 g par jour puis enchaîne avec deux fois 500 mg. Il sem­ble­rait par ailleurs qu’il existe cer­tains types de myco­plasmes géni­taux qui résistent aux anti­bio­tiques. Pour évi­ter donc les situa­tions d’échec du trai­te­ment de l’infection sexuel­le­ment trans­mis­sible, il est conseillé d’associer la consom­ma­tion de la moxi­floxa­cine.

 

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