HomeParapharmacieVaccination contre la varicelle : indications, efficacité, contre-indication, effets indésirables

Vaccination contre la varicelle : indications, efficacité, contre-indication, effets indésirables

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La vari­celle fait par­tie des mala­dies infec­tieuses virales de la peau. Elle se mani­feste par une pré­sence de petits bou­tons rouges sur la peau et les muqueuses. Elle est très conta­gieuse, pour la pré­ve­nir, il est impor­tant de se faire admi­nis­trer un vac­cin. La vac­ci­na­tion est le seul moyen pour ne pas contrac­ter la varicelle.

La varicelle, mieux l’appréhender

La vari­celle est une affec­tion de la peau pro­vo­quée par le virus vari­celle-zona. C’est une mala­die conta­gieuse qui se révèle par une érup­tion cuta­née qui pour la plu­part est inof­fen­sive et dis­pa­raît d’elle-même. Cette érup­tion cuta­née est accom­pa­gnée d’une fièvre, d’une déman­geai­son et d’une mala­die générale.

La vari­celle est une mala­die infan­tile et donc est très fré­quente chez les enfants et les ado­les­cents. Elle est aus­si une affec­tion immu­ni­sante, car une fois tom­bé malade et gué­rir de cette der­nière on est immu­ni­sé contre elle pour la vie. C’est pour­quoi dans cer­tains pays comme la France, seuls les ado­les­cents ou jeunes adultes qui n’ont pas eu la vari­celle dans l’enfance sont à même de se faire vacciner.

La conta­mi­na­tion de la vari­celle a lieu par l’inhalation des sécré­tions res­pi­ra­toires ou par contact avec une per­sonne infec­tée. Une fois atteint de la vari­celle, même sans déve­lop­per les signes on peut déjà conta­mi­ner, trans­mettre le mal à autrui. Cette mala­die se gué­rir en une ou deux semaines.

Elle se révèle grave chez les per­sonnes dont le sys­tème immu­ni­taire a pris un coup et chez les adultes. Les com­pli­ca­tions sont alors mul­tiples et mul­ti­formes. Il peut s’agir d’une pneu­mo­nie qui est une sur­in­fec­tion de la peau, d’atteintes des pou­mons et d’atteinte du cer­veau. Notons que cette mala­die est rare chez l’adulte, mais s’avère plus grave.

Chez les femmes enceintes, le risque de la vari­celle n’est rien d’autre que la conta­mi­na­tion du fœtus. Ain­si une vari­celle atteinte en début de gros­sesse, peut être res­pon­sable de mal­for­ma­tions congé­ni­tales. En cas de vari­celle au moment de l’accouchement, le nou­veau-né est sus­cep­tible de contrac­ter une vari­celle grave dès la naissance.

La vaccination contre la varicelle et ses recommandations

Le Haut Conseil de San­té Publique (HCPS) n’a nul­le­ment recom­man­dé une vac­ci­na­tion géné­ra­li­sée contre la vari­celle. Cette déci­sion a été ren­due publique le 5 juillet 2007. La vac­ci­na­tion contre la vari­celle est donc recom­man­dée dans des cas paticuliers.il s’agir entre autres :

  • Des ado­les­cents ayant dans la tranche d’âge de 12 ans à 18 ans qui n’avait pas trim­bal­lé la vari­celle par le pas­sé. Cepen­dant ces sujets doivent faire objet de doute dans leur entourage ; 
  • D’un contrôle attes­tant sa sérologie ;
  • Les femmes en âge de pro­créer en occur­rence celles pré­voyantes tom­bé grosses sans anté­cé­dent de varicelle ;
  • Les femmes sans anté­cé­dent cli­nique de vari­celle avec une incer­ti­tude des suites d’une pre­mière grossesse ;
  • Les adultes de plus de 18 ans expo­sés à la vari­celle avec un sys­tème immu­ni­taire défaillant sans anté­cé­dent de vari­celle et dont l’histoire est douteuse ;
  • Les enfants can­di­dats béné­fi­ciant d’une greffe d’organe solide au cours des six pre­miers mois sans anté­cé­dents de vari­celle et dont l’histoire est dou­teuse et ayant une séro­lo­gie saine ;
  • Les pro­fes­sion­nels en contact avec les enfants, les pro­fes­sion­nels de santé ;
  • Les per­sonnes en pre­mière année d’étude médicale ;
  • Des per­sonnes en début de service.

Vaccins contre la varicelle, un bref aperçu

Il existe huit types de vac­cins contre la vari­celle dont deux uni­que­ment sont recon­nues par la France. IL s’agit de VARILRIX et de VARIVAX. Ils sont com­mer­cia­li­sés par la France et sont uti­li­sables à par­tir de 12 mois. La vac­ci­na­tion contre la vari­celle en elle-même repose sur deux doses espa­cées de 4 à 8 semaines et de 6 à 10 semaines. Le tout dépend du vac­cin utilisé.

VARILRIX ET SES caractéristiques

VARILRIX est un vac­cin doté de virus atté­nués. C’est un vac­cin recom­man­dé pour la pré­ven­tion de la vari­celle chez les adultes et l’enfant de plus 12 mois. Il est recon­nu pour ses pro­prié­tés rédui­sant les risques de com­pli­ca­tions liées à la vari­celle. Le vac­cin VARILRIX n’est uti­li­sable que dans les 3 jours sui­vant l’exposition à la maladie.

Le vac­cin VARILRIX est sous forme de poudre et de sol­vant pour solu­tion injec­table. La poudre est de cou­leur légè­re­ment jaune, rosée ou crème. VARILRIX est dis­po­sé d’un Sol­vant lim­pide et incolore.

Pour la com­po­si­tion de ce vac­cin contre la vari­celle, rete­nons que varil­rix est com­po­sé : d’antigène qui n’est rien d’autre que les virus de la vari­celle atté­nués par des pro­duits diploïdes et UFP plages. Mis à part cela varil­rix est doté d’excipients. C’est der­nier sont tous des sub­stances telles que : le Lac­tose anhydre, le Sor­bi­tol, le man­ni­tol, les Acides ami­nés et le Néo­my­cine. Ensuite varil­rix com­porte en son sein le sol­vant qui n’est rien d’autre que de l’eau pré­pa­rée pour l’injection.

Indications

Varil­rix est un vac­cin mon­dial recon­nu pour pré­ve­nir la vari­celle. Ce der­nier immu­nise acti­ve­ment contre ce mal. Il est admi­nis­trable aux sujets saints âgés de 9 à 11 mois dans des cas par­ti­cu­liers. Sinon de manière géné­rale, varil­rix est uti­li­sé aux per­sonnes saines dès l’âge de 12 mois ; pour les sujets sains qui sont cible de la vari­celle dans les 72 heures sui­vant le contact et ceux pré­sen­tant un risque éle­vé de vari­celle sévère. Tou­te­fois avant l’utilisation de varil­rix, il faut suivre les recom­man­da­tions officielles.

Mode d’administration de VARILRIX VACCIN

Le mode d’administration de val­rix vac­cin prend en compte une injec­tion par voie sous-cuta­née et intra­mus­cu­laire dans la région del­toï­dienne ou dans la région anté­ro­la­té­rale de la cuisse.

Dans le cas des sujets ayant un trouble hémo­sta­tique à l’instar d’une coa­gu­la­tion, Varil­rix doit obli­ga­toi­re­ment être admi­nis­tré par voie sous-cutanée.

Contre-indications

Comme tout autre vac­cin ou médi­ca­ment, varil­rix n’est pas admi­nis­trable à toutes per­sonnes. IL est contre-indi­qué pour les sujets ayant un défi­cit sévère de l’immunité humo­rale ou cel­lu­laire. Varil­rix n’est pas aus­si recom­man­dé pour les sujets souf­frant de défi­cit immu­ni­taire avec un nombre total de lym­pho­cytes infé­rieur à 1 200 par mm3. Cela est valable pour les sujets pré­sen­tant d’autres signes d’absence d’immunité cel­lu­laire compétente.

Varil­rix est contre-indi­qué chez les sujets pré­sen­tant des signes d’hypersensibilité après une pré­cé­dente admi­nis­tra­tion d’un vac­cin contre la vari­celle. Ce vac­cin est aus­si contre indi­qué pour les per­sonnes souf­frant de VIH SIDA, d’un défi­cit immu­ni­taire sévère et d’agammaglobulinémie.

Effets indésirables

Les effets indé­si­rables du vac­cin varil­rix sont mul­tiples. Nous pou­vons citées entre autres les infec­tions des voies res­pi­ra­toires supé­rieures, pha­ryn­gite, les affec­tions héma­to­lo­giques et du sys­tème lym­pha­tique, les affec­tions psy­chia­triques et du sys­tème nerveux.

On note aus­si la pré­sence des affec­tions psy­chia­triques, des nau­sées, vomis­se­ments, dou­leur abdo­mi­nale, diar­rhée et le déve­lop­pe­ment d’éruption cutanée.

VARIVAX, un autre vaccin contre la varicelle très fiable

Tout comme varil­rix, vari­vax est dis­po­nible en poudre et en sol­vant pour sus­pen­sion injec­table en fla­con rem­plie. Il est lui aus­si bien évi­dem­ment com­po­sé d’antigène, d’excipients et de sol­vant. Comme de cou­tume, l’antigène n’est rien d’autre que des virus. Ain­si l’antigène de vari­vax est en occur­rence les virus de la varicelle.

La poudre à son tour est com­po­sé d’excipients comme : le Sac­cha­rose, la géla­tine hydro­ly­sée, l’urée, le chlo­rure de sodium et de potas­sium, le glu­ta­mate mono sodique, le Phos­phate tri­so­dique et mono potas­sique. Le Sol­vant du vac­cin vari­rix est de l’eau pour pré­pa­ra­tions injec­tables. Ce vac­cin contient éga­le­ment des traces de néomycine.

Indication

Vari­vax est recom­man­dé pour la pré­ven­tion de la vari­celle sur les sujets avant 12 mois. De plus dans des cas de force majeurs vari­vax est uti­li­sé aux nour­ris­sons ayant 9 mois. Vari­vax est un vac­cin qui peut être admi­nis­tré aux sujets cibles de la varicelle.

Il faut rap­pe­ler qu’une vac­ci­na­tion dans les 3 jours sui­vant l’exposition peut pré­ve­nir une infec­tion cli­nique ou tordre le cours à son déve­lop­pe­ment. Cepen­dant, il existe des don­nées limi­tées qui sti­pulent que la vac­ci­na­tion jusqu’à 5 jours après l’exposition peut empê­cher le déve­lop­pe­ment de l’infection.

Mode d’administration

Vari­vax est injec­té par voie intra­mus­cu­laire ou sous-cuta­née. De pré­fé­rence et pour mesure de pru­dence, il faut prendre l’injection de vari­vax dans une zone anté­ro­la­té­rale supé­rieure de la cuisse.

C’est ce qui est de norme chez les enfants plus jeunes. Pour les enfants plus âgés, les ado­les­cents et les adultes, l’injection du vac­cin vari­vax doit se faire dans la région del­toï­dienne. Tout comme varil­rix, le vac­cin vari­vax doit être admi­nis­tré par voie sous-cuta­née chez les sujets pré­sen­tant un trouble de coa­gu­la­tion. Il for­mel­le­ment inter­dire d’injecter par voir intravasculaire.

Contre-indications

Vari­va­rix est pros­crit aux sujets ayant des anté­cé­dents d’hypersensibilité à un vac­cin contre la vari­celle, à l’un des exci­pients, à la géla­tine ou à la néo­my­cine, leu­cé­mie, lym­phomes de tout type ou tout autre néo­pla­sie maligne tou­chant le sys­tème lym­pha­tique et san­guin. Il est aus­si non employable chez les sujets rece­vant un trai­te­ment néces­si­tant la consom­ma­tion des corticostéroïdes.

Vari­vax est contre-indi­qué pour les per­sonnes souf­frant d’un défi­cit sévère de l’immunité humo­rale ou cel­lu­laire. Le défi­cit immu­ni­taire com­bi­né sévère, agam­ma­glo­bu­li­né­mie et SIDA, ou infec­tion symp­to­ma­tique due au VIH ou avec un taux âge-dépen­dant de lym­pho­cytes T CD4+ chez les enfants de moins de 12 mois, CD4 + < 25 % chez les sujets de 12 à 35 mois sont exemptes du vac­cin varivax.

Les sujets ayant déve­lop­pé des anté­cé­dents fami­liaux de défi­cit immu­ni­taire héré­di­taire ou congé­ni­tal, à moins que l’immunocompétence du sujet à vac­ci­ner ne soit révé­lée. Vari­vax n’est pas admi­nis­trable aux per­sonnes souf­frant de la Tuber­cu­lose active non trai­tée et du sida.

Effets indésirables

En géné­ral, les vac­cins et médi­ca­ments ont des effets indé­si­rables et secon­daires sur les sujets ayant reçu une dose. C’est le cas de Vari­vax qui laisse maintes réac­tions indé­si­rables sur toutes per­sonnes ayant reçu son injection.

Il s’agit des effets comme les Infec­tions res­pi­ra­toires, le déclen­che­ment d’éruptions cuta­nées à savoir la rou­geole et la rubéole, l’irritabilité, et des déman­geai­sons et appa­ri­tions de bou­tons à la par­tie où l’on a été injecté.

Des maux de tête, de la som­no­lence, de l’écoulement et déman­geai­son au niveau des yeux avec déve­lop­pe­ment d’une croûte au niveau des pau­pières comptent aus­si par­mi les réac­tions liées à Vari­vax. Celles-ci com­prennent éga­le­ment la toux, la conges­tion nasale, la conges­tion de la poitrine.

Le vac­cin vari­vax donne aus­si des réac­tions comme  le nez qui coule, la perte d’appétit, le déve­lop­pe­ment de la grippe. En outre, on assiste à des troubles diges­tifs à l’instar du vomis­se­ment, de la crampe et de la diarrhée.

De même, ce vac­cin est res­pon­sable de l’Infection de l’oreille, du mal de gorge, des pleurs et des troubles du som­meil. L’inflammation de la peau, l’érythème fes­sier, rou­geur de la peau  et érup­tion avec sueur ou pico­te­ments chauds et urti­caire sont éga­le­ment sus­cep­tibles d’apparaître.

D’autres réactions indésirables

Suite à l’injection de vari­vax, on peut aus­si res­sen­tir les effets ci-après :

  • De la faiblesse ;
  • Des réac­tions au site d’injection incluant érup­tion sem­blable à une urticaire ;
  • Engour­dis­se­ment, sai­gne­ment, bleus, dur­cis­se­ment de la peau, sen­sa­tion de cha­leur, cha­leur au toucher ;
  • Déve­lop­pe­ment et gon­fle­ment des gan­glions, bleus ou sai­gne­ment inhabituel ;
  • Des troubles émo­tion­nels, de la ner­vo­si­té et de l’agitation ;
  • De l’hypersomnie, du déve­lop­pe­ment de rêves anormaux ;
  • Dif­fi­cul­tés à la marche ;
  • Convul­sions avec fièvre sol­dées par des tremblements ;
  • Des gon­fle­ments des pau­pières et l’irritation de l’œil ;
  • L’écoulement de sang ou de fluide d’un vais­seau sanguin ;
  • déve­lop­pe­ment de la sinu­site, des affec­tions des rhi­nites, des bron­chites et pulmonaires ;
  • Foyers blancs avec plaies dans la bouche ;
  • dou­leurs mus­cu­laires, dou­leur de la hanche, de la jambe ou du cou, raideur.

Des sai­gne­ments de nez sont aus­si des effets indé­si­rables suite à l’injection du vac­cin vari­vax. Les gon­fle­ments des lèvres, le chan­ge­ment de cou­leur de la peau, rugo­si­té et séche­resse au site d’injection sont éga­le­ment des réac­tions pro­vo­quées par le varivax.

Le relâ­che­ment mus­cu­laire et pau­pière tom­bante d’un côté du visage ; le dés­équi­libre lors de la marche, la ménin­gite et l’anémie sont aus­si bien cau­sés par le vac­cin varivax.

Les autres types de vaccins contre la varicelle

À l’instar de la varil­rix et la vari­vax, il existe d’autres types de vac­cins contre la vari­celle. Il s’agit entre autres de PRIORIX-TETRA, de PROQUAD, de PROVARIVAX, de VACCIN VARICELLE MERIEUX, etc..

PRIORIX-TETRA, le connaitre davantage

Prio­rix tétra est un vac­cin contre la vari­celle conçue en poudre et sol­vant pour solu­tion injec­table en seringue pré rem­pli. À la base, la poudre est blanche, légè­re­ment rosée et le sol­vant est un liquide lim­pide et incolore.

L’antigène com­porte :

  • Les virus, en l’occurrence le virus de la rou­geole à la souche Schwarz mini­mum 103,0 DICC 50, le virus des oreillons à la souche RIT, le virus de la rubéole à la souche Wis­tar RA 27/3 au mini­mum 103,0 DICC50 et le virus de la vari­celle de la souche OKA au mini­mum 103,3 UFP ;
  • Des pro­duits sur des cel­lules d’embryon de pou­let et sur cel­lules diploïdes humaines ;
  • Des doses infec­tant 50 % des Cultures cel­lu­laires et des uni­tés for­mant Plages ;
  • Les exci­pients qui sont des acides ami­nés, du lac­tose anhydre, du man­ni­tol et du Sor­bi­tol Milieu 199.

Le sol­vant est de l’eau pour pré­pa­ra­tions injec­tables, du sor­bi­tol : 14 mil­li­grammes. PRIORIX-TETRA contient éga­le­ment des traces de néomycine.

Prio­rix-Tetra est recon­nu pour ses pro­prié­tés d’immunisation active des sujets à par­tir de l’âge de 11 mois contre la rou­geole, les oreillons, la rubéole et la vari­celle. Tou­te­fois, il est admi­nis­tré aux nour­ris­sons âgés de 9 à 10 mois dans des cir­cons­tances particulières.

Concer­nant son injec­tion, PRIORIX est injec­té à ces endroits : sous la peau, dans le muscle, dans le haut du bras, soit sur la face exté­rieure de la cuisse.

PROQUAD, détails sur ce vaccin contre la varicelle

Ce vac­cin de la vari­celle existe sous deux formes. Il s’agit de : Pro­Quad avec sol­vant pour recons­ti­tu­tion en fla­con et Pro­Quad avec sol­vant pour recons­ti­tu­tion en seringue pré remplie.il est lui aus­si très effi­cace pour pré­ve­nir contre la varicelle.

Tout comme les autres vac­cins, il est com­po­sé d’antigène, d’excipients et de sol­vant. PROQUAD est un vac­cin qui doit être admi­nis­tré par voie intra­mus­cu­laire ou sous-cuta­née dans la région del­toï­dienne ou sur la cuisse.

PROVARIVAX, pour prévenir la varicelle

Pro­va­ri­vax est un vac­cin vivant atté­nué contre la vari­celle. Il est aus­si très effi­cace. PROVARIVAX est sous forme de poudre et sol­vant pour sus­pen­sion injec­table. Ce vac­cin est admi­nis­tré à des per­sonnes âgées d’au moins 12 mois. Cepen­dant, on assiste à des cas par­ti­cu­liers, comme on le dit l’exception faire tou­jours la règle.

Vaccin varicelle Mérieux

Ce vac­cin est une poudre pour usage paren­té­ral accom­pa­gné de sol­vant rem­pliant la seringue. Il est doté des sub­stances telles que :

  • Lyo­phi­li­sat ;
  • Sac­cha­rose ;
  • Géla­tine ;
  • Sodium chlo­rure ;
  • Sodium glu­ta­mate ;
  • Potas­sium chlorure ;
  • Phos­phate di sodique ;
  • Phos­phate mono potassique ;
  • Sodium chlo­rure ;
  • Néo­my­cine.

Efficacités des vaccins contre la varicelle

La vac­ci­na­tion contre la vari­celle, oui, mais les vac­cins contre la vari­celle sont-ils efficaces ?

Il a été révé­lé après de hautes études que le vac­cin contre la vari­celle offre une pro­tec­tion contre la vari­celle à 94,4 % après la pre­mière dose. Après la récep­tion de la deuxième dose, on est pro­té­gé à98, 3. D’où la prise des deux doses du vac­cin met à l’abri de toute gra­vi­té offrant donc une pro­tec­tion d’environ 100 % contre la vari­celle grave.

Rete­nons que tous les vac­cins contre la vari­celle sont effi­caces. Nul n’est plus effi­cace que l’autre à l’instar de varil­rix, vari­vax, de vac­cin vari­celle Mérieux et bien d’autres. Mise à part ces vac­cins pré­cé­dem­ment cités, ils existent d’autres types de vac­cin comme SKY Vari­cel­la Inj et vari­vax II.

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