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Gynécomastie : causes, symptômes et traitements

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Depuis l’âge de puber­té, des dif­fé­rences très nettes sont obser­vées chez le jeune gar­çon et la jeune fille. L’une de ces dif­fé­rences majeures est la taille de la poi­trine. Les seins deviennent net­te­ment plus gros chez les filles que chez les gar­çons. Cepen­dant, il est pos­sible de voir un homme avoir une poi­trine d’allure fémi­nine. Cela résulte dans la plu­part des cas d’une patho­lo­gie nom­mée la gyné­co­mas­tie. Cette mala­die consiste en une aug­men­ta­tion du volume mam­maire chez l’homme. Que faut-il savoir de cette mala­die et quels sont les trai­te­ments effi­caces contre elle ? Voi­ci quelques élé­ments de réponse.

Généralités sur la gynécomastie

La gyné­co­mas­tie est une mala­die qui se mani­feste par une aug­men­ta­tion anor­male du volume mam­maire chez l’homme. Cette mala­die peut affec­ter un seul sein ou les deux simul­ta­né­ment. Dans le pre­mier cas, il s’agit d’une gyné­co­mas­tie uni­la­té­rale et dans le second, on parle de gyné­co­mas­tie bila­té­rale.

La gyné­co­mas­tie s’en prend géné­ra­le­ment aux hommes en période de puber­té ou de pré­pu­ber­té. Elle est sou­vent pas­sa­gère et peut pré­sen­ter une forme per­sis­tante par­fois. Dans ces cas, il s’agit géné­ra­le­ment d’une gyné­co­mas­tie cau­sée par une tumeur, une mala­die ou d’autres causes. Cepen­dant, les enfants peuvent aus­si être atteints de cette mala­die et dans cer­tains cas, un seul sein est atteint.

Mais, c’est chez le jeune gar­çon pubère que cette mala­die s’observe le plus. Cela s’explique par une sécré­tion assez pré­coce d’une hor­mone fémi­nine appe­lée l’œstrogène, tan­dis que l’hormone mas­cu­line tes­to­sté­rone se retrouve en faible quan­ti­té chez le jeune gar­çon. Les symp­tômes de cette mala­die sont assez éphé­mères. Ils durent en géné­ral quelques mois ou semaines, mais peuvent s’étendre sur des années par­fois. Cela se pro­duit dans seule­ment 10% des cas. La mala­die peut aus­si être retrou­vée chez des hommes adultes pré­sen­tant un faible taux de tes­to­sté­rone.

En outre, il est consta­té que la gyné­co­mas­tie peut aus­si se déve­lop­per chez des hommes adultes qui reçoivent régu­liè­re­ment des coups à la poi­trine. C’est ce que prouve une étude publiée en 2012 qui relate que les sol­dats alle­mands qui se don­naient régu­liè­re­ment des coups de crosse à la poi­trine déve­lop­paient cette mala­die de façon uni­la­té­rale sur le sein visé. Cela donne sou­vent lieu au recours à une abla­tion pour en venir à bout.

Modes de développement de la maladie

L’augmentation anor­male de la taille de la glande mam­maire est impu­table à un dés­équi­libre de la balance andro­gène. De nom­breuses rai­sons peuvent expli­quer ce dés­équi­libre hor­mo­nal. En tête de liste, on retrouve une dimi­nu­tion ou une pré­sence défi­ci­taire de tes­to­sté­rone dans le sang. Cela peut être dû à plu­sieurs rai­sons, mais la prin­ci­pale est l’hypogonadisme qui est un syn­drome créé en rai­son de la défec­tuo­si­té de l’axe reliant l’hypothalamus et l’hypophyse aux gonades. Ce syn­drome peut être cen­tral, péri­phé­rique ou encore pri­mi­tif et acquis.

Le dés­équi­libre peut aus­si être dû à une forte aug­men­ta­tion de la SHGB qui est une hor­mone sexuelle mas­cu­line. Cela conduit géné­ra­le­ment à une dimi­nu­tion consi­dé­rable de la quan­ti­té de tes­to­sté­rone libre et active dans l’organisme. L’augmentation de cette hor­mone est créée par des mala­dies du foie ou encore par l’hyperthyroïdie.

Ensuite, nous pou­vons assis­ter aus­si à une aug­men­ta­tion de la quan­ti­té d’œstrogènes. Cela se note sou­vent dans cer­taines formes du can­cer du tes­ti­cule ou encore par le phé­no­mène d’aromatisation qui consiste en une trans­for­ma­tion des pré­cur­seurs œstro­gène en œstro­gènes véri­tables. L’hyperthyroïdie ou la mala­die de Kli­ne­fel­ter peuvent aus­si conduire à un tel processus.

La pré­sence d’une grande quan­ti­té d’œstrogène sous forme libre peut aus­si expli­quer un tel dés­équi­libre hor­mo­nal. Cela se jus­ti­fie par un dépla­ce­ment de cette hor­mone de son récep­teur par une molé­cule. La défec­tuo­si­té des récep­teurs endo­crine de la tes­to­sté­rone peut aus­si cau­ser un tel effet.

Les causes de la gynécomastie

Les causes pou­vant don­ner nais­sance à une gyné­co­mas­tie sont nom­breuses et variées.

Les troubles endocriniens

De nom­breux troubles du sys­tème endo­cri­nien peuvent débou­cher sur une gynécomastie.

L’acromégalie

Il s’agit d’un trouble hor­mo­nal qui engendre une aug­men­ta­tion exces­sive de la taille des pieds et des mains et aus­si une dys­mor­phie du visage, elle peut affec­ter aus­si les adultes. Cette mala­die est aus­si connue sous l’appellation de la mala­die de Pierre Marie. L’acromégalie résulte très sou­vent d’une tumeur bénigne située au niveau de l’hypophyse et qui cause une sécré­tion exces­sive d’hormones de crois­sance. Cette sécré­tion exces­sive peut aus­si affec­ter une autre hor­mone impli­quée dans la crois­sance des glandes mam­maires voire la sécré­tion de lait.

La maladie d’Addison

Encore appe­lée insuf­fi­sance sur­ré­na­lienne chro­nique pri­maire, la mala­die d’Addison est une patho­lo­gie d’origine endo­cri­nienne rare qui se carac­té­rise par une absence d’activité des glandes sur­ré­nales. Cela entraine une absence de sécré­tion des hor­mones pro­duites par ces glandes comme les glu­co­cor­ti­coïdes encore appe­lés le cor­ti­sol et les miné­ra­lo­cor­ti­coïdes encore appe­lés aldo­sté­rone.

L’hyperthyroïdie

Cette mala­die est un syn­drome qui se déclenche par une pré­sence exces­sive de thy­roxine libre cir­cu­lante encore appe­lée FT4 ou de triio­do­thy­ro­nine libre encore appe­lée la FT3. La mala­die peut être aus­si cau­sée par une pré­sence exces­sive de ces deux hor­mones à la fois.

Le prolactinome

Cette mala­die consiste en la pré­sence d’une tumeur bénigne au niveau de l’hypophyse. Cette tumeur est un adé­nome dans la plu­part des cas. De la pré­sence d’une telle tumeur, il résulte une pré­sence exces­sive de pro­lac­tine dans l’organisme. La quan­ti­té de pro­lac­tine peut néan­moins être ajus­tée par l’utilisation de cer­taines sub­stances comme la bro­mo­crip­tine. Il s’agit d’une mala­die qui est réper­to­riée géné­ra­le­ment chez des femmes. Mais, dans le cas pré­sent, cer­tains hommes peuvent en souf­frir même si cela reste extrê­me­ment rare.

L’alcoolisme

L’addiction à l’alcool est aus­si une cause non négli­geable du dés­équi­libre endo­cri­nien.  En effet, cette addic­tion est en réa­li­té une addic­tion à l’éthanol qui est une sub­stance conte­nue dans l’alcool. De plus, plu­sieurs études cli­niques ont pu éta­blir un lien entre l’éthanol et les troubles du sys­tème de pro­duc­tion de la tes­to­sté­rone. L’éthanol contient aus­si de la phy­tooes­tro­gène qui une fois libé­rée peut conduire à une aug­men­ta­tion du taux d’œstrogène dans l’organisme.

Les causes médicamenteuses

Cer­tains pro­duits phar­ma­ceu­tiques ont pour effets indé­si­rables de cau­ser une aug­men­ta­tion de la poi­trine chez les hommes. Ces médi­ca­ments sont notamment :

  • Les digi­ta­liques en cas de surdosage ;
  • Les œstro­gènes et leurs dérivés ;
  • Cimé­ti­dine ;
  • Kéto­co­na­zole ;
  • Les amphé­ta­mines ;
  • Les sté­roïdes ;
  • Les neu­ro­lep­tiques.

À cette liste, on peut ajou­ter les inhi­bi­teurs des pro­téases qui sont admi­nis­trés dans le cadre du trai­te­ment du VIH, mais aus­si les pro­duits inter­ve­nant dans la chi­mio­thé­ra­pie anti­can­cé­reuse et bien d’autres encore.

Des causes médi­ca­men­teuses peuvent aus­si être évo­quées en pré­sence d’une gyné­co­mas­tie pré­sente depuis la nais­sance. C’est le cas lorsque le fœtus est expo­sé de façon conti­nue à des leurres hor­mo­naux même à faibles doses. Ce sont en effet des per­tur­ba­teurs endo­cri­niens qui pos­sèdent des pro­prié­tés hor­mo­no-mimé­tiques, c’est-à-dire qui sont capables de mimer des hor­mones endo­cri­niennes. Ces pro­duits imitent les œstro­gènes ain­si que d’autres types d’hormones pou­vant entrai­ner des consé­quences sur la thy­roïde ou les tes­ti­cules.

D’autres pro­duits qui ne sont pas médi­ca­men­teux, mais qui inter­viennent dans le domaine médi­cal peuvent aus­si cau­ser une gyné­co­mas­tie. Il s’agit notam­ment de l’huile de lavande et de l’huile de l’arbre à thé qui pos­sèdent toutes deux des ver­tus anti-andro­gènes. Ces huiles peuvent par­ti­ci­per à une pousse des seins chez l’homme lorsqu’elles sont appli­quées sur la poitrine.

Les causes génétiques

De nom­breuses mala­dies d’origine géné­tique peuvent contri­buer à une pousse des seins chez l’homme.

Le syndrome POEMS

Ce syn­drome est en réa­li­té une asso­cia­tion de syn­drome dont le nom est en anglais. Les dif­fé­rents élé­ments qui le consti­tuent sont :

  • Poly­neu­ro­pa­thy : Cela fait réfé­rence à la Poly­neu­ro­pa­thie péri­phé­rique consis­tant en une atteinte du sys­tème ner­veux périphérique ;
  • Orga­no­me­ga­ly : Ce qui signi­fie Orga­no­mé­ga­lie et qui se mani­feste par un agran­dis­se­ment des organes notam­ment les glandes mam­maires dans le cas de la gynécomastie ;
  • Endo­cri­no­pa­thy : Qui fait réfé­rence à l’endocrinopathie, c’est-à-dire l’ensemble des mala­dies endocriniennes.
  • Mono­clo­nal pro­tein : Il s’agit de la Dys­glo­bu­li­né­mie mono­clo­nale qui se tra­duit par la pré­sence exces­sive d’une ou de plu­sieurs immu­no­glo­bu­lines monoclonales ;
  • Skin changes : cela fait allu­sion à toutes les ano­ma­lies cutanées.

Il faut noter que seule l’organomégalie nous inté­resse ici.

Le syndrome de Klinefelter

Encore connu sous le nom de 47,XXY, ce syn­drome est une aneu­ploï­die. Il se carac­té­rise par la pré­sence d’un chro­mo­some sexuel X ou gono­some X sup­plé­men­taire chez l’humain. Les per­sonnes tou­chées pré­sentent donc deux chro­mo­somes X et un seul chro­mo­some Y, ce qui fait un total de 47 chro­mo­somes au lieu de 46, d’où l’appellation de ce syn­drome. Lorsqu’un homme est atteint de ce syn­drome, il pré­sente iné­luc­ta­ble­ment de nom­breux signes de fémi­ni­té dont la pousse des seins.

La dystrophie myotonique de Steinert

Cette mala­die plus connue sous le nom de mala­die de Cursh­mann-Stei­nert ou encore de dys­tro­phie myo­to­nique de type I, est une mala­die d’origine géné­tique auto­so­mique. Il s’agit d’une mala­die à péné­tra­tion incom­plète, elle carac­té­ri­sée par l’anticipation, affec­tant de ce fait plu­sieurs organes notamment :

  • Le sque­lette ;
  • Les muscles lisses ;
  • L’œil ;
  • Le cœur ;
  • Le sys­tème endocrinien ;
  • Le sys­tème ner­veux cen­tral et par­fois périphérique.

Son action sur le sys­tème endo­cri­nien est le lien qui l’unit à la gynécomastie.

Le syndrome d’insensibilité aux androgènes

Encore appe­lée le syn­drome du tes­ti­cule fémi­ni­sant, cette mala­die est une sorte d’intersexuation qui est géné­ra­le­ment dû à un mau­vais fonc­tion­ne­ment ou une absence totale de fonc­tion­ne­ment des récep­teurs tis­su­laires aux andro­gènes. Dans le cas d’une absence totale de récep­teurs, il s’avère que le des per­sonnes de géno­type mas­cu­lin pos­sèdent un phé­no­type fémi­nin. Il en résulte la pré­sence de nom­breux organes fémi­nins (dont les seins) à l’exception de l’utérus. On note éga­le­ment la pré­sence des organes mas­cu­lins externes comme les testicules.

Symptômes, diagnostic et traitement de la gynécomastie

Bien qu’ayant peu de symp­tômes, la gyné­co­mas­tie est une mala­die assez sin­gu­lière et il existe de nom­breux remèdes effi­caces en la matière.

Symptômes

La gyné­co­mas­tie est prin­ci­pa­le­ment une aug­men­ta­tion du volume des glandes mam­maires. On peut la remar­quer en fai­sant une pal­pa­tion sous le mame­lon. La décou­verte d’une gyné­co­mas­tie se fait géné­ra­le­ment lors d’une visite chez le méde­cin. Dans cer­tains cas, c’est l’homme lui-même qui le découvre en se tou­chant, il s’en suit alors une visite chez le médecin.

Cette mala­die est inti­me­ment liée aux hor­mones cir­cu­lant dans le sang, les deux glandes mam­maires sont sou­vent tou­chées simul­ta­né­ment. Il peut arri­ver néan­moins qu’un seul sein soit tou­ché par la mala­die. Cela se passe lorsque l’une des glandes mam­maires a une meilleure sen­si­bi­li­té aux hor­mones que d’autres. On peut aus­si consta­ter chez cer­tains patients un écou­le­ment au niveau du mame­lon en exer­çant une pres­sion autour des aréoles.

Cepen­dant, une aug­men­ta­tion de la poi­trine chez l’homme n’est pas tou­jours signe de gyné­co­mas­tie. En effet, une aug­men­ta­tion de la poi­trine peut aus­si être cau­sée par la lipo­mas­tie qui consiste en une aug­men­ta­tion de la graisse au niveau des seins sans que les glandes mam­maires ne subissent de modi­fi­ca­tion de taille. Dans ce cas, la consis­tance du sein est beau­coup plus molle, elle n’est pas aus­si axée sur le mame­lon et s’accompagne aus­si d’une prise de poids générale.

Diagnostic de la gynécomastie

Le diag­nos­tic d’une gyné­co­mas­tie se fait géné­ra­le­ment via une pal­pa­tion mam­maire. Lorsqu’un homme constate donc un gon­fle­ment au niveau de la poi­trine, il doit se rendre chez un méde­cin qui pro­cé­de­ra à une pal­pa­tion mam­maire. Au cours de cette pal­pa­tion, le méde­cin exa­mine ce der­nier, le pèse afin d’écarter toute pos­si­bi­li­té de sur­poids. Ensuite, il passe à un pin­ce­ment des mame­lons pour consta­ter un éven­tuel écoulement.

Ensuite, il exa­mine les organes jouant un rôle endo­cri­nien comme les tes­ti­cules, la glande thy­roïde et le foie afin de déce­ler une ano­ma­lie pou­vant témoi­gner d’une gyné­co­mas­tie. Le méde­cin peut aus­si pro­cé­der à des exa­mens com­plé­men­taires dans cer­tains cas. Une prise de sang se fait donc afin de véri­fier cer­tains para­mètres bio­lo­giques du patient. Le sang est donc ana­ly­sé afin de déter­mi­ner avec pré­ci­sion les dif­fé­rentes ano­ma­lies hor­mo­nales notées chez le patient. Lors de cette ana­lyse, un accent par­ti­cu­lier est mis sur les hor­mones comme :

  • La LH ;
  • La FSH ;
  • La pro­lac­tine ;
  • L’œstrogène ;
  • La tes­to­sté­rone et beau­coup d’autres.

Une fois tous ces exa­mens réa­li­sés, le méde­cin peut désor­mais pen­ser à un début de traitement.

Traitement de la gynécomastie

Le trai­te­ment médi­cal d’une gyné­co­mas­tie anor­male se fait en géné­ral de façon rapide, soit dans les 6 à 12 pre­miers mois lorsque la glande est dans un état de gon­fle­ment avan­cé et pré­sente une grande sen­si­bi­li­té. Une fois ce trai­te­ment ache­vé, on constate sou­vent que la glande mam­maire ne dimi­nue pas vrai­ment de volume. Le trai­te­ment de la gyné­co­mas­tie se fait donc sui­vant les étapes ci-après.

D’abord, un pre­mier trai­te­ment inter­vient afin de com­battre la cause de la gyné­co­mas­tie. Ce trai­te­ment peut consis­ter en un arrêt du médi­ca­ment ayant entrai­né la mala­die et le rem­pla­cer par un pro­duit qui n’aura pas les mêmes effets indé­si­rables. S’il s’agit d’une mala­die, il fau­dra soi­gner cette dernière.
Ensuite, il faut viser spé­ci­fi­que­ment le dégon­fle­ment des glandes mam­maires. Cela revient à uti­li­ser cer­tains médi­ca­ments comme le tamoxi­fène ou le ramoxi­fène qui sont effi­caces à plus de 80%. D’autres médi­ca­ments comme le Dana­zol ou l’anastrozol peuvent aus­si assu­rer le dégon­fle­ment, mais ils sont plus limi­tés que les autres.

Enfin, la chi­rur­gie peut aus­si inter­ve­nir dans cer­tains cas. Le recours à cette tech­nique per­met d’ôter la glande mam­maire et de retrou­ver une taille de poi­trine nor­male. Cepen­dant, la chi­rur­gie ne suf­fit pas à endi­guer tota­le­ment la gyné­co­mas­tie, faut-il encore trai­ter la source même de la maladie.

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