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Intertrigos : classification, sémiologie, traitement

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Les inter­tri­gos cor­res­pondent à des der­ma­toses qui affectent les plis cuta­nés. Ils repré­sentent envi­ron 2,54 % des consul­ta­tions en der­ma­to­lo­gie et concernent plus par­ti­cu­liè­re­ment les spor­tifs et les obèses. Ils sont de plu­sieurs types sui­vant leurs ori­gines et leurs loca­li­sa­tions. En géné­ral, ils sont mul­ti­fac­to­riels et pré­sentent des étio­lo­gies diversifiées.Les symp­tômes évo­ca­teurs d’un inter­tri­go sont mul­tiples et com­prennent prin­ci­pa­le­ment un éry­thème et une fis­sure du pli cuta­né. Les moyens de prise en charge dis­po­nibles tiennent compte de la plu­ri­fac­to­ria­li­té de la mala­die ain­si que de ses étio­lo­gies. Ils per­mettent de pré­ve­nir les com­pli­ca­tions et d’améliorer le tableau cli­nique du patient.

Intertrigos : présentation

Les inter­tri­gos regroupent un ensemble de der­ma­to­pa­tho­lo­gies loca­li­sées au niveau des plis cuta­nés, c’est-à-dire des régions d’intersections cuta­nées. En effet, les plis cuta­nés cor­res­pondent à une zone de la peau où les peaux de deux régions se touchent. Elles se frottent les unes aux autres et se recouvrent par­fois de façon par­tielle. Il s’agit de zone très sen­sible expo­sée à un risque accru de frot­te­ment, de macé­ra­tion et d’irritation. On dis­tingue deux prin­ci­paux types de plis cuta­nés, notam­ment :

  • Les petits plis cuta­nés (pli rétro-auri­cu­laire retrou­vé der­rière l’oreille, pli inter-orteil, pli du nombril) ;
  • Les grands plis cuta­nés (pli de l’aine, pli sous-mam­maire, pli inter-fessier).

Les inter­tri­gos peuvent tou­cher tout type de pli cuta­né. Ils tra­duisent, géné­ra­le­ment, une inflam­ma­tion de la peau et pré­sentent des mani­fes­ta­tions com­munes aux der­ma­toses. D’ordinaire, on asso­cie la sur­ve­nue d’un inter­tri­go à un cer­tain nombre de fac­teurs et leurs étio­lo­gies peuvent être infec­tieuses ou non. Au sens médi­cal du terme, la mala­die est « bénigne ». Par consé­quent, elle n’a aucun impact sur le pro­nos­tic vital du patient. Cepen­dant, au vu de ses éven­tuelles com­pli­ca­tions, on recom­mande de la prendre en charge dans les délais les plus brefs.

Intertrigos : classification

On répar­tit les inter­tri­gos en trois groupes selon leurs étio­lo­gies. Il s’agit des inter­tri­gos infec­tieux, des inter­tri­gos non infec­tieux et des inter­tri­gos de causes rares.

Intertrigos infectieux

Les inter­tri­gos infec­tieux, comme l’indiquent leurs noms, font allu­sion à des inter­tri­gos cau­sés par un agent infec­tieux. Selon la nature de l’agent infec­tieux, on dis­tingue éga­le­ment plu­sieurs caté­go­ries d’intertrigos infec­tieux. Il y a essentiellement :

  • Les inter­tri­gos infec­tieux à can­di­da ;
  • Les inter­tri­gos infec­tieux à der­ma­to­phytes ;
  • Les inter­tri­gos infec­tieux à Malas­se­zia (pity­ria­sis ver­si­co­lor) ;
  • Les inter­tri­gos infec­tieux à Cory­ne­bac­te­rium minu­tis­si­mum (éry­thras­ma) ;
  • Les inter­tri­gos infec­tieux à Pseu­do­mo­nas aeruginosa.

Les agents infec­tieux incri­mi­nés dans la sur­ve­nue d’un inter­tri­go peuvent être soit des cham­pi­gnons ou des bac­té­ries. Il s’agit rare­ment de virus.

Intertrigos infectieux à candida

Le can­di­da est un cham­pi­gnon et plus pré­ci­sé­ment une levure de genre Asco­my­co­ta appar­te­nant à la famille des Sac­cha­ro­my­ce­ta­ceae. Ova­laire et d’aspect bour­geon­nant, il s’accompagne sou­vent de fila­ments pseu­do-mycé­liens ou mycé­liens. Il est natu­rel­le­ment pré­sent dans les muqueuses vagi­nales et le tube diges­tif où il est non pathogène.

Dans cer­taines cir­cons­tances, cepen­dant, il peut deve­nir patho­gène, quitte à entraî­ner diverses mala­dies infec­tieuses, les der­ma­toses com­prises. Quand les der­ma­toses à can­di­da ciblent les plis cuta­nés, on parle alors d’intertrigos infec­tieux à can­di­da. Ces formes d’intertrigos sont fré­quentes, ils prennent un aspect lui­sant et humide. Le Can­di­da albi­cans est l’espèce la plus incri­mi­née dans la sur­ve­nue d’un inter­tri­go infec­tieux à candida.

Intertrigos infectieux à dermatophytes

Les der­ma­to­phytes à l’instar du can­di­da sont des cham­pi­gnons. Micro­sco­piques et à la fois fila­men­teux, ils pro­duisent des spores variées, il y a notam­ment, les spores micro­co­ni­dies, les spores macro­co­ni­dies, les arthro­spores et les chla­my­do­spores. On les répar­tit en plu­sieurs classes et ils appar­tiennent aux genres Micro­spo­rum, Tri­cho­phy­ton ou Epi­der­mo­phy­ton. Ils se sus­tentent de la kéra­tine et pour cela, on les retrouve majo­ri­tai­re­ment sur la peau, les che­veux et les ongles.

Ils pré­sentent une patho­gé­ni­ci­té impor­tante et causent plu­sieurs der­ma­to­pa­tho­lo­gies au rang des­quelles on dénombre les inter­tri­gos infec­tieux à der­ma­to­phytes. Le prin­ci­pal repré­sen­tant de cette classe d’intertrigo est l’eczéma mar­gi­né de Hébra. Éga­le­ment appe­lé « tinea cru­ris », l’eczéma mar­gi­né de Hébra est fré­quent chez l’homme. Il s’agit d’un inter­tri­go à der­ma­to­phytes qui affecte le pli de l’aine. À l’image de la qua­si-tota­li­té des inter­tri­gos infec­tieux à der­ma­to­phytes, il prend un aspect sec et non luisant.

Intertrigos infectieux à malassezia

Les inter­tri­gos infec­tieux à malas­se­zia dont le prin­ci­pal repré­sen­tant est le pity­ria­sis ver­si­co­lor sur­viennent en cas d’infection d’un pli par la Malas­se­zia Fur­fur. Il s’agit d’une levure décou­verte par Louis-Charles Malas­sez et appar­te­nant au groupe Fun­gi Imper­fec­ti. Elle fait par­tie inté­grante de la flore natu­relle et ne devient patho­gène que dans des condi­tions spé­ci­fiques. Les inter­tri­gos infec­tieux à malas­se­zia sont habi­tuel­le­ment humides.

Intertrigos infectieux à Corynebacterium minutissimum (érythrasma)

Le Cory­ne­bac­te­rium minu­tis­si­mum est une bac­té­rie du genre Cory­ne­bac­te­rium. Il s’agit d’un bacille à Gram posi­tif de forme mas­sue et aéro­bie. On la retrouve dans la nature et dans le micro­biote des humains et des ani­maux. Il est res­pon­sable de l’éry­thras­ma qui est l’intertrigo infec­tieux bac­té­rien le plus popu­laire. Il cible prin­ci­pa­le­ment les plis cuta­nés axil­laires et inguinaux.

Intertrigos infectieux à Pseudomonas aeruginosa

Le Pseu­do­mo­nas aeru­gi­no­sa qu’on appelle aus­si « PYO » ou « bacille du pus bleu » désigne une bac­té­rie de genre Pseu­do­mo­nas. Il est de Gram néga­tif et se décline sous la forme d’un bacille droit et fin. Il est très mobile en rai­son de la cilia­ture mono­triche, un fla­gelle polaire qu’il pré­sente. Au micro­scope, le Pseu­do­mo­nas aeru­gi­no­sa ne pré­sente ni cap­sules ni spores.

Dans l’ordre nor­mal des choses, cette bac­té­rie est non patho­gène. Néan­moins, dans diverses cir­cons­tances il peut cau­ser un cer­tain nombre de mala­dies, dont les inter­tri­gos. Ces formes d’intertrigos forment avec l’érythrasma les inter­tri­gos bac­té­riens les plus fréquents.

Intertrigos non infectieux

Par oppo­si­tion aux inter­tri­gos infec­tieux, les inter­tri­gos non infec­tieux ne pré­sentent pas une ori­gine infec­tieuse. Ils ne sont cau­sés ni par un cham­pi­gnon, ni par un virus, ni par une bac­té­rie. On en dis­tingue de plu­sieurs types. Il y a principalement :

  • Le pso­ria­sis inversé ;
  • La der­mite ;
  • L’eczéma ;
  • L’irritation.

Les inter­tri­gos non infec­tieux sont géné­ra­le­ment moins sus­cep­tibles de se com­pli­quer que les inter­tri­gos infectieux.

Psoriasis inversé

Le pso­ria­sis est une atteinte chro­nique de la peau dont l’évolution se fait par pous­sée. Il tra­duit une inflam­ma­tion impor­tante du derme et peut affec­ter toutes les par­ties du corps. Lorsqu’il affecte les plis cuta­nés, on l’appelle pso­ria­sis inver­sé ou pso­ria­sis de flexion.

Le pso­ria­sis inver­sé sur­vient moins sou­vent que le pso­ria­sis en plaques qui est très connu. Il concerne envi­ron 2 à 6 % de la popu­la­tion mon­diale et pré­sente des étio­lo­gies non encore élu­ci­dées. On sait, cepen­dant, qu’à l’instar du pso­ria­sis en plaques, elles com­prennent une com­po­sante géné­tique. De même, on sait éga­le­ment que la mala­die pou­vait se déclen­cher en réponse à cer­tains élé­ments. Par exemple, l’humidité et la cha­leur. Les pso­ria­sis inver­sés peuvent tou­cher tous les plis cuta­nés. Cepen­dant, ils touchent plus fré­quem­ment le pli inter-fes­sier.

Dermite

La der­mite des plis cuta­nés (eczé­ma sébor­rhéique) consti­tue l’une des formes les plus com­munes d’intertrigos. Elle tra­duit une inflam­ma­tion impor­tante des couches externes de la peau et peut affec­ter n’importe quel pli cuta­né. Dans la der­mite des plis cuta­nés, l’inflammation de la peau peut être chro­nique ou aiguë. En pré­sence d’une inflam­ma­tion chro­nique, le risque de sur­ve­nue des com­pli­ca­tions connaît géné­ra­le­ment une exa­cer­ba­tion. Le prin­ci­pal pli cuta­né concer­né par la der­mite est le pli inter-orteil.

Eczéma

L’eczéma est une der­ma­to­pa­tho­lo­gie pru­ri­gi­neuse qui peut affec­ter la peau des plis cuta­nés. De nature non conta­gieuse et infec­tieuse, elle est de dif­fé­rentes formes. Ain­si, on dis­tingue l’eczéma de contact et l’eczéma ato­pique. Dans le pre­mier cas, l’intertrigo résulte d’une hyper­sen­si­bi­li­té à un pro­duit. Par exemple un cos­mé­tique tel qu’un déso­do­ri­sant et un par­fum. Dans le second cas, en revanche, il sur­vient dans un envi­ron­ne­ment d’antécédents fami­liaux et géné­tiques. Les deux formes d’eczéma peuvent affec­ter l’ensemble des plis cuta­nés de l’organisme. Cepen­dant, les plus concer­nés sont les sillons rétro-auri­cu­laires, les plis des genoux et les plis des coudes.

Irritation

L’irri­ta­tion est une forme très bénigne d’intertrigos non infec­tieux. Elle est pro­ba­ble­ment l’intertrigo le plus sous-diag­nos­ti­qué en milieu hos­pi­ta­lier en rai­son de ces signes pas du tout sévères et ses ori­gines sont mul­tiples. Néan­moins, elle est la consé­quence de l’application de cer­tains pro­duits. Par exemple, un anti­sep­tique, un pro­duit cos­mé­tique ou une sub­stance caus­tique. L’irri­ta­tion des plis cuta­nés se tra­duit prin­ci­pa­le­ment par une infec­tion assez légère de la peau. Elle affecte pré­fé­ren­tiel­le­ment les plis des membres supé­rieurs du corps.

Intertrigos de causes rares

Outre les dif­fé­rentes formes d’intertrigos sus­men­tion­nés, il existe des inter­tri­gos qui résultent de causes rares comme :

  • L’Acanthosis nigri­cans ;
  • La mala­die de Paget extramammaire ;
  • L’Histiocytose X ;
  • La mala­die de Crohn ;
  • Le Pem­phi­gus fami­lial de Hailey-Hailey.

Ces inter­tri­gos sont plus com­plexes que les autres et néces­sitent des soins spé­ci­fiques. Ils sur­viennent très rare­ment.

Intertrigos : facteurs de risque

Inter­tri­gos

Les inter­tri­gos, indé­pen­dam­ment des types consi­dé­rés, sont favo­ri­sés par une mul­ti­tude de fac­teurs. Il y a principalement :

  • L’humidité ;
  • La pra­tique pro­fes­sion­nelle d’un sport ;
  • L’immunodépression ;
  • Les mala­dies chro­niques comme le diabète.

Ces fac­teurs aug­mentent par des méca­nismes variés le risque de sur­ve­nue des intertrigos.

Humidité

D’après plu­sieurs études concor­dantes, l’humi­di­té aug­mente le risque de sur­ve­nue d’un inter­tri­go. Ain­si, on obser­ve­rait plus de cas dans les popu­la­tions expo­sées constam­ment à l’humidité que les autres. En effet, l’humidité crée un envi­ron­ne­ment favo­rable à la pro­li­fé­ra­tion de cer­tains agents infec­tieux res­pon­sables d’intertrigos. De même, il exa­cerbe les pro­ces­sus phy­sio­lo­giques à l’origine du déclen­che­ment d’une dermatose.

Pratique professionnelle d’un sport

La pra­tique pro­fes­sion­nelle d’un sport est à l’instar de l’humidité un fac­teur de risque majeur des inter­tri­gos. En effet, l’activité spor­tive entraîne une trans­pi­ra­tion exces­sive. Or, au même titre que l’humidité, la trans­pi­ra­tion crée un envi­ron­ne­ment favo­rable à la mala­die. Elle accé­lère la crois­sance des prin­ci­paux cham­pi­gnons et bac­té­ries res­pon­sables d’un inter­tri­go. De plus, elle favo­rise par­fois la réten­tion de cer­tains microbes sus­cep­tibles de cau­ser une der­ma­tose. Pour cela, en géné­ral, en cas de pra­tique pro­fes­sion­nelle de sport, on recom­mande des mesures d’hygiène spé­ci­fiques.

Immunodépression

L’immu­no­dé­pres­sion cor­res­pond à une condi­tion où le sys­tème immu­ni­taire connaît une défaillance. Elle se carac­té­rise par alté­ra­tion de la qua­li­té des défenses de l’organisme et une inef­fi­ca­ci­té dans la lutte contre le non-soi. Elle consti­tue d’après plu­sieurs études, un fac­teur de risque pré­do­mi­nant des inter­tri­gos. En effet, en cas d’immunodépression, l’organisme ne lutte pas effi­ca­ce­ment contre les bac­té­ries et les cham­pi­gnons res­pon­sables d’intertrigo. Ils se déve­loppent alors plus rapi­de­ment et le risque de faire la mala­die connaît une optimisation.

Maladies chroniques comme le diabète

Cer­taines mala­dies chro­niques comme le dia­bète entraînent une fai­blesse immu­ni­taire et donc une inef­fi­ca­ci­té des méca­nismes de défense. Elles entraînent alors par les mêmes méca­nismes que l’immunodépression une exa­cer­ba­tion du risque des inter­tri­gos. Le dia­bète qu’il soit de type 1 ou de type 2 peut se révé­ler favo­rable à la sur­ve­nue d’un intertrigo.

Intertrigos : sémiologie

Sur le plan cli­nique, les inter­tri­gos entraînent diverses mani­fes­ta­tions. Au début de la mala­die, le patient pré­sente géné­ra­le­ment un éry­thème sombre et cui­sant. Il s’agit d’une rou­geur non dou­lou­reuse de la peau. Il s’accompagne ordi­nai­re­ment d’un pru­rit et se limite au pli cuta­né même si dans cer­tains cas, il peut s’étendre à d’autres par­ties du corps. Par la suite, le patient pré­sente au niveau du pli cuta­né affec­té des bords fes­ton­nés, ain­si qu’une col­le­rette pus­tu­lo-squa­meuse. Il appa­raît alors une fis­sure peu pro­fonde du fond du pli avec for­ma­tion d’un enduit blan­châtre.

Outre ces symp­tômes qui sont les plus évo­ca­teurs d’un inter­tri­go, le patient peut éga­le­ment pré­sen­ter un foyer buc­cal. Il prend géné­ra­le­ment la forme d’un muguet ou d’une langue noire. Le foyer peut éga­le­ment appa­raître au niveau de l’appareil diges­tif ou de l’appareil vagi­nal.

Pour finir, dans cer­taines cir­cons­tances rares et selon le type d’intertrigo, le patient peut pré­sen­ter d’autres signes cli­niques. Il s’agit par exemple des déman­geai­sons cuta­nées, de la sen­sa­tion de brû­lure, des pico­te­ments et de la douleur.

Intertrigos : traitement

Le trai­te­ment d’un inter­tri­go dépend de son ori­gine. Ordi­nai­re­ment, elle com­mence par une cor­rec­tion des fac­teurs de risques et l’administration de conseils d’hygiènes spé­ci­fiques au patient. Ensuite, elle se pour­suit selon le cas par une médication.

La médi­ca­tion en cas d’intertrigos peut se faire soit par voie locale, per os ou par voie orale. Dans le cadre du trai­te­ment local, on recom­mande géné­ra­le­ment d’appliquer l’imidazole sur tous les foyers pen­dant 2 à 4 semaines. Le trai­te­ment per os quant à lui est utile uni­que­ment en pré­sence d’un foyer extra-cuta­né, sur­tout digestif.

Pour finir, on recom­mande le trai­te­ment par voie orale dans les formes réci­di­vantes, éten­dues ou encore en cas d’immunodépression. Les prin­ci­paux médi­ca­ments uti­li­sés sont à base de ter­bi­na­fine (250 mg/j) et de flu­co­na­zole (150 mg/semaine).

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