HomeSantéBeta HCG gonadotrophine chorionique humaine : valeurs normales, intérêt clinique

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : valeurs normales, intérêt clinique

Publié le

spot_img

La gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est une hor­mone sexuelle com­po­sée de gly­co­pro­téines. Elle fait 37,9 kDa et on dénombre dans sa struc­ture envi­ron 237 acides ami­nés. Ces der­niers sont répar­tis non équi­ta­ble­ment entre ses deux chaînes : la chaîne béta (β‑HCG) et la chaîne alpha (α‑HCG).

La béta HCG qui cor­res­pond à la plus longue chaîne de gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est pro­duite prin­ci­pa­le­ment durant la gros­sesse. Elle est indis­pen­sable au main­tien du corps jaune et ses varia­tions per­mettent un sui­vi opti­mal de la gros­sesse. De plus, en dehors de la gros­sesse, son dosage per­met de poser le diag­nos­tic de plu­sieurs mala­dies. Voi­ci l’essentiel à rete­nir sur la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine.

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : définition

La béta HCG (ou béta hCG/­bé­ta-gona­do­tro­phine cho­rio­ni­que/­bé­ta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine) est une hor­mone de gly­co­pro­téine à longue chaîne consti­tuée de 145 acides ami­nés. Consi­dé­rée comme un mar­queur majeur de l’activité des tro­pho­blastes, elle est la com­po­sante prin­ci­pale de la gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine. En effet, c’est elle qui octroie à la gona­do­tro­phine cho­rio­nique la qua­si-tota­li­té des pro­prié­tés qu’on lui connaît. Elle est codée dans l’organisme par des séquences géno­miques homo­logues retrou­vées sur le dix-neu­vième chro­mo­some. La demi-vie de la béta-gona­do­tro­phine est éva­luée à 48 heures à comp­ter du moment où elle est synthétisée.

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : sécrétion

La sécré­tion de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est faite par les cel­lules cyto­tro­pho­blastes et syn­cy­tio­tro­pho­blastes. Il s’agit de cel­lules vil­lo­si­taires mono­nu­clées qui résultent de la dif­fé­ren­cia­tion des cel­lules du tro­pho­blaste embryon­naire. Elles vont consti­tuer plus tard le pla­cen­ta qui est indis­pen­sable pour la crois­sance fœtale.

Quand elle est sécré­tée par les cel­lules cyto­tro­pho­blastes et syn­cy­tio­tro­pho­blastes, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est inac­tive. Pour que son acti­vi­té hor­mo­nale débute, il faut au préa­lable qu’elle se com­bine à une autre chaîne alpha de gona­do­tro­phine. Par exemple :

  • Une chaîne alpha de HCG (gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine) ;
  • Une chaîne alpha de FSH (hor­mone fol­li­cu­lo-sti­mu­lante) ;
  • Une chaîne alpha de LH (hor­mone lutéi­ni­sante) ;
  • Une chaîne alpha de TSH (thy­réo­sti­mu­line ou Thy­roid-sti­mu­la­ting hor­mone)

Il est à noter, par ailleurs, qu’excepter les cel­lules cyto­tro­pho­blastes et syn­cy­tio­tro­pho­blastes, il n’existe pas d’autres glandes capables de syn­thé­ti­ser la béta HCG. Pour cela, les taux sériques de béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine connaissent géné­ra­le­ment une hausse seule­ment en début de grossesse.

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : rôles physiologiques

Beta HCG

La béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est une hor­mone qui joue de nom­breux rôles phy­sio­lo­giques dans l’organisme. Elle contri­bue entre autres :

  • au main­tien du corps jaune ;
  • à la sécré­tion des œstro­gènes et de la pro­ges­té­rone durant la grossesse ;
  • à la dif­fé­ren­cia­tion sexuelle embryonnaire ;
  • au main­tien de la grossesse.

Hor­mis les fonc­tions sus­men­tion­nées, la forme syn­thé­ti­sée de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est éga­le­ment uti­li­sée en thé­ra­pie pour le trai­te­ment de plu­sieurs mala­dies. Elle per­met par exemple, de trai­ter l’ano­vu­la­tion, la dys­ovu­la­tion et inter­vient dans les pro­to­coles de pro­créa­tion assis­tée médicalement.

Maintien de l’activité du corps jaune

Le corps jaune (ou cor­pus luteum) cor­res­pond à un tis­su fol­li­cu­laire for­mé au niveau des ovaires. Il résulte du cou­plage du fol­li­cule mûr (fol­li­cule de De Graaf) à un cer­tain nombre de vais­seaux san­guins après que l’ovo­cyte ait été expul­sé lors de l’ovulation. Il peut selon qu’il y a eu fécon­da­tion ou pas, por­ter des déno­mi­na­tions dif­fé­rentes : corps jaune cyclique et corps jaune gra­vi­dique. Avant la fécon­da­tion comme après, le corps jaune joue de nom­breux rôles phy­sio­lo­giques néces­saires pour le bon dérou­le­ment d’une grossesse.

Dans le pre­mier cas, il dis­pose l’endomètre à rece­voir l’œuf lorsqu’il y a eu fécon­da­tion. En effet, c’est en grande par­tie sous son influence que l’endomètre qui en début de cycle mens­truel est géné­ra­le­ment fin s’épaissit pour créer un envi­ron­ne­ment oppor­tun pour accueillir l’embryon. À cette étape, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine n’intervient pas.

Dans le second cas en revanche, après qu’il y a eu une fécon­da­tion, c’est sous l’effet de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine que l’activité du corps jaune est main­te­nue. En réa­li­té, à la fin d’un cycle mens­truel, le corps jaune arrête de fonc­tion­ner. Un nou­veau cycle peut alors être enta­mé et l’utérus peut au bout de quelques jours (28 en moyenne) se contrac­ter à nou­veau pour per­mettre l’écoulement des mens­trues.

En situa­tion de fécon­da­tion, les contrac­tions de l’utérus vont entraî­ner l’avortement du fœtus. Pour pré­ve­nir cela, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine va per­mettre au corps jaune de pour­suivre son acti­vi­té empê­chant ain­si la cavi­té uté­rine de se contrac­ter. La crois­sance de l’embryon peut, par consé­quent, conti­nuer. La béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine main­tient l’activité du corps jaune du 9e jour de gros­sesse à la fin du pre­mier trimestre.

Sécrétion des œstrogènes et de la progestérone durant la grossesse

Durant la gros­sesse, pour la crois­sance opti­male du fœtus, plu­sieurs hor­mones dont les plus impor­tantes sont les œstro­gènes et la pro­ges­té­rone tra­vaillent en syner­gie. Il faut noter que la sécré­tion de ces der­nières aux dif­fé­rents tri­mestres de la gros­sesse est modu­lée par la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine.

Durant les pre­mières semaines de la gros­sesse, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine va pro­vo­quer la for­ma­tion du corps jaune gra­vi­dique. Déri­vé du corps jaune cyclique (corps jaune en absence de fécon­da­tion), il résulte d’une com­bi­nai­son des cel­lules du corps jaune aux cel­lules de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine. Le corps jaune deve­nu gra­vi­dique acquiert ain­si une pro­prié­té lutéo­tro­phique qui va lui per­mettre de syn­thé­ti­ser les œstro­gènes et la pro­ges­té­rone néces­saire pour le bon dérou­le­ment de la gros­sesse. L’acti­vi­té hor­mo­nale du corps jaune gra­vi­dique s’achève géné­ra­le­ment à la sep­tième semaine d’aménorrhée.

À par­tir de la sep­tième semaine d’aménorrhée, pour per­mettre la pour­suite de la syn­thèse des œstro­gènes et de la pro­ges­té­rone, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine va sti­mu­ler le pla­cen­ta. Les pré­cur­seurs andro­gé­niques dont il est pour­vu vont en réponse à cette sti­mu­la­tion pro­cé­der à la syn­thèse des œstro­gènes et de la pro­ges­té­rone. L’acti­vi­té hor­mo­nale du pla­cen­ta est tout de même main­te­nue sous l’effet de la béta-gona­do­tro­phine jusqu’à la fin de la grossesse.

Différenciation sexuelle primaire

La dif­fé­ren­cia­tion sexuelle cor­res­pond au déve­lop­pe­ment des gonades. Elle com­mence depuis la phase embryon­naire et se pour­suit à l’adolescence avec l’apparition des carac­tères sexuels secon­daires. La phase de dif­fé­ren­cia­tion embryon­naire qui cor­res­pond à la dif­fé­ren­cia­tion sexuelle pri­maire dépend de nom­breuses hor­mones y com­pris la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine.

Au début de la dif­fé­ren­cia­tion et par­ti­cu­liè­re­ment au niveau des deux pre­mières phases (la phase d’ébauche des appa­reils géni­taux et la phase du pas­sage au sexe gona­dique) les gonades sont indif­fé­ren­ciées. En d’autres termes, l’appareil géni­tal de l’embryon pré­sente les ébauches des voies géni­tales mâles (canaux de Wolff) et femelles (canaux de Mül­ler). La béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine n’intervient à aucune de ces phases.

En revanche, à la troi­sième étape (phase de pas­sage au sexe phé­no­ty­pique dif­fé­ren­cié), la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine va jouer un rôle déter­mi­nant dans le déve­lop­pe­ment des gonades mas­cu­lin. En effet, c’est elle qui va sti­mu­ler dans le tes­ti­cule fœtal la sécré­tion des hor­mones sté­roïdes (hor­mone antimül­lé­rienne, tes­to­sté­rone) néces­saires pour la mas­cu­li­ni­sa­tion com­plète de l’appareil géni­tal embryon­naire. Elle n’intervient pas cepen­dant dans la matu­ra­tion de l’appareil géni­tal fémi­nin, car dans ce cas la matu­ra­tion est faite spon­ta­né­ment et ne dépend d’aucune hormone.

Maintien de la grossesse

La béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine exerce une action relaxante sur le myo­mètre qui désigne le muscle qui tapisse la cavi­té uté­rine. Se fai­sant, elle module son acti­vi­té contrac­tile et favo­rise un bon main­tien de la gros­sesse. Outre cela, elle entraîne éga­le­ment la dila­ta­tion des vais­seaux uté­rins, ce qui per­met un appro­vi­sion­ne­ment opti­mal de l’utérus en sang. Par consé­quent, les besoins en nutri­ments et en oxy­gène de la ges­tante ain­si que ceux de l’embryon sont cou­verts. Cela favo­rise un bon main­tien de la grossesse.

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : valeurs normales

Beta HCG

Chez un homme ou une femme en l’absence de condi­tions phy­sio­lo­giques ou de patho­lo­gies pou­vant favo­ri­ser la sécré­tion de la béta-HCG, le taux sérique de béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique doit être infé­rieur à 5 UI/litre.

Durant la gros­sesse qui est une condi­tion phy­sio­lo­gique nor­male où la sécré­tion de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique est opti­mi­sée, les valeurs nor­males varient en fonc­tion des semaines de gros­sesse. Elles sont pré­ci­sées dans le tableau ci-dessous.

 

Semaine de grossesse Valeur nor­male de béta-HCG
0 Infé­rieure à 5 UI/litre
Pre­mière semaine Com­prise entre 5–20 UI/litre
Deuxième semaine Com­prise entre 100–6 000 UI/litre
Troi­sième semaine Com­prise entre 1500–25 000 UI/litre
Qua­trième semaine Com­prise entre 2400–70 000 UI/litre
Cin­quième semaine Com­prise entre 10 000 — 130,000 UI/litre
Sixième semaine Com­prise entre 30 000 — 200,000 UI/litre
Sep­tième semaine Com­prise entre 35 000 — 160,000 UI/litre
Hui­tième semaine Com­prise entre 25 000 — 140,000 UI/litre
Entre neuf et seize semaines Com­prise entre 30 000 — 100,000 UI/litre
Entre dix-sept et vingt-quatre semaines Com­prise entre 10 000–30 000 UI/litre
À par­tir de la vingt-cin­quième semaine Supé­rieure à 15 000 UI/litre

Il faut noter pour finir que chez l’homme il n’existe aucune condi­tion phy­sio­lo­gique pou­vant jus­ti­fier la hausse des taux sériques de béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine.

Beta HCG gonadotrophine chorionique humaine : intérêt clinique du dosage

En milieu cli­nique, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine pré­sente de nom­breux inté­rêts. Les plus impor­tants concernent :

  • le diag­nos­tic pré­coce et le sui­vi d’une gros­sesse intra-utérine ;
  • le diag­nos­tic et le trai­te­ment d’une gros­sesse extra-utérine ;
  • les mala­dies trophoblastiques ;
  • les can­cers du pou­mon et des seins ;
  • le dépis­tage pré­coce de la tri­so­mie 21.

Plus rare­ment, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est effec­tué pour le diag­nos­tic des cho­rio­car­ci­nomes (cho­rio­car­ci­nome ova­rien et cho­rio­car­ci­nome testiculaire).

Diagnostic précoce et suivi d’une grossesse intra-utérine

La posi­ti­vi­té plas­ma­tique de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine repré­sente l’un des pre­miers signes annon­cia­teurs d’une gros­sesse intra-uté­rine. En effet, la béta-HCG est pré­sente dans le sang péri­phé­rique mater­nel dès la pre­mière semaine de gros­sesse ou 48 heures après une nida­tion arti­fi­cielle. De ce fait, elle peut être dosée avant même le retard des mens­trues et la sur­ve­nue des symp­tômes cli­niques, en vue de diag­nos­ti­quer une gros­sesse intra-utérine.

Outre le diag­nos­tic pré­coce d’une gros­sesse intra-uté­rine, le dosage de la béta-HCG donne éga­le­ment des orien­ta­tions pour le choix des écho­gra­phies à faire pour un sui­vi opti­mal de gros­sesse. En effet, il est admis en milieu cli­nique, qu’une gros­sesse intra-uté­rine est :

  • Éli­gible pour un sui­vi par écho­gra­phie abdo­mi­nale lorsque le taux plas­ma­tique de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est supé­rieure ou égale à 2500 UI/ml.
  • Éli­gible pour un sui­vi par écho­gra­phie endo­va­gi­nale lorsque le taux plas­ma­tique de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est supé­rieure ou égale à 1500 UI/ml.

Ces normes sont éga­le­ment valables pour les gros­sesses extra-uté­rines qu’elles soient ecto­piques ou non.

Diagnostic et traitement d’une grossesse extra-utérine

Des varia­tions impor­tantes de taux plas­ma­tiques de béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine sont obser­vées dans le cadre de la gros­sesse extra-uté­rine, com­pa­ra­ti­ve­ment à une gros­sesse intra-uté­rine. Pour cela, en milieu cli­nique le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est fait pour diag­nos­ti­quer une gros­sesse extra-utérine.

En géné­ral, dans le diag­nos­tic d’une gros­sesse extra-uté­rine, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique est cou­plé à une écho­gra­phie pel­vienne. Le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique et l’échographie pel­vienne sont les deux exa­mens les plus effi­caces pour poser le diag­nos­tic pré­coce d’une gros­sesse extra-uté­rine.

Excep­té l’intérêt diag­nos­tic, dans la gros­sesse extra-uté­rine, le dosage de la béta-HCG repré­sente une aide à la déci­sion thé­ra­peu­tique et à la sur­veillance du trai­te­ment. En effet, c’est en fonc­tion de ce dosage qu’une abs­ten­tion thé­ra­peu­tique, un trai­te­ment médi­cal ou un trai­te­ment chi­rur­gi­cal (conser­va­teur ou non conser­va­teur de la trompe) est admi­nis­tré au patient.

Maladies trophoblastiques

Les mala­dies tro­pho­blas­tiques sont à la base de la varia­tion de la sécré­tion de plu­sieurs hor­mones, par­mi les­quelles figure la béta-HCG. Pour cette rai­son, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est consi­dé­ré comme un mar­queur majeur de plu­sieurs para­mètres affé­rents à ces mala­dies. Par exemple, il y a :

  • le diag­nos­tic ;
  • le pro­nos­tic vital ;
  • le choix du traitement ;
  • la sur­veillance du traitement.

Ain­si, il est uti­li­sé pour diag­nos­ti­quer les mala­dies tro­pho­blas­tiques et per­met de suivre leur évo­lu­tion.

Les cancers du poumon et des seins

Cer­tains can­cers comme le can­cer du sein et le can­cer du pou­mon entraînent une sécré­tion impor­tante de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine. Pour effec­tuer le diag­nos­tic de ces can­cers et sur­veiller leur trai­te­ment, la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine peut être mise en évi­dence dans le sang.

Le dépistage précoce de la trisomie 21

D’après plu­sieurs études scien­ti­fiques concor­dantes, les taux de béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine aug­mentent dans les gros­sesses qui font objet à la tri­so­mie 21. De ce fait, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine est uti­li­sé pour poser le diag­nos­tic pré­coce de la tri­so­mie 21.

D’ordinaire, le dosage de la béta-gona­do­tro­phine cho­rio­nique humaine à lui seul ne suf­fit pas pour poser le diag­nos­tic de la tri­so­mie 21. On l’associe donc à d’autres dosages. Par exemple, le dosage de l’estriol libre (UE3) et le dosage plas­ma­tique de l’alpha fœto­pro­téine.

 

 

Derniers articles

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...

8 aliments à consommer pour réduire la graisse abdominale

Saviez-vous que notre santé est largement influencée par nos choix alimentaires au quotidien ?...

Pour aller plus loin

La question de la qualité nutritionnelle des repas en résidence senior

Le bien-être de nos parents et grands-parents est une préoccupation constante, surtout lorsque l'âge...

Prophylaxie médicale : tout savoir sur les masques FFP

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’utilisation des masques respiratoires s’est largement répandue dans...

Comment booster la présence de collagène dans votre organisme ?

Le collagène est un composant bien connu dans le monde du cosmétique. Au-delà de...