HomeBien-êtreLes dyspnées aiguës de l’enfant : causes, symptômes et diagnostic

Les dyspnées aiguës de l’enfant : causes, symptômes et diagnostic

Publié le

spot_img

La dif­fi­cul­té à res­pi­rer est un signe qui peut être pré­sent dans de nom­breuses mala­dies, notam­ment, la dys­pnée. Il s’agit d’une affec­tion cou­rante liée à la res­pi­ra­tion qui sur­vient aus­si bien chez l’adulte que chez l’enfant. Les patients peuvent la décrire comme un étouf­fe­ment, un essouf­fle­ment ou une sen­sa­tion d’oppression dans la poitrine.

Chez les enfants, cette mala­die peut se pré­sen­ter sous sa forme aiguë. Dès l’apparition du pre­mier symp­tôme, il est néces­saire de contac­ter en urgence leur pédiatre. Causes, symp­tômes et diag­nos­tic, voi­ci donc tout ce qu’il faut savoir pour mieux recon­naître les dys­pnées aiguës chez l’enfant.

Dyspnées aiguës de l’enfant : présentation

La dys­pnée est le terme médi­cal uti­li­sé pour décrire tout trouble qui rend dif­fi­cile la res­pi­ra­tion d’une per­sonne. Il convient de noter qu’elle n’est pas dou­lou­reuse, bien qu’elle soit sou­vent accom­pa­gnée d’une sen­sa­tion de dou­leur tho­ra­cique. En revanche, il s’agit d’une per­cep­tion désa­gréable et dou­lou­reuse d’un malaise au cours duquel l’action de res­pi­rer est altérée.

La dys­pnée consti­tue ain­si avant tout un symp­tôme, ou une sen­sa­tion sub­jec­tive rap­por­tée par l’enfant. Lorsqu’il est un peu plus âgé, il peut sou­vent uti­li­ser des termes tels que « essouf­fle­ment », « manque de souffle » ou « étouffement ».

Dans d’autres situa­tions, il peut s’agir d’un signe, ou d’une mani­fes­ta­tion objec­tive notée par le méde­cin. Par exemple, c’est le cas lorsqu’elle sur­vient avec une aug­men­ta­tion de la fré­quence res­pi­ra­toire (tachy­pnée) ou une aug­men­ta­tion du volume d’air dépla­cé (hyper­pnée).

Quant à la dys­pnée aiguë, elle se pro­duit à la suite d’une aug­men­ta­tion du tra­vail res­pi­ra­toire. Dans ces condi­tions, les dif­fi­cul­tés res­pi­ra­toires sur­viennent sou­dai­ne­ment chez l’enfant. Elle est sou­vent le symp­tôme car­di­nal des mala­dies des voies res­pi­ra­toires, en par­ti­cu­lier des poumons.

Dyspnées aiguës de l’enfant : mécanisme de survenue

L’acte de res­pi­rer est invo­lon­taire, c’est-à-dire qu’il ne dépend pas d’un effort men­tal. En fait, l’homme n’est sou­vent pas conscient qu’il res­pire comme pen­dant son som­meil. Cepen­dant, cet acte peut être par­tiel­le­ment influen­cé par la volon­té grâce à l’utilisation des muscles sque­let­tiques tho­ra­ciques (muscles res­pi­ra­toires acces­soires). En effet, ils n’interviennent pas sou­vent pen­dant la res­pi­ra­tion nor­male et calme. Par contre, ils peuvent s’activer pour modi­fier le rythme et la pro­fon­deur de la res­pi­ra­tion.

La dyna­mique res­pi­ra­toire est donc un évé­ne­ment com­plexe qui implique dif­fé­rents organes et fonc­tions, en équi­libre constant les uns avec les autres. La dys­pnée peut se déve­lop­per en rai­son de l’altération de cette dyna­mique, due à quelques fac­teurs, notamment :

  • La concen­tra­tion de l’oxygène dans l’atmosphère,
  • Les glo­bules rouges,
  • Le dia­phragme,
  • Les centres res­pi­ra­toires responsables,
  • Le sys­tème res­pi­ra­toire et cardiovasculaire.

Concentration de l’oxygène dans l’atmosphère

Des condi­tions de faible concen­tra­tion d’oxygène peuvent se pro­duire à haute alti­tude. Elles peuvent, par exemple, avoir lieu dans les mon­tagnes à plus de 3000 mètres, ou dans des pièces fer­mées. Les pol­luants envi­ron­ne­men­taux peuvent tout aus­si rendre la res­pi­ra­tion dif­fi­cile pour les per­sonnes ayant des dif­fi­cul­tés respiratoires.

Il s’agit entre autres des pro­duits chi­miques, des éma­na­tions, de la pous­sière et de la fumée. Pour les enfants atteints d’asthme, l’exposition à des aller­gènes tels que le pol­len ou les moi­sis­sures peut déclen­cher des épi­sodes d’essoufflement.

Globules rouges ou diaphragme

Les glo­bules rouges inter­viennent dans le méca­nisme d’apparition de cette mala­die. En effet, cela est pos­sible dans le cas où on constate une dimi­nu­tion du nombre de glo­bules rouges cir­cu­lants, comme dans cer­taines formes d’anémie. La dys­pnée peut alors se déve­lop­per sur­tout après l’effort.

Par ailleurs, le dia­phragme peut être un fac­teur majeur. Il consti­tue le muscle le plus impli­qué dans la res­pi­ra­tion. Il peut être para­ly­sé, rom­pu ou impli­qué dans des troubles neuromusculaires.

Centres respiratoires responsables du contrôle nerveux de la respiration

Ils sont pré­sents aus­si bien dans le bulbe rachi­dien que dans le pon­tine (deux struc­tures ana­to­miques situées à la base du cer­veau). Leurs fonc­tions sont modi­fiées par les valeurs chi­miques du sang, par exemple, en cas d’acidose méta­bo­lique. Ils peuvent s’endommager après une frac­ture des ver­tèbres cer­vi­cales, ce qui entraîne un arrêt respiratoire.

Système respiratoire et système cardiovasculaire

Le sys­tème res­pi­ra­toire com­prend les voies aériennes supé­rieures, l’arbre bron­chique, les pou­mons et la plèvre. Toute per­tur­ba­tion de ces struc­tures entraîne une dys­pnée. En outre, le sys­tème car­dio­vas­cu­laire est aus­si un fac­teur considérable.

Dans ces condi­tions, il est impor­tant d’assurer une per­fu­sion san­guine adé­quate et de main­te­nir la capa­ci­té de pom­page du cœur. Lorsque ces deux états dis­pa­raissent, comme dans le cas d’une insuf­fi­sance car­diaque, l’un des pre­miers symp­tômes à appa­raître est la dyspnée.

Dyspnées aiguës de l’enfant : causes

Les dys­pnées aiguës de l’enfant

Outre les fac­teurs impli­qués dans le méca­nisme de l’apparition de la dys­pnée, cette der­nière peut sur­ve­nir à la suite de nom­breuses affec­tions. Elle est consi­dé­rée comme patho­lo­gique lorsqu’elle sur­vient après des acti­vi­tés quo­ti­diennes nor­males comme mon­ter des esca­liers ou se repo­ser. Voi­ci les mala­dies asso­ciées à la dys­pnée aiguë chez les nour­ris­sons et les enfants plus âgés.

Obstruction des voies respiratoires

L’obstruction des voies res­pi­ra­toires peut résulter :

  • D’une inha­la­tion d’un corps étran­ger : cela est typique chez les enfants qui mettent sou­vent des objets de toutes sortes dans leur bouche, ou chez ceux qui ont des dif­fi­cul­tés de déglu­ti­tion (dys­pha­gie).
  • D’un œdème de la glotte : cette cause mécon­nue aug­mente l’épaisseur des parois glottiques.
  • Des réac­tions aller­giques et le choc anaphylactique.

Des mala­dies infec­tieuses telles que l’épiglottite infan­tile cau­sée par Hae­mo­phi­lus influen­zae ou dans le croup.

Bronchopneumopathie chronique obstructive

La bron­cho­pneu­mo­pa­thie chro­nique obs­truc­tive est une mala­die due à des anté­cé­dents d’exposition à la fumée de ciga­rette. On recom­mande donc aux parents de ne pas fumer de la ciga­rette auprès de leurs enfants.

Pneumonie

Par ailleurs, la pneu­mo­nie est une cause fré­quente de la dys­pnée chez les enfants. Elle sur­vient géné­ra­le­ment en rai­son d’agents infec­tieux de nature virale, bac­té­rienne et par­fois fon­gique. Elle s’accompagne tou­jours d’une aug­men­ta­tion de la fré­quence res­pi­ra­toire (tachy­pnée).

Asthme ou insuffisance cardiaque congestive

L’asthme est une mala­die due à la constric­tion des muscles bron­chiques sur une base ato­pique. Il s’agit aus­si d’une forme d’allergie à cer­tains allergènes.

En outre, l’insuffisance car­diaque conges­tive peut être une cause de la dys­pnée aiguë. Elle se carac­té­rise par une acti­vi­té de pom­page insuf­fi­sante du cœur. Cela entraîne une stag­na­tion du sang dans la cir­cu­la­tion pul­mo­naire et une alté­ra­tion des échanges gazeux alvéolaires.

Embolie pulmonaire et troubles neuromusculaires

L’embolie pul­mo­naire est une affec­tion grave due à la for­ma­tion d’un throm­bus dans le lit vei­neux. Ce der­nier se déloge et s’embolise dans la cir­cu­la­tion pul­mo­naire, alté­rant sa perfusion.

Les patients qui sont ali­tés pen­dant une longue période sont des per­sonnes à risque. Par ailleurs, les troubles neu­ro­mus­cu­laires peuvent com­pro­mettre la fonc­tion­na­li­té du dia­phragme et des muscles respiratoires.

Autres causes

Plu­sieurs autres causes peuvent pro­vo­quer la dys­pnée chez l’enfant. On note :

  • Aller­gie respiratoire,
  • Syn­drome d’apnée obs­truc­tive du sommeil,
  • Frac­ture des côtes,
  • Emphy­sème,
  • Bron­chite,
  • Bron­chio­lite,
  • Infarc­tus pulmonaire,
  • Can­cer du poumon,
  • Tuber­cu­lose,
  • Muco­vis­ci­dose,
  • Mala­die pul­mo­naire obs­truc­tive chro­nique (MPOC).

Outre ces causes, la dys­pnée peut sur­ve­nir en rai­son d’une anxié­té ou d’un stress dû à un trau­ma­tisme. D’autres patho­lo­gies sont éga­le­ment sus­cep­tibles de pro­vo­quer une dys­pnée : into­lé­rance ali­men­taire, ané­mie, ané­vrisme aor­tique, angine de poi­trine, de bron­chite, etc.

Dyspnées aiguës de l’enfant : caractéristiques

La dys­pnée peut être décrite avec cer­taines carac­té­ris­tiques qui peuvent faci­li­ter la recon­nais­sance de la cause déclen­chante. Chez l’enfant, elle se carac­té­rise par une appa­ri­tion sou­daine. Il est impor­tant d’évaluer la phase de la res­pi­ra­tion qui est la plus compromise :

  • Dys­pnée ins­pi­ra­toire : la phase d’entrée de l’air est alté­rée. Elle est donc pro­lon­gée et peut s’accompagner de bruits, comme dans l’asphyxie par corps étranger.
  • Dys­pnée expi­ra­toire : le patient a des dif­fi­cul­tés à expul­ser l’air, ce qui est typique d’une crise d’asthme.
  • Dys­pnée mixte : les deux phases sont impliquées.

En outre, il est éga­le­ment impor­tant de consi­dé­rer le mode de déclen­che­ment de la dys­pnée chez l’enfant, comme celle for­tuite. Elle sur­vient brus­que­ment en épi­sodes res­pi­ra­toires nor­maux entre­cou­pés, comme cela peut se pro­duire dans l’asthme bronchique.

En ce qui concerne la dys­pnée due à l’effort, elle appa­rait lorsque la demande accrue d’oxygène cau­sée par l’effort phy­sique ne peut être satis­faite. Il existe aus­si une dys­pnée de repos ou une dys­pnée conti­nue, qui sur­vient en cas de mala­die car­diaque ou pulmonaire.

Enfin, on dis­tingue la dys­pnée de pres­sion qui sur­vient lorsque le patient adopte une cer­taine posi­tion du corps, notam­ment en pré­sence d’un abcès pul­mo­naire. Le fait de s’allonger sur le côté peut entraî­ner le pas­sage de matières puru­lentes dans la lumière d’une bronche, qui s’obstrue.

Dyspnées aiguës de l’enfant : manifestations

Les dys­pnées aiguës de l’enfant

Les signes de la dys­pnée aiguë chez l’enfant sont rela­tifs à la mala­die res­pon­sable. Ils peuvent donc varier d’une patho­lo­gie à une autre. Tou­te­fois, on peut noter des mani­fes­ta­tions cou­rantes générales.

Manifestations générales courantes

Elles com­prennent :

  • Fré­quence res­pi­ra­toire : une aug­men­ta­tion du nombre de res­pi­ra­tions par minute peut indi­quer que l’enfant a des dif­fi­cul­tés à res­pi­rer ou manque d’oxygène.
  • Fré­quence car­diaque éle­vée : un faible niveau d’oxygène peut entraî­ner une aug­men­ta­tion de la fré­quence cardiaque.
  • Cli­gne­ment nasal : si les narines cli­gnotent lors de l’inspiration, cela peut indi­quer que l’adolescent a du mal à respirer.
  • Rétrac­tion : la poi­trine semble s’enfoncer sous le cou et/ou le ster­num à chaque res­pi­ra­tion (une façon d’essayer de faire entrer plus d’air dans les poumons).
  • Fatigue : un faible taux d’oxygène peut rendre l’enfant fati­gué. C’est un signe de fatigue respiratoire.

Dans la plu­part des cas, on remarque des chan­ge­ments de cou­leur chez le patient. On peut aus­si obser­ver une cou­leur bleuâtre autour de la bouche, à l’intérieur des lèvres ou sur les ongles.

En outre, la cou­leur de la peau peut paraître pâle ou grise. Le plus sou­vent, cette zone devient froide ou moite.

Symptômes associés aux maladies

Il est très impor­tant d’identifier les symp­tômes accom­pa­gnant la dys­pnée en fonc­tion des patho­lo­gies. Ain­si, il sera plus facile de cla­ri­fier le tableau cli­nique du patient afin de s’orienter entre dif­fé­rentes pos­si­bi­li­tés diagnostiques.

Obstruction des voies respiratoires

Dans les formes de dys­pnées cau­sées par l’obstruction des voies res­pi­ra­toires, on observe géné­ra­le­ment les élé­ments suivants :

  • Stri­dor : Bruit enten­du dans les voies aériennes supé­rieures lors de l’inspiration. Le son est carac­té­ris­tique, aigu et étouffant.
  • Pré­sence d’indentations dans les fosses jugu­laires et supra­cla­vi­cu­laires dues à l’utilisation de muscles res­pi­ra­toires accessoires.
  • Cya­nose labiale : appa­ri­tion d’une colo­ra­tion bleu­tée de la muqueuse buccale.

De plus, on entend un gro­gne­ment chaque fois que l’enfant expire. C’est la façon dont le corps essaie de gar­der l’air dans les pou­mons pour qu’ils res­tent ouverts. Un son aigu ou sif­fle­ment musi­cal à chaque res­pi­ra­tion peut aus­si être un signe de la dys­pnée. Cela indique que les voies res­pi­ra­toires sont obs­truées (plus étroites), ce qui rend la res­pi­ra­tion difficile.

Pneumonie

En cas de pneu­mo­nie, l’enfant pré­sente les signes suivants :

  • Fatigue et asthénie,
  • Manque d’appétit,
  • Toux (avec du pus, sèche et irritante),
  • Tachy­pnée, qui est une aug­men­ta­tion de la fré­quence respiratoire,
  • Dou­leur tho­ra­cique en cas d’atteinte pleurale.

Géné­ra­le­ment la fièvre est le pre­mier signe typique. Elle peut être très éle­vée dans les formes bac­té­riennes, ou faible dans les formes interstitielles.

Formes psychogènes et cardiaques

Les formes psy­cho­gènes de la dys­pnée chez l’enfant se pré­sentent aus­si sou­vent avec :

  • Une sen­sa­tion de boule dans la gorge,
  • Un sen­ti­ment de mort imminente,
  • Des four­mille­ments et des pares­thé­sies généralisées,
  • Des spasmes mus­cu­laires cau­sés par l’hyperventilation,

Dans les formes car­diaques ou cir­cu­la­toires, il est éga­le­ment fré­quent de détec­ter des signes suivants :

  • Chan­ge­ments de la pres­sion san­guine avec hypo­ten­sion ou hypertension,
  • Tachy­car­die (aug­men­ta­tion du rythme cardiaque),
  • Œdème géné­ra­li­sé,
  • Dou­leur tho­ra­cique sévère.

Par ailleurs, il est aus­si fré­quent d’observer un gon­fle­ment des membres infé­rieurs et une tur­ges­cence de la jugulaire.

Dyspnées aiguës chez l’enfant : diagnostic

La dys­pnée aiguë chez l’enfant est un symp­tôme non spé­ci­fique com­mun à de nom­breuses mala­dies. Le diag­nos­tic com­mence donc par une clas­si­fi­ca­tion géné­rale du symp­tôme grâce à un his­to­rique cli­nique précis.

Les pro­fes­sion­nels de san­té font une ana­lyse des symp­tômes asso­ciés et un exa­men phy­sique minu­tieux de l’enfant. Enfin, si néces­saire, le méde­cin pres­crit des exa­mens de labo­ra­toire et d’imagerie adap­tés à la mala­die sus­pec­tée d’être à l’origine de la dys­pnée.

Par­fois, des consul­ta­tions spé­cia­li­sées sup­plé­men­taires seront néces­saires pour par­ve­nir à un diag­nos­tic de la maladie.

Dans tous les cas, les spé­cia­listes effec­tue­ront une ana­mnèse. Cette der­nière consiste en la col­lecte de toutes les infor­ma­tions, nou­velles et sen­sa­tions qui peuvent aider le méde­cin à éta­blir un meilleur diag­nos­tic. Les ques­tions que le spé­cia­liste pour­rait poser aux parents de l’enfant pour com­prendre l’origine de la dys­pnée sont :

  • Quand et com­ment la dys­pnée est appa­rue, de manière aiguë ou plus pro­gres­sive dans le temps ?
  • Quels sont les anté­cé­dents de tabagisme ?
  • Quelles sont les mala­dies dont l’enfant a souf­fert récem­ment ou dans le passé ?
  • Quels sont les anté­cé­dents fami­liaux de mala­dies res­pi­ra­toires ou pulmonaires ?

Par ailleurs, l’examen phy­sique ne se limite pas à l’aspect pul­mo­naire, mais doit être géné­ral, car la dys­pnée aiguë peut être un signe de mala­die extra pulmonaire.

 

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...