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Les lombalgies chroniques récidivantes : causes, symptômes, traitement

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La lom­bal­gie est un pro­blème de san­té majeur, notam­ment dans les pays indus­tria­li­sés. Plus de 80 % de la popu­la­tion géné­rale et 50 % de la popu­la­tion active ont souf­fert de lom­bal­gies à un moment ou à un autre de leur vie. Par­mi ces per­sonnes, seules les 15 à 20 % ont déci­dé de consul­ter leur méde­cin géné­ra­liste. En effet, ces dou­leurs peuvent s’avérer très dan­ge­reuses si elles ne sont pas trai­tées à temps. Il est donc impor­tant d’en connaître les causes, les éven­tuelles com­pli­ca­tions ain­si que le trai­te­ment nécessaire.

Lombalgies chroniques : présentation

La lom­bal­gie est une dou­leur qui se mani­feste dans la der­nière par­tie du dos. Elle se res­sent plus pré­ci­sé­ment dans la zone située entre la der­nière côte et le sacrum. De plus, il s’agit d’une sen­sa­tion dou­lou­reuse plus ou moins intense qui évo­lue avec la pos­ture et l’activité physique.

La dou­leur peut res­ter loca­li­sée dans la région lom­baire, se dif­fu­ser dans la jambe en cas de com­pres­sion ner­veuse. Elle peut aus­si être une dou­leur réfé­rée. C’est-à-dire qu’elle se mani­feste dans la zone sen­sible qui a la même inner­va­tion que la struc­ture du dos qui est douloureuse.

Par exemple, dans le syn­drome de la char­nière tho­ra­co­lom­baire, la lésion est située au niveau de T12-L1. La vic­time la res­sent donc dans la région fes­sière, l’aine et la face externe de la cuisse.

En ce qui concerne la lom­bal­gie chro­nique, elle est défi­nie comme une lom­bal­gie qui dure plus de 3 mois. Dans ce cas, il est néces­saire de s’assurer que la dou­leur n’est pas cau­sée par des frac­tures ou d’autres mala­dies. Celle-ci peut néan­moins être pro­gres­sive, ou elle peut par­fois s’intensifier sur une période de plu­sieurs jours ou semaines, puis s’atténuer à nou­veau. Par­fois, il peut être dif­fi­cile de déter­mi­ner la cause exacte de cette dou­leur chronique.

Lombalgies chroniques : mécanisme de déclenchement

Le bas du dos est une struc­ture com­plexe d’éléments inter­con­nec­tés et super­po­sés qui comprend :

  • Ten­dons, muscles et autres par­ties molles (liga­ments, fascia),
  • Racines ner­veuses et nerfs très sen­sibles allant du bas du dos aux jambes et aux pieds,
  • Petites arti­cu­la­tions complexes,
  • Disques inter­ver­té­braux avec leurs noyaux gélatineux.

Une irri­ta­tion ou un pro­blème dans l’une de ces struc­tures peut pro­vo­quer une lom­bal­gie. Cela peut alors déclen­cher une dou­leur qui irra­die ou est res­sen­tie dans d’autres par­ties du corps.

Elle se déve­loppe aus­si en rai­son de spasmes mus­cu­laires lom­baires qui en résultent et peut être sévère. Par exemple, de nom­breux syn­dromes pro­duisent des dou­leurs qui peuvent deve­nir chroniques.

Lombalgies chroniques : symptômes

Bien que la lom­bal­gie soit très cou­rante, ses symp­tômes et sa gra­vi­té peuvent varier consi­dé­ra­ble­ment. Par exemple, une simple fatigue des muscles du dos peut être suf­fi­sam­ment grave pour néces­si­ter une visite aux urgences. En revanche un disque dégé­né­ré peut ne pro­vo­quer qu’une légère gêne intermittente.

Premiers signes

La lom­bal­gie simple peut se mani­fes­ter par toute com­bi­nai­son des symp­tômes suivants :

  • Des dif­fi­cul­tés à se mou­voir qui peuvent être suf­fi­sam­ment graves pour empê­cher le patient de mar­cher ou de se tenir debout.
  • Une dou­leur géné­ra­le­ment sourde.
  • Des spasmes mus­cu­laires qui peuvent être graves.
  • Une zone loca­li­sée dou­lou­reuse à la palpation.
  • Une dou­leur qui s’aggrave lorsque la vic­time se pen­chant en arrière.
  • Des dou­leurs qui inter­rompent le sommeil.
  • Dou­leur sou­la­gée par la posi­tion assise, sur­tout en posi­tion allongée.

Par ailleurs, cette mala­die peut se mani­fes­ter comme une dou­leur qui n’irradie pas le long de la jambe. Celle-ci s’étend éga­le­ment à l’aine, à la fesse ou au haut de la cuisse. Elle des­cend rare­ment au niveau du genou.

Symptômes caractéristiques

Les symp­tômes de la lom­bal­gie chro­nique ou réci­di­vante peuvent inclure toute com­bi­nai­son des élé­ments suivants :

  • Dou­leur dor­sale légère et per­sis­tante, inter­rom­pue par des crises intenses ou de spasmes mus­cu­laires qui durent de quelques jours à plu­sieurs mois.
  • Une dou­leur chro­nique qui peut aller de l’inconfort à la gravité.
  • Dou­leur qui s’aggrave en posi­tion assise.
  • Mar­cher ou même cou­rir peut être plus agréable que de res­ter assis ou debout.
  • Dou­leur qui est sou­la­gée par des chan­ge­ments fré­quents de position.
  • Dou­leur qui irra­die vers les fesses et l’arrière des cuisses (éga­le­ment appe­lée scia­tique ou dou­leur radi­cu­laire).
  • Sen­sa­tion de fatigue dans les jambes et éven­tuel­le­ment engour­dis­se­ment ou pico­te­ment, sur­tout après la marche.

Par ailleurs, on note géné­ra­le­ment une dou­leur plus pro­non­cée le matin et en fin de journée.

Cer­tains patients res­sentent une lom­bal­gie sourde, conti­nue ou inter­mit­tente, qui s’aggrave après une acti­vi­té phy­sique. Ils ont une inca­pa­ci­té de mar­cher sur une longue dis­tance sans dou­leur dans les jambes.

En outre, les lom­bal­gies réci­di­vantes pro­voquent une fai­blesse, un engour­dis­se­ment et des pico­te­ments irra­diant du bas du dos vers les fesses et les jambes. Une dou­leur dor­sale d’apparition sou­daine ou len­te­ment pro­gres­sive peut se manifester.

Lombalgies chroniques : causes spécifiques

Les efforts phy­siques et les mau­vaises pos­tures sont capables de sur­char­ger la struc­ture du dos et de la bles­ser. La cause la plus fré­quente de la lom­bal­gie réci­di­vante est la contrac­tion mus­cu­laire due à l’effort.

Elle s’appelle éga­le­ment lom­bal­gie méca­nique et se carac­té­rise par une dou­leur intense et bien loca­li­sée qui est décrite comme une sen­sa­tion de pres­sion. Celle-ci peut être de nature méca­nique et est géné­ra­le­ment aggra­vée par le mou­ve­ment et l’effort et sou­la­gée par le repos. Tou­te­fois, plu­sieurs fac­teurs peuvent pro­vo­quer une lom­bal­gie chro­nique.

Entorse d’un muscle, d’un ligament ou d’un fascia

L’une des causes les plus cou­rantes de la lom­bal­gie est l’entorse d’un liga­ment, d’un fas­cia ou d’un muscle du dos. Celle-ci est d’abord aiguë et devient chro­nique. En sou­le­vant un objet lourd ou en fai­sant un mou­ve­ment brusque, on peut éti­rer ou déchi­rer des muscles ou des ligaments.

Le degré de dou­leur d’une entorse lom­baire peut aller d’une gêne légère à une dou­leur sévère et inva­li­dante. Cela dépend du degré de l’entorse et le spasme des muscles lom­baires cau­sé par la blessure.

Hernie discale lombaire

On consi­dère la scia­tique comme un symp­tôme qui sur­vient lorsqu’une racine ner­veuse de la colonne lom­baire est com­pri­mée. Cela pro­voque des dou­leurs et des engour­dis­se­ments dans le grand nerf scia­tique. Il s’agit de celui qui ali­mente les nerfs des fesses, des jambes et des pieds. Chez les jeunes adultes, cette mala­die peut être cau­sée par diverses affec­tions. La plus cou­rante est une her­nie dis­cale lom­baire qui pro­voque une lom­bal­gie récidivante.

Discarthrose

L’arthrose du disque lom­baire peut tou­cher des patients dès l’âge de 20 ans. Lorsque les disques inter­ver­té­braux lom­baires com­mencent à se dété­rio­rer, le disque endom­ma­gé peut pro­vo­quer une inflam­ma­tion. Il peut aus­si pro­vo­quer une légère insta­bi­li­té du bas du dos, entraî­nant des dou­leurs, des spasmes mus­cu­laires et par­fois une scia­tique. L’arthrose du disque est une affec­tion cou­rante et est sou­vent trai­tée avec succès.

Spondylolisthésis isthmique

Le spon­dy­lo­lis­thé­sis par lyse isth­mique est défi­ni comme le glis­se­ment vers l’avant d’une ver­tèbre lom­baire sur l’espace inter­ver­té­bral infé­rieur adja­cent. Il est plus fré­quent au niveau L5-S1 et peut pro­vo­quer des dou­leurs lom­baires dues à l’instabilité.

Il peut aus­si être la cause des dou­leurs au niveau des racines ner­veuses dues à la com­pres­sion des racines ner­veuses. La frac­ture se pro­duit plu­sieurs fois dans l’enfance, mais ne pro­voque géné­ra­le­ment pas de dou­leurs impor­tantes avant l’âge adulte.

Arthrose de l’articulation des facettes

L’arthrose des arti­cu­la­tions des facettes est une mala­die dégé­né­ra­tive à évo­lu­tion lente. La dou­leur est cau­sée par la dégé­né­res­cence du car­ti­lage et de la cap­sule entre les arti­cu­la­tions des facettes de la colonne ver­té­brale. Au début, les symp­tômes peuvent n’être qu’intermittents, mais ils peuvent ensuite évo­luer vers une lom­bal­gie plus chronique.

Lombalgies chroniques : autres causes courantes

Les lom­bal­gies chro­niques récidivantes

Bien que moins fré­quentes que les affec­tions énu­mé­rées ci-des­sus, d’autres patho­lo­gies peuvent éga­le­ment pro­vo­quer des lom­bal­gies chro­niques. On peut notam­ment citer :

  • Le dys­fonc­tion­ne­ment de l’articulation sacro-iliaque
  • Le syn­drome du piriforme
  • L’infection
  • La tumeur de la moelle épinière
  • La fibro­my­al­gie
  • La spon­dy­lar­thrite ankylosante
  • La dou­leur au coc­cyx (Coc­cy­dy­nia).

Par le pas­sé, on pen­sait que les lom­bal­gies étaient uni­que­ment dues à des ten­sions mus­cu­laires ou des troubles orga­niques. Le trai­te­ment du patient consis­tait en un repos et des analgésiques.

Si la dou­leur dis­pa­rais­sait, les pro­fes­sion­nels recom­man­daient une réduc­tion de l’activité phy­sique. Si elle per­sis­tait, ils pra­tiquent une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale était pra­ti­quée. Les pro­fes­sion­nels ont démon­tré que d’autres causes cou­rantes sont liées à l’existence de la lombalgie.

Envi­ron 90 % des cas ne pré­sentent aucun type de lésion ou de dom­mage struc­tu­rel démon­trable. Il s’agit plu­tôt d’une com­bi­nai­son de fac­teurs mus­cu­laires et psy­cho­so­ciaux qui génèrent un com­por­te­ment d’évitement, de la peur et une atro­phie mus­cu­laire. Ces situa­tions entraînent un cercle vicieux qui favo­rise la chro­ni­ci­té et le handicap.

Lombalgies chroniques : diagnostic

Le diag­nos­tic de la lom­bal­gie chro­nique repose prin­ci­pa­le­ment sur les symp­tômes. Les radio­gra­phies doivent être effec­tuées au plus tôt 4 semaines après le début de la dou­leur. Elles per­mettent d’écarter les fac­teurs à l’origine des lom­bal­gies, tels que le spon­dy­lo­lis­thé­sis, les tumeurs et les infec­tions. Dans la plu­part des cas, cepen­dant, aucune cause spé­ci­fique n’est trouvée.

L’imagerie par réso­nance magné­tique (IRM) est l’outil le plus utile pour diag­nos­ti­quer les dif­fé­rentes causes de la lom­bal­gie chro­nique. Tou­te­fois, c’est une tech­nique qui a ses limites et qui ne doit pas être uti­li­sée de façon sys­té­ma­tique. Elle doit être réa­li­sée en cas de scia­tique, de perte de force des jambes ou d’impossibilité de contrô­ler les sphinc­ters. Par ailleurs, l’IRM est béné­fique en cas de dou­leurs dor­sales qui ne s’améliorent pas avec le mou­ve­ment. C’est éga­le­ment le cas des dou­leurs qui réveillent les patients la nuit.

En revanche, la réa­li­sa­tion d’une IRM chez un patient souf­frant de lom­bal­gie chro­nique mul­ti­plie par 400 le risque d’intervention chi­rur­gi­cale. En effet, l’IRM montre sou­vent des signes que l’on pense être res­pon­sables de la dou­leur, mais qui ne le sont pas. Il est donc impor­tant de consul­ter un spé­cia­liste du dos qui pour­ra cor­ré­ler les images IRM avec les symptômes.

Lombalgies chroniques : traitement

Le trai­te­ment de la lom­bal­gie chro­nique doit être mul­ti­dis­ci­pli­naire et abor­dé sous dif­fé­rents angles, car plu­sieurs fac­teurs l’influencent. Il néces­site une approche psy­cho­lo­gique et une approche phy­sique. Dans ce der­nier cas, les spé­cia­listes inter­agissent avec l’exercice, qui est le pilier de base du trai­te­ment de la lom­bal­gie chro­nique. Ils incluent éga­le­ment les dif­fé­rents trai­te­ments de phy­sio­thé­ra­pie et d’ostéopathie sans oublier les trai­te­ments médi­ca­men­teux. Ain­si, ils uti­lisent les dif­fé­rents médi­ca­ments pour un trai­te­ment plus inva­sif des uni­tés de douleur.

Enfin, il est impor­tant de s’en remettre à un spé­cia­liste de la patho­lo­gie rachi­dienne. En effet, l’une des der­nières ten­dances dans le trai­te­ment des lom­bal­gies chro­niques est d’essayer de les sous-clas­ser. Il s’agit, par exemple, lom­bal­gie des facettes, lom­baire dis­co­gé­nique ou d’origine sacro-iliaque. Ain­si, ils peuvent mieux adap­ter les trai­te­ments les plus spé­ci­fiques à chaque type de dou­leur. Par ailleurs, la thé­ra­pie manuelle peut être béné­fique. Elle com­prend dif­fé­rents trai­te­ments effec­tués par les phy­sio­thé­ra­peutes avec leurs mains, dif­fé­rents types de mas­sage, des tech­niques d’étirement ou d’acupression. La thé­ra­pie manuelle est plus utile si elle est pra­ti­quée en asso­cia­tion avec d’autres traitements.

Thérapies psychologiques

Les thé­ra­pies cog­ni­ti­vo-com­por­te­men­tales uti­li­sées dans le trai­te­ment de la lom­bal­gie chro­nique devraient être menées par des psy­cho­logues cli­ni­ciens. Ils doivent sou­li­gner les ren­for­ce­ments posi­tifs que le patient tire de sa mala­die. De plus, il est néces­saire d’inclure les fac­teurs néga­tifs res­pon­sables du main­tien de la dou­leur. Par exemple, on peut citer la peur et les com­por­te­ments d’évitement de la douleur.

Prendre conscience de ces fac­teurs et de leur noci­vi­té per­met d’agir sur le com­por­te­ment du patient. Les études ont prou­vé sans aucun doute que les trai­te­ments psy­cho­lo­giques de la lom­bal­gie chro­nique sont efficaces.

Quelques exercices recommandés

En plus du trai­te­ment dans un centre spé­cia­li­sé, le patient peut tirer pro­fit de cer­tains exer­cices lors du trai­te­ment de la lom­bal­gie chronique.

Yoga

Le yoga est une acti­vi­té ori­gi­naire de l’Inde. Il intègre l’exercice phy­sique par l’exécution de pos­tures ou asa­nas avec le contrôle de la res­pi­ra­tion qui favo­rise la relaxa­tion men­tale. De nom­breuses per­sonnes souf­frant de lom­bal­gies chro­niques se tournent vers les centres de yoga à la recherche d’une amélioration.

Plu­sieurs études publiées montrent que la pra­tique du yoga amé­liore la dou­leur chez les per­sonnes souf­frant de lom­bal­gie chro­nique. Cette amé­lio­ra­tion est sta­tis­ti­que­ment signi­fi­ca­tive lorsqu’on com­pare les per­sonnes qui pra­tiquent le yoga à celles qui ne le font pas. Tou­te­fois, les études n’ont pas consta­té que la pra­tique du yoga est plus effi­cace que d’autres exer­cices béné­fiques pour contrô­ler le mal de dos.

Pilates

Les Pilates sont une série d’exercices déve­lop­pés par Joseph Pilates en 1920. Il s’agit d’exercices visant à aug­men­ter le tonus mus­cu­laire et la sou­plesse, en met­tant par­ti­cu­liè­re­ment l’accent sur les muscles du tronc. Le Pilates, comme le yoga, s’est avé­ré effi­cace pour réduire la dou­leur chez les patients souf­frant de lom­bal­gie chro­nique.

Natation

La nata­tion est l’un des sports les plus com­plets qui existent. Pen­dant la nata­tion, on ren­force les muscles du dos et du bas du dos grâce à un entraî­ne­ment aéro­bique qui peut être intense. L’avantage de la nata­tion est que tout le tra­vail est effec­tué dans un envi­ron­ne­ment sans impact. Ain­si, les bles­sures qui peuvent être cau­sées par ce sport sont beau­coup plus faibles.

Il n’y a pas vrai­ment de sport qui soit plus effi­cace qu’un autre pour réduire les dou­leurs chro­niques du dos. L’important est d’être régu­lier, et à l’aise avec le sport que l’on pratique.

 

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