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Avlocardyl (Propranolol): pharmacodynamie, indications, contre-indications

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Le pro­pra­no­lol (ou avlo­car­dyl) est un médi­ca­ment appar­te­nant à la famille des bêta-blo­quants non sélec­tifs. Il est uti­li­sé en rai­son de ses effets anti­aryth­miques, pour la prise en charge de plu­sieurs mala­dies. Il y a notam­ment l’hypertension arté­rielle, les troubles du rythme car­diaque, la migraine et les angors de poi­trine. Au cours d’une gros­sesse, son uti­li­sa­tion est très répan­due et il est consi­dé­ré comme un trai­te­ment de réfé­rence pour plu­sieurs car­dio­pa­thies fœtales.

Cepen­dant, l’administration du pro­pra­no­lol pen­dant la gros­sesse fait l’objet de nom­breuses contro­verses puisque, le pro­pra­no­lol pré­sen­te­rait un risque impor­tant de mort fœtal in ute­ro. Non négli­geable, ce risque ali­mente beau­coup de dis­cus­sions scien­ti­fiques et consti­tue une source impor­tante d’inquiétude pour les femmes enceintes trai­tées avec de l’avlocardyl. Il y a‑t-il vrai­ment lieu de s’inquiéter ? Doit-on uti­li­ser le pro­pra­no­lol durant la gros­sesse ? Voi­ci des élé­ments de réponse.

Avlocardyl (Propranolol) : présentation

L’avlocardyl est un médi­ca­ment de liste I com­mer­cia­li­sé uni­que­ment sous ordon­nance médi­cale. Il est décli­né sous la forme de com­pri­més sécables et de solu­tions injec­tables à diluer. Les com­pri­més d’avlocardyl qui sont de cou­leurs blanches sont géné­ra­le­ment dosés à 40 mg et sont condi­tion­nés dans des pla­quettes trans­pa­rentes. Ils sont plus fré­quem­ment uti­li­sés que les solu­tions injec­tables d’avlocardyl qui quant à elles sont réser­vées aux situa­tions d’urgence. Elles sont condi­tion­nées dans des ampoules de 5 mL et sont dosées à 5 mg à rai­son de 1 mg par uni­té de mL.

Indé­pen­dam­ment de la forme consi­dé­rée, la sub­stance active de l’avlocardyl est le pro­pra­no­lol chlor­hy­drate. Elle est l’ingré­dient majeur uti­li­sé pour la for­mu­la­tion de l’avlocardyl. En dehors d’elle, dans un com­pri­mé ou une solu­tion injec­table d’avlocardyl, on peut retrou­ver les exci­pients suivants :

  • La cel­lu­lose microcristalline ;
  • Le lac­tose monohydraté ;
  • Le magné­sium stéarate ;
  • La povi­done.

Les com­pri­més d’avlocardyl et les solu­tions d’avlocardyl sont res­pec­ti­ve­ment admi­nis­trés par voie orale et par voie vei­neuse. L’administration de l’avlocardyl par voie intra-vei­neuse est décon­seillée et ne doit jamais se faire en l’absence d’un avis spécialisé.

Avlocardyl (Propranolol) : pharmacodynamie et pharmacocinétique

Les infor­ma­tions concer­nant les carac­té­ris­tiques phar­ma­co­dy­na­miques et phar­ma­co­ci­né­tiques de l’avlocardyl sont ren­sei­gnées dans les rubriques suivantes.

Pharmacodynamie

L’avlocardyl pré­sente une action bêta­blo­quante non coar­dio­sé­lec­tive. Par consé­quent, son acti­vi­té inhibe à la fois les récep­teurs mem­bra­naires bêta car­diaques 1 et les récep­teurs mem­bra­naires bêta 2 extra-car­diaques. Ces der­niers sont retrou­vés en dehors de la cavi­té car­diaque et plus pré­ci­sé­ment au niveau des bronches et des vais­seaux. Ensuite, l’avlocardyl est carac­té­ri­sé par un chro­no­trope, un dro­mo­trope, une bath­mo­trope et une inotrope négatifs.

Ce médi­ca­ment réduit consi­dé­ra­ble­ment le pour­cen­tage de consom­ma­tion en oxy­gène du muscle car­diaque et exerce un effet anta­go­niste vis-à-vis de l’activité du sys­tème ner­veux sym­pa­thique. On lui asso­cie éga­le­ment des effets anti-aryth­miques majeurs et il entraîne une sup­pres­sion des aryth­mies cardiaques.

Par ailleurs, il est à noter que l’avlocardyl n’a démon­tré aucun pou­voir ago­niste par­tiel. De ce fait, il ne pré­sente pas d’activité sym­pa­tho­mi­mé­tique intrin­sèque et n’a donc aucun impact sur le fonc­tion­ne­ment du sys­tème ner­veux autonome.

Pharmacocinétique

Après que la solu­tion de l’avlocardy ait été admi­nis­trée, la demi-vie moyenne d’élimination de ce médi­ca­ment est com­prise entre 4 et 5 heures. Elle est méta­bo­li­sée par le foie et son éli­mi­na­tion est faite par les urines grâce à l’action des reins. Pen­dant la gros­sesse, l’avlocardyl passe la bar­rière pla­cen­taire et en géné­ral, les concen­tra­tions fœtales de pro­pra­no­lol sont iden­tiques à celles de la femme enceinte. Dans le cadre de l’allai­te­ment, par contre, on note un faible pas­sage de l’avlocardyl dans le liquide mam­maire. D’ordinaire, la concen­tra­tion de l’avlocardyl dans le lait mater­nel est infé­rieure à 1 %.

Avlocardyl (Propranolol) : indications

Avlo­car­dyl (Pro­pra­no­lol)

L’avlo­car­dyl est indi­qué pour le trai­te­ment de plu­sieurs mala­dies. Notam­ment :

  • L’hypertension arté­rielle ;
  • Les angors d’efforts ;
  • L’infarctus du myocarde ;
  • Les car­dio­myo­pa­thies obstructives ;
  • Les troubles du rythme cardiaque.

Hor­mis ces mala­dies, l’avlocardyl est éga­le­ment uti­li­sé dans cer­taines cir­cons­tances pour trai­ter les trem­ble­ments d’origine car­diaque et la migraine (trai­te­ment de fond). De même, cette solu­tion est indi­quée pour la pré­ven­tion de l’accélération du rythme car­diaque et des pal­pi­ta­tions en situa­tion stres­sante. Plus rare­ment, elle est uti­li­sée dans la prise en charge des cir­rhoses hépa­tiques, pour pré­ve­nir les hémor­ra­gies diges­tives et leur récidive.

Hypertension artérielle

L’hypertension arté­rielle est une mala­die qui se tra­duit par une élé­va­tion de la pres­sion arté­rielle sys­to­lique et dias­to­lique au-delà des valeurs seuils. À savoir 14 mmHg pour la pres­sion arté­rielle sys­to­lique et 9 mmHg pour la pres­sion arté­rielle dias­to­lique. Elle concerne plus de 30 % des per­sonnes de plus de 40 ans et touche prin­ci­pa­le­ment les femmes.

Consi­dé­rée comme une mala­die chro­nique parce qu’elle évo­lue sur plu­sieurs années, elle appa­raît géné­ra­le­ment sans qu’on puisse iden­ti­fier les causes exactes de sa sur­ve­nue. Cepen­dant, elle est favo­ri­sée d’après des recherches concor­dantes par une série de fac­teurs, dont les plus impor­tants regroupent :

  • L’obésité ;
  • La consom­ma­tion de sel ;
  • La séden­ta­ri­té ;
  • Le stress.

En effet, chez les per­sonnes obèses (IMC supé­rieur à 35 kg/m²) et celles ne pra­ti­quant aucune acti­vi­té phy­sique, on observe une pré­va­lence plus impor­tante d’hypertension arté­rielle com­pa­ra­ti­ve­ment aux autres. De la même manière, plus de 25 % des cas totaux d’hypertension sont retrou­vés dans les popu­la­tions sujettes à un stress chro­nique et à une consom­ma­tion exces­sive de sel.

Outre ces dif­fé­rents fac­teurs, l’hypertension arté­rielle est favo­ri­sée dans cer­tains cas rares par les anté­cé­dents fami­liaux et les pré­dis­po­si­tions géné­tiques. Elle est asymp­to­ma­tique au début et se révèle dans les formes sévères par les symp­tômes comme l’essoufflement, l’anxiété, les cépha­lées et la sen­sa­tion récur­rente de pul­sa­tions à la tête.

La prise en charge de l’hypertension arté­rielle consiste géné­ra­le­ment en une pres­crip­tion de mesures hygié­no-dié­té­tiques simples (réduire les apports en sel, faire du sport) et en la sur­veillance du patient. Tou­te­fois, dans les cir­cons­tances où la ten­sion arté­rielle est très éle­vée, des médi­ca­ments peuvent lui être admi­nis­trés. L’un d’eux est l’avlocardyl dont l’utilisation dans ce cas pré­cis per­met de pro­vo­quer une baisse de la pres­sion arté­rielle par réduc­tion de la fré­quence car­diaque.

Angors d’efforts

Les angors (angines de poi­trine) cor­res­pondent à des dou­leurs res­sen­ties à la poi­trine. Elles peuvent s’étendre aux bras, au cou et aux épaules. Selon les cir­cons­tances de sur­ve­nue des dou­leurs, on dis­tingue plu­sieurs types d’angors. Les angors dits d’efforts sont ceux qui sur­viennent pen­dant un effort phy­sique. Ils résultent d’une isché­mie myo­car­dique tran­si­toire grave et se carac­té­risent par un mau­vais appro­vi­sion­ne­ment du myo­carde en oxy­gène. Ils concernent plus de 2 % de la popu­la­tion de plus d’une cin­quan­taine d’âges et sont favo­ri­sés par de nom­breux fac­teurs. Il s’agit, entre autres, du taba­gisme, des dys­li­pi­dé­mies et des anté­cé­dents médi­caux de dia­bète, d’hypertension arté­rielle et d’obésité.

Pour le trai­te­ment des angors d’efforts, un bêta-blo­quant tel que l’avlocardyl peut être uti­li­sé en asso­cia­tion avec d’autres médi­ca­ments. Par exemple, les anti-pla­quet­taires, les anti­coa­gu­lants, les inhi­bi­teurs de la gly­co­pro­téine IIb/IIIa, les anti­an­gi­neux, les sta­tines et les inhi­bi­teurs de l’enzyme dite de conver­sion de l’angiotensine. Dans les formes graves, le trai­te­ment de l’angor d’effort peut repo­ser sur une inter­ven­tion chirurgicale.

Infarctus du myocarde

L’infarc­tus du myo­carde (crise car­diaque) est un accès car­diaque qui résulte d’une nécrose par­tielle du myo­carde. Elle est cau­sée par la mort des cel­lules coro­naires suite à un défaut de vas­cu­la­ri­sa­tion et d’oxygénation de la cavi­té car­diaque. En géné­ral, dans une crise car­diaque, plu­sieurs vais­seaux sont bou­chés, ce qui entraîne une réduc­tion du flux san­guin vers le cœur.

Les prin­ci­pales causes de l’infarctus du myo­carde sont l’angor de poi­trine et l’artériosclérose. Tou­te­fois, les fac­teurs ci-après ont été iden­ti­fiés comme res­pon­sables de l’optimisation du risque de sa survenue :

  • l’âge ;
  • l’hypercholestérolémie ;
  • les mala­dies chro­niques comme le dia­bète et l’hypertension artérielle ;
  • le régime ali­men­taire riche en sel ;
  • les anté­cé­dents fami­liaux d’infarctus du myocarde ;
  • le taba­gisme et l’alcoolisme.

Plus rare­ment, la crise car­diaque est favo­ri­sée par une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale car­diaque anté­rieure et la géné­tique. Pour la prise en charge d’un infarc­tus du myo­carde, les soins pri­maires admi­nis­trés à la vic­time consistent en une oxy­gé­no­thé­ra­pie et en une médi­ca­tion à base d’anticoagulants.

Les soins secon­daires dépendent de l’état du patient et peuvent être conduits avec les médi­ca­ments de sou­tien comme l’avlocardyl. En géné­ral, pour le trai­te­ment d’un infarc­tus du myo­carde, l’avlocardyl est asso­cié aux inhi­bi­teurs de l’ECA (inhi­bi­teurs de l’enzyme de conver­sion de l’angiotensine) dont le but est de réduire la pres­sion artérielle.

Cardiomyopathies obstructives

Les car­dio­myo­pa­thies obs­truc­tives cor­res­pondent à des mala­dies car­diaques qui se carac­té­risent par une hyper­tro­phie du myo­carde. Elles résultent d’une bouf­fis­sure anor­male du muscle car­diaque et pro­voquent un défaut d’éjection du sang. Bien sou­vent, elles concernent le muscle car­diaque gauche et évo­luent sur plu­sieurs années.

Au début, les car­dio­myo­pa­thies obs­truc­tives sont asymp­to­ma­tiques et le patient ne pré­sente presque aucun signe de dys­fonc­tion­ne­ment car­diaque. Au fil du temps, néan­moins, elles se mani­festent par une dif­fi­cul­té impor­tante à res­pi­rer au cours d’une acti­vi­té phy­sique, des angors, des syn­copes et des pal­pi­ta­tions. Le plus sou­vent, les car­dio­myo­pa­thies obs­truc­tives sont d’origine géné­tique et sont trans­mises aux enfants par un parent malade.

Il est impos­sible de soi­gner la qua­si-tota­li­té des formes de car­dio­myo­pa­thies obs­truc­tives. Pour cela, la plu­part des trai­te­ments dis­po­nibles sont symp­to­ma­tiques. Ils per­mettent seule­ment d’améliorer la qua­li­té de vie du patient et de pré­ve­nir d’éventuelles com­pli­ca­tions. Ils reposent sou­vent sur une médi­ca­tion et l’avlo­car­dyl est admi­nis­tré au patient en asso­cia­tion avec d’autres médi­ca­ments. Par exemple, les diu­ré­tiques, les inhi­bi­teurs cal­ciques et les inhi­bi­teurs de l’enzyme de conver­sion de l’angiotensine.

Troubles du rythme cardiaque

Les troubles du rythme car­diaque (ou aryth­mies) dési­gnent des mala­dies car­diaques carac­té­ri­sées par des fré­quences car­diaques anor­males. Elles peuvent être soit trop rapides (tachy­car­dies), trop lentes (bra­dy­car­dies) ou encore irré­gu­lières. Dans la plu­part des cas, les causes exactes de leurs sur­ve­nues ne sont pas connues. Cepen­dant, on les asso­cie géné­ra­le­ment aux fac­teurs comme :

  • L’hypertension arté­rielle ;
  • Les anté­cé­dents médi­caux d’affections pul­mo­naires chroniques ;
  • L’anémie ;
  • Les hyper­thy­roï­dies ;
  • L’obésité ;
  • Les régimes ali­men­taires non équilibrés.

Pour la prise en charge des troubles du rythme car­diaque, les bêta-blo­quants comme l’avlocardyl peuvent être uti­li­sés. Quoique, seul un pro­fes­sion­nel de la san­té pour­ra déci­der de son administration.

Avlocardyl (Propranolol) : contre-indications

Avlo­car­dyl (Pro­pra­no­lol)

À l’instar de tout pro­duit phar­ma­ceu­tique, l’avlocardyl fait l’objet de nom­breuses contre-indi­ca­tions. Ain­si, son uti­li­sa­tion est proscrite :

  • En cas d’allergie au pro­pra­no­lol chlor­hy­drate ou l’un des ingré­dients entrant dans la for­mu­la­tion de l’avlocardyl ;
  • En cas d’asthme ou d’un encom­bre­ment des pou­mons et des bronches ;
  • Dans le cadre d’une insuf­fi­sance car­diaque qui n’a pu être contrô­lée par un traitement ;
  • En cas de mala­dies car­diaques graves ;
  • Dans les mala­dies hépa­tiques graves ;
  • En cas d’hypoglycémie sévère ;
  • Dans l’angor de Prinzmetal.

Plus rare­ment, l’avlocardyl est contre-indi­qué aux patients dont la gly­cé­mie est trop basse ou ceux ayant une bra­dy­car­die importante.

Avlocardyl (Propranolol) : corrélation avec la MFIU (mort fœtale in utero)

Durant la gros­sesse, l’utilisation de l’avlocardyl est très répan­due. Cepen­dant, peu de don­nées scien­ti­fiques ont étu­dié la cor­ré­la­tion qui existe entre elle et la sur­ve­nue des com­pli­ca­tions comme la mort fœtale in ute­ro. De même, les don­nées dis­po­nibles pré­sentent beau­coup de limites. En effet, il s’agit la plu­part du temps de don­nées obte­nues d’études dérou­lées uni­que­ment aux der­niers tri­mestres de la gros­sesse et datant de plu­sieurs années (1970–1980). Ces der­nières sont petites en termes d’échantillon (moins de 30 femmes enceintes par étude) et portent dans la majo­ri­té des cas sur des patientes trai­tées avec le pro­pra­no­lol pour des mala­dies très diverses.

Des cri­tères spé­ci­fiques n’ont pas été uti­li­sés pour le choix de ces der­nières et un échan­tillon­nage pro­ba­bi­liste n’a pas été fait. Pour cela, bien que la mort fœtale in ute­ro ait figu­ré dans les mul­tiples issus de la gros­sesse chez ces patientes, il est impos­sible d’établir une cor­ré­la­tion pré­cise entre elle et l’avlocardyl. De plus, la majo­ri­té des cas de morts fœtales in ute­ro obser­vées étaient sur­ve­nus dans un envi­ron­ne­ment de comor­bi­di­tés com­plexes.

Les parts res­pec­tives des comor­bi­di­tés, du pro­pra­no­lol ou des autres trai­te­ments dans la mort fœtale in ute­ro devraient donc être pré­ci­sées dans ces études. Ce qui n’a pas été fait. En résu­mé, il n’existe aucune preuve que le risque de mort fœtal in ute­ro est opti­mi­sé en cas d’administration de pro­pra­no­lol durant la gros­sesse. Les femmes enceintes peuvent donc l’utiliser en toute quiétude.

Par ailleurs, au même titre que l’avlocardyl, les bêta-blo­quants d’une manière géné­rale ne sont pas contre-indi­qués pour les femmes enceintes. Certes, leur uti­li­sa­tion a entraî­né chez les nou­veau-nés de nom­breux troubles, mais elle n’a aucun impact sur le pro­nos­tic vital. De plus, ces troubles ne sont pas pour la plu­part sévères et peuvent être contrô­lés par un trai­te­ment. Il s’agit sou­vent d’une hypo­gly­cé­mie, d’une bra­dy­car­die, d’une hypo­ten­sion ou du faible poids de naissance.

 

 

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