HomeBien-êtreCalcul d’indice corporelle (IMC) :  Formule, interprétation, recommandations

Calcul d’indice corporelle (IMC) :  Formule, interprétation, recommandations

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L’indice de masse cor­po­relle encore appe­lé IMC per­met de connaitre son poids nor­mal. En effet, grâce à l’IMC, chaque indi­vi­du est en mesure d’estimer la quan­ti­té de masse grasse en fonc­tion de sa taille et de son poids. C’est donc à juste titre que l’indice de masse cor­po­relle est consi­dé­ré comme un indi­ca­teur plus fiable que le poids pour éva­luer votre corpulence.

En effet, cet indice a été recon­nu par l’Orga­ni­sa­tion mon­diale de la San­té depuis les années 1997. Il se cal­cule sui­vant une for­mule mathé­ma­tique assez simple et facile à appliquer.

Quelle est donc la for­mule pour cal­cu­ler son IMC ? Quelle est l’inter­pré­ta­tion que l’Organisation mon­diale de la San­té a faite de l’IMC ? L’obésité et l’IMC peuvent-ils avoir un rap­port ? Quels sont les risques d’un IMC éle­vé ?

Vous trou­ve­rez la réponse à toutes ces inter­ro­ga­tions dans cet article. De même, vous y trou­ve­rez des conseils pra­tiques de bien-être pour main­te­nir votre poids dans les nor­mal. Mais avant, décou­vrons ce qu’est l’indice de masse corporelle.

IMC : qu’est-ce que c’est ?

L’indice de masse cor­po­relle ou IMC a été inven­té dans les années 1840. Son but est d’aider à savoir si le poids d’un indi­vi­du est adap­té à sa taille. L’IMC sert d’indicateur per­met­tant d’évaluer l’état nutri­tion­nel. Comme indi­qué, le cal­cul de l’IMC repose sur une for­mule mathé­ma­tique très simple.

Formule pour calculer l’indice de masse corporelle (IMC)

L’objectif de la for­mule de cal­cul de l’IMC est de vous situer dans l’une des caté­go­ries de poids : mai­greur, sur­poids ou obé­si­té. Ain­si, cela per­met de déter­mi­ner le type de mala­dies chro­niques comme les mala­dies car­dio­vas­cu­laires, le dia­bète ou l’hypertension arté­rielle que vous encourrez.

La for­mule pour cal­cu­ler l’IMC est : IMC = poids/taille2. Le chiffre obte­nu donne une esti­ma­tion de la cor­pu­lence et un poten­tiel sur­poids ou l’obésité chez un indi­vi­du adulte homme ou femme. Rap­pe­lons que le poids est expri­mé en kg et la taille en mètre.

L’indice de masse cor­po­relle révèle les risques pour la san­té liés au sur­poids ain­si qu’à la mai­greur. Faut-il le sou­li­gner, le poids d’un indi­vi­du ne suf­fit pas pour détec­ter son obé­si­té. On ne peut détec­ter l’obésité chez une per­sonne qu’en fonc­tion de son poids et de sa taille. Les deux sont indissociables.

En effet, ce n’est pas la même chose de peser 90 kg si vous mesu­rez 1m50 ou 1m90. Il n’est donc pas néces­saire de vous alar­mer lorsque vous pesez le même poids avec quelqu’un recon­nu obèse. Votre taille reste un poids impor­tant à ne pas igno­rer. Il s’avère donc néces­saire de savoir cal­cu­ler l’IMC.

Calcul de l’indice de masse corporelle (IMC)

Le cal­cul de l’indice de masse cor­po­relle se fait en divi­sant le poids par la taille au car­ré. Cela sup­pose une prise de ces mesures au préalable.

En effet, si vous mesu­rez 1,60 mètre, il vous revient de mul­ti­plier cette valeur par elle-même, soit 1,60*1,60. Nous avons donc : 2,56. Sup­po­sons que vous avez un poids de 60 kg. Pour cal­cu­ler votre IMC, il vous fau­dra faire : 60 kg/2,56 m². Votre IMC est donc 23,4 kg/m².

En outre, ce chiffre obte­nu équi­vaut à une caté­go­rie de poids. En effet, l’Organisation mon­diale de la San­té a défi­ni chaque caté­go­rie de poids sui­vant des réfé­rences stan­dards. Bien que cet indice soit contes­té en rai­son de cer­tains cri­tères non pris en compte, il demeure tout de même une valeur de référence.

Grâce aux dif­fé­rentes études menées, des seuils ont été éta­blis pour éva­luer les zones à risque en par­ti­cu­lier les mala­dies car­dio­vas­cu­laires. Ras­su­rez-vous, l’IMC est avant tout une méthode fiable que ce soit pour l’homme que pour la femme.

Notons que l’IMC prend en compte les hommes et les femmes dont l’âge est com­pris entre 18 et 65 ans. Il est bien de savoir que le sexe n’influence en aucun cas ce cal­cul. Pour avoir une idée claire de votre caté­go­rie, le cal­cul de l’indice de masse cor­po­relle peut se faire pério­di­que­ment, soit par tri­mestre ou une fois l’an.

Quelques restrictions

Il faut savoir que l’IMC ne peut pas être uti­li­sé dans tous les cas. Il s’agit en effet des cas de femmes enceintes ou celles qui allaitent, les séniors, les ath­lètes d’endurance ou les per­sonnes très mus­clées. En fait, l’IMC des per­sonnes sus­men­tion­nées ne fait pas la dif­fé­rence entre la masse mus­cu­laire et la masse grais­seuse. Cela peut, en consé­quence, influen­cer ou faus­ser com­plè­te­ment le résultat.

Par ailleurs, pour le cas d’un enfant ou d’un ado­les­cent, leur courbe de poids ins­crit dans les pages de leur car­net de san­té se révèle un indi­ca­teur fiable. Tou­te­fois, il est bien de savoir qu’il existe des cal­cu­la­trices spé­ci­fiques pour cal­cu­ler leur IMC. Celles-ci prennent en compte leur âge ain­si que les spé­ci­fi­ci­tés inhé­rentes à leur sexe.

L’interprétation de l’IMC éta­blie par l’OMS per­met de clas­si­fier chaque indi­vi­du selon le chiffre qu’il a obte­nu après le calcul.

Interprétation de l’IMC

L’interprétation de l’IMC selon l’Organisation mon­diale de la San­té clas­si­fie les per­sonnes en fonc­tion de leur résul­tat dans des caté­go­ries, notam­ment : mai­greur, nor­mal, sur­poids et obé­si­té.

Maigreur : IMC < 18,5 kg/m²

Lorsque votre poids est trop faible par rap­port à votre taille, on parle de l’insuffisance pon­dé­rale ou de la mai­greur. Ce faible indice peut être lié à une patho­lo­gie et expo­ser ain­si l’individu à un cer­tain nombre de risques pour sa santé.

Poids normal : entre 18,5 et 24,9 kg/m²

Si l’IMC est situé entre 18,5 et 25 kg/m², alors, vous avez une cor­pu­lence nor­male. Dans ce cas, il est bien de conti­nuer à man­ger sain et équi­li­bré sans faire de régime quelconque.

Surpoids : entre 25 et 29, 9 kg/m²

Lorsque votre IMC est supé­rieur à 25, il est clair que vous êtes en sur­poids avec une sur­charge pon­dé­rale. D’après l’OMS, le sur­poids et l’obésité sont consi­dé­rés comme une pré­sence anor­male ou exces­sive de graisse. Cet état peut pro­vo­quer des mala­dies comme le dia­bète, l’hypertension arté­rielle, des troubles arti­cu­laires mus­cu­lo-sque­let­tiques ou des cancers.

Dans ce cas de figure, il est très impor­tant de vous réfé­rer le plus tôt pos­sible à votre méde­cin. Avant toute ten­ta­tive de régime, il est conseillé de consul­ter d’abord un professionnel.

Quand pour­rait-on donc par­ler d’obésité ?

Obésité et Indice de masse corporelle : quelle relation ?

Indice de masse corporelle et obésité

Au-delà de 30 kg/m², l’indice de masse cor­po­relle peut indi­quer une obé­si­té : Obé­si­té : > 30 kg/m².

Dans le cas de l’obésité, votre poids est trop éle­vé par rap­port à votre taille. En effet, cela est dû à un excès de graisse qui engendre d’énormes dégâts pour la san­té. L’excès de poids accroit les mala­dies méta­bo­liques telles que le dia­bète, les mala­dies car­diaques, res­pi­ra­toires, arti­cu­laires, et de cancer.

En outre, sou­li­gnons que la sévé­ri­té de l’obésité se défi­nit en fonc­tion de son IMC. En effet, on note les degrés sui­vants de l’obésité :

  • Obé­si­té modé­rée : l’IMC est com­pris entre 30 et 34,9 ;
  • Obé­si­té sévère : lorsque l’IMC est situé entre 35 et 39,9 ;
  • Obé­si­té mas­sive : dans ce cas, l’indice de masse cor­po­relle est supé­rieur à 40 kg/m².

Rap­pe­lons que l’interprétation de l’IMC s’applique uni­que­ment chez un adulte dont l’âge se situe entre 18 et 65 ans. En revanche, elle n’est pas appli­cable chez un enfant, une femme enceinte, des per­sonnes très mus­clées. En ce qui concerne les per­sonnes âgées, il n’existe pas de défi­ni­tion consen­suelle de l’obésité.

Quel qu’en soit, un indice de masse cor­po­relle éle­vé aug­mente les risques de la sur­ve­nue de mala­dies.

Les risques d’un indice de masse corporelle élevé

Un indice de masse cor­po­relle éle­vé est sus­cep­tible d’augmenter incon­tes­ta­ble­ment les risques. En effet, cer­taines mala­dies graves peuvent sur­ve­nir à tout ins­tant. Il s’agit notam­ment des mala­dies car­dio­vas­cu­laires telles que : infarc­tus, insuf­fi­sance car­diaque, hyper­ten­sion artérielle.

Par ailleurs, l’individu ayant un IMC éle­vé est enclin à des mala­dies pul­mo­naires, dont le syn­drome d’apnée de som­meil. Nous notons éga­le­ment, des affec­tions qui touchent les arti­cu­la­tions à savoir : l’arthrose du genou. La prise en charge rapide est donc nécessaire.

Au vu de tout cela, quel est l’IMC idéal ?

Indice de masse corporelle idéal

En matière d’indice de masse cor­po­relle, il n’y en a pas d’idéal. Ras­su­rez-vous, l’IMC n’est qu’un indi­ca­teur. Son objec­tif est de cibler la zone où l’on peut res­ter en bonne san­té. Par ailleurs, notez que : deux per­sonnes du même âge sou­mises aux mêmes apports ali­men­taires et pra­ti­quant les mêmes acti­vi­tés phy­siques n’auront pas néces­sai­re­ment le même poids.

En effet, plu­sieurs fac­teurs liés à chaque per­sonne ain­si que son méta­bo­lisme de base doivent être consi­dé­rés. Le méta­bo­lisme de l’une peut être plus rapide ou plus per­for­mant que celui de l’autre. On ne peut donc pas se fier aux appa­rences ni à ce fait indi­qué pour clas­si­fier une per­sonne par rap­port à une autre.

Tou­te­fois, mal­gré l’efficacité prou­vée de l’IMC, il pré­sente quelques limites.

Limites du calcul de l’indice de masse corporelle (IMC)

L’IMC est un outil de réfé­rence de l’OMS. Cepen­dant, il pré­sente un cer­tain nombre de limites.

Il est à noti­fier que l’IMC n’est pas valable pour toutes les caté­go­ries de per­sonnes : femme enceinte, sujets âgés.

En consé­quence, l’IMC n’est pas per­ti­nent dans tous les cas. En effet, il ne fait pas de dis­tinc­tion entre la masse grais­seuse et la masse mus­cu­laire. À titre illus­tra­tif, un ath­lète bien mus­clé peut être clas­sé dans la caté­go­rie de sur­poids alors que sa masse pro­vient de ses muscles.

De même, il est à remar­quer que l’IMC de l’enfant ne se base pas sur la même méthode de cal­cul. Aus­si, l’IMC reste impré­cis dans le cas des per­sonnes souf­frant d’une réten­tion d’eau ou celles qui ont une ossa­ture lourde ou légère.

En outre, l’IMC ne prend pas en compte le tour de la taille. Or, on remarque qu’une per­sonne ayant un tour de taille impor­tant pré­sente un risque dia­bète et des patho­lo­gies car­dio­vas­cu­laires. Cela est pos­sible même chez une per­sonne ayant un IMC nor­mal. Mal­heu­reu­se­ment, l’IMC n’en tient pas compte.

Par ailleurs, plu­sieurs autres élé­ments tels que l’origine eth­nique, et l’aspect esthé­tique du corps influencent l’IMC. Par contre, les troubles ali­men­taires, l’activité phy­sique, la consom­ma­tion du tabac ou d’alcool qui ne sont pas pris en compte par l’IMC.

Compte tenu de ces sub­ti­li­tés, les méde­cins uti­lisent l’impédancemétrie et le tour de taille dans l’évaluation de la masse grasse.

Que le patient soit dans une situa­tion de dénu­tri­tion ou d’obésité, son pro­blème de poids est lié à une mul­ti­tude de fac­teurs. Ils peuvent pro­ve­nir des habi­tudes de vie ou encore de l’environnement. Que faut-il donc faire lorsque vous remar­quez que votre poids n’est pas normal ?

IMC anormal : Que faire ?

IMC normal

Lorsque vous remar­quez une ano­ma­lie dans votre IMC, il est impor­tant de vous poser cer­taines ques­tions : à quoi est liée votre prise ou votre perte de poids ? Serait-elle en rai­son d’une gros­sesse récente ou d’une patho­lo­gie par­ti­cu­lière, d’une ménopause ?

Avant tout, il est impor­tant de connaitre l’origine de votre prise ou perte de poids. Ain­si, vous évi­te­rez de vous culpa­bi­li­ser et de cher­cher des solu­tions dans un régime ali­men­taire non conve­nable. Lorsque sur­vient une obé­si­té, la pre­mière recom­man­da­tion est de vous tour­ner vers un pro­fes­sion­nel de santé.

En outre, notons que l’augmentation de l’IMC de 20 à 30 kg/m² a une rela­tion linéaire entre le poids et l’hypertension arté­rielle. Les mala­dies coro­na­riennes ain­si que le dia­bète de type 2 ont éga­le­ment cette rela­tion avec la prise de poids. D’après la Haute Auto­ri­té de la San­té, le risque de car­dio­pa­thie isché­mique s’accroit pareille­ment avec le surpoids.

De fait, lorsque votre IMC est supé­rieur à 30, il faut consul­ter obli­ga­toi­re­ment un méde­cin afin de mettre en place des mesures hygié­no-dié­té­tiques. En revanche, dans le cas d’une obé­si­té mor­bide, il est pré­fé­rable d’aller dans un centre spé­cia­li­sé de l’obésité (CSO).

Par ailleurs, vous pou­vez prendre un ren­dez-vous auprès d’un spé­cia­liste pour une prise en charge opti­male de votre obé­si­té. En dépit de tout, il est sal­va­teur de tra­vailler à main­te­nir un poids nor­mal en fonc­tion de votre taille.

Indice de masse corporelle : 10 conseils pratiques pour garder son poids normal

Par­ve­nir à trou­ver sa sil­houette idéale n’est pas tou­jours facile. C’est pour­quoi, une fois que cela est retrou­vé, il est impor­tant de la main­te­nir. A cet effet, voi­ci 10 conseils simples, pra­tiques et faciles de bien-être pour main­te­nir votre poids normal.

1/ Trouver un bon régime

L’alimentation joue un rôle dans le main­tien du poids nor­mal. En effet, d’après des études, les régimes trop res­tric­tifs ne sont pas for­mel­le­ment la bonne solu­tion pour sta­bi­li­ser son poids. D’ailleurs, il a été démon­tré que les kilos per­dus peuvent être repris très rapidement.

Vous pou­vez vous perdre dans l’éventail de toutes les méthodes pro­po­sées pour perdre et main­te­nir votre poids. C’est jus­te­ment pour cette rai­son qu’il faut prendre ren­dez-vous avec un dié­té­ti­cien ou un méde­cin nutri­tion­niste. L’un ou l’autre pour­ra vous pro­po­ser une méthode adap­tée à vos besoins.

2/ Éviter de sauter de repas

Lorsque vous par­ve­nez à éta­blir un bon régime, il est cru­cial de gar­der de bonnes habi­tudes. Il faut évi­ter de sau­ter des repas. L’idéal est de pré­voir 3 repas : petit-déjeu­ner, déjeu­ner et dîner.

3/ Trouver des portions adaptées pour maintenir le poids

Pour main­te­nir son poids stable, il faut res­pec­ter des por­tions dans l’alimentation :

  • Viande ou équi­valent : 2 por­tions dans la journée ;
  • Pro­duits lai­tiers : 3 por­tions dans la journée ;
  • Légumes frais (de sai­son, sur­ge­lée ou de conserve) : à pré­voir à cha­cun des repas prin­ci­paux à volon­té, en plat de légumes cuits ;
  • Fruits frais : 2 por­tions par la journée ;
  • Fécu­lents et pro­duits céréa­liers : 1 por­tion à cha­cun des repas principaux.

4/ Avoir une alimentation variée

Le main­tien d’un poids stable néces­site que vous man­giez de façon équi­li­brée en variant votre ali­men­ta­tion. Il faut sur­tout évi­ter l’abus des mets sucrés ou trop riches en lipides.

5/ Manger des fruits et légumes

Il faut apprendre à consom­mer des ali­ments à faible den­si­té calo­rique. Les fruits et les légumes en sont les plus recom­man­dés pour avoir une san­té parfaite.

6/ S’autoriser des plaisirs

Man­ger d’une manière équi­li­brée n’exclut pas la notion du plai­sir. Vous pou­vez de temps à autre vous auto­ri­ser un goû­ter plai­sir ou un fast-food.

7/ S’entendre en famille pour un régime

Sans mettre toute la famille en régime, il est bon d’adopter des règles d’une ali­men­ta­tion équi­li­brée et variée dans votre foyer.

8/ Savoir gérer les écarts

Avez-vous man­gé un repas copieux ce midi ? Alors, optez pour un repas plus léger le soir.

9/ Faire régulièrement du sport

On ne peut le dire assez. Une bonne pra­tique ali­men­taire doit s’accompagner d’une acti­vi­té phy­sique régulière.

10/ Trouver la solution au quotidien

Il est impor­tant de trou­ver une solu­tion qui vous per­met de res­ter mince sur le long terme. Lorsque vous trou­vez la solu­tion qui répond à vos besoins, il faut la garder.

En géné­ral, votre IMC, à l’exception d’autres fac­teurs, dépend de votre ali­men­ta­tion. Savoir le cal­cu­ler est un grand atout pour connaitre votre caté­go­rie. Bien qu’il pré­sente des limites, l’indice de masse cor­po­relle demeure un outil de réfé­rence de l’OMS.

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