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Thrombocytose : causes, symptômes et traitements

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La throm­bo­cy­tose est une ano­ma­lie qui affecte les pla­quettes san­guines. En effet, ces pla­quettes sont des cel­lules qui aident l’organisme dans le pro­ces­sus de coa­gu­la­tion san­guine. Elles doivent donc être en quan­ti­té adé­quate et rai­son­nable dans l’organisme, en vue de rem­plir conve­na­ble­ment leur rôle. Cepen­dant, leur quan­ti­té peut être bou­le­ver­sée par dif­fé­rents élé­ments internes ou externes à l’individu. Quels sont les causes, les symp­tômes et les trai­te­ments rela­tifs à la thrombocytose ?

Description de la thrombocytose

Définition

La throm­bo­cy­tose désigne une ano­ma­lie qui implique une aug­men­ta­tion anor­male des pla­quettes san­guines. Elle est un trouble héma­to­lo­gique, dont l’absence de prise en charge conduit à de graves complications.

En effet, les pla­quettes san­guines dési­gnent des cel­lules san­guines capi­tales dans la coa­gu­la­tion san­guine, pour la cica­tri­sa­tion des bles­sures. Elles sont pro­duites par la moelle épi­nière en nombre adé­quat, et inter­viennent en cas de petites cou­pures ou de plaies.

Par consé­quent, il y a throm­bo­cy­tose lorsque le nombre de ces pla­quettes san­guines dif­fère des valeurs nor­males et aug­mente. De plus, la throm­bo­cy­tose encore appe­lée hyper­pla­quet­tose ou throm­bo­cy­té­mie, est un trouble silen­cieux dans la plu­part des cas. Cepen­dant, elle reste dan­ge­reuse en cas d’absence de traitement.

Caractéristiques de la thrombocytose

La throm­bo­cy­tose est un trouble qui affecte la pro­duc­tion de la moelle épi­nière en pla­quettes. En effet, en moyenne cet organe pro­duit nor­ma­le­ment un nombre de pla­quettes com­pris en 150 à 400 mm³. Ain­si, il est consi­dé­ré comme patient atteint de ce trouble, lorsqu’une per­sonne a plus que ce taux dans l’organisme.

Par consé­quent, les carac­té­ris­tiques prin­ci­pales et secon­daires du trouble de throm­bo­cy­tose, sont les suivantes :

  • Un taux de pla­quettes qui excède 400 mm³ ;
  • Un héma­to­crite supé­rieur à 50 % chez les hommes et à 45 % chez les femmes ;
  • Une pré­sence de fer médullaire ;
  • Une splé­no­mé­ga­lie inconstante ;
  • Une absence de fibrome médullaire ;
  • Une absence de chro­mo­somes Philadelphie.

Lorsque ces cri­tères sont réunis, le patient est atteint de thrombocytose.

Quels sont les différents types de thrombocytose ?

La throm­bo­cy­tose se pré­sente sous trois dif­fé­rentes formes. Il s’agit de la throm­bo­cy­tose pri­maire, la throm­bo­cy­tose secon­daire et celle fami­liale. Ces trois types sont liés à une ano­ma­lie des valeurs nor­males des pla­quettes dans l’organisme.

Thrombocytose primaire ou essentielle

Ce type de throm­bo­cy­tose est remar­qué seule­ment dans 10 à 20 % des cas. Il est dési­gné throm­bo­cy­tose pri­maire ou essen­tielle, puisqu’il est la consé­quence d’une mala­die propre à la moelle épi­nière. Autre­ment dit, la throm­bo­cy­tose pri­maire est la consé­quence des mala­dies du sang dont le patient aurait souf­fert dans le passé.

Thrombocytose secondaire ou réactionnelle

Ce type de throm­bo­cy­tose se mani­feste dans 80 % à 90 % des cas. Cette forme d’anomalie inter­vient suite à un évè­ne­ment exté­rieur tel que :

  • Le stress ;
  • Le trouble inflammatoire ;
  • La carence en fer ;
  • Le can­cer ;
  • Le trau­ma­tisme.

La throm­bo­cy­tose secon­daire peut être aiguë ou tran­si­toire. Elle est aiguë lorsque l’anomalie devient sévère et per­dure dans le temps, impli­quant des com­pli­ca­tions. Elle est tran­si­toire quand l’anomalie est pas­sa­gère et dure moins de temps.

Thrombocytose familiale

Elle est la forme la plus rare et excep­tion­nelle de cette ano­ma­lie du taux de pla­quettes dans le sang. Elle se remarque dans envi­ron 5 % à 10 % des cas et est liée à une pré­dis­po­si­tion géné­tique. La throm­bo­cy­tose fami­liale se mani­feste par une ano­ma­lie géné­tique et héré­di­taire, qui porte sur le gène de la thyroperoxydase.

Par ailleurs, il peut y avoir une pré­sence de fausses throm­bo­cytes, liée à une erreur de comp­ta­bi­li­sa­tion lors de l’hémogramme. Ce cas se pré­sente lorsqu’au cours de l’analyse, des par­ti­cules sont comp­ta­bi­li­sées comme étant des pla­quettes sans l’être en réa­li­té. Il s’agit là d’une erreur de l’analyse médicale.

Quelles sont les causes de la thrombocytose ?

Les fac­teurs qui entraînent la throm­bo­cy­tose varient en fonc­tion de chaque type de cette ano­ma­lie. Ain­si, les causes de l’apparition de la throm­bo­cy­tose pri­maire dif­fèrent de celles de la throm­bo­cy­tose secon­daire. Quant à la throm­bo­cy­tose fami­liale, elle est sim­ple­ment d’origine héréditaire.

Causes de la thrombocytose primaire

La throm­bo­cy­tose peut être engen­drée par diverses mala­dies du sang, bénignes ou graves. À cet effet, cette ano­ma­lie est géné­ra­le­ment cau­sée par une myé­lo­fi­brose pri­mi­tive. Pour faire simple, il s’agit tout juste du can­cer de la moelle osseuse.

De plus, la throm­bo­cy­tose essen­tielle peut être cau­sée par la mala­die de Vaquez. Cette der­nière est un trouble chro­nique, mar­qué par l’excès de glo­bules rouges dans le sang. Elle peut éga­le­ment être engen­drée par cer­taines mala­dies mar­quées par l’excès de pla­quettes san­guines.

À ces mala­dies, s’ajoutent les syn­dromes myé­lo­dys­pla­siques, l’anémie réfrac­taire sidé­ro­blas­tique et le syn­drome 5q‑, qui est une forme rare d’anémie. En outre, cette ano­ma­lie peut être cau­sée par des mala­dies rela­tives à une impor­tante pro­duc­tion de plu­sieurs types de cellules.

Causes de la thrombocytose secondaire

La throm­bo­cy­tose secon­daire peut être cau­sée par :

  • Une carence en fer ;
  • Un trouble inflam­ma­toire chronique ;
  • Une hémor­ra­gie importante ;
  • Une hémo­lyse ;
  • Un can­cer ;
  • Un stress extrême ;
  • Une inter­ven­tion chi­rur­gi­cale ou lors d’une chimiothérapie ;
  • Un accou­che­ment qui a perduré ;
  • Une acti­vi­té phy­sique extrême ;
  • Un grave traumatisme ;
  • Une ané­mie aiguë ou ferriprive ;
  • Un sevrage alcoo­lique lors d’une thrombopénie ;
  • Une splé­nec­to­mie qui est une abla­tion de la rate.

Par ailleurs, la throm­bo­cy­tose peut être liée à des infec­tions bac­té­riennes dans 25 % des cas. De plus, elle peut être cau­sée par des mala­dies inflam­ma­toires arti­cu­laires, dont la rec­to­co­lite hémorragique.

Quelles sont les personnes à risque de la thrombocytose ?

Cette patho­lo­gie mar­quée par la pro­duc­tion exces­sive des cel­lules san­guines est plus remar­quée chez cer­taines caté­go­ries de per­sonnes. Tout d’abord, elle se déve­loppe chez les per­sonnes âgées, plus pré­ci­sé­ment celles de la cin­quan­taine ou de la soixantaine.

Ensuite, elle se remarque aus­si for­te­ment chez les femmes et sur­tout celles qui prennent fré­quem­ment des contra­cep­tifs oraux. En effet, le contra­cep­tif oral contient un prin­cipe actif qui accé­lère l’apparition de throm­bo­cy­tose.

Enfin, la throm­bo­cy­tose peut appa­raître depuis l’enfance, notam­ment lorsqu’il s’agit d’une throm­bo­cy­tose familiale.

Quels sont les symptômes de la thrombocytose ?

La throm­bo­cy­tose reste géné­ra­le­ment asymp­to­ma­tique pen­dant une longue période. Tou­te­fois, cer­taines per­sonnes souf­frant de cette ano­ma­lie, peuvent pré­sen­ter quelques symp­tômes bien pré­cis. Il faut pré­ci­ser que ces symp­tômes dif­fèrent selon chaque type de throm­bo­cy­tose, et donc de l’origine de l’anomalie.

Tou­te­fois, les symp­tômes liés géné­ra­le­ment aux dif­fé­rents types de throm­bo­cy­tose sont entre autres :

  • La fatigue géné­rale, la fièvre ;
  • Les bouf­fées de cha­leur, les étourdissements ;
  • Les cépha­lées, les vertiges ;
  • Les dou­leurs notam­ment au niveau de l’un des membres infé­rieurs ou de la poitrine ;
  • Les pro­blèmes de peau, dont les rou­geurs ou les œdèmes ;
  • Les pico­te­ments ou la sen­sa­tion de cha­leur aux pieds et aux jambes ;
  • La trans­pi­ra­tion excessive ;
  • L’altération de la vision ;
  • Les déman­geai­sons cutanées ;
  • La longue cica­tri­sa­tion des plaies ;
  • Les dou­leurs au mollet.

Par ailleurs, il faut pré­ci­ser que ces signes sont insuf­fi­sants pour éta­blir la pré­sence d’une throm­bo­cy­tose. En cas d’apparition, il est néces­saire de consul­ter le plus tôt pos­sible un héma­to­logue.

Quelles sont les éventuelles complications de la thrombocytose ?

L’absence de trai­te­ment de la throm­bo­cy­tose conduit géné­ra­le­ment à d’autres com­pli­ca­tions. Les plus remar­quées sont spé­ci­fiques et sont notam­ment les throm­boses vei­neuses, arté­rielles et les hémorragies.

Les thromboses

Les throm­boses sont des com­pli­ca­tions de la throm­bo­cy­tose. Elles sont encore appe­lées phlé­bites, et indiquent une for­ma­tion de caillots de sang au niveau d’un vais­seau san­guin. De plus, ces patho­lo­gies peuvent être bénignes ou graves, compte tenu de la par­tie qu’elles affectent.

Ain­si, la for­ma­tion des caillots de sang par endroit peut conduire à un infarc­tus du myo­carde ou à une crise car­diaque. La throm­bose peut aus­si entraî­ner un acci­dent vas­cu­laire céré­bral ou d’autres acci­dents vas­cu­laires. Ces der­niers peuvent appa­raître au niveau des membres infé­rieurs ou de l’intestin.

Les hémorragies

Dans la plu­part des cas, la throm­bo­cy­tose conduit à des hémor­ra­gies avec des sai­gne­ments légers ou abon­dants. Il s’agit géné­ra­le­ment de sai­gne­ments san­guins externes et rare­ment de sai­gne­ments internes. À cet effet, il peut être ques­tion de sai­gne­ments de nez ou des gen­cives. Il peut aus­si y avoir une pré­sence de traces de sang dans l’urine.

Autres complications

La throm­bo­cy­tose peut, en outre, conduire à d’autres com­pli­ca­tions que sont :

  • L’accident vas­cu­laire céré­bral de type ischémique ;
  • L’embolie pul­mo­naire indi­quant la des­truc­tion des artères pul­mo­naires par la for­ma­tion de caillots de sang ;
  • L’artériopathie qui est une mala­die carac­té­ri­sée par le rétré­cis­se­ment des vais­seaux sanguins.

Comment diagnostique-t-on la thrombocytose ?

Géné­ra­le­ment, le diag­nos­tic de la throm­bo­cy­tose s’effectue par un exa­men cli­nique et par des ana­lyses médicales.

Examen clinique

Afin d’établir le diag­nos­tic de cette ano­ma­lie, l’hématologue passe à un exa­men du patient et prend en consi­dé­ra­tion cer­taines remarques. Ces remarques aident le méde­cin à décla­rer en un pre­mier temps la throm­bo­cy­tose. Elles sont rela­tives aux :

  • Symp­tômes pré­sen­tés par le patient ;
  • Ren­sei­gne­ments don­nés par le patient sur l’histoire de ce dont il souffre.

Analyses médicales

Après l’examen cli­nique, le méde­cin peut recom­man­der des ana­lyses médi­cales com­plé­men­taires. Ces ana­lyses per­mettent de confir­mer cette ano­ma­lie de l’excès des pla­quettes dans le sang.

Ain­si, l’analyse médi­cale la plus recom­man­dée est la Numé­ra­tion For­mule San­guine (NFS), encore appe­lée l’hémogramme. Elle est réa­li­sée par une prise de sang, et per­met de véri­fier s’il y a pré­sence de throm­bo­cy­tose. En effet, elle per­met de déter­mi­ner la quan­ti­té des pla­quettes conte­nues dans le sang. Cela per­met d’établir si les pla­quettes sont en nombre infé­rieur ou supé­rieur aux valeurs normales.

En outre, en dehors de l’hémogramme, d’autres ana­lyses peuvent être recom­man­dées. Ces ana­lyses per­mettent de détec­ter avec pré­ci­sion s’il s’agit d’une throm­bo­cy­tose pri­maire ou secon­daire. Il s’agit :

  • D’un frot­tis san­guin étu­dié au micro­scope à l’aide d’une goutte de sang ;
  • D’une fer­ri­ti­né­mie ;
  • D’une vitesse de sédimentation ;
  • D’une écho­gra­phie abdominopelvienne ;
  • D’une radio­gra­phie pulmonaire ;
  • D’une ponc­tion lombaire ;
  • D’une ana­lyse de la moelle osseuse ;
  • D’un caryo­type médullaire.

L’ensemble de ces ana­lyses per­met de diag­nos­ti­quer avec pré­ci­sion la throm­bo­cy­tose et le type dont il s’agit. Cepen­dant, elles doivent être réa­li­sées à deux reprises, pour garan­tir l’exactitude des résultats.

Quels sont les traitements possibles en cas de thrombocytose ?

Le trai­te­ment de la throm­bo­cy­tose a pour objec­tif de réduire le nombre de pla­quettes conte­nues dans le sang. Il se fait compte tenu du type de throm­bo­cy­tose dont il s’agit. Ain­si, le trai­te­ment admi­nis­tré en cas de throm­bo­cy­tose pri­maire, dif­fère de celui admi­nis­tré en cas de throm­bo­cy­tose secondaire.

Traitement en cas de thrombocytose primaire

Le trai­te­ment en cas de throm­bo­cy­tose pri­maire repose prin­ci­pa­le­ment sur un trai­te­ment médi­ca­men­teux. Les dif­fé­rents médi­ca­ments géné­ra­le­ment pres­crits dans ces cas sont entre autres : l’hydroxyurée, l’anagrélide et l’interféron alpha-2b.

Par ailleurs, il faut pré­ci­ser que ces médi­ca­ments sont pres­crits dans des cas bien pré­cis. Il s’agit :

  • D’un acci­dent isché­mique transitoire ;
  • D’une hémor­ra­gie importante ;
  • D’un âge avancé ;
  • D’une appa­ri­tion de migraine sévère comme symptôme ;
  • D’un risque car­dio­vas­cu­laire fort.

De plus, le méde­cin trai­tant peut exi­ger une chi­mio­thé­ra­pie pour ren­for­cer le trai­te­ment de la throm­bo­cy­tose. Le trai­te­ment de la throm­bo­cy­tose pri­maire doit être rigou­reu­se­ment admi­nis­tré par un héma­to­logue, et néces­site une sur­veillance médi­cale.

Traitement en cas de thrombocytose secondaire

La gué­ri­son de la throm­bo­cy­tose secon­daire repose essen­tiel­le­ment sur le trai­te­ment des causes l’ayant engen­drée. Ain­si, dans le cas d’une ané­mie fer­ri­prive, le trai­te­ment est basé sur la prise de fer. Cela per­met de cor­ri­ger l’anémie et par consé­quent, l’anomalie d’excès de pla­quettes san­guines disparaît.

De plus, l’hématologue peut pro­cé­der à une throm­bo­cy­ta­phé­rèse. C’est une pro­cé­dure médi­cale qui implique un pré­lè­ve­ment san­guin adé­quat pour reti­rer les pla­quettes en sur­plus. À la fin de pro­cé­dure, le sang est réin­jec­té au patient.

En outre, de l’aspirine à faibles doses peut être admi­nis­trée aux patients, pour flui­di­fier leur sang au cours du trai­te­ment. Aus­si est-il impor­tant d’éviter le tabac, l’alcool et la consom­ma­tion d’aliments gras pauvres en fibres au cours du traitement.

Par ailleurs, des consul­ta­tions régu­lières avec l’hématologue doivent être rigou­reu­se­ment effec­tuées par le patient au cours du trai­te­ment. Ces consul­ta­tions per­mettent de suivre l’évolution de la mala­die, et per­mettent au méde­cin d’évaluer l’efficacité du trai­te­ment. Elles per­mettent éga­le­ment au méde­cin de prendre de nou­velles déci­sions médi­cales, notam­ment d’administrer un nou­veau traitement.

Comment prévenir la thrombocytose ?

Les mesures pré­ven­tives de la throm­bo­cy­tose concernent l’évitement des patho­lo­gies à l’origine de cette ano­ma­lie. Tou­te­fois, de façon géné­rale il est recommandé :

  • D’éviter la prise exces­sive de contra­cep­tif oral ;
  • D’effectuer régu­liè­re­ment des acti­vi­tés physiques ;
  • D’éviter le stress extrême ;
  • D’effectuer des consul­ta­tions pour pré­ve­nir ou contrô­ler le diabète ;
  • De stop­per la prise du tabac ;
  • De contrô­ler régu­liè­re­ment sa masse cor­po­relle afin d’éviter le surpoids ;
  • D’adopter une ali­men­ta­tion saine et équilibrée ;
  • D’éviter une hor­mo­no­thé­ra­pie substitutive ;
  • De res­ter suf­fi­sam­ment hydraté ;
  • D’éviter la prise exces­sive des bois­sons sucrées et de l’alcool ;
  • De man­ger les ali­ments riches en fer ;
  • D’éviter une vie de séden­ta­ri­té ;
  • De suivre rigou­reu­se­ment le trai­te­ment admi­nis­tré par le méde­cin, en cas de trai­te­ment anticancéreux.

Par ailleurs, en ce qui concerne la throm­bo­cy­tose héré­di­taire, les per­sonnes qui y sont pré­dis­po­sées doivent prendre des mesures rigou­reuses. Ain­si, dès le bas âge, elles doivent suivre ces mesures pré­ven­tives et avoir un mode de vie sain.

 

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