HomeSantéHYPEROXALURIE PRIMITIVE : Causes, Symptômes et Traitements

HYPEROXALURIE PRIMITIVE : Causes, Symptômes et Traitements

Publié le

spot_img

Très sou­vent à l’origine de cal­culs rénaux chez l’Homme, l’hyperoxalurie pri­mi­tive est une patho­lo­gie géné­tique rare. Lorsque celle-ci appa­raît, elle doit faire l’objet d’un diag­nos­tic géné­tique pré­coce. En effet, le diag­nos­tic pré­coce est néces­saire, car il pour­ra per­mettre une prise en charge sys­té­ma­tique de la mala­die. Ain­si, les com­pli­ca­tions de la mala­die, en par­ti­cu­lier la des­truc­tion des reins, pour­ra être retar­dée. Quelles sont les mani­fes­ta­tions de l’hyper­oxa­lu­rie pri­mi­tive ? Quels sont les fac­teurs à l’origine de cette mala­die et com­ment la trai­ter efficacement ?

Définition de l’hyperoxalurie primitive

L’hyperoxalurie pri­mi­tive désigne un trouble du méta­bo­lisme du glyoxy­late. Elle se carac­té­rise par une sur­pro­duc­tion d’oxalate, laquelle est à l’origine d’une insuf­fi­sance rénale, de cal­culs rénaux, d’une oxa­lose sys­té­mique et d’une néphro­cal­ci­nose.

En effet, l’oxalate est un déchet issu du méta­bo­lisme hépa­tique. Une fois for­mé, il est éva­cué de l’organisme par le biais des reins. Dans les urines, il s’associe au cal­cium, for­mant ain­si l’oxalate de cal­cium. Lorsque ce der­nier est éli­mi­né exces­si­ve­ment dans l’urine, on parle alors d’hyperoxalurie. À par­tir du moment où l’évacuation exces­sive de l’oxalate de cal­cium pré­cède un phé­no­mène d’ordre géné­tique, elle est dite pri­mi­tive, d’où l’appellation hyper­oxa­lu­rie pri­mi­tive.

Par ailleurs, l’hyperoxalurie pri­mi­tive est sub­di­vi­sée en plu­sieurs types.

Types d’hyperoxalurie primitive

Jusqu’à preuve du contraire, on dis­tingue exac­te­ment trois types d’hyperoxalurie pri­mi­tive. Il s’agit de :

  • L’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 1 ;
  • L’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 2 ;
  • L’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 3.

En effet, de toutes ces formes, l’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 1 est non seule­ment la plus cou­rante, mais aus­si la plus sévère. Elle peut occa­sion­ner une nécrose des reins et une oxa­lose (accu­mu­la­tion d’oxalate dans tous les organes et tis­sus sains).

Prévalence de l’hyperoxalurie primitive

L’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 1 est certes, la plus fré­quente forme d’hyperoxalurie pri­mi­tive, mais elle demeure une patho­lo­gie rare. En France, par exemple, on estime qu’elle touche 01 indi­vi­du sur 110000 nais­sances. Actuel­le­ment, le nombre de per­sonnes atteintes par cette mala­die, dans ce pays de l’Europe, est éva­lué à 150 approxi­ma­ti­ve­ment. On la retrouve un peu plus dans les pays où le mariage consan­guin est cou­rant. Dans ces régions, elle est d’ailleurs l’une des prin­ci­pales causes d’insuffisance rénale chez les plus petits.

Lors­qu’un indi­vi­du, en par­ti­cu­lier un enfant, est por­teur d’une lithiase uri­naire, il faut direc­te­ment sus­pec­ter l’hyperoxalurie pri­mi­tive, car celle-ci appa­raît le plus sou­vent, très tôt, autre­ment dit, dès le début de la vie.

Par­lant des hyper­oxa­lu­ries de type 2 et 3, elles sont beau­coup plus rares et leur pré­va­lence n’a pas réel­le­ment encore été estimée.

Causes et modes de transmission de l’hyperoxalurie primitive

Tous les types d’hyperoxalurie pri­mi­tive ont un mode de trans­mis­sion auto­so­mique réces­sif. Tou­te­fois, les gènes impli­qués sont dif­fé­rents et sont au nombre de trois. Cepen­dant, l’hyperoxalurie pri­mi­tive ne sur­vient qu’à par­tir du moment où les deux exem­plaires du gène impli­qué ont en leur pos­ses­sion des variants patho­gènes, venant res­pec­ti­ve­ment du père et de la mère. Étant don­né que ces der­niers portent cha­cun un variant patho­gène, alors ils ne contrac­te­ront pas l’affection.

La sur­ve­nue d’une hyper­oxa­lu­rie pri­mi­tive de type 1 est liée au défi­cit d’alanine glyoxy­la­tea­mi­no­tran­fé­rase. Il s’agit d’une enzyme hépa­tique, dont l’absence entrave le pro­ces­sus de trans­for­ma­tion du glyoxy­late en gly­cine, condui­sant ain­si à une sur­pro­duc­tion d’oxalate de cal­cium dans les urines. À ce niveau, il devient inso­luble et entraîne la for­ma­tion de cal­culs au niveau des voies uri­naires, les­quels viennent se poser dans les reins, sous forme de cris­taux. Par ailleurs, lorsque les reins ne par­viennent plus à assu­rer leur fonc­tion d’élimination, ces cris­taux vont se poser au niveau des autres organes et tis­sus, entraî­nant donc une oxa­lose.

L’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 2 quant à elle, est pro­vo­quée par un manque de glyoxy­late-hydroxy pyru­vate réduc­tase. Elle peut occa­sion­ner une oxa­lose ain­si qu’une insuf­fi­sance rénale. Enfin, la der­nière forme de cette mala­die est engen­drée par l’absence de l’enzyme hydroxy-2‑cétoglutarate aldo­lase. Elle peut conduire à des lithiases réci­di­vantes et à une insuf­fi­sance rénale.

Quelle que soit la forme d’hyperoxalurie pri­mi­tive, sa cause se loca­lise au niveau du foie, car c’est à ce niveau qu’est pro­duit l’oxalate, en excès.

Symptômes de l’hyperoxalurie primitive

Le plus sou­vent, cette patho­lo­gie hépa­tique se révèle pré­co­ce­ment. En effet, elle se mani­feste déjà avant l’âge de 5 ans chez plus de 45% des patients et avant la ving­taine, chez plus de 85% d’entre eux. De façon géné­rale, l’hyperoxalurie pri­mi­tive se tra­duit par :

  • Des dou­leurs abdo­mi­nales ou lom­baires (chez l’enfant, elles sont simi­laires à la colique néphré­tique) ;
  • Une lithiase rénale ;
  • La pré­sence de sang dans les urines (héma­tu­rie) ;
  • Une infec­tion uri­naire.

Lorsqu’un indi­vi­du souffre de cette mala­die, on retrouve dans ses voies uri­naires ou dans son tis­su rénal, un dépôt de cal­caire. Ce qui explique d’ailleurs la sur­ve­nue réci­di­vante des cal­culs.

Chez moins de 50% des patients atteints d’hyperoxalurie pri­mi­tive 1, l’affection se mani­feste, lors de sa pre­mière année d’apparition, par une insuf­fi­sance rénale, de forme infan­tile. À l’examen écho­gra­phique, ils ont les reins pra­ti­que­ment cal­ci­fiés : on parle de néphro­cal­ci­nose dif­fuse.

Par contre, l’apparition et l’évolution des symp­tômes de la mala­die, dif­fé­rent d’un indi­vi­du atteint à un autre, même si ces der­niers sont de la même famille.

Diagnostic de l’hyperoxalurie primitive

Les symp­tômes que mani­feste le patient sont signi­fi­ca­tifs à ce niveau, car ils per­mettent de déce­ler l’origine de la mala­die. D’abord, le méde­cin pro­cède à une inter­ven­tion uro­lo­gique, en vue d’analyser les cal­culs. Une telle ana­lyse doit se faire dans un labo­ra­toire de bio­chi­mie spé­cia­li­sé. Lorsque celle-ci révèle la pré­sence d’oxalate de cal­cium mono­hy­dra­té, alors une hyper­oxa­lu­rie pri­mi­tive est soupçonnée.

Si le patient ne pos­sède pas de cal­culs, le méde­cin effec­tue alors une cris­tal­lu­rie. Elle consiste à recher­cher la pré­sence de cris­taux dans les urines du patient. Cette recherche peut don­ner des résul­tats simi­laires à la pre­mière forme d’intervention, qui consiste à ana­ly­ser les cal­culs du patient.

Cepen­dant, la pré­sence de néphro­cal­ci­nose ou de lithiase, à l’échographie, doit pous­ser le méde­cin à réa­li­ser un dosage d’oxalurie sur l’échantillon d’urine pré­le­vé chez le patient. Ce dosage va ser­vir à étu­dier le rap­port d’évacuation de la créa­ti­nine et de l’oxalate. Chez l’adulte, lorsque l’excrétion quo­ti­dienne d’oxalate est supé­rieure à 0,5 mil­li­mole, alors il peut s’agir d’une hyper­oxa­lu­rie pri­mi­tive. Chez l’enfant, les normes en termes d’oxalurie varient selon l’âge. Tou­te­fois, si l’insuffisance rénale est à un stade très avan­cé, les dosages uri­naires ne pour­ront mal­heu­reu­se­ment pas être interprétés.

Pour confir­mer le diag­nos­tic de la mala­die, le méde­cin pro­cède ensuite à la recherche du gène à l’origine de la muta­tion patho­gène. Pour ce faire, il doit réa­li­ser un pré­lè­ve­ment san­guin. La confir­ma­tion du diag­nos­tic doit se faire dans un labo­ra­toire de bio­lo­gie molé­cu­laire. Ce diag­nos­tic géné­tique va éga­le­ment per­mettre de détec­ter l’existence d’individus asymp­to­ma­tiques se trou­vant dans la famille du patient.

Il arrive que, dans cer­tains cas excep­tion­nels, le variant patho­gène en cause ne soit pas iden­ti­fié. Dans ce cas, le méde­cin réa­lise une biop­sie du foie pour pré­le­ver des cel­lules hépa­tiques. Sur ces der­nières, il met en évi­dence les gènes AGT, GRHPR et HOGA. Par ailleurs, un tel exa­men est rare­ment indiqué.

Tou­te­fois, il est pos­sible de réa­li­ser un diag­nos­tic géné­tique pré­na­tal, avec le consen­te­ment des parents du futur nour­ris­son. Cette inter­ven­tion néces­site le pré­lè­ve­ment de vil­lo­si­tés cho­riales, lequel doit se faire entre la 10ème et la 12ème semaine de gros­sesse. L’examen n’est pos­sible que si le méde­cin note la pré­sence du gène AGTX dans la famille.

Organes atteints par l’hyperoxalurie primitive

Le carac­tère inso­luble de l’oxalate de cal­cium dans les liquides bio­lo­giques, entraîne la for­ma­tion de cris­taux, les­quels se posent aux alen­tours des tubules rénaux. Cela pro­voque une néphro­cal­ci­nose, qui est à l’origine de :

  • La des­truc­tion pro­gres­sive des reins ;
  • La for­ma­tion de cal­culs dans la ves­sie et les ure­tères ;
  • L’obstruction par­tielle, voire com­plète des voies uri­naires.

Lorsque l’insuffisance rénale est à un stade ter­mi­nal, les reins ont du mal à éli­mi­ner les déchets. Une telle situa­tion pro­voque une aug­men­ta­tion de l’oxalémie, entraî­nant ain­si le dépôt d’oxalate de cal­cium au niveau de la rétine, la moelle osseuse, la peau, des os, des artères, des arti­cu­la­tions et du cœur.

Évolution de l’hyperoxalurie primitive

L’évolution de cette mala­die hépa­tique est spé­ci­fique à cha­cune de ses dif­fé­rentes formes. Lorsqu’on prend le cas de l’hyperoxalurie pri­mi­tive de type 1, elle peut occa­sion­ner une insuf­fi­sance rénale sévère ain­si qu’une des­truc­tion iné­luc­table des reins, en absence de prise en charge adaptée.

Aus­si, les organes qui sont atteints par la patho­lo­gie, notam­ment le cœur, les os, la rétine, la peau ain­si que les artères, sont expo­sés à cer­taines com­pli­ca­tions. Par exemple, au niveau du cœur, le patient est assu­jet­ti au déve­lop­pe­ment d’un trouble du rythme car­diaque.  C’est pour cette rai­son que la prise en charge pré­coce de la mala­die est nécessaire.

Par­lant des deux autres types d’hyperoxalurie pri­mi­tive, leurs com­pli­ca­tions sont habi­tuel­le­ment moins sévères et elles ont une évo­lu­tion plus ou moins lente.

Traitement de l’hyperoxalurie primitive

Dans le cas de l’hyperoxalurie pri­mi­tive, le patient peut béné­fi­cier d’une diver­si­té de trai­te­ment, notam­ment un trai­te­ment pré­ven­tif, un trai­te­ment uro­lo­gique et une trans­plan­ta­tion com­bi­née foie-rein.

Traitement préventif

La prise en charge pré­ven­tive vise à pré­ser­ver le patient des com­pli­ca­tions de cette mala­die hépa­tique. Pour ce faire, il fau­dra inter­ve­nir pré­co­ce­ment, afin d’empêcher le dépôt de cris­taux d’oxalate de sodium dans les reins. Cepen­dant, le méde­cin devra au préa­lable échan­ger avec le patient sur les dif­fé­rentes mesures thé­ra­peu­tiques envisageables.

L’option la plus fiable pour réduire la pro­duc­tion d’oxalate consiste à faire usage de la vita­mine B6. En effet, cette der­nière inter­vient comme un cofac­teur de l’enzyme en manque. Dans cer­tains cas où l’on note la pré­sence de l’enzyme, la vita­mine B6 va inten­si­fier l’activité de cette der­nière et réduire consi­dé­ra­ble­ment la sécré­tion d’oxalate. Chez moins de 50% des patients, l’usage de cette vita­mine a contri­bué à la baisse de plus de 30% du taux d’oxalate, en seule­ment un mois.

Une autre forme de prise en charge consiste à admi­nis­trer des bac­té­ries au patient, en par­ti­cu­lier les oxa­lo­bac­ter­fo­mi­genes. Les­quelles seront char­gées d’éliminer le sur­plus d’oxalate, au niveau de l’intestin. Par ailleurs, il n’est pas cer­tain que ce trai­te­ment soit si effi­cace, en rai­son de l’hyperproduction d’oxalate. Néan­moins, il peut être uti­li­sé en com­plé­ment de l’usage de la vita­mine B6.

Il est aus­si conseillé aux patients de suf­fi­sam­ment s’hydrater, afin de per­mettre une dilu­tion maxi­male de l’urine. Tou­te­fois, cette option n’est envi­sa­geable que si les reins assurent tou­jours effi­ca­ce­ment leur fonc­tion d’élimination. La quan­ti­té jour­na­lière d’eau à consom­mer est de 4 litres. Ain­si, l’urine sera per­ma­nem­ment et suf­fi­sam­ment diluée. Aus­si, durant le sport ou lorsqu’il fait exces­si­ve­ment chaud, la prise de bois­sons peut être utile. Il fau­drait ajou­ter qu’un arrêt de l’hyperhydratation peut occa­sion­ner l’apparition brusque d’oxalate dans les reins. Outre la voie orale, l’apport en eau peut se faire par voie vei­neuse.

Traitement urologique

Dans cer­tains cas, le trai­te­ment médi­cal seul n’est pas suf­fi­sant pour trai­ter les cal­culs déjà for­més, d’où l’importance du trai­te­ment uro­lo­gique. Ce der­nier doit être réa­li­sé par un expert uro­logue. Celui-ci devra pri­vi­lé­gier un trai­te­ment endo­sco­pique. Cepen­dant, la pra­tique d’une chi­rur­gie ouverte et d’une litho­trie extracor­po­relle est à proscrire.

Transplantation combinée foie-rein

Au fur et à mesure qu’évolue l’insuffisance rénale, cette double trans­plan­ta­tion peut être néces­saire. Elle va empê­cher une atteinte extra-rénale de l’oxalose sys­té­mique. C’est un trai­te­ment qui exige la prise d’un immu­no­sup­pres­seur anti­re­jet. Ce der­nier sera uti­li­sé pour toute la vie.

Une double trans­plan­ta­tion peut être effec­tuée avec les organes d’un don­neur décé­dé. En pre­mier lieu, la greffe de foie sera réa­li­sée. Elle doit être pré­cé­dée d’une hépa­tec­to­mie com­plète. Celle-ci va per­mettre une éli­mi­na­tion de l’excès d’oxalate. Ensuite, la greffe rénale pour­ra être pra­ti­quée, à condi­tion que le stock d’oxalate soit éli­mi­né. Cette forme de prise en charge néces­site la par­ti­ci­pa­tion et l’intervention d’une équipe mul­ti­dis­ci­pli­naire hau­te­ment qua­li­fiée. La trans­plan­ta­tion com­bi­née foie-rein est réa­li­sable chez l’enfant. En effet, ses résul­tats sont encourageants.

Surveillance de l’hyperoxalurie primitive

Un sui­vi du trai­te­ment pré­ven­tif doit être réa­li­sé. Son impor­tance varie selon plu­sieurs cri­tères, notam­ment l’âge du patient, la gra­vi­té de la mala­die et son évo­lu­tion. La sur­veillance doit prendre en compte :

  • Les apports hydriques ;
  • La fonc­tion rénale ;
  • La dilu­tion des urines ;
  • La diu­rèse.

La radio­gra­phie des voies uri­naires, l’échographie et cer­tains exa­mens ocu­laires et car­diaques sont néces­saires pour appré­cier l’absence de pro­gres­sion des dépôts d’oxalate. Pour cela, le trai­te­ment pré­ven­tif doit être réa­li­sé à la perfection.

En effet, lorsqu’il est bien réa­li­sé, il empêche le dépôt d’oxalate dans les reins du patient trai­té pré­co­ce­ment, et ralen­tit l’évolution des dépôts chez ceux trai­tés tar­di­ve­ment. Il est donc d’une grande uti­li­té. C’est son abou­tis­se­ment qui don­ne­ra lieu à la sur­veillance de la maladie.

Derniers articles

Combien coûte vraiment un appareil auditif ?

Les problèmes de perte ou de réduction des capacités auditives constituent une cause fréquente...

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...

Utilisation des morphiniques d’action rapide

Les morphiniques d’action rapide sont des médicaments utilisés pour un soulagement efficace de la...

Pour aller plus loin

Combien coûte vraiment un appareil auditif ?

Les problèmes de perte ou de réduction des capacités auditives constituent une cause fréquente...

Perte de cheveux : et si vous envisagiez la greffe ?

La greffe de cheveux est une technique chirurgicale qui a connu un énorme gain...

Comment se sevrer du tabac grâce à la cigarette électronique ?

Le nombre de fumeurs ne cesse de grimper. Pourtant, de nombreuses études continuent d’attester...