HomeSantéDouleurs chez la personne âgée : causes, signe, traitement

Douleurs chez la personne âgée : causes, signe, traitement

Publié le

spot_img

La dou­leur est une sen­sa­tion que connait la majo­ri­té des per­sonnes ayant atteint l’âge de 60 ou 65 ans. En effet, les « séniors » sont fré­quem­ment affec­tés par des dou­leurs de dif­fé­rentes formes pour une varié­té de rai­sons (patho­lo­gie, trau­ma­tisme…). Cet état de choses implique qu’il faut des soins médi­caux adap­tés à ces pro­fils pour leur per­mettre de pas­ser la plus confor­ta­ble­ment pos­sible cette der­nière phase de la vie.

Mal­heu­reu­se­ment, tout comme les enfants, les per­sonnes âgées ont du mal à décrire cor­rec­te­ment ce qu’ils res­sentent comme dou­leur. Que faut-il donc savoir pour une prise en charge appro­priée de la dou­leur les séniors ? Voi­ci quelques élé­ments de réponse.

Douleurs chez la personne âgée : causes

Les causes de dou­leurs chez les per­sonnes âgées sont variées. Leur déter­mi­na­tion per­met de réa­li­ser une clas­si­fi­ca­tion des dif­fé­rents types de dou­leurs. On distingue :

  • Les dou­leurs nociceptives
  • Les dou­leurs neuropathiques
  • Les dou­leurs psychogènes 
  • Les dou­leurs cancéreuses
  • Les dou­leurs asso­ciées aux soins médicaux
  • Les dou­leurs aux ori­gines inexpliquées

Les douleurs nociceptives

Il s’agit de dou­leurs géné­rées par une sti­mu­la­tion inten­sive des récep­teurs péri­phé­riques de la dou­leur appe­lés noci­cep­teurs. Leur rôle est d’alerter l’organisme et par rico­chet le méde­cin sur l’existence d’une lésion afin de la trai­ter. Ain­si, elles sont géné­ra­le­ment cau­sées par des inflam­ma­tions (appen­di­cite, conjonc­ti­vite, abcès den­taire…) ou des trau­ma­tismes (bru­lures, entorses, chocs, frac­tures, cou­pure…). Chez les per­sonnes âgées, cette caté­go­rie indique essen­tiel­le­ment l’arthrose et ses complications.

Les douleurs neuropathiques

Ces dou­leurs sont asso­ciées à un dys­fonc­tion­ne­ment du sys­tème ner­veux ou plus pré­ci­sé­ment à une lésion de celui-ci. Ladite lésion peut affec­ter direc­te­ment les nerfs (sys­tème ner­veux péri­phé­rique) ou tou­cher la moelle épi­nière et le cer­veau (sys­tème ner­veux cen­tral). Dans tous les cas, les ori­gines des lésions ner­veuses sont diverses. Il peut s’agir de :

  • un apport d’oxygène insuf­fi­sant (com­pres­sion pro­lon­gée d’un nerf, acci­dent vas­cu­laire cérébral), 
  • une infec­tion (par le virus du zona en l’occurrence),
  • un trau­ma­tisme (ampu­ta­tion, blessure) 
  • d’une intoxi­ca­tion
  • d’effets secon­daires d’un médicament
  • d’une mala­die méta­bo­lique (dia­bète), etc. 

Les dou­leurs neu­ro­pa­thiques sont les plus dif­fi­ciles à trai­ter à cause de leur per­sis­tance, mal­gré la gué­ri­son des lésions. Une prise en charge spé­ci­fique est géné­ra­le­ment requise.

Les douleurs psychogènes

Chez les per­sonnes âgées, ces dou­leurs sont sou­vent bana­li­sées, car elles ne sont pas bien décrites et pro­viennent de géné­ra­le­ment d’une dépres­sion « mas­quée ». Elles peuvent être aus­si asso­ciées à d’autres troubles psy­chiques comme l’anxiété ou plus rare­ment à des mala­dies men­tales graves.

Les douleurs cancéreuses

Il s’agit d’une caté­go­rie mixte de dou­leurs. En effet, les dou­leurs can­cé­reuses sont une asso­cia­tion de dou­leurs noci­cep­tives et neu­ro­pa­thiques, avec un aspect plus ou moins psy­cho­lo­gique. Leurs ori­gines peuvent être soit la tumeur en elle-même, soit les exa­mens médi­caux ou encore le traitement.

Les douleurs associées aux soins médicaux

Les dou­leurs de cette caté­go­rie sont pour la plu­part dues à des inter­ven­tions chi­rur­gi­cales ou à des exa­mens médi­caux. Bien que les méde­cins consi­dèrent dans la pra­tique qu’il s’agit d’un mal néces­saire, de nom­breuses tech­niques « non inva­sives » sont de plus en plus adop­tées pour limi­ter ces réper­cus­sions dou­lou­reuses, par­fois irré­ver­sibles (sur­tout chez les séniors).

Les douleurs aux origines inexpliquées

Cer­taines dou­leurs res­tent mys­té­rieuses par rap­port à leur cause fixe. En effet, elles affichent un méca­nisme de fonc­tion­ne­ment bien clair et pré­cis sans pour autant révé­ler leur ori­gine. Les crises de migraine consti­tuent un bon exemple de cette caté­go­rie. Ces dou­leurs sont par­fois dif­fi­ciles à trai­ter lorsque l’incertitude règne sur la tech­nique à uti­li­ser. Ceci peut être à l’origine d’autres souf­frances notam­ment psychologiques.

Les douleurs chez la personne âgée : symptômes

Les symp­tômes de dou­leurs chez la per­sonne âgée varient selon l’origine du mal. Déjà, on pour­ra com­mu­né­ment carac­té­ri­ser la dou­leur elle-même comme soit aiguë ou soit chro­nique. La dou­leur aiguë est une mani­fes­ta­tion directe, bru­tale et ponc­tuelle du malaise afin d’informer l’organisme de la lésion. Elle peut deve­nir chro­nique, c’est-à-dire per­sis­ter sur une durée plus ou moins longue (trois mois de réma­nence). Là, il ne s’agit plus d’une simple alarme, mais d’une « véri­table mala­die de la douleur ».

Concer­nant les dou­leurs neu­ro­pa­thiques, leur symp­to­ma­to­lo­gie se tra­duit géné­ra­le­ment par des sen­sa­tions de bru­lure, des four­mille­ments ou pico­te­ments (sen­sa­tion de décharge élec­trique), des sen­sa­tions de gon­fle­ment et d’écrasement, etc. Ces dou­leurs peuvent être épi­so­diques ou continues.

On peut ensuite noter d’autres signes décou­lant des dif­fé­rentes mani­fes­tions de la dou­leur comme :

  • les troubles du sommeil
  • la toux, l’agitation, le hoquet, 
  • les nau­sées, les vomissements 
  • la perte d’autonomie (immo­bi­li­sa­tion avec des consé­quences car­dio­vas­cu­laires, cuta­nées, pul­mo­naires, diges­tives se révé­lant aus­si douloureuses), 
  • l’anorexie com­pli­quée en dénutrition
  • la confu­sion, dépres­sion, etc.

Quelques particularités de la douleur chez les personnes âgées

Chez les séniors, la mani­fes­ta­tion de la dou­leur peut rapi­de­ment impac­ter le psy­chisme et abou­tir à des com­pli­ca­tions men­tales graves. En effet, il existe de fausses croyances (notam­ment, il est nor­mal d’avoir mal quand on est vieux) qui obligent à la rési­gna­tion face à ces maux ou encore à leur bana­li­sa­tion par l’entourage. Les dou­leurs chro­niques ne tardent ain­si pas à lais­ser place à l’isolement social ain­si qu’à des épi­sodes dépressifs.

Les douleurs chez la personne âgée : Diagnostic

Dou­leurs chez la per­sonne âgée

Le diag­nos­tic de la dou­leur consiste en une éva­lua­tion du niveau de souf­france res­sen­tie afin d’identifier le trai­te­ment adap­té. Cet exa­men fait par­tie d’un pro­ces­sus de réa­li­sa­tion du bilan com­plet de la san­té du patient. Les tech­niques employées pour mesu­rer l’intensité de la dou­leur concernent entre autres :

  • l’observation des signes non verbaux,
  • l’autoévaluation.

L’observation des signes non verbaux

Étant don­né qu’il est habi­tuel de mini­mi­ser la dou­leur chez les per­sonnes âgées géné­ra­le­ment parce qu’elles ne l’expriment pas assez clai­re­ment, les pro­fes­sion­nels de la san­té font atten­tion à cer­tains signes non ver­baux. Ain­si, afin de com­men­cer une esti­ma­tion des dou­leurs res­sen­ties par le patient, le méde­cin peut se fier à l’observation des mimiques du visage, de l’utilisation pré­fé­ren­tielle d’un membre, de l’adoption de pos­tures antal­giques, de l’altération de la démarche, etc. Les modi­fi­ca­tions de l’humeur repré­sentent aus­si une grande indi­ca­tion.

Pour concrè­te­ment pas­ser à l’évaluation, le méde­cin emploie la tech­nique de l’hétéroévaluation qui comme son nom l’indique, com­prend un aspect des­ti­né aux adultes et un volet consa­cré aux enfants. Concer­nant les adultes notam­ment les séniors, il s’agira pour le spé­cia­liste d’utiliser des grilles d’observation com­pa­rables. L’échelle Dolo­plus et l’EPCA (échelle com­por­te­men­tale de la dou­leur chez la per­sonne âgée) consti­tuent les outils adap­tés à cet examen.

L’autoévaluation

Elle consiste en l’appréciation de l’intensité de la dou­leur par le patient lui-même. Le tra­vail s’effectue à l’aide d’une varié­té d’échelles quan­ti­ta­tives situant la dou­leur entre deux extrêmes (absence de dou­leur et dou­leur maxi­male ima­gi­nable). On dis­tingue notamment

  • l’échelle numé­rique (elle pro­pose des niveaux de 0 à 10)
  • l’échelle visuelle simple (le patient marque une croix sur une ligne conti­nue pour esti­mer sa dou­leur ; l’échelle étant gra­duée au ver­so pour une nota­tion objec­tive chez les soignants)
  • L’échelle ver­bale simple (le patient qua­li­fie ver­ba­le­ment la dou­leur par des adjec­tifs comme faible, modé­rée, intense, extrê­me­ment intense, etc.)

Des échelles qua­li­ta­tives peuvent aus­si s’utiliser pour une meilleure pré­ci­sion dans l’évaluation.

Les douleurs chez la personne âgée : traitement

Quel que soit le type de dou­leur iden­ti­fié chez le sénior, il existe deux prin­ci­pales caté­go­ries de prise en charge :

  • Les solu­tions médicamenteuses 
  • Les trai­te­ments non médicamenteux 

Les solutions médicamenteuses

Il s’agit essen­tiel­le­ment d’antalgiques clas­si­fiés en trois groupes selon leur puis­sance d’action. On dis­tingue ain­si les antal­giques de niveau 1 des­ti­nés aux dou­leurs légères, les antal­giques de niveau 2 pour les dou­leurs modé­rées ou sévères, puis les antal­giques de niveau 3 pour les dou­leurs intenses et rebelles aux pre­mières approches. 

En dehors des antal­giques, on distingue :

  • Cer­tains anti­dé­pres­seurs (ANAFRIL, TOFRANIL, LAROXYL, CYMBALTA… uti­li­sés avec pré­cau­tion pour le trai­te­ment de dou­leurs neurogènes)
  • Des anti­épi­lep­tiques (la pré­ga­ba­line, la gaba­pen­tine, la car­ba­ma­zé­pine… pour trai­ter les névral­gies rebelles et les dou­leurs neuropathiques) 
  • Les myo­re­laxants (à ne pas uti­li­ser sur plus de deux semaines, ils per­mettent de trai­ter les dou­leurs lom­baires grâce à leur effet de relaxant musculaire)
  • Des anes­thé­siques locaux
  • Des anti­spas­mo­diques, etc. 

Le cas particulier des antalgiques

L’utilisation des antal­giques est direc­te­ment en cor­ré­la­tion avec l’intensité de la dou­leur res­sen­tie. Chaque niveau d’antalgique se des­tine à une caté­go­rie pré­cise de douleurs.

Les antalgiques de niveau 1

Elles sont des­ti­nées aux dou­leurs légères. Ces médi­ca­ments sont notam­ment le para­cé­ta­mol, l’aspirine et les anti-inflam­ma­toires non sté­roï­diens (AINS). Même si la plu­part de ces pro­duits sont déjà uti­li­sés en auto­mé­di­ca­tion, il reste utile de consul­ter le méde­cin afin de parer aux éven­tua­li­tés d’effets indé­si­rables ou même de contre-indi­ca­tions. Par exemple, l’aspirine et les AINS ne sont pas recom­man­dés chez la femme enceinte (à par­tir de 6 mois de gros­sesse) à cause de réper­cus­sions graves pou­vant l’affecter et atteindre le fœtus. 

La plu­part de ces médi­ca­ments sont admi­nis­trés par voie orale et cer­taines asso­cia­tions sont pos­sibles. Il existe en outre des AINS sous forme de crèmes et pom­mades, utiles pour trai­ter les trau­ma­tismes bénins sur la peau. Atten­tion à s’assurer du fonc­tion­ne­ment du foie et des reins avec les « séniors ».

Les antalgiques de niveau 2

Ce sont des opia­cés faibles notam­ment la codéine, le tra­ma­dol et la dihy­dro­co­déine. Le méde­cin pres­crit ces médi­ca­ments lorsque les antal­giques de niveau 1 ne suf­fisent pas à sou­la­ger la dou­leur. De nom­breux effets secon­daires sont cepen­dant recen­sés avec l’usage des antal­giques de niveau 2. Il fau­dra dis­cu­ter avec son méde­cin pour déter­mi­ner les inter­ac­tions dan­ge­reuses et les risques avant de s’y lan­cer. Les nau­sées, la som­no­lence, les troubles psy­chiques, l’hypoglycémie, les convul­sions et le syn­drome de sevrage sont des réper­cus­sions dont il faut se prémunir. 

Les antalgiques de niveau 3

Il s’agit de la mor­phine et des sub­stances appa­ren­tées (fen­ta­nyl, oxy­co­done, hydro­mor­phone, etc.). La mor­phine, autre­fois réser­vée aux cas de soins pal­lia­tifs, peut aujourd’hui s’utiliser dans tous les cas où les antal­giques de niveau 2 n’ont pas suf­fi à sou­la­ger la dou­leur. Ces médi­ca­ments sont admi­nis­trables par voie orale, mais existent aus­si sous forme injec­table. Le res­pect des doses et le sevrage pro­gres­sif sont incon­tour­nables pour évi­ter les effets secondaires.

Les traitements non médicamenteux

Au nombre des tech­niques non médi­ca­men­teuses employées pour trai­ter la dou­leur, on distingue :

  • Les mani­pu­la­tions physiques 
  • La thé­ra­pie cognitive 
  • La chi­rur­gie et la neurostimulation 

Les manipulations physiques

Elles regroupent une mul­ti­tude d’activités notam­ment la kiné­si­thé­ra­pie, l’ostéopathie, le mas­sage, les méthodes psy­cho­cor­po­relles (tai-chi, yoga), l’acupuncture, etc. Le choix spé­ci­fique d’une des approches dépend de la pres­crip­tion médi­cale. La kiné­si­thé­ra­pie et l’ostéopathie par exemple ser­vi­ront à limi­ter les impacts des dou­leurs chro­niques sur la mobi­li­té et la force mus­cu­laire du patient.

Le mas­sage et l’acupuncture auront géné­ra­le­ment un effet antal­gique de courte durée sur les séniors. Une appli­ca­tion régu­lière dans le temps per­met­tra d’obtenir des effets plus per­ma­nents dénués de consé­quences indé­si­rables. Les méthodes psy­cho­cor­po­relles quant à elles (tai-chi, yoga) ser­vi­ront à la réédu­ca­tion. Elles sont par­ti­cu­liè­re­ment recom­man­dées aux per­sonnes âgées atteintes de dou­leurs articulaires.

La thérapie cognitive

La thé­ra­pie cog­ni­tive touche essen­tiel­le­ment à l’hypnose. Elle néces­site la pré­sence d’un thé­ra­peute qui par sa capa­ci­té de sug­ges­tion accrue en état de conscience modi­fiée, aide les patients à contrô­ler la dou­leur. En effet, une fois les séances ter­mi­nées, ces der­niers reviennent à un état d’éveil sans l’impression du malaise. 

La tech­nique est le plus sou­vent uti­li­sée dans le trai­te­ment de dou­leurs aiguës. Elle par­ti­cipe aus­si à l’amélioration des dou­leurs chro­niques en asso­cia­tion avec des solu­tions d’autres dis­ci­plines. Pré­ci­sons que l’hypnose n’empêche pas les patients de res­ter maitres d’eux-mêmes contrai­re­ment aux idées reçues. Une per­sonne en état de conscience modi­fiée détient tou­jours son libre arbitre et ne dévoi­le­ra rien au thé­ra­peute sans le vouloir. 

La chirurgie et la neurostimulation

Ces approches sont réser­vées le plus sou­vent aux dou­leurs neu­ro­pa­thiques. La chi­rur­gie peut par exemple per­mettre d’interrompre le cir­cuit de la dou­leur. Elle est indi­quée uni­que­ment pour les dou­leurs rebelles à tout autre trai­te­ment. Très ris­quée, elle ne se pra­tique que par des équipes spé­cia­li­sées tra­vaillant dans des ser­vices de neu­ro­chi­rur­gie. Les inter­ven­tions peuvent aus­si consis­ter à sup­pri­mer la cause de l’atteinte ner­veuse (com­pres­sions, écra­se­ment) ou encore appor­ter loca­le­ment un antalgique.

En ce qui concerne la neu­ro­sti­mu­la­tion, elle consiste à appli­quer des élec­trodes sur la peau (zone dou­lou­reuse) afin de pro­vo­quer un afflux d’information et empê­cher le mes­sage de la dou­leur d’atteindre le cer­veau. Très effi­cace, ce pro­cé­dé per­met par­fois de sup­pri­mer l’utilisation des médi­ca­ments avec peu d’effets indé­si­rables. Il peut être asso­cié à la chi­rur­gie par l’implantation d’un dis­po­si­tif per­met­tant d’appliquer les élec­trodes le long d’un tra­jet nerveux. 

 

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...