HomeBien-êtreLupus érythémateux disséminé : causes, signes, traitement

Lupus érythémateux disséminé : causes, signes, traitement

Publié le

spot_img

Le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né (LED) est le type de lupus le plus com­mun. Le LED est une mala­die chro­nique auto-immune engen­drée par la somme de divers fac­teurs. Elle pro­voque une inflam­ma­tion géné­ra­li­sée et des lésions tis­su­laires dans plu­sieurs organes. Bien que cette mala­die demeure incu­rable, des médi­ca­ments et cer­tains chan­ge­ments de mode de vie peuvent aider à mieux le contrôler.

Lupus érythémateux disséminé : présentation

Le sys­tème immu­ni­taire lutte nor­ma­le­ment contre les bac­té­ries et les infec­tions dan­ge­reuses pour main­te­nir le corps en par­faite san­té. Dans le cas du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né, ce sys­tème immu­ni­taire se dérègle et se retourne contre les propres cel­lules de l’organisme. En effet, le sys­tème immu­ni­taire pro­duit des auto-anti­corps et des lym­pho­cytes qui attaquent l’organisme. Cela s’explique par les réac­tions inflam­ma­toires et les lésions tissulaires.

Par ailleurs, le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né (LED) est encore appe­lé lupus sys­té­mique en rai­son du fait qu’il atteint plu­sieurs organes. Il est éga­le­ment une mala­die chro­nique qui peut se mani­fes­ter par pous­sées au cours des­quelles les symp­tômes peuvent s’aggraver ou s’atténuer. Il faut sou­li­gner que le LED sur­vient dans 90 % des cas chez la femme et débute le plus sou­vent entre la puber­té et la ménopause.

Lupus érythémateux disséminé : causes

Les causes du lupus éry­thé­ma­teux demeurent incon­nues, mais il existe plu­sieurs fac­teurs qui sont asso­ciés au déve­lop­pe­ment de cette mala­die. En voi­ci quelques-uns !

Une prédisposition génétique

Il n’est pas clai­re­ment démon­tré que le déve­lop­pe­ment du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né est dû à cer­tains gènes. Tou­te­fois, les cher­cheurs ont remar­qué qu’il existe des gènes qui se retrouvent plus chez les per­sonnes atteintes de la mala­die que celles sans la mala­die. Alors, des gènes semblent donc aug­men­ter le risque de contrac­ter le lupus éry­thé­ma­teux disséminé.

Ain­si, cer­tains groupes eth­niques comme les asia­tiques, les insu­laires du Paci­fique et les his­pa­niques sont plus expo­sés au lupus en rai­son des gènes qu’ils ont en com­mun. Cepen­dant, il faut quand même rele­ver que les gènes ne sont pas suf­fi­sants pour cau­ser la mala­die. En effet, même chez des jumeaux iden­tiques, lorsque l’un est atteint du lupus, le risque de contrac­ter la mala­die n’est qu’accru de 30 % chez l’autre par rap­port à la normale.

Des facteurs hormonaux

Le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né se déclare plus chez les femmes que chez les hommes. Aus­si, il est remar­qué que les symp­tômes du lupus tendent à s’accroître chez la femme pen­dant la gros­sesse et avec les mens­trua­tions. Cer­tains pro­fes­sion­nels de la san­té ont alors émis l’hypothèse selon laquelle l’œstrogène serait res­pon­sable du déve­lop­pe­ment du lupus éry­thé­ma­teux disséminé.

Tou­te­fois, aucun effet cau­sal n’a été prou­vé entre l’œstrogène et le lupus. Des études sur des femmes atteintes du LED et pre­nant des médi­ca­ments conte­nant des œstro­gènes comme les pilules contra­cep­tives n’ont mon­tré aucune gra­vi­té de l’activité de la mala­die. Les cher­cheurs conti­nuent donc d’essayer de com­prendre le lien entre les hor­mones, le LED et le fait que les femmes sont plus touchées.

Des facteurs environnementaux

La sur­ve­nue du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né est aus­si asso­ciée à des fac­teurs exté­rieurs à l’organisme. Ces fac­teurs ne sont pas entiè­re­ment connus, mais les scien­ti­fiques s’accordent sur quelques-uns que voici :

  • La lumière ultra­vio­lette (UVA) ;
  • La fumée de la cigarette ;
  • L’exposition au virus d’Epstein-Barr ;
  • La pous­sière de silice ;
  • Le mer­cure ;

Plus par­ti­cu­liè­re­ment, le stress émo­tion­nel dû à un décès dans la famille, un divorce ou d’autres com­pli­ca­tions de la vie peut favo­ri­ser la sur­ve­nue du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né. Tout stress cau­sé au corps et pro­ve­nant soit de dom­mages phy­siques, de bles­sures ou de chi­rur­gie est éga­le­ment sus­cep­tible d’accroître le risque de contrac­ter la maladie.

La prise de certains médicaments

Il est consta­té que la prise de cer­tains médi­ca­ments influe par­fois sur l’apparition du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né. C’est le cas des sul­fa­mides tels que le sul­fi­soxa­dole ou encore le tol­bu­ta­mide qui rendent une per­sonne plus sen­sible au soleil. Les anti­con­vul­si­vants et les bêta­blo­quants font par­tie éga­le­ment des médi­ca­ments dont l’utilisation peut accroître le risque de contrac­ter la maladie.

Par ailleurs, les médi­ca­ments de types anti­bio­tiques ain­si que les médi­ca­ments d’ordonnance comme l’hydralazine et le pro­caï­na­mide peuvent pro­vo­quer le LED. Tou­te­fois, les symp­tômes du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né s’arrêtent à l’arrêt de la prise du médi­ca­ment en cause.

Lupus érythémateux disséminé : symptômes

Les symp­tômes du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né varient d’un patient à un autre. Tou­te­fois, il a été iden­ti­fié cer­tains symp­tômes qui se retrouvent chez la plu­part des per­sonnes atteintes. Ain­si, géné­ra­le­ment, les per­sonnes tou­chées pré­sentent une érup­tion cuta­née rouge en forme de papillon sur le nez et les joues. Elles res­sentent aus­si des dou­leurs mus­cu­laires, arti­cu­laires, une forte fièvre, une fatigue intense ou une dou­leur thoracique.

En réa­li­té, les symp­tômes dépendent de la par­tie du corps que la mala­die attaque. Le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né pro­voque donc par­fois chez cer­tains patients :

  • Une perte de cheveux ;
  • Des pro­blèmes rénaux ;
  • Des pro­blèmes de mémoire ;
  • Des plaies buccales ;
  • Une sen­si­bi­li­té au soleil et à d’autres lumières ;

Par ailleurs, il faut noter que les symp­tômes du LED sont éga­le­ment des symp­tômes de nom­breuses autres mala­dies auto-immunes. Alors, si vous pré­sen­tez l’un de ces symp­tômes, par­lez-en à votre méde­cin. Il pour­ra faire les tests adé­quats pour déter­mi­ner s’il s’agit ou pas d’un lupus éry­thé­ma­teux disséminé.

Lupus érythémateux disséminé : complications à long terme

Au cours de son évo­lu­tion, le LED aug­mente le risque de coa­gu­la­tion du sang chez les per­sonnes atteintes. Cela peut donc pro­vo­quer des caillots san­guins dans les jambes, les pou­mons ou le cer­veau des patients. Ain­si, le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né peut entraî­ner des com­pli­ca­tions de gros­sesse et même cau­ser des fausses couches répé­tées chez les femmes tou­chées par la maladie.

Aus­si, lorsque le LED entraîne une inflam­ma­tion du tis­su recou­vrant votre cœur et vos pou­mons, vous pou­vez souf­frir à long terme de pleu­rite. Éga­le­ment, l’inflammation des reins pro­vo­quée par la mala­die peut affec­ter la capa­ci­té du corps à fil­trer des déchets du sang. En cas de com­pli­ca­tions graves, la dia­lyse ou une greffe de rien peut s’avérer nécessaire.

Lupus érythémateux disséminé : diagnostic

Le diag­nos­tic du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né peut être dif­fi­cile à éta­blir. En effet, il n’existe pas un test unique per­met­tant aux méde­cins de confir­mer que le patient est atteint du LED. Ain­si, pour faire le diag­nos­tic de cette mala­die, le méde­cin trai­tant doit pro­cé­der par plu­sieurs étapes. Il est éga­le­ment ame­né à col­la­bo­rer avec d’autres méde­cins comme un néphro­logue, un rhu­ma­to­logue, un oph­tal­mo­lo­giste ou un dermatologue.

Poser des questions au patient

Pour déter­mi­ner si vous avez le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né, votre méde­cin trai­tant débu­te­ra son diag­nos­tic par un ques­tion­ne­ment visant à cer­ner vos symp­tômes. Ain­si, il vous pose­ra des ques­tions comme voici :

  • Quels symp­tômes avez-vous ?
  • Quand vos symp­tômes ont-ils commencé ?
  • À quelle fré­quence avez-vous ces symptômes ?
  • Vos symp­tômes s’aggravent-ils à un cer­tain moment de la journée ?
  • Pen­sez-vous que quelque chose rend vos symp­tômes meilleurs ou pires ?
  • Vos symp­tômes vont-ils et reviennent ? ou sont-ils constants ?

Outre ces ques­tions, votre méde­cin trai­tant vous inter­ro­ge­ra sur vos anté­cé­dents fami­liaux de lupus ou d’autres mala­dies auto-immunes. Il vous ques­tion­ne­ra aus­si sur vos anté­cé­dents médi­caux dans le but de mieux com­prendre vos symptômes.

Effectuer des analyses

Pour réel­le­ment s’assurer que vos symp­tômes sont la résul­tante du déve­lop­pe­ment du lupus dans votre corps, votre méde­cin trai­tant vous deman­de­ra dif­fé­rents tests de labo­ra­toire. Géné­ra­le­ment, il vous deman­de­ra des ana­lyses san­guines pour véri­fier s’il y a des signes d’inflammation dans votre corps. Ain­si, des tests d’anticorps et des tests de temps de coa­gu­la­tion san­guine sont sou­vent effectués.

Outre les tests san­guins, votre méde­cin peut éga­le­ment deman­der des tests d’urine pour diag­nos­ti­quer les effets de la mala­die sur vos reins. Comme tests d’urine, il peut être ques­tion d’un test sur les pro­téines uri­naires ou un test sur la clai­rance de la créa­ti­nine. Une ana­lyse de votre urine peut aus­si être uti­li­sée pour dépis­ter de pro­bables mala­dies rénales. Des biop­sies de la peau peuvent être effec­tuées pour voir s’il y a des signes d’inflammation.

Confirmer le diagnostic

Lors des ana­lyses, il peut arri­ver que les tests san­guins mettent en évi­dence des auto-anti­corps cor­res­pon­dant à une autre mala­die auto-immune pou­vant être asso­ciée au LED. Il peut être ques­tions d’une thy­roï­dite ou un syn­drome des anti­corps anti­phos­pho­li­pides. Ain­si, le méde­cin trai­tant se doit d’évaluer à nou­veau vos symp­tômes par rap­port aux autres mala­dies auto-immunes.

La pré­sence d’un lupus éry­thé­ma­teux ne peut donc être confir­mée que si les hypo­thèses des autres mala­dies auto-immunes sont écar­tées. Votre méde­cin vous confir­me­ra alors que vous avez le LED si l’association des ano­ma­lies rele­vées par les exa­mens lui per­met de poser ce diag­nos­tic. Il éva­lue­ra par consé­quent les trai­te­ments à mettre en place pour sou­la­ger de ce mal incurable.

Lupus érythémateux disséminé : traitements

Le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né n’a pas encore un remède. Tou­te­fois, il existe des médi­ca­ments qui per­mettent de mieux gérer les symp­tômes de la maladie.

Les antipaludéens

Les anti­pa­lu­déens per­mettent de réduire les auto-anti­corps qui attaquent les cel­lules et les tis­sus sains. Uti­li­sés géné­ra­le­ment pour trai­ter le palu­disme, ces médi­ca­ments s’avèrent aus­si effaces dans le cas du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né. En fait, ces médi­ca­ments sou­lagent les dou­leurs arti­cu­laires, l’inflammation pul­mo­naire et les érup­tions cuta­nées cau­sées par cette maladie.

Par ailleurs, des études ont prou­vé que la prise de médi­ca­ments anti­pa­lu­diques favo­rise la réduc­tion des pous­sées du lupus. L’antipaludique le plus pres­crit pour le lupus est l’hydroxychloroquine. Tou­te­fois, des dou­leurs à l’estomac ou des pro­blèmes diges­tifs peuvent être remar­qués comme les effets secon­daires des anti­pa­lu­déens. Ces effets s’escomptent sou­vent une fois que votre corps s’adapte au médicament.

Les stéroïdes

Les médi­ca­ments sté­roïdes ou cor­ti­co­sté­roïdes aident à réduire la dou­leur et l’inflammation. En réa­li­té, ils per­mettent de dimi­nuer l’activité des glo­bules blancs hyper­ac­tifs et ain­si les empêchent de pro­vo­quer une inflam­ma­tion. Ils se pré­sentent sous forme de pilules, d’injections ou de crèmes à appli­quer sur la peau. Le sté­roïde le plus uti­li­sé pour trai­ter le LED est la prednisone.

Par contre, l’utilisation des sté­roïdes peut entraî­ner un gain de poids ou encore des pro­blèmes de som­meil. Alors, lorsque vos symp­tômes com­mencent à connaître une réduc­tion grâce à l’usage de ces médi­ca­ments, votre méde­cin en dimi­nue len­te­ment la dose. Il pro­cède ain­si jusqu’à ce que vous n’ayez plus besoin de les prendre pour aller mieux.

Les anti-inflammatoires non stéroïdes

Les anti-inflam­ma­toires non sté­roïdes (AINS) aident aus­si à réduire l’inflammation des arti­cu­la­tions et la dou­leur. Leur rôle consiste à réduire les pro­duits chi­miques dans le corps qui pro­voquent l’inflammation. Très sou­vent, les méde­cins recom­mandent les AINS tels que l’ibuprofène, le nabu­mé­tone, l’indométacine ou l’aspirine. Cer­tains de ces médi­ca­ments peuvent s’obtenir en vite libre, mais vous avez d’une ordon­nance pour avoir d’autres.

Tou­te­fois, l’utilisation des anti-inflam­ma­toires non sté­roïdes peut entraî­ner des troubles diges­tifs comme les ulcères. Pour évi­ter cela, il est conseillé de prendre ces médi­ca­ments avec de la nour­ri­ture. Votre méde­cin trai­tant peut aus­si vous pres­crire des médi­ca­ments pour aider à gérer les effets secon­daires des AINS.

Les immunosuppresseurs

Les immu­no­sup­pres­seurs sont géné­ra­le­ment uti­li­sés dans les cas graves du lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né. En effet, ces médi­ca­ments empêchent votre sys­tème immu­ni­taire d’attaquer les tis­sus sains de votre corps. Ils sont donc pres­crits par les méde­cins lorsque la mala­die affecte votre cer­veau, vos reins, votre cœur ou vos pou­mons. Les immu­no­sup­pres­seurs les plus uti­li­sés sont le métho­trexate, l’azathioprine et voclosporine.

Par ailleurs, il revient à votre méde­cin trai­tant de déci­der si votre trai­te­ment doit inclure des médi­ca­ments immu­no­sup­pres­seurs. Par­lant des effets secon­daires, ces médi­ca­ments réduisent la capa­ci­té du corps à com­battre les infec­tions. Ain­si, si vous pre­nez des immu­no­sup­pres­seurs, dis­cu­tez avec votre méde­cin des moyens pour vous pro­té­ger contre les infections.

Les anticoagulants

Le lupus éry­thé­ma­teux dis­sé­mi­né peut pro­vo­quer des caillots san­guins dans cer­taines par­ties du corps. Pour pré­ve­nir cela, le méde­cin trai­tant peut pres­crire des anti­coa­gu­lants aux patients. Les anti­coa­gu­lants les plus cou­rants dans le cas du LED sont les injec­tions d’héparine, les pilules de war­fa­rine et l’aspirine à faible dose.

Par contre, les anti­coa­gu­lants peuvent cau­ser des sai­gne­ments dif­fi­ciles à contrô­ler. Il peut arri­ver que vous sai­gniez plus que d’habitude lors d’une cou­pure. Des sen­sa­tions d’étourdissements ou des vomis­se­ments de sang peuvent être éga­le­ment remar­qués. Chez les femmes, des sai­gne­ments très abon­dants peuvent être obser­vés pen­dant les règles. Face à l’un de ces symp­tômes, consul­tez votre méde­cin pour obte­nir de l’aide médicale.

Lupus érythémateux disséminé : conseils diététiques

Outre les médi­ca­ments, adop­ter un régime ali­men­taire sain peut aider les patients à mieux gérer les symp­tômes du lupus. Ain­si, il est conseillé aux per­sonnes atteintes du LED de consom­mer plus de pois­sons que de viandes rouges. En effet, les pois­sons sont riches en oméga‑3 qui per­met de réduire l’inflammation dans le corps.

Par ailleurs, il est impor­tant de sur­veiller votre consom­ma­tion d’alcool. En réa­li­té, l’alcool peut inter­agir avec cer­tains médi­ca­ments que vous pre­nez pour votre trai­te­ment. Par exemple quand vous pre­nez l’ibuprofène et vous consom­mez l’alcool, cela aug­mente votre risque de sai­gne­ment d’estomac ou d’ulcères.

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...