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Mycoses-candidoses vulvo-vaginales récidivantes : causes, manifestations, conséquences, traitement

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Les par­ties géni­tales de l’homme et de la femme sont dans cer­tains cas prises pour cibles par des infec­tions. Ces der­nières peuvent avoir plu­sieurs ori­gines, et peuvent être très dou­lou­reuses. Si dans cer­tains cas le mal dis­pa­rait à la suite d’un trai­te­ment assi­dû­ment sui­vi par le patient, dans d’autres cas, la réci­dive est récur­rente. C’est le cas par exemple des mycoses vagi­nales qui peuvent réap­pa­raître plu­sieurs fois au cours de la même année. Le carac­tère réci­di­vant de ce mal attire sou­vent la curio­si­té sur ses causes, ses mani­fes­ta­tions, ses consé­quences, son trai­te­ment ain­si que sur sa pré­ven­tion. Sou­te­riez-vous en savoir plus ? Suivez-nous !

Mycose-candidose vulvo-vaginale récidivante : définition et causes

La mycose vagi­nale ou can­di­dose vul­vo-vagi­nale réci­di­vante est une forme d’infection géni­tale qui affecte la par­tie géni­tale de la femme. La can­di­dose est l’appellation géné­rique réser­vée aux infec­tions cau­sées par une levure. La Mycose-can­di­dose vul­vo-vagi­nale se décrit donc comme une irri­ta­tion des vulves cau­sée par un cham­pi­gnon, prin­ci­pa­le­ment par le can­di­da albil­cans. Cette infec­tion appa­raît à la suite d’une pro­li­fé­ra­tion exces­sive de ce champignon.

Le can­di­da albil­cans est en effet un cham­pi­gnon micro­sco­pique qui est natu­rel­le­ment une com­po­sante de la flore vagi­nale. C’est donc à la suite d’une ano­ma­lie qu’elle cause l’infection de la mycose vagi­nale ou vul­vaire. L’apparition de la mycose vagi­nale à l’origine peut avoir plu­sieurs causes comme :

  • L’usage des estro­gènes pour cer­tains types de traitement ;
  • Une méthode contra­cep­tive inadaptée ;
  • Le port de vête­ments trop ser­rés, etc.

L’expansion du can­di­da albil­cans peut être arrê­tée à la suite d’un trai­te­ment. Tou­te­fois, il est noté que dans la plu­part des cas, la pro­li­fé­ra­tion se déclenche à nou­veau chez les patientes.

Lorsque la réci­dive sur­vient quatre fois au moins après un pre­mier trai­te­ment, on parle de Mycoses-can­di­doses vul­vo-vagi­nales réci­di­vantes. Cette rechute peut avoir plu­sieurs origines.

Une alimentation inappropriée

La réci­dive de la mycose (ou can­di­dose) vagi­nale ou vul­vaire peut être due à une mau­vaise ali­men­ta­tion. Plu­sieurs méde­cins pointent du doigt la forte consom­ma­tion de sucre. Une consom­ma­tion exces­sive de sucre serait un fac­teur de risque pour la pro­li­fé­ra­tion du can­di­da, et donc une réci­dive de la mycose vagi­nale. Les patientes dia­bé­tiques sont d’ailleurs les plus expo­sées aux rechutes fréquentes.

Des changements hormonaux

La sur­ve­nue de modi­fi­ca­tions hor­mo­nales durant une période de gros­sesse consti­tue éga­le­ment un fac­teur de risque des réci­dives de la mycose vagi­nale. Des chan­ge­ments hor­mo­naux consé­cu­tifs à une période de mens­trua­tion peuvent éga­le­ment jus­ti­fier une mycose récidivante.

La prise d’antibiotiques à fortes fréquences

La prise d’antibiotiques à une fré­quence exces­sive favo­rise un dés­équi­libre de la flore vagi­nale et conduit à de mul­tiples réci­dives de la mycose vagi­nale. D’autres médi­ca­ments pres­crits dans le cadre d’une mycose vagi­nale peuvent cau­ser des réac­tions aller­giques ou une forte irritation.

Des rapports sexuels précipités après un premier traitement

Les rap­ports sexuels ne consti­tuent pas en eux-mêmes une cause de la réci­dive ou même de l’apparition de la mycose à l’origine. Cepen­dant, s’ils inter­viennent de façon pré­ci­pi­tée à la suite d’un pre­mier trai­te­ment de la mycose vagi­nale, ils peuvent être un fac­teur de rechute.

La rai­son en est que les mou­ve­ments de frot­te­ments peuvent faire croître les irri­ta­tions au niveau des lèvres ou du vagin. Une nou­velle pro­li­fé­ra­tion du cham­pi­gnon can­di­da pour­rait en résul­ter et donc faire réap­pa­raître la mycose vaginale.

L’utilisation inappropriée de produits d’hygiène ou de toilettes

L’un des fac­teurs les plus connus est l’usage des pro­duits d’hygiène intime. Cer­tains de ces pro­duits contiennent un taux éle­vé d’acide ou d’autres sub­stances inap­pro­priées. Ces sub­stances peuvent cau­ser une réac­tion aller­gique ou une forte irri­ta­tion. Cer­taines pra­tiques comme les toi­lettes intra vagi­nales sont sus­cep­tibles d’être des fac­teurs de risques à une récidive.

D’autres facteurs (rares)

La pré­sence d’un autre type de mycose, le SIDA ou un mau­vais trai­te­ment d’une mycose vul­vo-vagi­nale pré­cé­dente peut-être à la base d’une réci­dive. Le défi­cit immu­ni­taire dans de rares cas peut jus­ti­fier une réap­pa­ri­tion de cette infection.

Mycoses-candidoses vulvo- vaginale récidivantes : manifestations

La mycose vagi­nale réci­di­vante peut se mani­fes­ter de diverses manières. La mani­fes­ta­tion la plus cou­rante est une déman­geai­son de la par­tie intime de la patiente. Des pertes blanches ayant un aspect dif­fé­rent peuvent appa­raître. La dif­fé­rence se situe géné­ra­le­ment au niveau de l’épaisseur de la sub­stance. Cette épais­seur rap­proche les pertes blanches d’une com­pa­rai­son avec un pro­duit comme le yaourt.

L’apparition trop fré­quente de ces pertes pour­rait éga­le­ment être un signe d’alerte. Il faut entre autres noter l’aspect très rou­geâtre que pré­sente la vulve. Des dou­leurs res­sen­ties au cours des rap­ports sexuels ou encore des mau­vaises odeurs sont éga­le­ment des signes révé­la­teurs de la pré­sence de cette infection.

Mycose vaginale récidivante : diagnostic

Mycose-can­di­dose vul­vo-vagi­nale récidivante

Dès l’apparition des pre­miers symp­tômes, le pre­mier réflexe qu’il faut avoir est de contac­ter son méde­cin. Ce sera donc à lui de confir­mer qu’il s’agit bien d’une mycose vagi­nale réci­di­vante, bien enten­du à la suite d’un examen.

Tou­te­fois, il est impor­tant de sou­li­gner que plu­sieurs patientes pensent à tort qu’elles sont atteintes de cette infec­tion. D’autres infec­tions par­tagent en effet les mêmes symp­tômes que la mycose vaginale.

C’est le cas par exemple des vagi­noses bac­té­riennes (VB). Elle se mani­feste par l’apparition à une fré­quence anor­male de pertes blanches. Cepen­dant, elles ne par­tagent pas les mêmes causes que la mycose et sont d’ailleurs plus fré­quentes qu’elles.

Les causes n’étant pas les mêmes, un même trai­te­ment pour­rait s’avérer tota­le­ment inef­fi­cace. D’autres symp­tômes de la mycose, notam­ment les déman­geai­sons peuvent révé­ler des patho­lo­gies der­ma­to­lo­giques. Pour donc s’assurer de ce qu’il s’agit bien d’une mycose vagi­nale, la consul­ta­tion d’un gyné­co­logue est néces­saire voire indispensable.

Pour détec­ter l’infection, le gyné­co réa­li­se­ra un simple exa­men de la par­tie géni­tale et en dédui­ra s’il s’agit d’une mycose vagi­nale ou non. Dans ces cas-là, les symp­tômes sont assez déve­lop­pés et ne laissent aucun doute lorsqu’ils sont conju­gués aux plaintes de la patiente.

Dans les cas où les symp­tômes et les plaintes ne ren­seignent pas suf­fi­sam­ment sur la pré­sence de l’infection, le gyné­co­logue réa­lise un frot­tis vagi­nal qui lui per­met de faire une ana­lyse appro­fon­die de la flore vaginale.

Mycoses-candidoses vulvo-vaginale : conséquences

La réci­dive de la mycose vul­vo-vagi­nale est elle-même une consé­quence de la forme ini­tiale de la mala­die. Une rechute trop fré­quente aura inévi­ta­ble­ment des consé­quences sur la vie sexuelle de la patiente.

Aus­si, faut-il indi­quer que plus la réci­dive est fré­quente plus les trai­te­ments médi­ca­men­teux sont longs. Cer­tains médi­ca­ments uti­li­sés dans le cadre du trai­te­ment de l’infection sont sus­cep­tibles de pro­vo­quer un dérè­gle­ment hor­mo­nal (sur­tout en cas d’automédication).

La Mycose-can­di­dose vul­vo-vagi­nale non trai­tée pour­rait avoir comme consé­quence une exten­sion de la pro­li­fé­ra­tion du can­di­da albil­cans jusqu’à la région anale. Un incon­fort per­ma­nent pour­rait en résul­ter. Aus­si, faut-il rap­pe­ler que la mycose vagi­nale réci­di­vante pour­rait être liée à une autre patho­lo­gie. En cas de non trai­te­ment de la mycose, cette patho­lo­gie pour­rait s’aggraver.

Mycoses-candidoses vulvo-vaginale : prévention

La réci­dive des mycoses vagi­nales est due aux fac­teurs qui ont été cités plus haut. Pour donc évi­ter toute rechute répé­ti­tive, il est d’abord essen­tiel de prendre le temps qu’il faut pour trai­ter l’infection dès sa pre­mière appa­ri­tion. Cela implique entre autres une réduc­tion de la fré­quence des rap­ports sexuels durant cette période.

L’autre fac­teur de risque cité est une ali­men­ta­tion inadap­tée. Il est avant tout impor­tant de réduire la consom­ma­tion de sucre. L’ail ayant des pro­prié­tés anti­fon­giques, il est impor­tant de l’intégrer à son ali­men­ta­tion quo­ti­dienne. La consom­ma­tion des pro­duits com­por­tant le zinc est éga­le­ment à prendre au sérieux.

La pré­ven­tion passe éga­le­ment par le mode d’habillement. Les tenues trop ser­rées doivent être évi­tées au maxi­mum. Les sous-vête­ments en coton sont par­ti­cu­liè­re­ment recom­man­dés pour pré­ve­nir cette infection.

Mycoses-candidoses vulvo-vaginale : traitements possibles

Mycose-can­di­dose vul­vo-vagi­nale récidivante

Il existe une varié­té de trai­te­ments qui peuvent per­mettre de soi­gner une mycose vul­vo-vagi­nale réci­di­vante. Il y a d’une part les trai­te­ments médi­caux, qui se com­posent des com­pri­més à prendre par voie orale ou vagi­nale, et des crèmes anti­fon­giques. D’autre part, il existe des trai­te­ments natu­rels qui sont consti­tués des huiles essen­tielles et d’autres produits

Mycoses-candidoses vulvo-vaginale : traitements médicaux

Il existe plu­sieurs types de trai­te­ments médi­caux qui peuvent être uti­li­sés en cas de mycose vagi­nale réci­di­vante. Il peut s’agir des com­pri­més à prendre par voie orale ou par voie vagi­nale, et des crèmes qui per­mettent de blo­quer la pro­li­fé­ra­tion du can­di­da albilcans.

Le traitement par voie orale

Le médi­ca­ment plus fré­quent est le FLUCONAZOLE (BEAGYNE 150 mg). Il pos­sède un taux d’efficacité éle­vé sur les rechutes liées à la mycose vagi­nale. Ce médi­ca­ment est recom­man­dé pour une prise unique par mois. Dans cer­tains cas, les méde­cins recom­mandent une prise men­suelle de 150 mg.

Un autre médi­ca­ment est éga­le­ment recom­man­dé pour le trai­te­ment par voie orale. Il s’agit du NIZORAL. La durée de son trai­te­ment est variable. Tou­te­fois, il est impor­tant de s’assurer qu’il s’agit bien d’une mycose vagi­nale réci­di­vante avant de com­men­cer son trai­te­ment, d’où l’importance d’une consultation.

Le NIZORAL est pres­crit pour les cas spé­ci­fiques de 6 reprises par an. Sa poso­lo­gique se décline en deux com­pri­més de 250 mg par jour pour atté­nuer les irri­ta­tions et les autres symptômes.

Il faut ensuite réduire la dose en adop­tant une prise d’un com­pri­mé de 100 mg durant cinq jours consé­cu­tifs par mois. Dans les cas aigus, il peut être pres­crit à la patiente trois prises par semaine ou un trai­te­ment conti­nu durant 6 mois.

D’autres médi­ca­ments peuvent être uti­li­sés dans le cadre d’un trai­te­ment par voie orale. Tou­te­fois leur usage est stric­te­ment sou­mis à une recom­man­da­tion médi­cale. Il s’agit de la gélule TRIFLUCAN et des com­pri­més DIFLUCAN.

Le traitement par voie vaginale

Le trai­te­ment de la mycose se com­pose éga­le­ment de prises pério­diques de médi­ca­ments par voies vagi­nales. Il s’agit en effet de la prise d’ovule. Le Mona­zol est l’un des médi­ca­ments recom­man­dés. Il se prend en une prise unique pour une dose de 300 mg.

En dehors du Mona­zol, le Fazol est l’un des autres médi­ca­ments sou­vent pres­crits. Il se com­pose de trois ovules pour une prise chaque soir durant trois jours. Le Gyno­Pe­va­ryl suit la même poso­lo­gie que le Fazol. Il existe tou­te­fois plu­sieurs noms géné­riques comme Gyno­pu­ra LP Gé ou encore Eco­na­zol Arrow Ovules.

Les crèmes antifongiques

La crème anti­fon­gique s’applique loca­le­ment pen­dant une durée déter­mi­née. Cette durée varie en fonc­tion des cas. Plu­sieurs types de crèmes peuvent être uti­li­sés par les patientes. Il s’agit notam­ment de crèmes comme Amy­cor, Dak­ta­rin, des Peva­ryl ou encore Fazol.

Ces crèmes appar­tiennent géné­ra­le­ment à des gammes et ne sont donc pas toutes réser­vées au trai­te­ment de la mycose vagi­nale. Celles qui sont recom­man­dées pour ce trai­te­ment ont un effet d’atténuation sur les dou­leurs et les irri­ta­tions pro­vo­quées par la pro­li­fé­ra­tion can­di­da albilcans.

Mycoses-candidoses vulvo-vaginale : traitements naturels

Les trai­te­ments médi­caux ne sont pas les seuls à pou­voir soi­gner la Mycose-can­di­dose vul­vo-vagi­nale réci­di­vante. Des trai­te­ments natu­rels sont de plus en plus déve­lop­pés. Ces trai­te­ments sont d’ailleurs de plus en plus sollicités.

La rai­son en est que beau­coup de patientes mettent leurs nom­breuses réci­dives sur le compte de l’inefficacité des trai­te­ments médi­caux. Elles cherchent donc à essayer de nou­velles solu­tions. Ces nou­velles solu­tions consistent à avoir recours à des pro­duits tels que les huiles essen­tielles, l’ail ou encore le zinc.

Le traitement avec les huiles essentielles

Cer­taines études ont révé­lé que les huiles essen­tielles pos­sèdent des pro­prié­tés qui per­met­traient de com­battre la pro­li­fé­ra­tion du can­di­da albil­cans. L’huile essen­tielle la plus recom­man­dée contre ce mal est le Tea tree. C’est une huile connue pour son effi­ca­ci­té dans le trai­te­ment des infec­tions cuta­nées. Elle a jus­te­ment fait l’objet d’une recon­nais­sance de l’OMS pour le trai­te­ment des affec­tions de la peau.

L’huile essen­tielle de Tea tree peut être uti­li­sée de diverses manières pour trai­ter la mycose vagi­nale. Pour un trai­te­ment par voie orale, il faut asso­cier l’huile essen­tielle avec une autre huile végé­tale ou essen­tielle. Une goutte de chaque huile doit être ver­sée sur un com­pri­mé neutre avant chaque prise le matin et le soir.

Il est éga­le­ment pos­sible de faire un trai­te­ment par voie cuta­née en diluant l’huile essen­tielle par une huile végé­tale ou une autre huile essen­tielle. Il peut s’agir de l’huile essen­tielle de lavande vraie ou de l’huile végé­tale de calen­du­la. Pour l’appliquer, il faut trem­per un doigt dans l’huile diluée et l’appliquer sur la par­tie infec­tée chaque matin et chaque soir.

Le traitement avec l’ail

Le second trai­te­ment natu­rel est celui pos­sible avec l’utilisation de l’ail. Une autre étude dûment réa­li­sée a mon­tré que l’ail pos­sède des effets anti­fon­giques. Cette étude s’est réa­li­sée à tra­vers une iso­la­tion du prin­cipe actif de l’ail qu’est l’allicine.

Durant des études, les scien­ti­fiques ont confron­té ce prin­cipe actif à plus plu­sieurs élé­ments micro­sco­piques. Par­mi ces élé­ments figu­rait le cham­pi­gnon can­di­da albil­cans. Le résul­tat a per­mis de savoir que l’ail avait les pro­prié­tés néces­saires pour blo­quer ce champignon.

Grâce à cette pro­prié­té anti­fon­gique, la consom­ma­tion de l’ail de façon plus régu­lière est recom­man­dée pour les patientes atteintes de l’infection de mycose vagi­nale. Pour le trai­te­ment, le mode le plus recom­man­dé est la prise d’extrait d’ail stan­dar­di­sé sous forme de com­plé­ment ali­men­taire. Les spé­cia­listes recom­mandent géné­ra­le­ment un dosage de 1000 mg.

Il est éga­le­ment pos­sible de consom­mer de l’ail cru durant une période don­née jusqu’à régres­sion des symp­tômes. Une adop­tion de la consom­ma­tion de l’ail dans son mode ali­men­taire est très recom­man­dée et pour­rait même avoir un effet préventif.

Le traitement avec le Zinc

Le troi­sième trai­te­ment natu­rel est à base du zinc. D’après cer­tains spé­cia­listes, une faible consom­ma­tion de zinc pour­rait éga­le­ment favo­ri­ser la réci­dive de la mycose vagi­nale. Le zinc est connu pour sont effi­ca­ci­té dans le trai­te­ment des mala­dies de peau. Il joue éga­le­ment un rôle essen­tiel dans la pro­tec­tion immu­ni­taire. Une pré­sence confor­table de zinc dans l’organisme serait donc un ren­fort de pro­tec­tion contre la réci­dive de la mycose vagi­nale. Le zinc peut être trou­vé sous diverses notam­ment en com­plé­ment alimentaire.

Il est éga­le­ment choi­si d’adopter des ali­ments riches en zinc comme les huîtres, les œufs, le cacao en poudre, ou encore les noix de cajou. Tou­te­fois, il est impor­tant de consom­mer cer­tains de ces pro­duits de façon contrô­lée. Une consom­ma­tion exa­gé­rée pour­rait être un fac­teur de risque pour d’autres mala­dies. Il est même géné­ra­le­ment recom­man­dé d’avoir recours à un spé­cia­liste de la nutri­tion afin de savoir dans quelle mesure consom­mer ces aliments.

 

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